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Nuage de mots clés

Photographie | Gravure | Architecture | Peinture | Dix-neuvième siècle | Dessins et plans | Instruments de musique | Seizième siècle | Oiseaux | Instruments à cordes | Vêtements | Canotage à la rame | Urbanisme | Ornithologie | Musique | Humour | Canotiers (vêtements) | Papillons | Phares | Ordre dorique | ...
Astigmatisme. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a7d030-astigmatisme

Astigmatisme

Schéma illustrant l'astigmatisme. L’astigmatisme (a- privatif, stigma (gr.) : « point ») est un défaut des systèmes optiques qui ne donnent pas d'un point une image ponctuelle, mais une image étalée dans le sens antéro-postérieur. Normalement, les surfaces de la cornée et du cristallin présentent quasiment la courbure sphérique d'un ballon de basket-ball. Chez les astigmates réguliers, l'une ou l'autre n'est plus sphérique et sa courbure s'apparente davantage à celle d'une ellipsoïde, c'est-à-dire comme un ballon de rugby. L'image reçue par la rétine est donc différente selon les axes de ce « ballon ». Résultat : l'image manque de netteté. Thomas Young, savant anglais, fut le premier à le définir.

Adonis bleu. Source : http://data.abuledu.org/URI/54dfa533-adonis-bleu

Adonis bleu

Le Belargus ou Adonis bleu ou Azuré bleu céleste ou Argus bleu céleste ( Polyommatus bellargus) est un insecte lépidoptère de la famille des Lycaenidae. C'est un petit papillon qui présente un dimorphisme sexuel, le dessus du mâle est bleu intense, celui de la femelle est marron, les deux ont leurs ailes bordées d'une frange blanche entrecoupée de noir caractéristique. Leur revers est ocre, orné de points foncés cerclés de blanc et d'une ligne sub marginale de points orange. Il affectionne les lieux secs, les sols calcaires, les prairies fleuries jusqu'à 2 000 m. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Azur%C3%A9_bleu_c%C3%A9leste

Blason de Bidart. Source : http://data.abuledu.org/URI/5280189f-blason-de-bidart

Blason de Bidart

Céramique ornant un des murs de la mairie de Bidart portant les armes de la ville depuis 1958 : BIDARTEAN ZUZENA OHENA. Blasonnement : Parti, au premier, de sinople au rocher d'argent mouvant du flanc dextre sommé d’une tour d’or ajourée et enflammée de gueules ; au deuxième, de gueules au bateau d'or mouvant de face, la voile d'argent chargée d'une croix basque de sable, le tout des deux parties posé sur une mer d’argent ; à la vergette d'or brochant sur la partition accostée à chaque flanc de cinq billettes du même. Le blasonnement définitif fut adopté par le conseil municipal le 3 mars 1958 avec l'ajout d'ornements extérieurs : L’écu sommé de deux ondes d’argent dans lesquelles plonge un grand harpon de sable en pal, passant sous l’écu et le listel bordant en pointe cet écu. L'anneau du harpon en chef retenant un cordage d’or dont les entrelacs forment à dextre la lettre majuscule anglaise B contournée, puis passe sous l’écu pour former à senestre la même lettre B. Le cordage retenant le listel d’argent chargé de la devise basque « bidartean zuzena onena » (parmi les chemins, le plus droit est le meilleur).

Boule de senteur. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dfa9ec-boule-de-senteur

Boule de senteur

Détail d'un tableau du XVIème siècle montrant une boule de senteur nommée Pomander en 1518. Portrait of Jan Gerritz van Egmond van de Dijenborgh, par Jacob CORNELISZ VAN OOSTSANEN (1472-1533). Les grands pomanders se portent accrochés à la ceinture ou en pendentif autour du cou. Les plus petits, parfois pas plus grands qu'un dé à coudre et reliés par une chaînette à une bague, se tiennent en permanence au creux de la main. D'autres se fixent en breloque à un bracelet, un collier ou servent de bouton à une cape. Pendant les huit siècles de leur histoire, les pomanders adoptèrent des formes très variées : crânes, crucifix, escargots, pommes, œufs, noix ou fleurs, chacune ayant une signification symbolique et ésotérique particulière. Les monogrammes, inscription ou motifs allégoriques dont ils étaient ornés, étaient supposés renforcer leur pouvoir. Transmis de génération en génération, les pomanders étaient en effet bien plus que des objets à parfumer : on leur prêtait des vertus magiques protégeant des forces du mal et de la maladie. Les princes et les nobles en faisaient grand usage, comme les prêtres et les médecins qui comptaient sur leur présence pour se préserver de la contagion. La fin du XVIIe siècle voit ces pouvoirs tournés en dérision. Ils ne sont plus portés que par coquetterie et leurs senteurs lourdes et entêtantes sont supposées servir l'art de la séduction. Ils passent de mode au milieu de XVIIIe siècle.

Canotier en paille avec ruban. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fc8de8-canotier-en-paille-avec-ruban

Canotier en paille avec ruban

À Paris, les canots à voile font leur apparition sur la Seine dès le début du XIXe. La préfecture de Police en autorise la circulation sous certaines conditions en 1840. De nombreux individus se mettent à ramer (des « canotiers »), ils conduisent eux-mêmes leur embarcation. Le canot devient un divertissement. Ramer est un plaisir, tout comme s’encanailler dans les différentes guinguettes et autres lieux de plaisance de cette époque. Le canotage suscite de nombreuses réactions. Par des chansons, et évidemment en peinture. Les premiers canotiers parisiens de la fin du XIXe et du début du XXe siècle ne veulent pas rester en bourgeois pour conduire leur bateau et adoptent un costume qui s’inspire volontiers de ceux des matelots ou des mariniers, notamment à travers le chapeau rond orné d’un ruban qui faisait alors partie de la tenue de sortie réglementaire des hommes d’équipage. Dans la Marine, deux versions du chapeau rond coexistaient : une version en paille naturelle pour le service dans les pays chauds et une version imperméabilisée avec du goudron ou de la toile cirée noire pour le service dans les pays pluvieux. Le canotier est le chapeau emblématique de Gabrielle Chanel. Elle le porta très tôt en réaction aux couvre-chefs si garnis des femmes à son époque. Il devient particulièrement célèbre au XXe siècle quand les vedettes de music-hall comme Maurice Chevalier ou Fred Astaire s’en emparent. Maurice Chevalier s'illustra, en 1962, dans une chanson : le Twist du canotier, enregistrée avec le groupe rock français les Chaussettes noires.

Colonnes rostrales à Bordeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/55476276-colonnes-rostrales-a-bordeaux

Colonnes rostrales à Bordeaux

Colonnes rostrales, Place des Quinconces à Bordeaux, Gironde (base Mérimée|PA33000075). Les deux colonnes rostrales (21 mètres de haut) situées face à la Garonne, ont été construites par Pierre-Alexandre Poitevin en 1829. Chaque colonne est ornée au tiers inférieur de quatre proues de galères prolongées de rostres formés de deux faisceaux de trois glaives, œuvre de l’ornemantiste d’origine italienne N. Bonino. Les rostres rappellent la victoire des flottes romaines sur celles de Carthage et, depuis l’Antiquité, signifient la maîtrise triomphale des mers. Le chapiteau supporte un édicule circulaire couvert d’une coupole supportant deux statues du sculpteur Monsau, à l'origine en terre cuite, avant d'être remplacées par des copies de fonte : l'une symbolise le Commerce et l'autre la Navigation. Le décor, finement sculpté par Bonino sur le fût, copie les proues et les ancres figurant sur le modèle de référence du musée du Capitole, mais Poitevin y a ajouté le caducée de Mercure et l’étoile qui guide le marin, attributs du Commerce et de la Navigation. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Place_des_Quinconces

Dalle gravée du plafond du cairn de Locmariaquer. Source : http://data.abuledu.org/URI/53d411a4-dalle-gravee-du-plafond-du-cairn-de-locmariaquer

Dalle gravée du plafond du cairn de Locmariaquer

La dalle de couverture de la Table des Marchand à Locmariaquer (Morbihan, Bretagne), ornée de gravures. De droite à gauche : une hache emmanchée, une crosse (au centre), et un bovidé incomplet. Cette énorme dalle en orthogneiss était brisée. La deuxième partie de ce bloc a été retrouvée au plafond du dolmen de l’île de Gavrinis.

Descriptif du château de Langeais. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f147dc-descriptif-du-chateau-de-langeais

Descriptif du château de Langeais

Descriptif bilingue du château de Langeais, Val de Loire : "En 994 Foulques Nerra bâtit sur le site d'un castrum romain un donjon, un des plus anciens de France. Propriété des comtes d'Anjou également rois d'Angleterre, le château de Langeais est l'enjeu de luttes incessantes entre Richard Coeur de Lion et Philippe Auguste, ce dernier l'emporte. Louis XI confie la construction du château actuel à Bourré, place-forte sur la route de la Bretagne. Le mariage de Charles VIII et d'Anne de Bretagne à Langeais pacifie la Bretagne rattachée de ce fait à la couronne de France. À la fois forteresse féodale et demeure seigneuriale, le château est meublé et orné de tapisseries flamandes."

Ferme castrale de Hermalle-sous-Huy. Source : http://data.abuledu.org/URI/5454d2db-ferme-castrale-de-hermalle-sous-huy

Ferme castrale de Hermalle-sous-Huy

Façade nord de la Ferme castrale de Hermalle-sous-Huy en Belgique : Au XVIIe siècle, le comte du Saint-Empire romain Conrard d'Ursel, propriétaire du château de Hermalle, fait rénover et agrandir son bien. Il le dote notamment d'une tour-porche d'entrée, avec un portail cintré que surmonte une bretèche en tuffeau ornée d'un cartouche daté 1642. Les murs extérieurs sont en briques sur un soubassement biseauté de moellons de grès et calcaire. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ferme_castrale_de_Hermalle-sous-Huy

Fresque sur château d'eau. Source : http://data.abuledu.org/URI/52fe0c64-fresque-sur-chateau-d-eau

Fresque sur château d'eau

Château d'eau orné d'une fresque représentant Louis Blériot et sa traversée de la Manche. Plage de Sangatte, proche du centre ville de Calais, Pas-de-Calais.

Fruits et fleurs en bois. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ebc382-fruits-et-fleurs-en-bois

Fruits et fleurs en bois

Sculpture en bois de l'artiste anglais Grinling Gibbons (1648-1721) dans les appartements du roi Guillaume III d'Angleterre au palais de Hampton Court. Il fut nommé maître sculpteur de la Couronne. Gibbons était également un protégé du principal architecte de son époque, Sir Christopher Wren. Il fut surtout un virtuose de la sculpture sur bois, ornée de fleurs et de coquillages que l'on croirait vivants.

Fumeur de pipe. Source : http://data.abuledu.org/URI/5217090a-fumeur-de-pipe

Fumeur de pipe

Le peintre Horace Vernet fumant la chibouque (autoportrait, 1835, musée de l'Ermitage). La chibouque (du turc çıbuk, Çubuk), également orthographiée chibouk, est une pipe turque à long tuyau de bois se terminant par un bol d'argile et souvent orné de pierres précieuses. La longueur de la tige est généralement comprise entre 1,20 et 1,50 m.

Gaufre. Source : http://data.abuledu.org/URI/5098efca-gaufre

Gaufre

Une gaufre est une pâtisserie en pâte légère, cuite dans un moule à gaufre orné de motifs qui s'impriment dans la pâte et lui donnent sa forme caractéristique. Elle se mange nature, au sucre glace ou avec une garniture.

Goéland à bec cerclé au Québec. Source : http://data.abuledu.org/URI/5356a51d-goeland-a-bec-cercle-au-quebec

Goéland à bec cerclé au Québec

Un goéland à bec cerclé (Larus delawarensis) sur une plage à St-Irénée, Québec. Les adultes mesurent 49 cm de long et ont une envergure de 124 cm. Ils possèdent une tête, un cou et un dessous blancs ainsi qu'un bec jaune relativement petit orné d’un anneau noir. Le dos et les ailes sont gris-argent, les pattes et les yeux sont jaunes. Ce sont des oiseaux migrateurs et la plupart se déplacent au sud vers le golfe du Mexique, les côtes atlantiques et pacifiques de l'Amérique du Nord mais aussi vers les Grands Lacs. Le goéland à bec cerclé se déplace de plus en plus fréquemment vers l'ouest de l'Europe : Irlande, Grande-Bretagne et France où il n'est plus classé comme une rareté, de nombreux oiseaux hivernant dans ces pays. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Go%C3%A9land_%C3%A0_bec_cercl%C3%A9

Grand'Salle du Palais de la Cité à Paris. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e85f9f-grand-salle-du-palais-de-la-cite-a-paris

Grand'Salle du Palais de la Cité à Paris

Gravure de Jacques Ier Androuet du Cerceau (≈1515 - 1585). Intérieur de la Grand'Salle (construite directement au-dessus de l'actuelle Salle des Gens d'Armes) de l'ancien Palais royal de Paris (partie ouest de l'Île de la Cité). Gravure de Jacques Ier Androuet du Cerceau vers 1580 (cette salle serait par la suite rebâtie et deviendrait la Salle des Pas-Perdus du Palais de Justice). On peut voir la double nef voûtée de bois, portée par des piliers ornés des statues des rois.

L'épée dite de Charlemagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5341b75a-l-epee-dite-de-charlemagne

L'épée dite de Charlemagne

L'épée du sacre des rois de France, dite "Joyeuse" ou "épée de Charlemagne". Longeur 1,05 m. - Trésor de la Basilique de Saint-Denis, puis Musée du Louvre. Inv. n° MS 84. L'épée utilisée lors du sacre des rois de France, probablement depuis Philippe Auguste en 1179, de manière documentée depuis Philippe III le Hardi en 1271, s'appelait aussi Joyeuse, et l'on prétendait qu'il s'agissait de la même. En fait, elle avait été fabriquée plus tardivement, à partir d'éléments d'époques diverses : le pommeau date de la fin de l'époque carolingienne (Xe siècle) ; les quillons en forme de dragons opposés composant la garde datent du XIIe siècle ; la poignée date du XIIIe ou du XIVe siècle ; la plaque du fourreau ornée de pierreries a été exécutée au XIIIe siècle. Cette épée, conservée dans Le Trésor de la Basilique de Saint-Denis jusqu'en 1793, est alors entrée dans les collections du musée du Louvre. L'épée a de nouveau été utilisée pour le sacre sous la Restauration. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Joyeuse_%28%C3%A9p%C3%A9e%29.

Le Chemin de Jean Racine à Chevreuse. Source : http://data.abuledu.org/URI/524f2bd8-le-chemin-de-jean-racine-a-chevreuse

Le Chemin de Jean Racine à Chevreuse

Septième étape du Chemin de Jean Racine à Chevreuse (Aisne) : Les Bois de Chevreuse, de Port-Royal à Chevreuse, "Je vois les tilleuls et les chênes Ces géants de cent bras ornés." Jean Racine 1656.

Le Déjeuner des canotiers. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fc8cfd-le-dejeuner-des-canotiers

Le Déjeuner des canotiers

Le déjeuner des canotiers d'Auguste Renoir, 1881. Le canotier est un chapeau de paille de forme ovale à fond plat, à bords également plats, orné d’un ruban, qui est mis à la mode par les fervents du canotage dans le courant du XIXe siècle, d’où son nom.

Le Gascon envolé. Source : http://data.abuledu.org/URI/5399a66f-le-gascon-envole

Le Gascon envolé

"Le Gascon envolé" : Collection de Vinck. "Un siècle d'histoire de France par l'estampe, 1770-1870." Vol. 6 (pièces 880-1045), Ancien Régime et Révolution. Dialogue chanté entre "la vieille" à sa fenêtre qui essaie de retenir un "abbé" voleur. Plusieurs personnages s'envolent grâce à un parapluie et un papillon. "Platignac le gascon" est un personnage du ballet pantomime orné de chants et de danses intitulé "La mariée de la courtille ou Arlequin Ramponneau" de Toussaint-Gaspard Taconet (1730-1774) en 1760.

Les cygnes sauvages d'Andersen. Source : http://data.abuledu.org/URI/51112dc6-les-cygnes-sauvages-d-andersen

Les cygnes sauvages d'Andersen

Illustration par Bertall du conte d'Andersen, Les cygnes sauvages, 1876 : "Le lendemain matin, la reine se rendit à la salle de bain, qui était construite de marbre, ornée de coussins moelleux et de tapis magnifiques. Là, elle prit trois crapauds, déposa un baiser sur chacun d’eux, et dit à l’un : - Place-toi sur la tête d’Élisa, lorsqu’elle viendra au bain, afin qu’elle devienne aussi stupide que toi. – Place-toi sur son front dit-elle à l’autre, afin qu’elle devienne aussi laide que toi, et que son père ne puisse la reconnaître. – Pose-toi sur son cœur, souffla-t-elle au troisième, et rends-la tellement méchante, qu’elle en ait beaucoup de tourment."

Lettrine A. Source : http://data.abuledu.org/URI/506d593d-lettrine-a

Lettrine A

Initiale A, page 80, Fables d'Ésope par Joseph Jacobs, 1894 : illustration de Richard Heighway.

Maquette d'un village guanche à Tenerife. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d1820c-maquette-d-un-village-guanche-a-tenerife

Maquette d'un village guanche à Tenerife

Maquette d'un village guanche à Tenerife, Canaries. Les Guanches portaient des vêtements en peau de chèvre ou en fibres textiles que l'on a retrouvés dans des tombes sur la Grande Canarie. Ils appréciaient les bijoux, les colliers en bois, en pierre ou de coquillages fabriqués selon divers modèles. Ils utilisaient principalement des perles de céramique de formes variées, lisses ou polies, en général noires et rouges. Ils se peignaient le corps. Les pintaderas, objets en terre cuite évoquant des sceaux, semblaient servir uniquement à la peinture corporelle, dans des couleurs variées. Ils fabriquaient des poteries grossières généralement sans aucun décor, mais parfois ornées à l'aide des ongles. Les armes des Guanches étaient les mêmes que celles des anciens peuples du sud de l'Europe : hache en pierre polie sur Grande Canarie, et plus fréquemment la hache en pierre ou en obsidienne taillée à Ténérife. Ils utilisaient aussi la lance, la massue, parfois garnie de pointes en pierre, ainsi que le javelot. Il semble qu'ils aient connu le bouclier. L'alimentation de base des Guanches était le gofio, un aliment à base de céréales grillées d'origine berbère et élaboré à partir d'orge, de blé et de rhizome de fougère.

Marie aux sabots de bois se gage - 7. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bcc084-marie-aux-sabots-de-bois-se-gage-7

Marie aux sabots de bois se gage - 7

Marie aux Sabots de bois se gage - 7, Jordic (1876 - 1915) : ... plus facile que d'arranger un lion en chat" remarque le bonhomme en se mettant à l'ouvrage. Le poil tombe sous l'action des ciseaux, la queue est tondue, les pattes arrangées et ornées de deux bracelets de poils. Au tour de Bob ! "Oua ! oua !" Il grogne, sa queue saigne, mais le tondeur lui...

Montgolfière des frères Montgolfier. Source : http://data.abuledu.org/URI/53bd396b-1783-balloonj-jpg

Montgolfière des frères Montgolfier

Illustration avec description technique de la montgolfière de 1783 des frères Montgolfier : partie supérieure ornée de fleurs de lys avec en dessous les douze signes du zodiaque en couleur d'or sur un fond peint bleu azur, au milieu des chiffres de Louis XVI, les deux L entrelacés, quatre fois répétés et entremêlés de soleils éclatants et le bas garni de mascarons, de guirlandes et d'aigles à ailes déployées. "Figure exacte et proportions du globe aërostatique qui, le premier, a enlevé des Hommes dans les Airs, grande notice 1786".

Monument aux morts de la station Richelieu-Drouot. Source : http://data.abuledu.org/URI/543f2733-monument-aux-morts-de-la-station-richelieu-drouot

Monument aux morts de la station Richelieu-Drouot

Monument aux morts à la station Richelieu - Drouot du métro de Paris, par Carlo Sarrabezolles (1888-1971). Dans la salle de correspondances se trouve le monument aux morts de la CMP, dû au ciseau de Carlo Sarrabezolles, inauguré en 1931. Le monument aux morts des agents du métropolitain. Ce monument en marbre noir est dédié à la mémoire des agents du chemin de fer métropolitain morts pour la France. La sculpture centrale est ornée d'une cariatide, qui soutient de ses bras levés la torsade de pierre qui l'entoure. Elle sépare en deux parties le demi-cercle à l'intérieur duquel sont inscrits les noms des agents du métropolitain disparus durant la Première Guerre mondiale. La base du monument porte les noms des champs de bataille de la Grande Guerre. Le mot « Libération » a été ajouté en bas à droite après la Seconde Guerre mondiale, afin de marquer la participation des agents du réseau à la Résistance. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Richelieu_-_Drouot_%28m%C3%A9tro_de_Paris%29

Morin khuur mongol. Source : http://data.abuledu.org/URI/5330416d-morin-khuur

Morin khuur mongol

Le morin khuur est un instrument à cordes mongol. Le nom du morin khuur en mongol ancien est mongol et signifie « viole à tête de cheval ». Il produit un son qui est poétiquement décrit comme chaleureux et sans contrainte, tout comme le cheval mongol sauvage qui hennit, ou comme une brise dans les prairies. Il est l’instrument musical le plus important du peuple mongol, et est considéré comme un symbole de la nation mongole. Une légende sur l’origine du morin khuur est qu’un berger nommé Kuku Namjil reçu le don d’un poney magique ailé, qu’il montait la nuit pour voler et rejoindre sa bien-aimée. Une femme jalouse fit couper les ailes du cheval, de sorte qu’il tomba du ciel et mourut. Le berger, dans son deuil, utilisa les os de son défunt cheval pour faire un violon orné d’une tète de cheval, qu’il utilisa pour jouer des chansons émouvantes sur la vie de son cheval.

Mosaïque d'Ulysse et les sirènes. Source : http://data.abuledu.org/URI/54085b2a-mosaique-d-ulysse-et-les-sirenes

Mosaïque d'Ulysse et les sirènes

Ulysse et les sirènes. Mosaïque du musée du Bardo - Tunis, 2me siècle. Cette œuvre retrouvée dans une demeure privée semble devoir être interprétée comme une commémoration de jeux offerts par le propriétaire et en particulier d’une victoire d’un aurige dont le nom est Eros. La mosaïque d’Ulysse est un tableau inspiré de l’Odyssée : le héros grec apparaît debout sur un bateau à deux voiles et à un rang de rame, orné d’une tête humaine et d’une palme, les mains attachées au grand mât pour éviter de succomber au charme fatal de la musique des sirènes. Autour d’Ulysse sont assis ses compagnons, les oreilles bouchées de cire comme le relate la légende. Au pied d’un escarpement rocheux se tiennent trois sirènes représentées avec un buste de femme auquel s’attachent des ailes et des pattes d’oiseaux. L’une d’elles tient une double flûte, l’autre une lyre, la troisième dépourvue d’instrument est considérée comme la sirène chanteuse. Devant le bateau se trouve une petite barque dans laquelle se situe un pêcheur tenant une langouste au format exagéré. L’œuvre est datée des environs de 260-268 et a été découverte dans la «maison d’Ulysse et les pirates» sur le site de Dougga. Source : Mohamed Yacoub, Splendeurs des mosaïques de Tunisie, éd. Agence nationale du patrimoine, Tunis, 1995.

Mouron rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/505a0e56-mouron-rouge

Mouron rouge

Le Mouron rouge (The Scarlet Pimpernel) est une série de neuf romans populaires anglais, apparentés au roman de cape et d’épée, au roman historique et au roman d'espionnage, écrits par la baronne Orczy (1865-1947). Jouée au théâtre à partir de 1903 et adaptée peu après sous forme de romans, traduite dans de nombreux pays, adaptée au cinéma et à la télévision, cette œuvre fait figure de grand classique. Le héros, Sir Percy Blakeney, signe traditionnellement ses exploits d'une courte missive ornée d'une signature agrémentée d'une fleur écarlate : le mouron rouge (Anagallis arvensis).

Musée archéologique de Dijon. Source : http://data.abuledu.org/URI/5820b5f0-musee-archeologique-de-dijon

Musée archéologique de Dijon

Musée archéologique de Dijon : barque votive en bronze du Ier siècle ap.J-C. découverte à Blessey en 1763. Proue et poupe ornées d'un motif en forme de col et de queue de cygne. Un rameur est encore en place.

Ordre dorique en architecture. Source : http://data.abuledu.org/URI/5102a091-ordre-dorique-en-architecture

Ordre dorique en architecture

Ordre dorique en architecture : 1) Tympan du fronton, 2) Acrotère, 3) Cimaise (du fronton), 4) Corniche, 5) Mutule, 6) Geison, 7) Frise, 8) Triglyphe, 9) Métope, 10) Larmier, 11) Goutte, 12) Réglet (ou Regula), 13) Architrave, 14) Chapiteau, 15) Abaque, 16) Échine, 17) Colonne, 18) Cannelures, 19) Stylobate. Le prototype de la colonne dorique est une colonne de bois surmontée d'une pierre lisse ou granuleuse, qui deviendra le chapiteau (à Olympie, Pausanias, voyageur du IIe siècle, a vu des colonnes originales en bois du temple d'Héra encore en place). Les colonnes doriques les plus anciennes étaient très trapues (premier temple d'Aphaia à Égine), puis elles s'affinent avec le temps. De même le chapiteau, très aplati, se redresse et, à l'époque hellénistique, s'écarte à peine du fût. La hauteur de la colonne, comparée au diamètre inférieur, varie entre 4 diamètres et 5 diamètres 3/4 ; la dimension des entrecolonnements est de 1 diamètre environ ; le rapport de l'entablement à la colonne est à peu près de 1 à 3 ; la hauteur de l'architrave est généralement de 3/4 de diamètre ; celle de la frise, de un diamètre ; celle de la corniche, d'1/4 de diamètre ; celle du chapiteau, y compris l'échine, le tailloir et les filets, d'1/2 diamètre. Le nombre de cannelures du fût varie de seize à vingt-quatre. Chaque triglyphe tombe à l'aplomb du milieu de chaque colonne et du milieu de chaque entrecolonnement, excepté le triglyphe de chaque extrémité, qui se trouve rapporté à l'angle de l'entablement. Outre ces différences dans les proportions et les divisions, l'ordre dorique a connu, en Grèce, des variations assez remarquables de caractère et de style. La frise du Parthénon est ornée de bas-reliefs. La plus belle application qui ait été faite de ce système d'architecture se voit à Athènes, dans les Propylées et le Parthénon. L'ordre dorique est l'ordre par excellence, celui dont les autres ordres ne sont que des émanations. Ce fut le système d'architecture que les Grecs employèrent dans le plus grand nombre de leurs monuments.

Otsuzumi, tambour japonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/53315e15-otsuzumi

Otsuzumi, tambour japonais

L'Ōtsuzumi, aussi appelé ōkawa, est un tambour japonais en forme de sablier. Il s'agit d'une version plus grande du tsuzumi, ou kotsuzumi. Il est utilisé dans le théâtre japonais traditionnel et la musique folk. Son apparence et le son qu'il produit sont légèrement différents de ceux du tsuzumi. Alors que le tsuzumi est plus petit et a une peau de tambour plus ornée, l'ōtsuzumi est plus grand et sa tête prend un aspect cuir plus clair. Le son est également plus élevé et plus net en hauteur, ressemblant plus à un « pop » qu'au « pon » du tsuzumi. La structure en forme de sablier est légèrement plus grande et les têtes du tambour sont nouées très serré. L'ōtsuzumi se joue sur le côté du joueur, peut-être en raison de sa taille plus grande et de son poids plus lourd, alors que le tsuzumi se joue sur l'épaule. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C5%8Ctsuzumi

Palazzo dei Cartelloni à la gloire de Galilée à Florence. Source : http://data.abuledu.org/URI/533b1760-palazzo-dei-cartelloni-a-la-gloire-de-galilee-a-florence

Palazzo dei Cartelloni à la gloire de Galilée à Florence

Au 11 de la via sant'Antonino à Florence (Italie), l'entrée du "Palazzo dei Cartelloni" (le palais des placards, des affiches), en fait Palazzo Viviani, ornée de panneaux en latin à la gloire de Galilée (1564-1642) et d'un buste le représentant, par les soins de son élève, Vincenzo Viviani (1622-1703).

Pavillon de pirate. Source : http://data.abuledu.org/URI/51beb93b-pavillon-de-pirate

Pavillon de pirate

Pavillon de pirate (dit Jolly Roger). Dans l'imaginaire populaire et l’imagerie traditionnelle, les pavillons pirates et corsaires sont des pavillons noirs ornés d’une tête de mort surmontant deux tibias ou deux sabres entrecroisés. Le "Jolly Roger" n'a été utilisé par les pirates (d'origine anglaise ou nord-américaine) de l'Atlantique Nord et des Antilles que durant le premier quart du XVIIIe siècle.

Phare de Contis dans les Landes. Source : http://data.abuledu.org/URI/53a98b43-phare-de-contis

Phare de Contis dans les Landes

Le phare de Contis est un phare maritime de 1er ordre du littoral aquitain et un amer situé à Contis, station balnéaire de la commune de Saint-Julien-en-Born, dans le département français des Landes. Jusqu'en 1790, le plus grand des deux clochers de l'église Sainte-Marie de Mimizan sert d'amer, facilitant la navigation diurne dans cette partie du golfe de Gascogne. Il s'effondre à cette date par vétusté et manque d'entretien. En 1856, la Commission des phares décide, sous l'égide de Napoléon III, de renforcer les dispositifs de navigation dans ce secteur par la construction d'un nouveau phare, qui se situerait à égale distance de de Biarritz et d'Arcachon. La construction du phare de Contis-les-bains, comme on dit alors, est ainsi ordonnée par décret de Napoléon III en 1860. Entièrement blanc à l'origine, le phare est embelli en 1937 et orné de deux bandes noires en forme de double vis d'Archimède par le peintre Bellocq4, afin qu'il puisse aussi servir d'amer, c'est-à-dire de repère de jour à la navigation. Il se classe ainsi dans la catégorie des phares "barber's poles" (du nom des enseignes de barbier aux États-Unis) noirs et blancs, caractérisée par deux bandes noires effectuant chacune un enroulement autour du corps du phare. La première bande noire prend naissance à la base du phare au niveau de la porte ouest, la seconde bande débute à la base du phare au niveau de sa porte est. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Contis

Place de la Concorde en 1877. Source : http://data.abuledu.org/URI/524eff8a-place-de-la-concorde-en-1877

Place de la Concorde en 1877

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.279 : manuel scolaire, édition de 1904 : LA PLACE DE LA CONCORDE A PARIS. - La place de la Concorde est la plus belle et la plus monumentale de Paris. Elle est ornée de colossales statues en pierre qui représentent les principales grandes villes de France, entre lesquelles la concorde doit régner.

Plaque d'égout en 1901. Source : http://data.abuledu.org/URI/534f8b19-plaque-d-egout-en-1901

Plaque d'égout en 1901

Également connue sous le nom de regard de chaussée, la plaque d'égout constitue le couvercle de la bouche d'égout. Sa vocation est prioritairement utilitaire et sécuritaire : il s'agit de limiter l'accès des réseaux d'assainissement souterrains aux seuls professionnels (égoutiers) et d'éviter les accidents sur la voie publique. Son poids est pour ce faire élevé : plus de 50 kg. Il permet ainsi de maintenir la plaque en place quand la circulation routière passe au-dessus d'elle et s'explique par sa composition qui est souvent en fonte, parfois même avec des incrustations de béton ou d'enrobé (pour maintenir la continuité de la surface de la chaussée, et ainsi éviter la perte d'adhérence lorsque des véhicules ou personnes passent dessus). Cela les rend peu onéreuses et robustes, quoique lourdes. Elles sont souvent percées d'un trou qui permet de les soulever grâce à un outil comme un crochet léger, un té d'égoutier ou encore une barre à mine ou une pioche. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Plaque_d%27%C3%A9gout

Reflets dans le Palais de Cristal. Source : http://data.abuledu.org/URI/5394cb71-reflets-dans-le-palais-de-cristal

Reflets dans le Palais de Cristal

Reflets dans le Palais de Cristal, structure faite de verre et de métal, située dans le parc du Retiro à Madrid. Il a été construit en 1887 pour accueillir une exposition de la faune et de la flore des Philippines. Son architecte fut Ricardo Velázquez Bosco. Le palais de cristal est construit sur un plan en croix grecque. Sa base est en brique ornée de céramiques. Sa coupole mesure 22 mètres de haut, elle est influencée par les constructions de Joseph Paxton, l'architecte du Crystal Palace. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Palais_de_Cristal_%28Madrid%29 Le palais a été conçu pour pouvoir être réédifié dans un autre site, il a finalement été remanié sur place dans son apparence d'origine, il est fréquemment utilisé pour des expositions artistiques.

Roseraie du château de Losse en Périgord. Source : http://data.abuledu.org/URI/510d80c1-roseraie-du-chateau-de-losse-en-perigord

Roseraie du château de Losse en Périgord

Chateau et Jardins de Losse à Montignac-Lascaux (Dordogne). Situé en Périgord à 5 km de Montignac-Lascaux en direction des Eyzies (à 18 km), le château domine la Vallée de la Vézère. Enfermée dans des murailles bordées de douves profondes, la forteresse médiévale construite en à-pic sur la rivière a fait place en 1576 à un château de plaisance, de style Renaissance et selon le souhait de Jean de Losse. La délicate sculpture des façades et la justesse de proportion des volumes forment un écrin pour le beau décor et le remarquable mobilier d’époque XVIe et XVIIe siècles qui ornent les appartements. Sur les remparts le quotidien de l’époque est aussi évoqué dans la tour de l’éperon (XIVe siècle) avec l’étuve et la chambre de repos. La promenade dans les chambres de verdure des Jardins en terrasse ornées de plantes parfumées mène à une superbe vue sur la rivière. Les jardins ont le label « Jardin remarquable ».

Salamandre du Pont Alexandre III à Paris. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cd775-salamandre-du-pont-alexandre-iii-a-paris

Salamandre du Pont Alexandre III à Paris

Salamandre du Pont Alexandre III à Paris : bollard d'amarrage métallique orné d'un lézard doré (salamandre ?), à coté du Pont Alexandre III dans le 8e arrondissement de Paris.

Serpentaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/5051a724-serpentaire

Serpentaire

Le Messager sagittaire (Sagittarius serpentarius) est le nom officiel donné par la CINFO à l'espèce d'oiseau le plus souvent appelé Secrétaire ou sous la forme ambiguë de Serpentaire. C'est le seul représentant de la famille des Sagittariidae. Ce rapace diurne mesure entre 125–150 cm. Il a un bec crochu et ses longues pattes d'échassier ressemblent à celles de la cigogne. Sa nuque est ornée de longues plumes noires formant une huppe lâche derrière la tête, et sa queue porte de longues rectrices médianes. Pour s'envoler il est contraint d'entamer une course. Mais une fois en altitude, il plane aisément.

Tête d'autruche, bec ouvert. Source : http://data.abuledu.org/URI/53879495-tete-d-autruche-bec-ouvert

Tête d'autruche, bec ouvert

Tête d'autruche bec ouvert. Les yeux de l'autruche sont gros par rapport aux dimensions de la tête, et ornés de longs cils. Le régime alimentaire des autruches, principalement végétarien, est très varié. Il se compose de jeunes pousses, de graines, de fruits, mais aussi de petits animaux (mammifères et vers en particulier). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Autruche_d%27Afrique

Viaduc ferroviaire Séjourné à Fontpédrouse. Source : http://data.abuledu.org/URI/564590a5-viaduc-sejourne-a-fontpedrouse

Viaduc ferroviaire Séjourné à Fontpédrouse

Le train jaune pour la Cerdagne sur le Pont Séjourné, viaduc de la ligne de Cerdagne, sur la commune de Fontpédrouse (Pyrénées-Orientales, Languedoc-Roussillon, France) : pont à deux étages d'une longueur de 236,70 m séparés par un tablier intermédiaire. La partie centrale, qui enjambe le torrent, est encadrée par deux piles carrées ornées en leur sommet de créneaux. À l'étage inférieur, elle présente un grand arc ogival, d'une ouverture de 30 m pour une hauteur par rapport au torrent de 35 m. Cet arc, dont la clé de voûte touche le tablier de séparation des deux étages, porte, de part et d'autre de sa clef de voûte, deux arcs secondaires soutenant eux-aussi ce tablier intermédiaire. Sur ce premier étage se dressent quatre arcs, soutenant le tablier de la voie ferrée, prenant appui sur les deux grosses piles carrées encadrant la travée principale, ainsi que sur trois piles s'élevant par dessus l'arc ogival de l'étage inférieur. Enfin, deux viaducs d'approche avec arcs en plein cintre en maçonnerie encadrent cette partie centrale. Il a été conçu par Paul Séjourné, ingénieur français. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pont_S%C3%A9journ%C3%A9

Virginal anglais de 1641. Source : http://data.abuledu.org/URI/53343a9a-virginal

Virginal anglais de 1641

Virginal de Gabriel Townsend, Londres 1641 (Bruxelles, Musée des Instruments de Musique). La décoration est très recherchée : des moulures rapportées ou taillées dans la masse structurent le décor de la caisse en y délimitant des panneaux rectangulaires, octogonaux ... La partie frontale, la boîte à clavier et l'alentour de la table d'harmonie sont ornées de papier gaufré et doré ; l'intérieur du couvercle et celui du portillon reçoivent une décoration peinte figurant un parc à l'anglaise (St James' Park). La table d'harmonie est peinte à la façon flamande (avec fleurs et oiseaux) ; les rosaces (de une à quatre) sont en bois ou parchemin doré, avec motifs géométriques, entourées de couronnes florales peintes très travaillées. Le nom du facteur et la date, parfois le lieu, sont inscrits à l'avant du chapiteau. "Virginal" (mot venant peut-être du bas latin Virga, vergette), était employé en Angleterre pour désigner le clavecin. À partir de 1650 les termes harpsichord et spinet ont été préférés. Le virginal est un instrument de musique à « vergettes » (sautereaux), de la famille des instruments à clavier et à cordes pincées qui comprend également le clavecin et l'épinette. L'apparition la plus ancienne du terme se situerait en 1460 dans le "Tractatus de Musica" de Paulus Paulinirus. Sa forme est celle d'un coffre, avec un clavier rentrant dans une niche appelée boîte à clavier. La disposition clavier/plan de cordage du virginal flamand est d'origine italienne. Il n'a qu'un seul clavier. L'unique rang de cordes chromatiques permet de disposer les cordes, en travers de la touche du clavier (angle de 10 degrés) plutôt que dans le prolongement de la touche comme dans le clavecin — c'est également le cas des épinettes à l'italienne, dont les cordes sont en biais. Il y a une corde par note, les cordes consécutives sont rassemblées par deux. Il y a une corde à gauche et une à droite dans la travée recevant deux sautereaux alternés. C'est la travée double. Par exemple Mi bémol à gauche et Mi à droite. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_du_clavecin