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Dessins et plans | Photographie | Physique | Transport | Érosion | Mécanique | Peinture | Temps (météorologie) | Météorologie | Outils | Transports de marchandises | Brouettes | Dix-neuvième siècle | Vérins | Helix aspersa | Escargot petit-gris | Radars météorologiques | Tectonique des plaques | Géologie | Force motrice | ...
Déplacement d'escargot. Source : http://data.abuledu.org/URI/538ba025-deplacement-d-escargot

Déplacement d'escargot

Escargot (Helix aspersa) laissant une traînée de mucus.

Ascenseur. Source : http://data.abuledu.org/URI/51af4961-ascenseur

Ascenseur

Un ascenseur est un dispositif mobile ou semi-mobile assurant le déplacement des personnes (et des objets) en hauteur sur des niveaux définis(voir hors-structure) d'une construction.

Avertisseur électromagnétique. Source : http://data.abuledu.org/URI/53024e33-avertisseur-electromagnetique

Avertisseur électromagnétique

Représentation vectorielle du fonctionnement d'un klaxon : A l'établissement du courant, celui-ci traverse le rupteur et passe dans l'électroaimant. Ceci crée un champ électromagnétique qui fait se déplacer le plongeur (les deux parties métalliques s'attirent). Le déplacement du plongeur ouvre le cicruit au niveau du rupteur. Celui ci se referme par attraction électrique et entraîne le plongeur avec lui, redémarrant un cycle. I-Première partie du mouvement (juste après la fermeture de l'interrupteur), II-Seconde partie du mouvement, a) Passage du courant, b) Pas de passage du courant, c) Champ électromagnetique, d) Mouvement dû à l'attraction, e) Mouvements secondaires.

Boule à plasma. Source : http://data.abuledu.org/URI/54a2cd5d-boule-a-plasma-

Boule à plasma

Lampe à plasma au musée des techniques de Vienne en Autriche. Lorsque l'on touche la sphère, on accroît localement le couplage capacitif de l’environnement à la sphère de verre, faisant ainsi chuter l'impédance du système à l'endroit du contact. Il en résulte que le courant (de déplacement et de conduction) est plus élevé et donne lieu à une décharge électrique plus intense. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Lampe_%C3%A0_plasma

Bourrasques de neige sur radar. Source : http://data.abuledu.org/URI/5232f38d-bourrasques-de-neige-sur-radar

Bourrasques de neige sur radar

Échos radar lors du passage d'une ligne de bourrasques de neige frontale dans la zone de couverture du radar NEXRAD de Boston en janvier 2004 : Suite de quatre images, de gauche à droite et de haut en bas, qui montrent le déplacement radar d'une ligne de grains de neige (bleu-vert) se dirigeant vers Boston.

Brouette. Source : http://data.abuledu.org/URI/51de57c7-brouette

Brouette

Brouette. C’est l’outil ergonomique pour le transport de matériaux ou d’outils sur des terrains qui peuvent être accidentés mais nécessairement peu inclinés. Indispensable sur les chantiers, dans les fermes, ou dans les jardins, elle facilite le déplacement de charges qui peuvent être lourdes ou simplement encombrantes. Le principe du levier associé à la position du centre de gravité vers l’aplomb du point d’appui (la roue), lui confère une grande efficacité.

Brouette. Source : http://data.abuledu.org/URI/51de594d-brouette

Brouette

La brouette se compose de cinq sous-ensembles : 1) le châssis : constitué de deux brancards solidarisés, fonction support de l’ensemble ; 2) les poignées : fonction préhension, commande et transmission de l’énergie : c’est l’interface utilisateur ; 3) le porte-charge : contenant du transportable, c’est la fonction outil (on appelle fonction outil la fonction du sous-ensemble qui en dernière analyse assure la fonction de l’ensemble), réalisée par un simple plateau plus ou moins équipé de parois, une benne (nommée caisse, cuve, coffre, etc.) ou un équipement spécifique ; 4) le système roulant : permet le déplacement par roulement (frottements minimum) en supportant une partie de la charge ; 5) le pied (paire ou barre) : assure avec la roue, une base polygonale d’appui stable, pour les périodes d’utilisations statiques (chargement, par exemple).

Cadran solaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/51924c79-cadran-solaire

Cadran solaire

Un cadran solaire est un instrument silencieux et immobile qui indique le temps solaire par le déplacement de l'ombre d'un objet de forme variable, le gnomon ou le style, sur une surface, la table du cadran, associé à un ensemble de graduations tracées sur cette surface. La table est généralement plane mais peut aussi être concave, convexe, sphérique, cylindrique, etc. Le gnomon indique généralement l'heure par la longueur ou la direction de son ombre.

Carré magique selon Moschopoulos. Source : http://data.abuledu.org/URI/52f56bce-carre-magique-selon-moschopoulos

Carré magique selon Moschopoulos

Un carré magique d'ordre 5 construit selon la méthode de Moschopoulos. La méthode de construction proposée par le Byzantin Manuel Moschopoulos, dite « parcours en cavalier d'échecs », se représente par le vecteur déplacement (1, 2) et le vecteur collision (1 + 1, 2 - 2) = (2, 0).

Carte de déplacement du robot Hector. Source : http://data.abuledu.org/URI/529b2b97-carte-de-deplacement-du-robot-hector

Carte de déplacement du robot Hector

Cartographie du déplacement du robot sauveteur Hector lors du concours de Darmstadt en 2010.

Carte des plaques tectoniques. Source : http://data.abuledu.org/URI/5094dba9-carte-des-plaques-tectoniques

Carte des plaques tectoniques

Carte détaillée en français des plaques tectoniques avec leurs vecteurs de déplacement. Source : Carte du Prof. Peter Bird.

Cas particuliers du travail d'une force. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b0c423-cas-particuliers-du-travail-d-une-force

Cas particuliers du travail d'une force

Trois cas particuliers du travail d'une force : force motrice, force résistante, force à travail nul. Considérons une force vec{F} constante s'appliquant sur un objet se déplaçant sur une trajectoire rectiligne (Il n'y a pas d'autres forces s'exerçant sur l'objet). Un certain nombre de cas particuliers permettent d'illustrer la notion de travail d'une force : Si la force vec{F} est parallèle au déplacement vec{u} et orientée dans le même sens, le travail W = vec{F}cdotvec{u} fourni par la force est positif : d'après le théorème de l’énergie cinétique, la force a augmenté l'énergie cinétique du système, celui-ci se déplace donc plus rapidement. Une telle force est parfois dénommée force motrice. Si la force vec{F} est parallèle au déplacement vec{u} mais orientée dans le sens opposé, le travail W = vec{F}cdotvec{u}, fourni par la force est négatif : d'après le théorème de l’énergie cinétique, la force a diminué l'énergie cinétique du système, celui-ci se déplace donc plus lentement. On appelle parfois une telle force, une force résistante. Si la force vec{F} est perpendiculaire au déplacement vec{u}, le travail de la force est nul W = 0 : la force n'a pas modifié l'énergie cinétique du système. On peut dire plus simplement que si la force vec{F} est perpendiculaire au déplacement, elle ne modifie pas le déplacement. Ce dernier cas ne doit pas laisser penser qu'une force dont le travail est nul n'a aucun effet sur un système. Les forces dont le travail est nul ne modifient pas l'énergie cinétique du solide. En particulier, elles ne modifient pas la norme de la vitesse ; elles peuvent cependant en modifier la direction.

Chèvrefeuille. Source : http://data.abuledu.org/URI/5050c298-chevrefeuille

Chèvrefeuille

Planche botanique du chèvrefeuille (Lonicera caprifolium), Atlas des Plantes de France, 1891. Comme les autres lianes, il offre un habitat supplémentaire aux oiseaux, et facilite le déplacement dans les arbres et buissons de certains insectes et petits mammifères. Ses fleurs sont surtout liées à divers espèces d'insectes de l'environnement nocturne, souvent à longue trompe (sphynx du chèvrefeuille).

Concorde : transfert de carburant. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d5d8f7-concorde-transfert-de-carburant

Concorde : transfert de carburant

Le transfert de carburant : A : décollage, B : croisière, C : retour en subsonique. En plus de l’alimentation des réacteurs, le carburant remplit une autre fonction : il est utilisé pour le centrage. Après le passage du mur du son, l’équilibre aérodynamique est modifié, le centre de poussée recule. Pour compenser cet effet, le centre de gravité de l’appareil est déplacé vers l'arrière. Sur Concorde, la seule masse déplaçable est le carburant. Le transfert du carburant se fait de l’avant vers l’arrière pour le vol supersonique et le contraire pour le retour en subsonique comme sur le Dassault Mirage IV. Trois réservoirs situés dans le fuselage, deux à l’avant et un à l’arrière servaient principalement à cette fonction. Le transfert s’effectue par deux conduits dits « main gallery » entre les trois réservoirs. Pendant ces transferts, le déplacement du carburant est entendu en cabine. À Mach 0,93, transfert vers l’arrière du carburant, aux environs de Mach 1,2, début du transfert vers l’avant. Pendant l'avitaillement, la séquence de chargement du carburant permet de ne pas « poser » l’avion sur la roulette de queue. Une table des volumes des réservoirs permet de connaître la répartition du carburant. Sur cet avion, le carburant est également utilisé pour le refroidissement de l’air de conditionnement de la cabine.

Dérailleur de bicylette. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d58fc0-derailleur-de-bicylette

Dérailleur de bicylette

Dérailleur de bicylette : Un dérailleur est un système qui permet le déplacement de la chaîne d’un vélo, pour en changer le développement par démultiplication ou multiplication. Il est généralement commandé par câble. Le dérailleur arrière comporte aussi un tendeur de chaîne, chargé d'adapter sa longueur au diamètre du pignon choisi. Le dérailleur avant se charge de faire changer la chaîne de plateau pour choisir le braquet le plus avantageux. Le nombre théorique des vitesses d’un vélo est le produit du nombre de plateaux du pédalier par le nombre de pignons du moyeu arrière. Par exemple, un vélo avec 3 plateaux et 7 pignons aura 21 vitesses. Le dérailleur arrière déplace la chaîne sur le pignon sélectionné. Si la plupart des dérailleurs offrent toujours l’option de changer de vitesse en mode friction, les dérailleurs indexés ou à commande automatique sont la norme. Les dérailleurs sont d’utilisation simple, mais doivent être réglés très précisément : la course latérale de la fourchette du dérailleur doit être limitée afin que la chaîne ne saute pas. Le dérailleur arrière comporte deux roulettes ou galets qui assurent simultanément la tension et le guidage de la chaîne lors du changement de vitesse. Le galet du haut est identifié par l'inscription « Puley » tandis que celui du bas comporte la mention « string ».

Diaclases en Écosse. Source : http://data.abuledu.org/URI/50956a21-diaclases-en-ecosse

Diaclases en Écosse

Pierres de lauze à St Mary's Chapel, Caithness, Écosse. Le terme de diaclase, du grec διά [dia] (par) et klasis (fracture, rupture) est utilisé pour désigner l'épisode au cours duquel une roche se fend sans que les parties disjointes s'éloignent l'une de l'autre (ne pas confondre avec la faille). Il n'y a ni déplacement (pas de rejet), ni remplissage. Ce type de fracture est souvent orienté perpendiculairement aux limites de stratification. Une diaclase peut apparaître du fait des pressions auxquelles est soumise la roche : pression lithostatique et contraintes locales liées aux mouvements. Mais en général, de faibles contraintes tectoniques sont nécessaires et les diaclases se forment facilement.

Diagrame de Minkowski. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ad7f14-diagrame-de-minkowski

Diagrame de Minkowski

Diagrame de Minkowski : représentation symétrique, avec les lignes de simultanéité pour chaque observateur. Il existe une représentation symétrique du diagramme de Minkowski (appelée également diagramme de Loedel d'après le physicien Enrique Loedel Palumbo qui a introduit le premier cette représentation symétrique) où aucun référentiel n'est privilégié. Les deux systèmes d'axes sont représentés symétriquement par rapport aux directions orthogonales, et sont séparés par un angle \beta tel que : \sin(\beta) = \frac{v}{c}. Contrairement à la représentation asymétrique, l'échelle et la graduation des axes des deux référentiels est la même, ce qui facilite l'interprétation des figures. Cette représentation apparaît plus proche de l'esprit de la relativité où aucun référentiel n'est privilégié : en effet, dans la représentation asymétrique, le fait de prendre les axes Ot et Ox orthogonaux est arbitraire, alors que dans la représentation symétrique, l'orthogonalité de Ot avec Ox' et de Ot' avec Ox résulte des symétries, et donne immédiatement l'invariance de la distance de Minkowski entre deux événements. Par définition, tous les événements situés sur l'axe (0,x) sont simultanés (possèdent le même temps t = 0). En conséquence, toutes les droites parallèles à (O,x) sont des lignes de simultanéité de l'observateur situé dans le référentiel (x,t). De même, toutes les droites parallèles à (O,x') sont les lignes de simultanéité pour l'observateur situé dans le référentiel (x',t'). Tous les événements situés sur ces droites se passent "au même instant" pour un observateur donné. Cette simultanéité de 2 événements distants spatialement et qui dépendent du référentiel correspond bien à celle proposée par Einstein à l'aide de signaux lumineux. Le diagramme de Minkowski illustre la relativité de la simultanéité. La théorie de la relativité restreinte stipule en effet que deux événements peuvent être vus comme simultanés pour un observateur, et non simultanés pour un autre en déplacement par rapport au premier. Il est même possible, quand les deux événements sont séparés par un intervalle de genre espace que deux événements soient vus dans un certain ordre par un observateur, et dans l'ordre inverse par un autre.

Effet Doppler-Fizeau. Source : http://data.abuledu.org/URI/5232fb97-effet-doppler-fizeau

Effet Doppler-Fizeau

Effet Doppler-Fizeau : ondes émises par une source se déplaçant de la droite vers la gauche. La fréquence est plus élevée à gauche (à l'avant de la source) qu'à droite. Méthode pour mesurer la vitesse de déplacement d'une cible : on peut noter la variation de fréquence de l'onde émise par rapport à celle reçue lorsqu'on émet continuellement à une fréquence fixe. Il s'agit là de l'utilisation de l'Effet Doppler-Fizeau. Comme on ne fait pas varier la fréquence émise, on ne peut cependant pas définir la position de la cible de cette manière. En plus, on n'a que la composante radiale au radar de la vitesse. Par exemple, une cible se déplaçant perpendiculaire au faisceau radar ne causera pas de changement de fréquence alors que la même cible se déplaçant vers le radar à la même vitesse provoquera un changement maximal. La plus courante des méthodes est d'utiliser une variante de l'effet Doppler avec un radar à impulsions. Dans ce cas, on note la différence de phase entre les impulsions successives revenant de la cible. Cette méthode permet de déterminer la vitesse radiale ET la position de la cible.

Érosion éolienne et hydrique dans l'île Maurice. Source : http://data.abuledu.org/URI/509552dc-erosion-eolienne-et-hydrique-dans-l-ile-maurice

Érosion éolienne et hydrique dans l'île Maurice

Phénomène d'érosion éolienne et hydrique sur sol dévégétalisé, Ile Maurice (Colline, Chamarel). Dans la zone intertropicale, l'altération des roches feldspathiques par lessivage permet la formation de latérites, roches rouges ou brunes constituées d'hydroxydes d'aluminium et de fer et qui forment une véritable cuirasse à la surface des plateaux des régions chaudes et humides. L'érosion éolienne attaque les roches en enlevant des particules (déflation,abrasion) ou en polissant la surface. Elle est d'autant plus efficace que les obstacles sont inexistants et que le vent est puissant, régulier et chargé de poussières. Elle conduit à une dégradation environnementale sévère par l’appauvrissement des sols et le déplacement de volumes élevés de particules par le vent. L’érosion éolienne est le principal facteur physique d’épuisement des terres agricoles et, par l’ensablement, constitue une des gênes majeures dans les aires urbaines et oasiennes des écosystèmes secs.

Escargot en déplacement. Source : http://data.abuledu.org/URI/52def6e9-escargot-en-deplacement

Escargot en déplacement

Escargot petit-gris (Helix aspersa) en déplacement : les yeux au bout de deux longs pédoncules, familièrement appelés cornes, rétractiles, sont visibles ; mais la vue est un sens peu utilisé par les escargots. Ils possèdent surtout un bulbe olfactif sous l'œil et la deuxième paire de tentacules est un organe olfactif et tactile (épithélium) qui est en revanche très utilisé. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Escargot

Expérience de Fizeau-Mascart. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a7922f-fizeau-mascart1-png

Expérience de Fizeau-Mascart

Schéma expérimental de Fizeau-Mascart (1851) : de l'eau circule en sens inverse dans les tuyaux parcourus par les rayons en interférence. La différence de vitesse de la lumière dans les deux sens de parcours de l’eau est mise en évidence par un déplacement des franges.

Failles transformantes. Source : http://data.abuledu.org/URI/509ebea1-failles-transformantes

Failles transformantes

Schéma de fonctionnement des failles transformantes (en rouge) et de leur mouvement (en bleu). Les failles transformantes sont des limites de plaque lithosphérique où il n'y a ni subduction ni création de lithosphère (limite conservative). Elles sont situées en bordure de plaques tectoniques et découpent les dorsales transversalement. La faille transformante agit selon un mouvement de coulissage. Les failles transformantes sont des arcs de cercle car tous les mouvements de plaques lithosphériques sont des rotations (conformément au théorème d'Euler) et ce sont des coulissements entre deux plaques lithosphériques.Tous les 200 à 300 km, ces failles décalent l'axe de la dorsale. Seules les zones qui séparent deux axes subissent une sismicité importante, en raison du déplacement en sens contraire de leur portion de lithosphère.

Force de Coriolis. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c716b1-force-de-cariolis

Force de Coriolis

Force de Coriolis : Diagramme qui montre comment les vents sont déviés pour donner une circulation anti-horaire dans l'hémisphère nord autour d'une dépression. La force de gradient de pression est en bleu, celle de Coriolis en rouge et le déplacement en noir.

Forces non censervatives : Frottements. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cd870b-forces-non-censervatives-frottements

Forces non censervatives : Frottements

En physique, le frottement (ou friction) est une interaction qui s'oppose à la persistance d'un mouvement relatif entre deux systèmes en contact. Le frottement peut être étudié au même titre que les autres types de force. Son action est caractérisée par une norme et une orientation, ce qui en fait un vecteur. L'orientation de la force de frottement agit en sens inverse du déplacement du corps qui subit une autre force. En première approximation, la vitesse à laquelle deux surfaces frottent l'une sur l'autre n’influence pas l'intensité de la force de friction qui s'oppose à leur mouvement relatif. Lorsqu'une force est appliquée sur un objet au repos, la composante parallèle à la surface de la force est compensée par la force de frottement statique jusqu'à la valeur maximale de cette dernière. Le frottement vec{F} s'oppose au mouvement relatif entre les deux corps. Le frottement statique est une force qui tend à garder un corps en état statique. Elle dépend du poids apparent du corps et du coefficient de frottement statique, évalué en fonction de la nature des surfaces en contact. Le frottement cinétique survient lorsque deux surfaces glissent l'une contre l'autre. L'importance du frottement cinétique varie en fonction du coefficient de frottement cinétique qui, tout comme le coefficient de frottement statique, varie selon le type de matériaux en contact, et le poids apparent du corps en mouvement.

Formation de pluie par convection. Source : http://data.abuledu.org/URI/518bdbfd-formation-de-pluie-par-convection

Formation de pluie par convection

Simulation de formation de nuages de convection. La convection est un mode de transfert qui implique un déplacement de matière dans le milieu, par opposition à la conduction thermique ou à la diffusion de la matière. Ce phénomène physique très commun se produit dans de nombreux systèmes (casserole, atmosphère, manteau terrestre, étoile...) sous des formes diverses.

Gravitation d'après Le Sage. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c3c4ec-gravitation-d-apres-le-sage

Gravitation d'après Le Sage

Lignes de champ de gravité d'une masse ponctuelle, d'après Le Sage. Article "Gravité" de l’Encyclopédie de Diderot et D’Alembert. La force de la gravité est le résultat du déplacement de particules minuscules (corpuscules) à grande vitesse dans toutes les directions dans tout l'univers. L'intensité du flux des particules est la même dans toutes les directions, et donc un objet isolé A est bombardé avec la même intensité de tous côtés.

Horloge atomique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b096dd-focs-1-jpg

Horloge atomique

Horloge atomique FOCS-1 en Suisse (Bureau fédéral suisse de métrologie METAS à Berne). La seconde est la durée de 9 192 631 770 périodes de la radiation correspondant à la transition entre les niveaux hyperfins F=3 et F=4 de l’état fondamental 6S½ de l’atome de césium 133. La seconde, étalon de mesure du temps, est ainsi un multiple de la période de l’onde émise par un atome de césium 133 lorsqu’un de ses électrons change de niveau d’énergie. On est ainsi passé de définitions, en quelque sorte descendantes, dans lesquelles la seconde résultait de la division d’un intervalle de durée connue en plus petits intervalles, à une définition ascendante où la seconde est multiple d'un intervalle plus petit. Lors de sa session de 1997, le Comité international a confirmé que Cette définition se réfère à un atome de césium au repos, à une température de 0 K. Cette dernière précision souligne le fait qu’à 300 K, la transition en question subit, par rapport à sa valeur théorique, un déplacement en fréquence dû aux effets de rayonnement du corps noir. Cette correction a été apportée aux étalons primaires de fréquence et donc au TAI à partir de 1997, quand elle a cessé d’être négligeable par rapport aux autres sources d’incertitude. On dispose aujourd’hui d’une exactitude allant jusqu’à la 14e décimale (10-14). L’exactitude et la stabilité de l’échelle dite du Temps atomique international (TAI) obtenue principalement à partir d’horloges atomiques à jet de césium sont environ 100 000 fois supérieures à celles du temps des éphémérides. C’est d’ailleurs l’unité du SI la plus précisément connue.

La famille Raton, conte de fées. Source : http://data.abuledu.org/URI/5204a980-la-famille-raton-conte-de-fees

La famille Raton, conte de fées

La famille Raton, conte de fées, chapitre II, première partie (595 mots). La Famille Raton est un conte philosophique long de Jules Verne (1828-1905), écrit en 1886. Lors de son déplacement en Belgique, Verne vint lire cette nouvelle à Liège, le 25 novembre 1887. Elle fut éditée pour la première fois en janvier 1891 dans le Figaro illustré, avec un texte abrégé, puis reprise dans le recueil Hier et demain en 1910, quelque peu remaniée par Michel Verne.

La fente en escrime. Source : http://data.abuledu.org/URI/534018ae-la-fente-en-escrime

La fente en escrime

Les trois principaux déplacements, appelés fondamentaux en escrime, sont la marche, la retraite et la fente. La fente (ce n'est pas un déplacement classique mais plutôt une amorce offensive) permet de « fondre » sur l'adversaire d'abord en allongeant son bras puis en relevant son pied avant (l'adversaire peut voir le dessous de soulier durant cette étape) et en avançant celui-ci d'environ 90 centimètres en poussant le plus fortement possible de la jambe arrière. Le genou avant doit demeurer aligné avec le pied (s'il est plus avancé il y a déséquilibre). Cette action de l'allongement du bras suivi de la fente est appelé développement. Correctement exécutée, la touche s'exécute avant que le pied avant ne touche le sol à la fin de la fente. La vitesse et la puissance de ce mouvement en font une action très efficace. L'arme, si la touche est placée, prend une légère courbure que l'on appelle la flèche. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Escrime

Le krill antarctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e45ec7-le-krill-antarctique

Le krill antarctique

Photo en gros plan du krill antarctique (Euphausia superba). Le site ecoscope propose un microscope virtuel qui permet d'explorer les divers organes de ce krill. Krill est le nom générique d’origine norvégienne de petites crevettes des eaux froides, de l'ordre des euphausiacés. Le krill est un maillon important du réseau trophique des océans, pour les zones nord et sud de la planète. On regroupe sous ce terme au minimum 85 espèces dont les adultes vivent en « essaims » gigantesques dans les couches supérieures de l'océan, les œufs et larves étant trouvés jusqu'à plus de 1 000 m de profondeur. Les essaims forment parfois des bancs de deux millions de tonnes s'étendant sur 450 km² ; estimations de quelque 650 millions de tonnes au niveau de la planète. Dans l'océan austral, le krill antarctique est principalement constitué d’Euphausia superba, sans courbure dorsale et possédant des yeux noirs de grande taille. Pélagique, il constitue la première source d'alimentation des cétacés à fanons (mysticètes ; dont grands rorquals et baleines franches), avec un rendement très faible pour les cétacés, puisque pour grossir de 1 kg, ils doivent en absorber 100 kg. Les baleines en mangent plusieurs tonnes par jour. Ainsi, le déplacement de ces minuscules crustacés entraîne-t-il à lui seul, la migration des géants des mers. Le krill et d'autres types de crevettes sont à l'origine de la coloration rose des flamands roses, et rose-orange de la chair du saumon sauvage. Il renferme en effet de l’astaxanthine, un caroténoïde rouge, une vitamine A anti-oxydante. Il fait l’objet d'une pêche industrielle, dont en Norvège et autour de l'Antarctique.

Mesure de la vitesse de la lumière par Foucault. Source : http://data.abuledu.org/URI/50aa9fd1-mesure-de-la-vitesse-de-la-lumiere-par-foucault

Mesure de la vitesse de la lumière par Foucault

Appareillage utilisé par Foucault avec miroir tournant pour mesurer la vitesse de la lumière : en bas à gauche, la lumière est réfléchie par un miroir tournant (à gauche) en direction d'un miroir fixe (en haut) ; à droite, la lumière réfléchie en provenance du miroir stationnaire rebondit sur le miroir tournant qui a avancé d'un angle θ pendant le déplacement de la lumière. Le télescope situé à un angle 2θ de la source récupère le rayon réfléchi par le miroir tournant. Vers 1848, Fizeau et Foucault se lancent dans la mise au point d'expériences visant à mesure la vitesse de la lumière sur Terre, et à comparer la vitesse de la lumière dans l'air et dans l'eau.

Mouvement de précession de la Terre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b09e32-mouvement-de-precession-de-la-terre

Mouvement de précession de la Terre

La précession des équinoxes est le lent changement de direction de l'axe de rotation de la Terre. Ce changement de direction est provoqué par le couple qu'exercent les forces de marées de la Lune et du Soleil sur le renflement équatorial de la Terre. Ces forces tendent à amener l'excès de masse présent à l'équateur vers le plan de l'écliptique. La Terre étant en rotation, ces forces ne peuvent changer l'angle entre l'équateur et l'écliptique mais provoquent un déplacement de l'axe de rotation de la Terre dans une direction perpendiculaire à cet axe et au couple. Mis à part les petites perturbations agissant sur ce déplacement (par exemple la nutation), l'axe de la Terre décrit la surface d'un cône ou « entonnoir » à la manière d'une toupie. Ce mouvement aboutit à déplacer l'orientation du pôle Nord parmi les étoiles, en sorte que, au fil des siècles, nous changeons d'étoile polaire. Ce mouvement de l'axe des pôles terrestres entraîne avec lui celui de l'équateur, et de ce fait, le point vernal, ou point équinoxial, précède chaque année sa position antérieure sur l'équateur par rapport à l'écliptique. Pour cette raison ce mouvement est appelé précession des équinoxes. Le point équinoxial effectue de la sorte à reculons un tour complet de l'écliptique en plus ou moins 25 800 années et l'axe de la Terre décrit en ce même temps un cône complet.

Nappe de charriage. Source : http://data.abuledu.org/URI/50957489-nappe-de-charriage

Nappe de charriage

Rested d'une nappe de charriage en gris, après un début d'érosion : matériel autochtone et allochtone, nappe, faille, fenêtre, klippe. Une nappe de charriage est un ensemble de couches géologiques qui, lors d'une orogenèse, se sont décollées du socle et se sont déplacées sur de grandes distances. On parle alors de terrains allochtones par opposition aux terrains autochtones. Les termes allochtone et autochtone sont utilisés par convention et ne préjugent pas du déplacement absolu des strates mais de leurs déplacements relatifs, il est en effet souvent impossible de déterminer si c'est la couche supérieure ou inférieure qui s'est déplacée. La zone par laquelle la nappe est restée attachée sur son socle s'appelle la racine, la racine est fréquemment invisible ou a disparu ; dans ce cas on utilise la notion de patrie qui désigne la région de provenance de la nappe si elle existe encore. Un morceau de nappe isolé du reste de la nappe par l'érosion s'appelle une klippe. Le terme îlot a aussi été utilisé en français, ce terme datant de l'époque où la nature des nappes de charriage n'était pas connue et où l'on pensait que ces lambeaux de charriage provenaient d'îlots entourés par une mer peu profonde. Une zone de la nappe érodée permettant de voir les terrains autochtones sous-jacents s'appelle une fenêtre.

Nos allers-retours au métro de Montréal. Source : http://data.abuledu.org/URI/5978798c-nos-allers-retours-au-metro-de-montreal

Nos allers-retours au métro de Montréal

Nos allers-retours, Yves Gendreau, 2007. Situé à l'extérieur de la station de La Concorde à Montréal, un enchevêtrement de tubes représente les lignes du métro et le déplacement des voyageurs.

Objets en déplacement dans l'espace-temps. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c4390d-objets-en-deplacement-dans-l-espace-temps

Objets en déplacement dans l'espace-temps

Une ligne d'univers, une feuille d'univers et un volume d'univers, engendrés par une particule ponctuelle, une corde, et une brane. Une ligne d'univers trace la trajectoire d'un seul point dans l'espace-temps, défini comme collection de points appelés événements, avec un système coordonné et continu, identifiant les événements. Chaque événement peut être libellé par quatre nombres : une coordonnée de temps et 3 coordonnés d'espaces ; donc l'espace-temps est un espace quadridimensionnel. Une feuille d'univers est la surface bidimensionnelle analogue, tracée par une ligne (comme une corde) voyageant à travers l'espace-temps. La feuille d'univers d'une corde ouverte est un ruban, et celle d'une corde fermée, un cylindre. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ligne_d%27univers

Os de cheval. Source : http://data.abuledu.org/URI/512325d7-os-de-cheval

Os de cheval

Paire de patins à glace du 11ème siècle fabriqués dans des métacarpiens de cheval.

Parties fonctionnelles d'une machine automatisée. Source : http://data.abuledu.org/URI/52e520a2-parties-fonctionnelles-d-une-machine-automatisee

Parties fonctionnelles d'une machine automatisée

Un mécanisme est un ensemble de pièces dont au moins une est mobile par rapport aux autres. Le but d'un mécanisme est de réaliser un mouvement tout en effectuant un effort, soit essentiellement : saisir un objet et le déplacer ou déformer de la matière (fabrication, marquage). Le mécanisme agit sur un objet, éventuellement sur une personne ou un animal (par exemple dans le cas d'un véhicule, d'un ascenseur). Un tel système comporte : A) une partie commande (PC) : 1) pupitre de commande et de contrôle : c'est l'interface avec l'utilisateur, il comprend des moyens d'action (manivelles, manettes, pédales, boutons, volants, …) et de contrôle (voyants, cadrans) ; il peut s'agir d'un ordinateur. 2) automate : tout ou partie des opérations peut s'effectuer sans l'intervention d'une personne, 3) sécurités : évite l'accident ; B) une partie opérative (PO) : 1) effecteurs : ce sont les pièces qui agissent sur l'objet, 2) guidage : ce sont les pièces qui assurent que l'effecteur suit bien le mouvement prévu, comme les rails (déplacement en translation), les charnières (pivotement), … 3) actionneurs : ce sont les pièces qui provoquent le mouvement : moteurs, vérins, … 4) capteurs : ce sont les pièces qui renseignement la partie commande et permettent la régulation : détecteurs de position, de mouvement, thermomètre, … Source : http://fr.wikiversity.org/wiki/M%C3%A9canique_pour_l%27enseignement_technique_industriel/Notions_de_m%C3%A9canisme_et_de_structure.

Plateau. Source : http://data.abuledu.org/URI/51277618-plateau

Plateau

Un plateau est un récipient de faible épaisseur et de taille juste suffisante pour recevoir d'autres récipients et objets d'usage courant plus petits, pour faciliter leur manutention et déplacement.

Plateau du jeu de Kensington. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c4f36d-plateau-du-jeu-de-kensington

Plateau du jeu de Kensington

Kensington est un jeu de société créé par Brian Taylor et Peter Forbes en 1979 et édité par les auteurs. Pour 2 joueurs, à partir de 7 ans pour environ 20 minutes. Le nom du jeu est celui d'un quartier de Londres. Le tablier représente un réseau de triangles, carrés et hexagones ; le jeu comporte 15 pions bleus et 15 rouges. Les règles sont simples et le tablier est séduisant. Malheureusement, le jeu n'est pas très profond. Celui qui forme le premier triangle ou le premier carré est presque assuré de pouvoir disperser les pions adverses et de gagner sans difficulté. Le moyen pour gagner est donc d'être le premier à disperser les pions adverses. La pose et le déplacement des pions font penser au jeu du moulin.

Rollers. Source : http://data.abuledu.org/URI/51b7230f-rollers

Rollers

Le patinage à roulettes ou roller est un mode de déplacement qui consiste à se déplacer sur des chaussures montées sur roues, appelées patins à roulettes ou rollers. Ce mode de déplacement peut s'utiliser comme moyen de transport, comme loisir ou encore comme sport ; il donne lieu à différentes disciplines artistiques ou sportives comme le patinage artistique sur roulettes ou le roller hockey, ainsi qu'à l'exécution de figures de roller acrobatique.

Sismomètre. Source : http://data.abuledu.org/URI/5093e571-sismometre

Sismomètre

Sismomètre exposé à l'Observatoire astronomique de Lick en Californie : sa situation offrait d'excellentes conditions d'observation grâce notamment à l'absence de pollution lumineuse, et au fait que le sommet du mont Hamilton se trouve presque toujours au-dessus du brouillard souvent présent dans la baie de San Francisco. Un sismomètre est constitué d'une masse très lourde placée sur une barre fixée à une de ses extrémités et qui pivote dans un plan horizontal (pour les deux sismomètres mesurant les composantes horizontales du déplacement) ou dans un plan vertical (pour le sismomètre mesurant la composante verticale). La masse est reliée au bâti par un ressort. Un aimant, fixé au bâti, entoure le bas du ressort, afin de stabiliser la masse après les secousses, et ainsi éviter que le sismographe n'enregistre des tremblements après la fin du séisme. La masse, en raison de son inertie, ne bouge pas alors que le bâti de l'appareil, fixé au sol, accompagne les mouvements du séisme. La plupart du temps, un sismographe est isolé du monde extérieur, pour éviter des perturbations dans les mesures (vent, pression atmosphérique).

Tableau des éclipses de soleil et de lune à Strasbourg. Source : http://data.abuledu.org/URI/550cc647-tableau-des-eclipses-de-soleil-et-de-lune-a-strasbourg

Tableau des éclipses de soleil et de lune à Strasbourg

Palais Rohan (Strasbourg). Musée des Arts décoratifs, salle d'horlogerie (n° 14). Tableau des éclipses de soleil et de lune. En deux phases, entre 1547 et 1574, une seconde horloge astronomique a été construite par les mathématiciens Christian Herlin et Conrad Dasypodius, les frères horlogers Habrecht et le peintre Tobias Stimmer. Cette horloge était une horloge astronomique planétaire et indiquait donc le déplacement des planètes sur un astrolabe. Un calendrier perpétuel indiquait les fêtes mobiles sur une durée de 100 ans. Enfin, les éclipses à venir étaient peintes sur des panneaux. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Horloge_astronomique_de_Strasbourg

Test du miroir avec un chien. Source : http://data.abuledu.org/URI/51eebedd-test-du-miroir-avec-un-chien

Test du miroir avec un chien

Le test du miroir est un moyen de mesurer la conscience de soi développé par l'Américain Gordon G. Gallup dans les années 1970. En éthologie cognitive, ce test permet d'évaluer la conscience de soi en permettant de déterminer si un animal est capable de reconnaître son propre reflet dans un miroir comme étant une image de lui-même. Il consiste à placer subrepticement sur la tête de l'animal une marque colorée ne produisant pas d'odeur puis à observer si, lorsqu'il observe son image dans un miroir, l'animal réagit d'une façon indiquant qu'il est conscient que la tache est placée sur son propre corps. Un tel comportement peut prendre la forme d'un déplacement ou d'une flexion pour mieux observer la marque ou encore, de façon bien plus évidente, celle d'un tâtonnement de soi avec une main pour essayer de l'atteindre tout en se servant du miroir.

Travail d'une force. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c45ce2-travail-d-une-force

Travail d'une force

Le travail d'une force est l'énergie fournie par cette force lorsque son point d'application se déplace (l'objet subissant la force se déplace ou se déforme). Il est responsable de la variation de l'énergie cinétique du système qui subit cette force. Si par exemple on pousse une voiture, le travail de la poussée est l'énergie produite par cette poussée. Considérons une force vec{F} constante s'appliquant sur un objet se déplaçant sur une trajectoire rectiligne (Il n'y a pas d'autres forces s'exerçant sur l'objet). Un certain nombre de cas particuliers permettent d'illustrer la notion de travail d'une force : 1) Si la force vec{F} est parallèle au déplacement vec{u} et orientée dans le même sens, le travail W = vec{F}cdotvec{u} fourni par la force est positif : d'après le théorème de l’énergie cinétique, la force a augmenté l'énergie cinétique du système, celui-ci se déplace donc plus rapidement. Une telle force est parfois dénommée force motrice. 2) Si la force vec{F} est parallèle au déplacement vec{u} mais orientée dans le sens opposé, le travail W = vec{F}cdotvec{u}, fourni par la force est négatif : d'après le théorème de l’énergie cinétique, la force a diminué l'énergie cinétique du système, celui-ci se déplace donc plus lentement. On appelle parfois une telle force, une force résistante. 3)Si la force vec{F} est perpendiculaire au déplacement vec{u}, le travail de la force est nul W = 0 : la force n'a pas modifié l'énergie cinétique du système. On peut dire plus simplement que si la force vec{F} est perpendiculaire au déplacement, elle ne modifie pas le déplacement.

Turboréacteur. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c83ec3-turboreacteur

Turboréacteur

Schéma de turboréacteur d'avion typique (simple flux, simple corps). L'air est comprimé par les pales en entrant dans le réacteur, puis est mélangé avec le carburant qui brûle dans la chambre de combustion. Les gaz d'échappement donnent une forte poussée en avant et font tourner les turbines qui actionnent les pales de compression. Un turboréacteur fonctionne sur le principe d'action-réaction. La variation de vitesse de l'air entre l'entrée et la sortie du réacteur crée une quantité de mouvement (dénommée poussée) vers l'arrière du moteur qui, par réaction, — d'où le terme de moteur à réaction — engendre le déplacement du moteur, donc du véhicule sur lequel il est fixé, vers l'avant. Le turboréacteur fonctionne sur le principe des turbines à gaz. À l'admission, l'air est aspiré par la soufflante (le cas échéant) puis comprimé via un compresseur (dans tous les cas). Du kérosène est ensuite injecté puis mélangé avec l'air au niveau de la chambre de combustion puis enflammé, ce qui permet de fortement dilater les gaz. Ces derniers s'échappent du turboréacteur par la tuyère qui, en raison de sa section convergente, augmente la vitesse de l'air (suivant l'effet venturi) (l'écoulement étant maintenu subsonique au sein du réacteur). L'air passe au préalable par une turbine permettant d'entraîner le compresseur et les accessoires nécessaires au fonctionnement du réacteur ; le mouvement est auto-entretenu tant qu'il y a injection de carburant. En simplifiant, l'énergie de pression engendrée au sein du réacteur sera transformée en énergie cinétique en sortie, ce qui engendrera une forte poussée. À l'image des moteurs automobile, le turboréacteur réalise ainsi un cycle continu à quatre temps — admission, compression, combustion et détente/échappement — théoriquement décrit par le cycle de Brayton. Ce cycle est constitué d'une compression adiabatique réversible, d'une combustion isobare irréversible (le réacteur étant considéré comme un système ouvert), d'une détente adiabatique réversible et d'un refroidissement isobare réversible.

Tyrolienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/51b093ed-tyrolienne

Tyrolienne

La tyrolienne est un système de transport sur filin. Il s'agit d'un mode de déplacement utilisé pour la traversée en hauteur d'un obstacle dénivelé comme une douve ou autre cuvette naturelle ou artificielle.

Vélomobiles Leitra. Source : http://data.abuledu.org/URI/51fb6aa0-velomobiles-leitra

Vélomobiles Leitra

Vélomobiles Leitra : apparue avant les autres, dans les années 1980 au Danemark, la marque Leitra est la première à avoir fabriqué des vélomobiles modernes, destinés à une utilisation régulière comme véhicule de déplacement quotidien. Une version modernisée est réalisée par Bike Revolution / Steintrike sous le nom de Leitra avancé ; ils réalisent aussi un autre vélomobile sur la base d'une carrosserie de Leitra : le Thunderstorm (orage). Leitra propose aussi des coques profilées à adapter à l'avant des trikes, nommées Wildcat, d'un poids réduit, qui les transforme presque en vélomobile. En France, Vélovergne les fabrique sous licence. Une des particularités de la marque est de réaliser ses vélomobiles à la carte, en adaptant ses dimensions à la taille du pilote.

Vérin. Source : http://data.abuledu.org/URI/5248775b-verin

Vérin

Schéma de principe de fonctionnement d'un vérin et son étanchéité. Un vérin pneumatique ou hydraulique sert à créer un mouvement mécanique, et consiste en un tube cylindrique (le cylindre) dans lequel une pièce mobile (le piston) sépare le volume du cylindre en deux chambres isolées l'une de l'autre. Un ou plusieurs orifices permettent d'introduire ou d'évacuer un fluide dans l'une ou l'autre des chambres et ainsi déplacer le piston. Principe du vérin et de son étanchéité : les vérins hydrauliques trouvent leur application la plus visible dans les engins de chantier. Une tige rigide est attachée au piston et permet de transmettre effort et déplacement. Généralement la tige est protégée contre les agressions extérieures par un traitement augmentant la dureté superficielle. Selon les conditions d'exploitation, des revêtements appropriés à base de chrome, de nickel et chrome ou de céramique sont réalisés. L'étanchéité entre les chambres du vérin ou entre corps et tige est réalisée par des joints. Cette fonction est primordiale, car elle caractérisera le rendement et la durée de vie du vérin. On protégera particulièrement le vérin des risques d'introduction de pollution par la tige grâce à l'installation d'un joint racleur.

Vérin à simple et double effet. Source : http://data.abuledu.org/URI/52487893-verin-a-simple-et-double-effet

Vérin à simple et double effet

Schéma de fonctionnement de vérin à simple et à double effet. Figure A : Un vérin simple effet ne travaille que dans un sens (souvent, le sens de sortie de la tige). L'arrivée de la pression ne se fait que sur un seul orifice d'alimentation ce qui entraîne le piston dans un seul sens, son retour s'effectuant sous l'action d'un ressort ou d'une force extérieure (fréquent en hydraulique). L'utilisation d'un distributeur à une seule sortie est donc suffisante (distributeur 3/2) ou d'un clapet logique pour les débits plus importants. L'emploi de ces vérins reste limité aux faibles courses. Figure B : Un vérin double effet a deux directions de travail. Il comporte deux orifices d'alimentation et la pression est appliquée alternativement de chaque côté du piston ce qui entraîne son déplacement dans un sens puis dans l'autre. On vérifiera que le vérin ne sera pas soumis aux effets de multiplication de pression qui pourraient le faire éclater du côté de sa tige. Associé à une servovalve ou un distributeur à commande proportionnelle, ainsi qu'un capteur de position ou des capteurs de pression, le vérin devient alors un servo-vérin. Cet actionneur est utilisé dans tous les servo-mécanismes. Les vérins sont souvent équipés d'amortisseurs de fin-de-course qui évitent les chocs du piston.

Village d'Anatolie. Source : http://data.abuledu.org/URI/51699cc6-village-d-anatolie

Village d'Anatolie

Les rives du Bosphore, Yeniköy. Mine de plomb, aquarelle et crayon gras. Aquarelle du peintre orientaliste Jules Laurens (1847), membre de l'expédition Hommaire de Hell. Jules Laurens (1825-1901). Yenikoy est un petit village turc de la région d'Afyonkarahisar. C'est un village traditionnel anatolien. Le village fut fondé par les émigrants turcs de la république de Haut-Karabagh, ceux-ci (qui vivaient initialement à Davulga) avaient émigré à l'époque de l'Empire ottoman. Après le déplacement des "Enfants de Alhan" vers la vallée de Yenikoy, ce village devint une ville.