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Edo (Japon) | Photographie | Peinture | Art japonais | Artistes japonais | Estampes en couleurs japonaises | Singes | Folklore | Crabes | Contes japonais | Japonais (langue) | Écaille de tortue | Bijoux de tête | Peignes | Art edo | Coiffure -- Appareils et matériel | Arts décoratifs (Époque d'Edo) -- Japon (1600-1868) | Objets d'art japonais | École ukiyo-e | Points d'acupuncture | ...
Arquebuses japonaises de l'ère Edo. Source : http://data.abuledu.org/URI/573cda62-arquebuses-japonaises-de-l-ere-edo

Arquebuses japonaises de l'ère Edo

Arquebuses japonaises de l'ère Edo.

Casque japonais au petit pois. Source : http://data.abuledu.org/URI/54c129e9-casque-japonais-au-petit-pois

Casque japonais au petit pois

Casque japonais au petit pois en laque de la première moitié du XIXème siècle (Edo).

Danseur japonais en ivoire. Source : http://data.abuledu.org/URI/52eeb7ca-danseur-japonais-en-ivoire

Danseur japonais en ivoire

Ikkosai Toun, artiste japonais du début du XIXème siècle (période Edo) : le danseur de Sambaso, en ivoire.

Le conte du crabe et du singe (1). Source : http://data.abuledu.org/URI/517ea362-le-conte-du-crabe-et-du-singe-1-

Le conte du crabe et du singe (1)

Illustration de la période Edo (1603-1868) du conte floklorique japonais, Le crabe et le singe (1).

Le conte du crabe et du singe (2). Source : http://data.abuledu.org/URI/517ea474-le-conte-du-crabe-et-du-singe-2-

Le conte du crabe et du singe (2)

Illustration de la période Edo (1603-1868) du conte floklorique japonais, Le crabe et le singe (2) : Les enfants du crabe préparent leur vengeance avec l'aide d'un usu, d'un serpent, d'une abeille, du varech (arame) et d'un couteau de cuisine.

Namazu, le poisson-chat géant. Source : http://data.abuledu.org/URI/5381b82b-namazu-le-poisson-chat-geant

Namazu, le poisson-chat géant

Le dieu japonais de l'abondance, Daikoku aidé de Takemikazuchi, dieu du tonnerre chevauchant le poisson-chat géant Namaku, redistribue la fortune des riches : "kawaraban", pamphlet gravé dans le bois. Titre : "Jishin yoke no uta", chanson préventive contre les tremblements de terre. Poème de style kyōka : "Minakami no tsuge ni inochi wo tasukarite roku bu no uchini iruzo ureshiki" = Grâce au message du dieu des mers, nous sommes les six rescapés.

Peigne japonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/53a88f03-peigne-japonais

Peigne japonais

Peigne japonais en écaille de tortue de l'époque Edo, Musée d'Honolulu.

Peigne japonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/53a88fab-peigne-japonais

Peigne japonais

Peigne japonais en écaille de tortue de l'époque Edo, Musée d'Honolulu.

53 stations des chats de Tokaido. Source : http://data.abuledu.org/URI/513f1133-53-stations-des-chats-de-tokaido

53 stations des chats de Tokaido

53 chats pour illustrer les 53 stations de la route japonaise reliant au XVIII° siècle Tokyo et Kyoto, par Utagawa Kuniyoshi (1797-1861). La route du Tōkaidō, reliant Edo à Kyoto en passant par le littoral, représente une distance totale de 500 kilomètres environ, que les voyageurs du XVIIe siècle mettent alors pratiquement deux semaines à parcourir, à pied la plupart du temps, mais aussi à cheval, en logette de bambous tressés (kago) ou en palanquin (norimono), selon l'aisance plus ou moins grande des voyageurs.

Acupuncture et poupée japonaise. Source : http://data.abuledu.org/URI/5937015f-acupuncture-et-poupee-japonaise

Acupuncture et poupée japonaise

Acupuncture et poupée japonaise, National Museum of Nature and Science, Tokyo, Japon.

Canari et pivoines. Source : http://data.abuledu.org/URI/5360ecd5-canari-et-pivoines

Canari et pivoines

Canari et pivoines, 1833, par Hokusai Katsushika (1760-1849) : L'art japonais de l’ukiyo-e "Images du monde flottant ou souffrant" est né dans la ville d'Edo (aujourd'hui Tokyo) durant l'époque de Tokugawa ou d'Edo (1600-1868), une époque relativement paisible durant laquelle les shoguns Tokugawa gouvernaient le Japon et ont fait d'Edo le siège du pouvoir. La tradition d'estampes et de peintures sur bois ukiyo-e s'est poursuivie jusqu'au XXe siècle. Cette estampe, réalisée en 1833 ou 1834, fait partie de la série "Petites fleurs" de Katsushika Hokusai. Sa couleur de fond et sa taille sont inhabituelles. D'autres exemples de cette estampe, que l'on trouve au British Museum et au Musée national de Tokyo, ont un fond bleu intense. Elle est similaire à une estampe de la collection James A. Michener de l'Académie des Arts d’Honolulu et, comme celle-ci, porte des cachets du censeur et de l'artiste.

Horloge perpétuelle japonaise. Source : http://data.abuledu.org/URI/529b124d-horloge-perpetuelle-japonaise

Horloge perpétuelle japonaise

Horloge perpétuelle japonaise dite Horloge Millénaire, de Tanaka Hisashige (1799-1881) au Musée national de la Nature et des Sciences de Tokyo. Tanaka Hisashige (1799-1881) était un ingénieur et un inventeur japonais durant de la période Edo et l'ère Meiji. Il est l'un des fondateurs de ce qui est plus tard devenu Toshiba Corporation. Il était surnommé le « Thomas Edison du Japon » ou Karakuri Giemon.

Kokeshi japonaise. Source : http://data.abuledu.org/URI/52016ea6-kokeshi-japonaise

Kokeshi japonaise

Kokeshi, poupée japonaise traditionnelle. Les kokeshi ont été créées il y a 150 ans, par les kiji-shi (en japonais : artisans du bois) dans le nord de Honshū (la plus grande île du Japon), dans la région de Tōhoku. Leur origine remonte à la fin de l'ère Edo, leur fabrication est artisanale. Les kokeshi sont peintes et décorées de fleurs, puis recouvertes de laque. Elles sont à l'origine fabriquées en bois (cerisier, poirier, cornus ou érable). Afin de pouvoir créer une poupée kokeshi, le bois doit être séché pendant 1 an à 5 ans, pour qu'il soit apte à la sculpture. « Il y a bien longtemps, lorsque les gens de son village vivaient encore dans une très grande misère, il pouvait arriver que les femmes tuent leurs propres enfants, juste après la naissance, pour ne pas les condamner à mourir de faim. Pour chaque enfant ainsi tué, on fabriquait une kokeshi, ce qui veut dire 'faire disparaître l'enfant', afin que les gens n'oublient jamais que c'est grâce au sacrifice de ces enfants qu'ils avaient survécu. »