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Gravure, Tonneaux, Philosophes grecs, Philosophes grecs dans l'Antiquité, Louis Figuier (1819-1894), Athènes (Grèce) -- Monument de Lysicrate, Diogène
Le tonneau de Diogène, in Les merveilles de l'industrie ou, Description des principales industries modernes / par Louis Figuier. - Paris : Furne, Jouvet, [1873-1877]. - Tome I.
Photographie, Antiquités, Antiquités gréco-romaines, Antiquités grecques, Philosophes grecs, Épicurisme, Motivation (psychologie)
Buste d'Épicure, fondateur de l'épicurisme, copie romaine d'un original hellénistique. Épicure (en grec Ἐπίκουρος) est un philosophe grec, né fin -342 ou début -341 et mort en -270. Il est le fondateur, en -306, de l'épicurisme, l'une des plus importantes écoles philosophiques de l'Antiquité. En physique, il soutient que tout ce qui est se compose d'atomes indivisibles. Les atomes se meuvent aléatoirement dans le vide et peuvent se combiner pour former des agrégats de matière. L'âme en particulier serait un de ces agrégats d'atomes, et non une entité spirituelle, notamment d'après son disciple Lucrèce. En éthique, le philosophe grec défend l'idée que le souverain bien est le plaisir, défini essentiellement comme « absence de douleur ». En logique ou épistémologie, Épicure considère que la sensation est à l'origine de toute connaissance et annonce ainsi l'empirisme. La doctrine d'Épicure peut être résumée par ce que les épicuriens ont appelé le tetrapharmakon (quadruple-remède, ou "quadruple-poison" : car tout est question de posologie), que fit graver Diogène d'Œnoanda sur le mur d'un portique, formulé ainsi : on ne doit pas craindre les dieux ; on ne doit pas craindre la mort ; le bien est facile à atteindre ; on peut supprimer la douleur. Épicure classait les besoins et aspirations en quatre catégories : Besoins naturels indispensables à la vie (boire, manger, dormir), au bien-être (maison, hygiène, diététique, affection), et au bonheur (philosophie, amitié, sagesse) ; Aspirations naturelles dont on peut à la rigueur se passer (le sexe, l'amour, jeux, arts, sciences, etc.) ; Aspirations de création humaine et donc artificielles (richesse, gloire, etc.) ; Aspirations mystiques et non réalisables (désirs d'immortalité, etc.).
Textes, Dolmens, Dessin, Drapeaux, Dictionnaires, Diamants, Dômes, René Descartes (1596-1650), Gustave Flaubert (1821-1880), Idées reçues, Préjugés, Devoir (le mot francais), Diplômes, Douanes, Doute, Diogène le Cynique (0404?-0323? av. J.-C.)
Catalogue des opinions chic, sélection de douze définitions à la lettre D (pour le logiciel imagéo). Gustave Flaubert (1821-1880), Le Dictionnaire des idées reçues, écrit entre 1850 et 1880, publication posthume en 1913. Source : wikisource. (Descartes, devoirs, douane, dôme, diplôme, diamant, drapeau national, dolmen, Diogène, l'art du dessin, dictionnaire, doute).
Peinture, Abris, Tonneaux, Lanternes, Chiens, Jarres, Jean-Léon Gérôme (1824–1904), Peinture de genre, Cyniques (philosophie grecque), Diogenes (0404?-0323? av. J.-C.), Lanterne de Diogène (Athènes, Grèce), Philosophes grecs dans l'Antiquité
Diogène de Sinope, aussi appelé Diogène le Cynique, est un philosophe grec de l'Antiquité et le plus célèbre représentant de l'école cynique. Il vivait dans une jarre, en grec pithos. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Diog%C3%A8ne_de_Sinope. Tableau par Jean-Léon Gérôme (1824–1904) en 1860.
Peinture, Raphaêl, Philosophes grecs, Peinture de portraits de la Renaissance, Philosophes antiques, Philosophie de la Renaissance, Peinture et décoration murales de la Renaissance, Raphaël (1483-1520)
Détail du tableau de Raphaël sur les personnages légendés de gauche à droite . 1 : Zénon de Citium, 2 : Épicure, 3 : Frédéric II de Mantoue ?, 4 : Boèce ou Anaximandre ou Empédocle ? 5 : Averroès, 6 : Pythagore, 7 : Alcibiade ou Alexandre le Grand ?, 8 : Antisthène ou Xénophon ?, 9 : Hypatie ou François Marie Ier della Rovere ?, 10 : Eschine ou Xénophon ?, 11 : Parménide ou Euclide ?, 12 : Socrate, 13 : Héraclite (sous les traits de Michel-Ange), 14 : Platon tenant le Timée (sous les traits de Léonard de Vinci), 15 : Aristote tenant l’Éthique, 16 : Diogène de Sinope, 17 : Plotin ?, 18 : Euclide ou Archimède entouré d'étudiants (sous les traits de Bramante) ?, 19 : Strabon ou Zoroastre ?, 20 : Ptolémée, R : Raphaël en Apelle, 21 : Le Sodoma en Protogène.
Dessins et plans, Pyramides, Pyramides -- Égypte, Philosophes grecs, Philosophes antiques, Thalès, Théorème de, Sept sages de la Grèce, Vies, doctrines et sentences des philosophes illustres - Diogène Laërce, Guizèh (Égypte) -- Pyramide de Mykérinos
Mesure de la hauteur de la grande pyramide de Gizeh (théorème de Thalès). Anecdote rapportée dans Le Banquet des Sept Sages de Plutarque : Selon Diogène Laërce, le pharaon Amasis aurait dit que personne n'était en mesure de savoir quelle était la hauteur de la Grande Pyramide et Thalès aurait relevé le défi en calculant le rapport entre son ombre et celle d'un corps de référence, au moyen d'un gnomon ou d'un bâton : « Ainsi, vous, Thalès, le roi d'Égypte vous admire beaucoup, et, entre autres choses, il a été, au-delà de ce qu'on peut dire, ravi de la manière dont vous avez mesuré la pyramide sans le moindre embarras et sans avoir eu besoin d'aucun instrument. Après avoir dressé votre bâton à l'extrémité de l'ombre que projetait la pyramide, vous construisîtes deux triangles par la tangence d'un rayon, et vous démontrâtes qu'il y avait la même proportion entre la hauteur du bâton et la hauteur de la pyramide qu'entre la longueur des deux ombres. »