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Les espèces de goélands autour de l'arctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/525a6dd0-les-especes-de-goelands-autour-de-l-arctique

Les espèces de goélands autour de l'arctique

Exemple de variation clinale de l'espèce Goéland autour de l'arctique. 1 : Larus fuscus (Goéland brun) ; 2 : Population sibérienne de Larus fuscus ; 3 : Larus fuscus heuglini ou Larus heuglini ; 4 : Larus argentatus birulai ; 5 : Larus argentatus vegae ou Larus vegae (Goéland de la Véga) ; 6 : Larus argentatus smithsonianus ou Larus smithsonianus (Goéland hudsonien) ; 7 : Larus argentatus (Goéland argenté). La variation clinale est un type de spéciation par distance, elle illustre ce qui se passe au fil du temps lorsque des populations divergent génétiquement mais représente un cas particulier dans le sens où elle montre sur des populations en vie ce qui se déroule habituellement entre des populations ancestrales depuis longtemps éteintes et des populations en vie. La variation clinale est un exemple pratique de la difficulté à définir précisément les critères du concept d'espèce, même en se limitant à une définition simplifiée basée sur l'interfécondité.

Tableau du Dodo. Source : http://data.abuledu.org/URI/573acaa8-tableau-du-dodo

Tableau du Dodo

Tableau d'un spécimen de Dodo par Roelant Savery à la fin des années 1620, offert par l'ornithologiste George Edwards qui en fit don au British Museum. L'oiseau mangeant une grenouille et les deux perroquets sont aussi des oiseaux disparus. Roelandt Savery est un peintre flamant qui étudie la ménagerie d'animaux exotiques de la cour de Rodolphe II de 1603 à 1613 : pélicans, autruches, chameaux, et même le dodo, animal éteint. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Roelandt_Savery

Variations de populations clinales en boucle. Source : http://data.abuledu.org/URI/525a6cd0-variations-de-populations-clinales-en-boucle

Variations de populations clinales en boucle

Les variations des populations interfécondes (ici représentées par des blocs de couleurs) le long d'une cline peuvent suivre une courbe, formant au final un anneau. Une variation clinale (ring species, « espèce en anneau ») est une série de populations voisines connectées dont les populations relativement apparentées peuvent se reproduire entre elles, mais au sein de laquelle il existe au moins deux populations « terminales » qui sont trop peu apparentées pour qu'il y ait inter-reproduction. C'est un cas particulier de cline systématique.

Abeille maçonne. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c5d9ab-abeille-maconne

Abeille maçonne

Une abeille maçonne (Osmia ribifloris) sur des fleurs de vinettier (Berberis vulgaris) : Osmia est un genre regroupant des espèces d'abeilles solitaires parfois appelées abeilles maçonnes et jouant un rôle important dans la pollinisation. Leur mode de nidification dans des cavités est très varié. Certaines aménagent des galeries préexistantes construites par certains insectes, d'autres creusent le sol, le bois, des tiges sèches de ronce ou de roseau, ou construisent leurs cellules à l'air libre. Elles utilisent des matériaux de construction de nature très variée : argile, petits cailloux, fragments de feuilles. Certaines construisent leur nids dans des coquilles d'escargot vides. Le Vinettier ou l’Épine-vinette (Berberis vulgaris) est un arbuste de la famille des Berbéridacées. En France, à partir du XIXe siècle, l'épine-vinette était fréquemment éradiquée car c'est un hôte intermédiaire dans le cycle de la rouille noire du blé, un champignon pathogène des céréales. Elle a donc quasiment disparu d'Europe occidentale et ne subsiste guère qu'en montagne.

Alcyonaire épineux. Source : http://data.abuledu.org/URI/5554a268-alcyonaire-epineux

Alcyonaire épineux

Ces coraux sont mous, et suffisamment translucides pour laisser transparaître les spicules calcaires disséminés dans l'organisme. Ils sont généralement de couleur vive et présentent des ramifications. Ce genre compte plus de 250 espèces, souvent très difficiles à distinguer les unes des autres. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Dendronephthya

Alcyonaire épineux. Source : http://data.abuledu.org/URI/5554a27c-alcyonaire-epineux

Alcyonaire épineux

Ces coraux sont mous, et suffisamment translucides pour laisser transparaître les spicules calcaires disséminés dans l'organisme. Ils sont généralement de couleur vive et présentent des ramifications. Ce genre compte plus de 250 espèces, souvent très difficiles à distinguer les unes des autres. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Dendronephthya

Alcyonaire épineux. Source : http://data.abuledu.org/URI/5554a289-alcyonaire-epineux

Alcyonaire épineux

Ces coraux sont mous, et suffisamment translucides pour laisser transparaître les spicules calcaires disséminés dans l'organisme. Ils sont généralement de couleur vive et présentent des ramifications. Ce genre compte plus de 250 espèces, souvent très difficiles à distinguer les unes des autres. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Dendronephthya

Alcyonaire épineux. Source : http://data.abuledu.org/URI/5554a295-alcyonaire-epineux

Alcyonaire épineux

Ces coraux sont mous, et suffisamment translucides pour laisser transparaître les spicules calcaires disséminés dans l'organisme. Ils sont généralement de couleur vive et présentent des ramifications. Ce genre compte plus de 250 espèces, souvent très difficiles à distinguer les unes des autres. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Dendronephthya

Alcyonaire épineux. Source : http://data.abuledu.org/URI/5554a2a4-alcyonaire-epineux

Alcyonaire épineux

Ces coraux sont mous, et suffisamment translucides pour laisser transparaître les spicules calcaires disséminés dans l'organisme. Ils sont généralement de couleur vive et présentent des ramifications. Ce genre compte plus de 250 espèces, souvent très difficiles à distinguer les unes des autres. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Dendronephthya

Alcyonaire épineux. Source : http://data.abuledu.org/URI/5554a2b8-alcyonaire-epineux

Alcyonaire épineux

Ces coraux sont mous, et suffisamment translucides pour laisser transparaître les spicules calcaires disséminés dans l'organisme. Ils sont généralement de couleur vive et présentent des ramifications. Ce genre compte plus de 250 espèces, souvent très difficiles à distinguer les unes des autres. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Dendronephthya

Alcyonaire épineux. Source : http://data.abuledu.org/URI/5554a2c5-alcyonaire-epineux

Alcyonaire épineux

Ces coraux sont mous, et suffisamment translucides pour laisser transparaître les spicules calcaires disséminés dans l'organisme. Ils sont généralement de couleur vive et présentent des ramifications. Ce genre compte plus de 250 espèces, souvent très difficiles à distinguer les unes des autres. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Dendronephthya

Alcyonaire épineux. Source : http://data.abuledu.org/URI/5554a2d3-alcyonaire-epineux

Alcyonaire épineux

Ces coraux sont mous, et suffisamment translucides pour laisser transparaître les spicules calcaires disséminés dans l'organisme. Ils sont généralement de couleur vive et présentent des ramifications. Ce genre compte plus de 250 espèces, souvent très difficiles à distinguer les unes des autres. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Dendronephthya

Alcyonaire épineux (gros plan). Source : http://data.abuledu.org/URI/5554a2ea-alcyonaire-epineux-gros-plan-

Alcyonaire épineux (gros plan)

Ces coraux sont mous, et suffisamment translucides pour laisser transparaître les spicules calcaires disséminés dans l'organisme. Ils sont généralement de couleur vive et présentent des ramifications. Ce genre compte plus de 250 espèces, souvent très difficiles à distinguer les unes des autres. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Dendronephthya

Araignée rose. Source : http://data.abuledu.org/URI/546d026c-araignee-rose

Araignée rose

Thomisus est un genre d'araignées aranéomorphes de la famille des Thomisidae. Chez la plupart des espèces, les femelles font de quatre à dix millimètres de long et les mâles de deux à sept. Beaucoup sont de couleur vive, généralement assortie à la couleur de la fleur sur laquelle elles vivent. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Thomisus

Autotomie du lézard. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cbf1b-autotomie-du-lezard

Autotomie du lézard

Autotomie du lézard. L'autotomie est la capacité qu'ont certains animaux de perdre une partie de leur corps volontairement, en particulier certains reptiles et invertébrés, pour échapper à un prédateur. Certains rongeurs peuvent aussi perdre une partie de leur queue. Il s'agit d'une stratégie de défense consistant à abandonner volontairement une partie non vitale de son corps (en général la queue, mais parfois un membre, de la peau…) afin d'échapper à un prédateur. La perte se produit soit lorsque la partie du corps est déjà prise par le prédateur (il s'agit alors de se libérer pour fuir) soit avant une attaque afin de créer une diversion. Le membre se sépare en général à des endroits pré-établis de l'anatomie de l'animal. Ce sont la plupart du temps des articulations de la queue ou des membres. Selon les espèces, la partie abandonnée peut repousser, tel la queue du lézard. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Autotomie En général le membre abandonné reste agité de mouvements réflexes, donnant une illusion de vie et occupant le prédateur.

Babiroussa mâle d'Indonésie. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b98e5a-babiroussa-male-d-indonesie

Babiroussa mâle d'Indonésie

Le nom provient du malais, babi (porc) et rusa (cerf). Le babiroussa dispose de deux paires de défenses situées sur le museau. Chez le mâle, la paire supérieure est plus développée (jusqu'à 30 cm) et recourbée vers l'arrière jusqu'à pénétrer dans la peau. Les mâles sont assez solitaires tandis que les femelles vivent en petits troupeaux dans la forêt. Il est surtout actif en matinée et reste à proximité des points d'eau. Très bon nageur, il peut passer d'île en île. En petits groupes familiaux, ils parcourent les marécages des quelques îles où ils vivent à la recherche de fruits, de jeunes pousses ou de feuilles. Ils n'hésitent pas à nager lorsqu'un bras de mer se présente. Les babiroussas sont des animaux discrets et timides. En permanence sur le qui-vive, ils se dissimulent à la moindre alerte sous la végétation. Il occupe un terrier composé de boue et de paille. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Babiroussa Son alimentation est composée de fruits, de feuilles, de champignons et de larves d'insectes.

Babouin. Source : http://data.abuledu.org/URI/5102ac43-babouin

Babouin

Comme beaucoup de primates, les babouins vivent en bandes organisées. Le babouin ne se sent en sécurité qu'à l'intérieur de cette bande, dominée par quelques mâles puissants qui en assurent la défense ; ils sont aussi chargés de faire la paix à l'occasion de querelles intestines. Ils parcourent les savanes arides et les endroits rocailleux en Arabie, en Afrique subsaharienne ainsi que dans les hautes futaies de l'ouest de l'Afrique. Ils se nourrissent de végétaux, de petits animaux, d'oiseaux et d'œufs. Leur marche est celle des quadrupèdes avec leur queue ramenée à la manière d'un arc. Les formes de communication sont variées : transmission de signaux au moyen de la queue, la posture, les cris et les jappements. Selon les espèces, les babouins pèsent de 14 à 40 kg et mesurent entre 50 et 115 cm. Les femelles sont deux fois plus petites que les mâles.

Biche des marais au Brésil. Source : http://data.abuledu.org/URI/55cf2e48-biche-des-marais-au-bresil

Biche des marais au Brésil

Gros plan de biche des marais (Blastocerus dichotomus) à Itirapina, état de São Paulo au Brésil.

Biodiversité à Hyderabad en 2012. Source : http://data.abuledu.org/URI/53874505-biodiversite-a-hyderabad-en-2012

Biodiversité à Hyderabad en 2012

Conference des Partis (COP-11), Convention sur la biodiversité, 2012, Hyderabad en Inde. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Conf%C3%A9rence_d%27Hyderabad_sur_la_diversit%C3%A9_biologique

Biodiversité animale. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d321c4-biodiversite-animale

Biodiversité animale

Graphique sur la biodiversité animale.

Carte de répartition du goémon noir. Source : http://data.abuledu.org/URI/548d7bfb-carte-de-repartition-du-goemon-noir

Carte de répartition du goémon noir

Carte de répartition du goémon noir (Ascophyllum nodosum). Sources : NGDC World Coast Line (public domain) ; références géographiques : T. Belsher, Étude bibliographique de quelques espèces planctoniques et benthiques de la Manche, vol. 4, 1986, IFREMER/EDF.

Chaîne alimentaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f9b306-chaine-alimentaire

Chaîne alimentaire

Chaînes alimentaires en mer et sur terre : circulation de l'énergie. En écologie, une biocénose est l'ensemble des êtres vivants coexistant dans un espace défini (le biotope). On a l'habitude de diviser la biocénose en deux : la phytocénose, qui regroupe les espèces végétales ; la zoocénose, qui regroupe les espèces animales.

Corail corne de cerf. Source : http://data.abuledu.org/URI/55549fdd-corail-corne-de-cerf

Corail corne de cerf

Les Acropora sont des coraux durs, constructeurs de récifs. Ils font partie des espèces responsables de la formation de barrières de corail, qui abritent la plus grande biodiversité de notre planète. Comme tous les coraux durs, les Acropora vivent en endosymbiose avec de minuscules algues appelées zooxanthelles, qui leur fournissent des hydrates de carbone complexes tels que des sucres grâce à la photosynthèse, en échange d'azote organique et de dioxyde de carbone. Outre la photosynthèse, ces coraux se nourrissent aussi selon un régime carnivore. Ils le font la nuit, en attrapant le zooplancton par leurs polypes. Ceux-ci sont rétractés pendant la journée. Les Acropora ont une forme complexe offrant de nombreuses cachettes à un extraordinaire cortège d'espèces associées, comme les poissons des genres Chromis et Dascyllus. Ce sont donc des espèces fondatrices d'une importance capitale pour l'équilibre de l'écosystème. Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Acropora

Corail corne de cerf. Source : http://data.abuledu.org/URI/55549ff5-corail-corne-de-cerf

Corail corne de cerf

Les Acropora sont des coraux durs, constructeurs de récifs. Ils font partie des espèces responsables de la formation de barrières de corail, qui abritent la plus grande biodiversité de notre planète. Comme tous les coraux durs, les Acropora vivent en endosymbiose avec de minuscules algues appelées zooxanthelles, qui leur fournissent des hydrates de carbone complexes telles que des sucres grâce à la photosynthèse, en échange d'azote organique et de dioxyde de carbone. Outre la photosynthèse, ces coraux se nourrissent aussi selon un régime carnivore. Ils le font la nuit, en attrapant le zooplancton par leurs polypes. Ceux-ci sont rétractés pendant la journée. Les Acropora ont une forme complexe offrant de nombreuses cachettes à un extraordinaire cortège d'espèces associées, comme les poissons des genres Chromis et Dascyllus. Ce sont donc des espèces fondatrices d'une importance capitale pour l'équilibre de l'écosystème. Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Acropora

Corail de feu ramifié. Source : http://data.abuledu.org/URI/5554a1fb-corail-de-feu-ramifie

Corail de feu ramifié

Corail de feu ramifié (Millepora dichotoma). Millepora est le seul genre de cnidaire de la famille des Milleporidés. Les espèces de ce genre sont communément appelées coraux de feu en raison de leurs cnidocystes capables de percer la peau humaine qui provoquent des douleurs semblables à celles de brûlures. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Corail_de_feu

Corail de feu ramifié. Source : http://data.abuledu.org/URI/5554a206-corail-de-feu-ramifie

Corail de feu ramifié

Corail de feu ramifié (Millepora dichotoma). Millepora est le seul genre de cnidaire de la famille des Milleporidés. Les espèces de ce genre sont communément appelées coraux de feu en raison de leurs cnidocystes capables de percer la peau humaine qui provoquent des douleurs semblables à celles de brûlures. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Corail_de_feu

Coupe de coquille de nautile. Source : http://data.abuledu.org/URI/5148d37f-coupe-de-coquille-de-nautile

Coupe de coquille de nautile

Coupe de coquille de nautile : chez certaines espèces comme les nautiles (jamais chez les gastéropodes) la coquille est cloisonnée. Ce qui veut dire que l'animal ne peut occuper qu'une partie de sa coquille. Spirale logarithmique.

Dispositif d'entonnoir d'Emlen. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fe9c0e-dispositif-d-entonnoir-d-emlen

Dispositif d'entonnoir d'Emlen

On ne sait pas exactement quelles sont les capacités qui permettent aux oiseaux de s'orienter, cependant plusieurs aptitudes sont sûrement mis en œuvre : la vue, la perception du champ magnétique terrestre et l'odorat. Les espèces à migration nocturne s'orienteraient grâce aux étoiles. Des chercheurs ont découvert une zone spécifique dans le cerveau qui semble spécialisée pour cette tâche. Pour tester cette capacité, les scientifiques utilisent un appareillage spécifique connu comme l'entonnoir d'Emlen, qui consiste en une cage circulaire en forme d'entonnoir avec le sommet couvert d'un verre ou d'un écran de fil pour que le ciel étoilé ou un planétarium soit visible. Le comportement de l'oiseau, et plus spécifiquement son orientation, est alors étudié en fonction de ce que celui-ci peut observer. Technique introduite en 1966 par ST et JT Emlen. Source : Emlen S.T., Emlen J.T.Jr. 1966. "A Technique for Recording Migratory Orientation of Captive Birds". Légende en français par C. Catarina.

Équations proie-prédateur de Lotka-Volterra. Source : http://data.abuledu.org/URI/50bf7632-equations-proie-predateur-de-lotka-volterra

Équations proie-prédateur de Lotka-Volterra

Courbes d'évolution d'un système complexe, formé de deux espèces, proie et prédateur : équations de Lotka-Volterra. L'effectif des proies est x(t), celui des prédateurs y(t) . On retombe sur le cas précédent si y est nul. La quantité x(t)y(t) est une probabilité de rencontre, qui influe négativement sur une population (les proies), positivement sur l'autre (les prédateurs). À chaque instant, connaissant les populations en présence, on peut décrire la tendance. Ces deux équations sont couplées c'est-à-dire qu'il faut les résoudre ensemble. Mathématiquement, il faut les concevoir comme une seule équation d'inconnue le couple (x(t),y(t)) . Si l'effectif initial des populations est connu, l'évolution ultérieure est parfaitement déterminée. Elle se fait le long d'une des courbes d'évolution figurées ci-contre, qui laissent apparaître un comportement cyclique.

Étoile de mer commune. Source : http://data.abuledu.org/URI/5148969c-etoile-de-mer-commune

Étoile de mer commune

Étoile de mer commune (Asterias rubens). Les étoiles de mer (Asteroidea) forment une classe d'échinodermes. On dénombre au moins 1 500 espèces réparties dans plus de 30 familles vivant dans tous les océans. Elles ont généralement 5 bras, mais peuvent en avoir plus. Celles-ci ont une espérance de vie d'environ 4 à 5 années. Elles sont un symbole maritime important. L'espèce la plus répandue et la plus étudiée est l'étoile de mer commune. Certaines espèces ont la possibilité de se régénérer, c'est-à-dire la capacité de faire repousser un ou plusieurs de leurs bras si elles en sont détachées. Un bras perdu peut être régénéré en moins d'un mois. Elle se nourrit grâce à son orifice buccal, situé sur sa face ventrale et composé de cinq « dents ». Ses pièces buccales sont d'ailleurs un élément qui sert pour sa classification. L'étoile de mer est principalement un prédateur, mais quelques espèces sont filtreurs. Son régime alimentaire est principalement constitué de proies immobiles ou se déplaçant lentement.

Gros plan sur une tête de fourmi bouledogue australienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/534ba28b-gros-plan-sur-une-tete-de-fourmi-bouledogue-australienne

Gros plan sur une tête de fourmi bouledogue australienne

Gros plan sur une tête de fourmi bouledogne australienne, Myrmecia. Ces grandes fourmis alertes ont comme caractéristique d'avoir de grands yeux et de longues mandibules grêles. Elles ont une vision supérieure, capable de repérer et même suivre des intrus à une distance de un mètre. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Myrmecia

Herbier de posidonies en méditerranée. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e46a05-herbier-de-posidonies-en-mediterranee

Herbier de posidonies en méditerranée

Herbier de posidonies (Posidonia oceanica) en Méditerranée. Les posidonies (du genre Posidonia) sont des plantes aquatiques de la famille des Posidoniaceae. Bien qu'elles vivent sous l'eau, ce ne sont pas des algues, mais des plantes à fleurs (angiospermes) monocotylédones sous-marines. Comme toutes les plantes à fleurs, elles ont des racines, et se reproduisent grâce aux fruits qu'elles produisent. Dans les eaux moins chaudes de l'Atlantique nord européen elles sont remplacées par les zostères qui constituent des herbiers jouant les mêmes fonctions écologiques. Le nom générique "Posidonia" dérive de "Poséidon" (dieu des Mers et des Océans dans la mythologie grecque). Les fibres des feuilles de posidonies, difficilement dégradables, sont rassemblées par les mouvements de la mer en boule feutrées, appelées aégagropiles, souvent rejetées sur les plages de Méditerranée. Les herbiers qu'elle forme sont des lieux de frayère et de nurserie pour de nombreuses espèces animales. Elle constitue également une source de nourriture, parfois importante, pour certaines espèces herbivores (oursins, saupes, etc.). Une partie de la production de feuilles d'un herbier va se retrouver exportée, sous forme de litière, vers d'autres écosystèmes éloignés (plage, canyon sous-marin,...) où elle constituera une source de carbone importante pour le fonctionnement de ces écosystèmes. Elle permet de fixer les fonds marins grâce à l'entrelacement de ses rhizomes. Ceux-ci s'empilent d'une année sur l'autre, contribuant à augmenter progressivement le niveau du fond (environ un mètre par siècle. Elle « piège » des particules en suspension et du sédiment, contribuant ainsi au maintien de la clarté des eaux. Les herbiers à Posidonia oceanica sont considérés comme des formations essentielles dans le stockage du carbone atmosphérique et l'oxygénation du milieu.

Hibou petit-duc bien camouflé. Source : http://data.abuledu.org/URI/51350164-hibou-petit-duc-bien-camoufle

Hibou petit-duc bien camouflé

Hibou petit-duc (Otus senegalensis), Halali Camp, Etosha National Park, Namibie. Les plumages et les différentes sortes de plumes spécialisées qui les composent ont de nombreuses fonctions pour l'oiseau, la plus universelle étant l'isolation thermique, qui participe au maintien de la température interne de ces tétrapodes homéothermes. Pour certaines espèces, le plumage peut offrir une tenue de camouflage efficace.

Le krill antarctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e45ec7-le-krill-antarctique

Le krill antarctique

Photo en gros plan du krill antarctique (Euphausia superba). Le site ecoscope propose un microscope virtuel qui permet d'explorer les divers organes de ce krill. Krill est le nom générique d’origine norvégienne de petites crevettes des eaux froides, de l'ordre des euphausiacés. Le krill est un maillon important du réseau trophique des océans, pour les zones nord et sud de la planète. On regroupe sous ce terme au minimum 85 espèces dont les adultes vivent en « essaims » gigantesques dans les couches supérieures de l'océan, les œufs et larves étant trouvés jusqu'à plus de 1 000 m de profondeur. Les essaims forment parfois des bancs de deux millions de tonnes s'étendant sur 450 km² ; estimations de quelque 650 millions de tonnes au niveau de la planète. Dans l'océan austral, le krill antarctique est principalement constitué d’Euphausia superba, sans courbure dorsale et possédant des yeux noirs de grande taille. Pélagique, il constitue la première source d'alimentation des cétacés à fanons (mysticètes ; dont grands rorquals et baleines franches), avec un rendement très faible pour les cétacés, puisque pour grossir de 1 kg, ils doivent en absorber 100 kg. Les baleines en mangent plusieurs tonnes par jour. Ainsi, le déplacement de ces minuscules crustacés entraîne-t-il à lui seul, la migration des géants des mers. Le krill et d'autres types de crevettes sont à l'origine de la coloration rose des flamands roses, et rose-orange de la chair du saumon sauvage. Il renferme en effet de l’astaxanthine, un caroténoïde rouge, une vitamine A anti-oxydante. Il fait l’objet d'une pêche industrielle, dont en Norvège et autour de l'Antarctique.

Le Mont Kaw en Guyane. Source : http://data.abuledu.org/URI/5277a419-le-mont-kaw-en-guyane

Le Mont Kaw en Guyane

Vue depuis la Montagne de Kaw - Guyane Française. Située dans une des régions les plus humides de Guyane, elle accueille une riche diversité biologique et de nombreuses espèces endémiques. Elle abrite de nombreux abris sous roche favorables au coq de roche orange, espèce emblématique et endémique du Plateau des Guyanes. Le massif est aussi connu pour sa flore et son entomofaune, sans oublier les reptiles et l’avifaune. La plaine mais également la montagne de Kaw sont connues pour leur fort endémisme mais également pour leur biodiversité exceptionnelle. En effet, la forêt de la Montagne de Kaw possède la plus forte pluviométrie de la Guyane, ce qui expliquerait qu'elle aurait servi de refuge pour la faune et la flore lors des périodes de grandes sécheresses de l’ère du Pléistocène. Le projet très controversé de la société CBJ Caïman, filiale du groupe canadien Iamgold, d’ouvrir une mine d’or à ciel ouvert au cœur de l’un des haut-lieux de la biodiversité guyanaise avait mobilisé contre lui de larges secteurs de la société civile locale. À l'issue du Grenelle Environnement, le 30 janvier 2008 le président de la République a décidé de ne pas donner suite au projet d’exploitation aurifère sur la montagne de Kaw en Guyane.

Le réseau trophique dans la chaîne alimentaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b7e29b-le-reseau-trophique-dans-la-chaine-alimentaire

Le réseau trophique dans la chaîne alimentaire

Principes des flux et "pertes" d'énergie dans le réseau trophique (chaîne alimentaire). En écologie, le niveau trophique est le rang qu'occupe un être vivant dans un réseau trophique. Il se mesure en quelque sorte par la distance qui sépare cet être du niveau basique qui est celui de la production primaire autotrophe. Au dessus de ce niveau de base, chaque maillon (ou étage) d'une chaîne alimentaire correspond à un niveau trophique. C'est un concept théorique de l'Écologie qui permet de mieux cerner ou expliquer certaines relations entre espèces (relations prédateur-proie notamment), les cycles et flux d'énergie et de nutriments dans les écosystèmes, les réseaux trophiques ainsi que les phénomènes de bioconcentration dans la pyramide alimentaire, qui ont une grande importance en écotoxicologie.

Lézard des murailles. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cacc7-lezard-des-murailles

Lézard des murailles

Un lézard des murailles. Les lézards sont des petits reptiles de l'ordre des Squamates. Ils partagent le fait d'avoir quatre pattes, des oreilles à tympan apparent sans conduit auditif externe, le corps recouvert d'écailles et la mue. Toutes les espèces ne perdent pas leur queue (autotomie) en cas d'agression. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9zard.

Lichen et symbiose. Source : http://data.abuledu.org/URI/5543d839-lichen-et-symbiose

Lichen et symbiose

Lichen et symbiose. Le lichen est un exemple d'association symbiotique de deux espèces de règnes différents : une algue unicellulaire ou une cyanobactérie, et un champignon. L'algue retire de la relation un apport important en eau et en sels minéraux ainsi qu'un gîte. Le champignon, hétérotrophe, retire le glucose nécessaire à sa croissance que produit l'algue par la photosynthèse. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Symbiose

Limule. Source : http://data.abuledu.org/URI/54140b26-limule

Limule

Limule (Limulus polyphemus) - 55 cm (vue dorsale)- Côte Est des Etats-Unis. La famille des Limulidae (du latin scientifique limulus) regroupe les quatre espèces de limules survivantes. Ce sont des arthropodes marins ressemblant à des crabes ayant une forme de fer à cheval (d'où le surnom de "crabe fer à cheval"). Considéré comme une véritable forme panchronique (anciennement appelée "fossile vivant"), son groupe semble n'avoir pratiquement pas évolué morphologiquement depuis plus de 500 Ma. Il ne s'agit pas d'un crustacé mais d'un chélicérate (appendice buccal en forme de crochet ou de pince), comme les araignées et les scorpions. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Limulidae.

Méduse. Source : http://data.abuledu.org/URI/5648c8c7-meduse

Méduse

Schéma anatomique d'une méduse : Tentacules marginaux et bras oraux. La majorité des espèces se nourrissent de microplancton piégé par leurs tentacules marginaux ou péri-ombrellaires, filaments rétractiles attachés au bord de l'ombrelle.

Méduses en aquarium. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d7c23a-meduses-en-aquarium

Méduses en aquarium

Méduses dans l'aquarium d'Atlanta. Très souvent fuie à cause de ses cellules urticantes, la méduse a néanmoins des prédateurs. Les deux plus grands consommateurs de méduses sont la tortue Luth dont elle est le mets favori, et le poisson lune. Le thon rouge en est aussi très friand. Dans une moindre mesure, des crustacés apprécient le cadavre de certaines espèces. La surpêche ou la disparition des espèces prédatrices des méduses (thons, harengs, anchois, tortues), la disparition de leurs concurrentes telles que les sardines qui augmentent la quantité de nourriture disponible, « la destruction des fonds marins par les chalutiers qui favorise leur reproduction, le réchauffement des eaux, et l'eutrophisation des milieux côtiers » stimulent leur prolifération, au point que les chercheurs Philippe Cury et Daniel Pauly font la conjecture provocatrice qu'« il nous faudra nous contenter de manger des méduses ! » Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9duse_%28animal%29 ; Philippe Cury et Daniel Pauly, Mange tes méduses !, Éditions Odile Jacob,‎ 2013, 224 p.

Mérou. Source : http://data.abuledu.org/URI/5545144b-merou

Mérou

Le nom vernaculaire « mérou » couvre une partie de l’importante famille des Serranidae. Cette famille, très diversifiée, contient des poissons d’aspect assez différent, comme les anthias, les loches ou les barbiers. La sous-famille des Epinephelinae constitue le principal groupe de mérous, et compte 22 genres et 87 espèces. On les rencontre dans les eaux tropicales et tempérées, de 1 à 300 mètres de profondeur. Ils sont tous carnivores : ils se nourrissent de poissons, de crustacés et de mollusques. La plupart des espèces est hermaphrodite protogyne, ce qui signifie que tous les individus naissent femelle et que certains deviendront mâles quand la situation l’exigera. Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Epinephelinae

Mérou. Source : http://data.abuledu.org/URI/5545145b-merou

Mérou

Le nom vernaculaire « mérou » couvre une partie de l’importante famille des Serranidae. Cette famille, très diversifiée, contient des poissons d’aspect assez différent, comme les anthias, les loches ou les barbiers. La sous-famille des Epinephelinae constitue le principal groupe de mérous, et compte 22 genres et 87 espèces. On les rencontre dans les eaux tropicales et tempérées, de 1 à 300 mètres de profondeur. Ils sont tous carnivores : ils se nourrissent de poissons, de crustacés et de mollusques. La plupart des espèces est hermaphrodite protogyne, ce qui signifie que tous les individus naissent femelle et que certains deviendront mâles quand la situation l’exigera. Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Epinephelinae

Mérou corallien de Mer Rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/554513b1-merou-corallien-de-mer-rouge

Mérou corallien de Mer Rouge

Le nom vernaculaire « mérou » couvre une partie de l’importante famille des Serranidae. Cette famille, très diversifiée, contient des poissons d’aspect assez différent, comme les anthias, les loches ou les barbiers. La sous-famille des Epinephelinae constitue le principal groupe de mérous, et compte 22 genres et 87 espèces. On les rencontre dans les eaux tropicales et tempérées, de 1 à 300 mètres de profondeur. Ils sont tous carnivores : ils se nourrissent de poissons, de crustacés et de mollusques. La plupart des espèces est hermaphrodite protogyne, ce qui signifie que tous les individus naissent femelle et que certains deviendront mâles quand la situation l’exigera. Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Epinephelinae

Mérou croissant queue jaune. Source : http://data.abuledu.org/URI/5545197e-merou-croissant-queue-jaune

Mérou croissant queue jaune

Le nom vernaculaire « mérou » couvre une partie de l’importante famille des Serranidae. Cette famille, très diversifiée, contient des poissons d’aspect assez différent, comme les anthias, les loches ou les barbiers. La sous-famille des Epinephelinae constitue le principal groupe de mérous, et compte 22 genres et 87 espèces. On les rencontre dans les eaux tropicales et tempérées, de 1 à 300 mètres de profondeur. Ils sont tous carnivores : ils se nourrissent de poissons, de crustacés et de mollusques. La plupart des espèces est hermaphrodite protogyne, ce qui signifie que tous les individus naissent femelle et que certains deviendront mâles quand la situation l’exigera. Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Epinephelinae

Mérou croissant queue jaune. Source : http://data.abuledu.org/URI/55451995-merou-croissant-queue-jaune

Mérou croissant queue jaune

Le nom vernaculaire « mérou » couvre une partie de l’importante famille des Serranidae. Cette famille, très diversifiée, contient des poissons d’aspect assez différent, comme les anthias, les loches ou les barbiers. La sous-famille des Epinephelinae constitue le principal groupe de mérous, et compte 22 genres et 87 espèces. On les rencontre dans les eaux tropicales et tempérées, de 1 à 300 mètres de profondeur. Ils sont tous carnivores : ils se nourrissent de poissons, de crustacés et de mollusques. La plupart des espèces est hermaphrodite protogyne, ce qui signifie que tous les individus naissent femelle et que certains deviendront mâles quand la situation l’exigera. Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Epinephelinae

Mérou de Mer Rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/55451208-merou-de-mer-rouge

Mérou de Mer Rouge

Le nom vernaculaire « mérou » couvre une partie de l’importante famille des Serranidae. Cette famille, très diversifiée, contient des poissons d’aspect assez différent, comme les anthias, les loches ou les barbiers. La sous-famille des Epinephelinae constitue le principal groupe de mérous, et compte 22 genres et 87 espèces. On les rencontre dans les eaux tropicales et tempérées, de 1 à 300 mètres de profondeur. Ils sont tous carnivores : ils se nourrissent de poissons, de crustacés et de mollusques. La plupart des espèces est hermaphrodite protogyne, ce qui signifie que tous les individus naissent femelle et que certains deviendront mâles quand la situation l’exigera. Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Epinephelinae

Mérou loutre. Source : http://data.abuledu.org/URI/554511df-merou-loutre

Mérou loutre

Le nom vernaculaire « mérou » couvre une partie de l’importante famille des Serranidae. Cette famille, très diversifiée, contient des poissons d’aspect assez différent, comme les anthias, les loches ou les barbiers. La sous-famille des Epinephelinae constitue le principal groupe de mérous, et compte 22 genres et 87 espèces. On les rencontre dans les eaux tropicales et tempérées, de 1 à 300 mètres de profondeur. Ils sont tous carnivores : ils se nourrissent de poissons, de crustacés et de mollusques. La plupart des espèces est hermaphrodite protogyne, ce qui signifie que tous les individus naissent femelle et que certains deviendront mâles quand la situation l’exigera. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Epinephelinae

Mérou loutre. Source : http://data.abuledu.org/URI/55451221-merou-loutre

Mérou loutre

Le nom vernaculaire « mérou » couvre une partie de l’importante famille des Serranidae. Cette famille, très diversifiée, contient des poissons d’aspect assez différent, comme les anthias, les loches ou les barbiers. La sous-famille des Epinephelinae constitue le principal groupe de mérous, et compte 22 genres et 87 espèces. On les rencontre dans les eaux tropicales et tempérées, de 1 à 300 mètres de profondeur. Ils sont tous carnivores : ils se nourrissent de poissons, de crustacés et de mollusques. La plupart des espèces est hermaphrodite protogyne, ce qui signifie que tous les individus naissent femelle et que certains deviendront mâles quand la situation l’exigera. Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Epinephelinae

Mérou loutre. Source : http://data.abuledu.org/URI/554513d2-merou-loutre

Mérou loutre

Le nom vernaculaire « mérou » couvre une partie de l’importante famille des Serranidae. Cette famille, très diversifiée, contient des poissons d’aspect assez différent, comme les anthias, les loches ou les barbiers. La sous-famille des Epinephelinae constitue le principal groupe de mérous, et compte 22 genres et 87 espèces. On les rencontre dans les eaux tropicales et tempérées, de 1 à 300 mètres de profondeur. Ils sont tous carnivores : ils se nourrissent de poissons, de crustacés et de mollusques. La plupart des espèces est hermaphrodite protogyne, ce qui signifie que tous les individus naissent femelle et que certains deviendront mâles quand la situation l’exigera. Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Epinephelinae

Mérou savon à raies d'or. Source : http://data.abuledu.org/URI/554512ac-merou-savon-a-raies-d-or

Mérou savon à raies d'or

Le nom vernaculaire « mérou » couvre une partie de l’importante famille des Serranidae. Cette famille, très diversifiée, contient des poissons d’aspect assez différent, comme les anthias, les loches ou les barbiers. La sous-famille des Epinephelinae constitue le principal groupe de mérous, et compte 22 genres et 87 espèces. On les rencontre dans les eaux tropicales et tempérées, de 1 à 300 mètres de profondeur. Ils sont tous carnivores : ils se nourrissent de poissons, de crustacés et de mollusques. La plupart des espèces est hermaphrodite protogyne, ce qui signifie que tous les individus naissent femelle et que certains deviendront mâles quand la situation l’exigera. Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Epinephelinae

Mérou savon à raies d'or. Source : http://data.abuledu.org/URI/5545138d-merou-savon-a-raies-d-or

Mérou savon à raies d'or

Le nom vernaculaire « mérou » couvre une partie de l’importante famille des Serranidae. Cette famille, très diversifiée, contient des poissons d’aspect assez différent, comme les anthias, les loches ou les barbiers. La sous-famille des Epinephelinae constitue le principal groupe de mérous, et compte 22 genres et 87 espèces. On les rencontre dans les eaux tropicales et tempérées, de 1 à 300 mètres de profondeur. Ils sont tous carnivores : ils se nourrissent de poissons, de crustacés et de mollusques. La plupart des espèces est hermaphrodite protogyne, ce qui signifie que tous les individus naissent femelle et que certains deviendront mâles quand la situation l’exigera. Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Epinephelinae