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Dessins et plans | Photographie | Musique | Instruments de musique | Instruments à percussion | Tambour | Triangle | Géométrie | Instruments à vent | Flûte droite | Flûte | Musique traditionnelle -- Chine | Instruments de musique -- Chine | Gratte-ciel | Pistes d'athlétisme | New York (N.Y.) -- Empire State Building | Athlétisme | Cinéma -- Appareils et matériel | Écrans | Bambous | ...
Babe Tisje et Zoon Tisje d'Hazebrouck. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc4ce0-babe-tisje-et-zoon-tisje-d-hazebrouck

Babe Tisje et Zoon Tisje d'Hazebrouck

Babe Tisje fut créée en tant que géant en 1980 par Stéphane Deleurence. D'une hauteur de 3,35 m et d'un poids de 50 kg, elle nécessite un porteur. Zoon Tisje (à l'arrière plan), de son vrai nom Jacques Louis Napoléon Vangrevelinghe, c'est le fils de Tisje Tasje et également le frère de Babe Tisje. Il fut érigé en géant en 1998 par Stéphane Deleurence pour représenter la ville d'Hazebrouck. Il a dans la main droite une gaufre: "wafel" et dans la main gauche, un moulinet d'enfant rappelant l'importance du vent en Flandre. Dimensions : hauteur : 3,20 m, poids : 47 kg, porté par un seul homme.

Calcul de la hauteur des échos d'un radar. Source : http://data.abuledu.org/URI/5232d89e-calcul-de-la-hauteur-des-echos-d-un-radar

Calcul de la hauteur des échos d'un radar

Calcul de la hauteur du faisceau radar au-dessus du sol, légendé en français. En plus de la distance, on peut calculer la hauteur au-dessus du sol où se trouvent les cibles. Cela se calcule en connaissant l’angle d’élévation du radar et la courbure de la Terre. Il faut également tenir compte de la variation de la densité des couches de l’atmosphère. En effet, le faisceau radar ne se propage pas en ligne droite comme dans le vide mais suit une trajectoire courbe à cause du changement de l’indice de réfraction avec l'altitude.

Château de Castelnau-de-Lévis (81)                     . Source : http://data.abuledu.org/URI/556a274c--chateau-de-castelnau-de-levis-81-

Château de Castelnau-de-Lévis (81)

Construit sur un piton rocheux face à Albi, sur la rive droite du Tarn, il reste du château une magnifique tour de 40 mètres de hauteur. Castelnau-de-Lévis, anciennement Castelnau-de-Bonnafous, fut fondé en 1234 par Sicard Alaman, puissant vassal du comte de Toulouse Raymond VII. Lévis est le nom d’une famille descendant de Gui de Lévis qui combattit les Albigeois aux côtés de Simon de Montfort.

Damaru tibétain. Source : http://data.abuledu.org/URI/532323ea-damaru-

Damaru tibétain

Le damaru et le dugdugi (Bengale) sont des petits tambours indiens à deux peaux en forme de sablier. Au Népal il se nomme aussi kal dab dab ou kantan dab dab et au Tibet, il se nomme thöd rnga. De taille modeste (15 cm de hauteur et 8 cm de diamètre) habituellement, il en existe de plus grands (60 cm de hauteur et 40 cm de diamètre) tenus à deux mains, utilisés dans les temples. Les peaux sont tendues par un système de cordelettes allant de l'une à l'autre. Fixée au bout d'une ficelle placée au centre de l'instrument, une grosse graine frappe alternativement chacune des peaux de chèvre lorsqu'on la secoue de droite à gauche.

Droite d'Euler dans un triangle. Source : http://data.abuledu.org/URI/51843031-droite-d-euler-dans-un-triangle

Droite d'Euler dans un triangle

En bleu : les hauteurs ; en orange : les médianes ; en vert : les médiatrices ; en rouge : la droite d'Euler. En géométrie euclidienne, dans un triangle non équilatéral, l'orthocentre H, le centre de gravité ou isobarycentre G et le centre du cercle circonscrit Omega sont alignés et ne sont pas confondus. On appelle droite d'Euler la droite passant par ces trois points.

Frêne commun. Source : http://data.abuledu.org/URI/505a1148-frene-commun

Frêne commun

Planche botanique du frêne commun (Fraxinus excelsior), Atlas des Plantes de France, 1891. C'est un grand arbre, jusqu'à 40 m de hauteur et 1 m de diamètre, à tronc droit à écorce lisse et grisâtre, se crevassant avec l'âge. Le bois est assez dur, tenace, élastique, couleur blanc nacré, sans aubier distinct. Essence de lumière, à croissance rapide, très résistant au froid mais sensible aux gelées tardives, qui peuvent tuer les bourgeons terminaux et à la sécheresse. Son bois est recherché pour certains usages en raison de sa résistance à la flexion et aux chocs : manches d'outils, outils en bois (râteaux), cannes et bâtons (de hockey notamment), charronnage, carrosserie... les meilleurs exemplaires fournissent un bois de déroulage utilisé en placage. À défaut, c'est un excellent bois de chauffage. Les feuilles sont inscrites à la pharmacopée française.

Hudukka indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/533980cd-hudukka

Hudukka indien

L'hudukkâ est un instrument de percussion de l'Inde et du Népal. C'est un ancien tambour en sablier similaire au damaru du Nord et à l'idakka du Sud. Il est toujours utilisé dans la musique kéralaise rituelle par la caste des Mârârs, dans les ballades martiales de la musique rajasthanie, dans les rituels chamaniques et toutes formes de danses folkloriques. Vu son faible encombrement, il accompagne aussi les musiciens itinérants. Ces tambours se caractérisent par une tension modifiable de la hauteur du son lors du jeu et ont donc une vocation mélodique autant que rythmique. Connu depuis le XIIIe siècle, c'est un tambour en tonneau converti en sablier par l'adjonction de larges membranes débordantes aux extrémités. Le kuddukâ est similaire, mais n'a pas de grelot et se joue à la baguette. Long de 48 cm pour 18 cm de diamètre, le corps de l'instrument est taillé dans du bois. Les membranes en peau de vache ou de chèvre sont collées sur un épais (2 cm) anneau (22 cm de diamètre) en fibre végétale percé de six trous où passe une corde de tension en coton permettant aussi le maintien en place de la membrane par un laçage en W. Des grelots sont fixés sur le laçage. Ce tambour d'aisselle est suspendu au moyen d'une lanière à l'épaule gauche du percussionniste. La main droite frappe la peau tandis que la main gauche assure les variations de tensions en serrant la partie centrale du cordage recouverte d'une large bande de coton. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hudukk%C3%A2

Jouhikko finlandais. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c4ff2-jouhikko-finlandais

Jouhikko finlandais

Le jouhikko ou jouhikannel est un instrument arrivé en Finlande après avoir traversé la Norvège. Il est proche du "crwth" gallois. L'instrument fait partie de la famille des lyres à archet. C'est un instrument constitué généralement de 3 cordes de crin (parfois 2) se jouant à l'archet ; sa caisse présente un dos évidé fortement bombé et une table plate. Une ouverture à gauche permet à l'instrumentiste de passer le bout des doigts pour raccourcir l'une des cordes en la touchant au côté et non en y appuyant, et ainsi changer la hauteur de la note. La deuxième corde joue le rôle de bourdon. Un instrument à deux cordes permet de jouer 5 notes, soit la tessiture d'une quinte. Si une troisième corde est présente sur l'instrument, elle permet de jouer une note plus grave d'un ton, étendant la tessiture totale de l'instrument à une sixte majeure. L'instrument est joué en le positionnant sur la jambe gauche, son extrémité inférieure s'appuyant sur le genou droit. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Jouhikko.

Métronome à battements muets. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b0048f-metronome-a-battements-muets

Métronome à battements muets

Métronome gradué à battements muets Étienne Loulié (v.1637-1702) : partant du principe qu'un fil lesté se balance par mouvements approximativement isochrones (leur durée ne dépend pas de l'amplitude du mouvement), puis remarquant que les oscillations dépendent de la longueur du fil (plus court ⇒ plus rapide, plus long ⇒ plus lent), en 1696, Étienne Loulié met au point le premier métronome gradué, d'une hauteur de deux mètres et aux battements muets. Pendant quelques secondes, le balancement d'un poids fixé à un fil d'une longueur définie se fait toujours à la même vitesse. Pour prendre la pulsation avec précision sur ces appareils visuels, il faut percevoir le moment où le fil est exactement à la verticale et non sur les élongations maximales droites et gauches qui, par définition, sont variables, en constante diminution.

Piste d'athlétisme à huit couloirs. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d4c868-piste-d-athletisme-a-huit-couloirs

Piste d'athlétisme à huit couloirs

Poids, Saut à la perche, Saut en hauteur, Longueur et Triple saut, Marteau/Disque, Javelot. Une piste d'athlétisme est une surface plane et ovale, de longueur officielle de 400 m en plein air. La largeur et le nombre de couloirs sont variables (habituellement de six à huit couloirs de 1,22 mètre de large, le couloir 8 faisant 453,03 m de long). La piste d'athlétisme est souvent associé à d'autres aires, destinées à la pratique d'autres disciplines de l'athlétisme (sauts, lancers) ou à d'autres sports (football, rugby à XV). Plusieurs formes de piste existent, en anse de panier (à deux rayons) ou à un rayon. Les rayons changent selon la forme de la piste, la partie droite fait 80 m, la partie courbe (virage) fait 120 m. La longueur de la ligne droite d'arrivée permet le 100 m et le 110 m haies par un allongement de part et d'autre de l'anneau. Ceci est dicté par l'implantation générale du stade. Les critères sont la topographie du sol, l'emprise de toutes les zones annexes (tribunes, parking, voie d'accès, billetterie, stade d'échauffement, buvettes...), la présence ou non d'un terrain de foot ou de rugby au centre, etc...La longueur officielle du tour de piste est de 400 m ; certains stades font l'exception avec des tours de piste variant entre 500 et 600 m.

Projection cinématographique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cb7356-projection-cinematographique

Projection cinématographique

Relation entre la hauteur h du photogramme (pellicule sur la gauche), la distance focale ƒ de l'objectif (au milieu), la hauteur H de l'écran (à droite) et la distance de projection D : H/h égale (D-ƒ)/ƒ ~ D/ƒ. En projection cinématographique, l'écran est situé « à l'infini » et la pellicule est donc dans le plan focal. La distance focale ƒ est adaptée afin que la hauteur de l'image projetée corresponde à la hauteur de l'écran. La focale à utiliser se calcule aisément en fonction de : la hauteur de l'image sur la pellicule (voir Format de projection), h ; la hauteur de l'écran, H ; la distance pellicule-écran, D.

Shakuhachi, flûte chinoise. Source : http://data.abuledu.org/URI/53316008-shakuhachi

Shakuhachi, flûte chinoise

Le shakuhachi est une flûte chinoise, également utilisée en musique japonaise droite à embouchure libre en bambou. Évoquant la nature, elle est utilisée en musique traditionnelle. C'est au VIe siècle qu'on retrouve des traces écrites de la flûte de bambou prouvant son utilisation au Japon. Au VIIe siècle, la flûte de bambou faisait partie des instruments utilisés pendant les représentations données à la cour, musique connue sous le nom de Gagaku. Le musicien est généralement agenouillé, assis sur ses talons. Contrairement au joueur de flûte à bec, qui souffle dans un bec rigide conduisant ainsi l’air dans un sifflet, le joueur de shakuhachi souffle dans son instrument comme on soufflerait dans le goulot d’une bouteille vide. L’embouchure du shakuhachi présente également un bord biseauté, permettant au joueur de contrôler très finement la hauteur du son, en un mouvement d’abaissement ou de montée de l’instrument, par rapport à l’axe des lèvres. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Shakuhachi

Six gratte-ciels. Source : http://data.abuledu.org/URI/52630705-six-gratte-ciels

Six gratte-ciels

Comparaison des hauteurs totales des éléments structurels de chacun des bâtiments présentés. Si on mesure la hauteur du niveau du sol au plus haut composant attaché, la Burj Khalifa est la plus haute du monde, suivi par la tour Willis. Mais les antennes ne sont pas considérées comme faisant partie intégrante du bâtiment, et la tour Willis sans son antenne est plus courte que Taipei 101. Les éléments de décorations sont pris en compte dans le classement du diagramme, mais pas les antennes. De gauche à droite : Burj Dubaï (828m), Willis Tower (527m), Taipei 101 (508m), Petronas (452m), Empire State Building (449m).

Table à dessin d'architecte. Source : http://data.abuledu.org/URI/5319e810-table-a-dessin-d-architecte

Table à dessin d'architecte

Table à dessin d'architecte, 25 may 25, 1893, Teknisk Ukeblad, journal norvégien d'ingénieurs : tables droites de J. M. Voith à Heidenheim a. d. Brenz mesurant 1800 x 1250 mm, hauteur totale 2800 mm, poids 220 kg.

Triangle et hauteurs. Source : http://data.abuledu.org/URI/5180cbc4-triangle-et-hauteurs

Triangle et hauteurs

Si les trois sommets sont distincts, une hauteur est une droite passant par un sommet et perpendiculaire au côté opposé. Si le triangle est non plat, les trois hauteurs sont concourantes en un point appelé orthocentre, souvent noté H.

Zourna d'Azerbaïdjan. Source : http://data.abuledu.org/URI/5347e5c1-zourna-azerbaidjan

Zourna d'Azerbaïdjan

Zourna, instrument de musique à vent d'Azerbaïdjan (Exposition Azerbaïdjan musée de Cognac novembre 2012). Elle est fabriquée en bois de mûrier, de buis ou d'abricotier ; elle se joue debout, souvent avec la technique du souffle continu. Elle a un registre d'une octave et demie, et l'accord est diatonique ; la justesse du jeu, d’autant plus problématique que la musique orientale utilise des quarts de ton, dépend beaucoup de la compétence du musicien. Celui-ci doit adapter constamment la hauteur des sons en faisant varier la pression du souffle et des lèvres sur les anches. Source : http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Azerbaijani_folk_instrument_Zurna.JPG