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Cycle de l'eau. Source : http://data.abuledu.org/URI/5279567e-cycle-de-l-eau

Cycle de l'eau

Le cycle naturel de l’eau.

Exposition sur l'érosion côtière en Aquitaine. Source : http://data.abuledu.org/URI/55c138e5-exposition-sur-l-erosion-cotiere-en-aquitaine

Exposition sur l'érosion côtière en Aquitaine

Exposition sur l'érosion côtière en Aquitaine, Biscarrosse-40, juillet 2015 : érosion de côte rocheuse.

Alose. Source : http://data.abuledu.org/URI/52013ef9-alose

Alose

Alose (Alosa fallax) : L'alose est un poisson anadrome de la famille des Clupeidae, qui comprend également la sardine et le hareng, notamment. On en trouve dans les eaux littorales et continentales des façades de la Manche et de l’Atlantique ainsi que dans les estuaires de la façade atlantique, particulièrement celui de la Gironde. D'avril à juin, l'alose remonte le cours des fleuves côtiers et de leurs affluents de la façade atlantique française pour s'y reproduire. La ponte est dite « active ». La durée de ponte s’étend de 23 heures à 5 heures du matin, mais la période de plus forte activité se situe entre 1 heure et 3 heures du matin, quand la température de l’eau atteint au moins 18°C. Le mâle et la femelle remontent en surface, se positionnent face à face et tournent sur eux-mêmes en frappant violemment la surface de l’eau avec leur nageoire caudale, créant beaucoup de bruit et de remous. C’est pendant cette phase, appelée « bull », que la femelle expulse ses œufs et que le mâle les féconde. Le comptage acoustique des bulls est utilisé pour évaluer l'intensité de la reproduction et son évolution dans le temps.

Circulation thermohaline. Source : http://data.abuledu.org/URI/518be355-circulation-termohaline

Circulation thermohaline

La circulation thermohaline mondiale correspond au couplage de plusieurs cellules de convections océaniques et participe à la redistribution de la chaleur. La circulation thermohaline est la circulation permanente à grande échelle de l'eau des océans, engendrée par des écarts de température et de salinité des masses d'eau. La salinité et la température ont en effet un impact sur la densité de l'eau de mer. Les eaux refroidies et salées plongent au niveau des hautes latitudes (Norvège, Groenland, etc.) et descendent vers le sud, à des profondeurs comprises entre 1 et 3 km. Elles sont alors réchauffées sous les Tropiques, et remontent à la surface, où elles se refroidissent à nouveau, et ainsi de suite au travers de courants à forte composante latitudinale transverse. On estime qu'une molécule d'eau fait le circuit entier en environ 1 000/1 500 ans.

Classification des végétaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e6b9e1-classification-des-vegetaux

Classification des végétaux

Types biologiques de Raunkiær : 1. Phanérophyte 2-3. Chamaephytes 4. Hémicryptophyte 5-9. Cryptophytes 5-6. Géophytes 7. Hélophyte 8-9. Hydrophytes. (thérophyte, aérophyte ou épiphyte non montrés). Christen Christiansen Raunkiær (1860–1938) est un botaniste danois, connu surtout pour son système de classification écologique des plantes, le système de Raunkiær, classification fondée sur la position hivernale des bourgeons.Persistance d'une partie de l'appareil végétatif pendant la mauvaise saison : Phanérophytes (du grec phaneros : apparent ; phuton : plante) : bourgeons dormants aériens à plus de 50 cm de la surface du sol. Plante affrontant l'hiver en exposant à ses rigueurs des tiges porteuses de bourgeons (ex. le pin, le hêtre, l'abricotier, le noisetier) Chamaephytes (du grec khamai : à terre ; phuton : plante) : bourgeons dormants aériens à moins de 50 cm de la surface du sol. On distingue les chamaephytes frutescents (buissonnants, plus ou moins dressés) et les chamaephytes herbacés (beaucoup plus proches du sol) (ex. le myrtiller). Hémicryptophytes (du grec hemi : à demi ; kryptos : caché ; phuton : plante) : bourgeons dormants à la surface du sol. À la « belle saison », un hémicryptophyte développe une touffe de pousses s'il est cespiteux, une rosette de feuilles, plus ou moins prostrées s'il est à rosettes, une tige érigée qui prend appui sur des supports variés s'il est grimpant (ex. la pâquerette est un hémicryptophyte à rosette). Géophytes (du grec gê : terre, phuton : plante) ou cryptophytes : bourgeons dormants sous la surface du sol (distinguer selon la nature de l'organe de conservation souterrain : géophyte à bulbe, à tubercule, à rhizome) (ex. Crocus sativus). Hydrophytes : bourgeons dormants sous l'eau, feuilles immergées. Hélophytes (du grec halos : sel, phuton : plante) : bourgeons dormants sous l'eau, feuilles émergées au moins en partie. Végétaux capables de prospérer en milieux saumâtres et eaux douces. (bords de mer, estuaires, chotts, marais, rivière). (ex. salicornes, spartine).

Descente d'eau de pluie verticale en zinc. Source : http://data.abuledu.org/URI/5131afd5-descente-d-eau-de-pluie-verticale-en-zinc

Descente d'eau de pluie verticale en zinc

Descente d'eau de pluie en zinc, verticale, fixée par des colliers. Une Descente d'eau pluviale ou Tuyau de descente (D.E.P. ou T.D.) est un tuyau de section circulaire ou parallélépipédique, le plus souvent vertical qui relie la naissance d'une gouttière ou un chéneau à un réseau de collecte des eaux pluviales. Une descente est souvent en PVC, en zinc (ou un alliage de zinc), ou en cuivre. Le diamètre d'un tuyau de descente est fonction de la superficie de toiture et donc la quantité d'eau qu'il faut drainer. On compte en général 1 cm² de surface horizontale de descente par m² de surface de toiture. Le tuyau de descente est fixé à la façade par des attaches adaptées appelées « collier » ou « bague ». Pour éviter le passage des feuilles et brindilles qui ne manquent pas de se déposer dans la corniche le tuyau de descente est souvent surmonté d'une crépine qui filtre les eaux pluviales.

Nymphéa blanc. Source : http://data.abuledu.org/URI/50578d14-nymphea-blanc

Nymphéa blanc

Planche botanique de Nymphéa blanc (Nymphaea alba), Atlas des Plantes de France, 1891. Plante aquatique pouvant atteindre deux mètres de haut, qui se développe dans les eaux dormantes, les bras morts des rivières et sur les lacs. À partir d'une forte souche, enracinée dans le fond, poussent les longs pétioles des feuilles dont les limbes flottent à la surface. Le Rapport de 1990 sur les rectifications orthographiques (Liste H) préconise de revenir à la graphie "Nénufar".

Panorama du lac Okanaga. Source : http://data.abuledu.org/URI/529a2ef0-panorama-du-lac-okanaga

Panorama du lac Okanaga

Panorama à 300° sur le lac Okanagan, Colombie-Britannique au Canada. Ce lac s’est formé il y a environ 10 000 ans après la dernière période glaciaire lors du retrait de l'inlandsis qui recouvrait la région. C’est un vestige d’un grand lac postglaciaire, le lac Penticton. Il s'agit d'un lac méromictique, c'est-à-dire que les eaux de surface et de profondeur sont très longues à se mélanger.

Plage à posidonies de Macinaggio. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d207a1-plage-a-posidonies-de-macinaggio

Plage à posidonies de Macinaggio

Macinaggio, marine de Rogliano, plage avec dépot de posidonies. Tirant son nom du dieu de la mer grec Poséidon, elle joue plusieurs rôles fondamentaux pour le milieu marin littoral. Les herbiers qu'elle forme sont des lieux de frayère et de nurserie pour de nombreuses espèces animales. Elle constitue également une source de nourriture, parfois importante, pour certaines espèces herbivores (oursins, saupes, etc.). Une partie de la production de feuilles d'un herbier va se retrouver exportée, sous forme de litière, vers d'autres écosystèmes éloignés (plage, canyon sous-marin,...) où elle constituera une source de carbone importante pour le fonctionnement de ces écosystèmes. Elle permet de fixer les fonds marins grâce à l'entrelacement de ses rhizomes. Ceux-ci s'empilent d'une année sur l'autre, contribuant à augmenter progressivement le niveau du fond (environ un mètre par siècle. Elle « piège » des particules en suspension et du sédiment, contribuant ainsi au maintien de la clarté des eaux. Les herbiers à Posidonia oceanica sont considérés comme des formations essentielles dans le stockage du carbone atmosphérique et l'oxygénation du milieu. Lorsque les herbiers de posidonie se développent au fond de criques de très faible profondeur, les plantes affleurent la surface et peuvent créer un récif barrière, par analogie aux récifs coralliens, contribuant à la formation d'un biotope particulier.

Pleurodeles. Source : http://data.abuledu.org/URI/5056eb0a-pleurodeles

Pleurodeles

Pleurodeles waltl, le pleurodèle de Waltl, est une espèce d'urodèles de la famille des Salamandridae. Il vit dans la péninsule ibérique et au Maroc. C'est le plus grand triton d'Europe : il peut atteindre 30 cm en liberté, et 20 cm en captivité. Sa peau verruqueuse est brune, son ventre beige à pois noirs. Sa longue queue représente environ la moitié de sa longueur totale. En cas d'attaque, il est capable de faire saillir ses côtes hors de son corps. Presque exclusivement aquatique, il préfère les eaux calmes et propres. Il est doté de poumons, et remonte régulièrement en surface. C'est un animal diurne, actif à des températures allant de 15 à 25 °C. Il hiberne entre 5 et 10 °C, et peut également estiver en cas de manque d'eau. Sa longévité atteint 20 ans.

Teneur en nitrate des eaux de surface. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b7ed89-teneur-en-nitrate-des-eaux-de-surface

Teneur en nitrate des eaux de surface

Teneur moyenne en nitrate des eaux de surface. Données issues du World Ocean Atlas 2005. Taux de Nitrate en mmol N m-3.

Thon. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b4cfec-thon

Thon

Le thon rouge du Nord (Thunnus thynnus), aussi appelé thon rouge de l'Atlantique ou « scombres », ou thon rouge de Méditerranée plus au sud, est l'une des trois espèces de thon rouge avec le thon rouge du Pacifique (Thunnus orientalis) et le thon rouge du Sud (Thunnus maccoyii). Il est rapide, pouvant atteindre 20 à 30 km/h, et de grande taille, puisque les spécimens les plus grands mesurent plus de 3 m et pèsent plus de 650 kg. Grâce à son sang chaud, il est capable de nager très rapidement et de chasser dans des eaux très froides. Le thon rouge vit principalement entre deux eaux, c'est-à-dire entre la surface de l'eau et jusqu'à 500 à 1 000 m de profondeur, ce qui lui vaut d'être qualifié de «pélagique».