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Dessins et plans, Informatique, Logiciels, Commercialisation, Concepts, Développeurs de logiciels, Fichiers (informatique) -- Mise à jour, Logiciels -- Développement, Production, Réalisateurs de logiciels, SAV
Schéma montrant la chaîne de production en cascade d'un logiciel : 1) conceptualisation ; 2) preuve du concept (intérêt, utilité du logiciel...) ; 3) développement ; 4) réalisation et commercialisation ; 5) support (SAV) et amélioration du logiciel (mises à jour...).
Dessins et plans, Communication, Linguistique, Analyse de contenu (communication), Communication et technologie, Communications militaires, Communication téléphonique, Compétence de communication (linguistique), Messages chiffrés, Transmissions
Le modèle de Claude Shannon et Weaver désigne un modèle linéaire simple de la communication : cette dernière y est réduite à sa plus simple expression, la transmission d'un message. On peut résumer ce modèle en : Un émetteur, grâce à un codage, envoie un message à un récepteur qui effectue le décodage dans un contexte perturbé de bruit. Apparu dans "Théorie mathématique de la communication" (1948), ce schéma sert à deux mathématiciens Claude Shannon (père entre autres de nombreux concepts informatiques modernes) et Warren Weaver (scientifique versé tant dans la vulgarisation que la direction de grands instituts), à illustrer le travail de mesure de l'information entrepris pendant la Seconde Guerre mondiale par Claude Shannon (ce dernier a été embauché par Weaver à l'Office of Scientific Research and Development pour découvrir, dans le code ennemi, les parties chiffrées du signal au milieu du brouillage). À l'origine, les recherches de Shannon ne concernent pas la communication, mais bien le renseignement militaire. C'est Weaver qui a "traduit" la notion de brouillage par celle de "bruit", la notion de signal par "message", la notion de codeur par "émetteur", la notion de décodeur par "récepteur". Jusqu'à la fin de sa vie, Claude Shannon se défendra contre la reprise du soi-disant modèle pour autre chose que des considérations mathématiques. Le modèle dit de Shannon et Weaver n'a en effet de prétention qu'illustrative. Mais il a souvent été pris au pied de la lettre, révélant alors la forte influence béhavioriste du modèle de Pavlov (stimulus-réponse).
Combinaison d'innovations et de concepts aboutissant à un objet nouveau : la brouette. Source : Bertand GILLE, Petite question et grand problème : la brouette, LA RECHERCHE en histoire des sciences.
Dessins et plans, Communication orale, Expression émotionnelle, Communication, Arts du langage, Communication en sciences humaines, Communication non-verbale, Congruence (philosophie), Expression corporelle, Expression du visage, Voix -- Registres
Pyramide des besoins de communication d'après Albert Mehrabian. 7% verbal, ex. concepts (mots ou verbes pour formuler des émotions morales ou esthétiques ; 38% vocal, ex. intonations perçues (niveau sonore et rythme de la voix) ; 55% visuel, ex. expressions du visage et langage corporel (mouvements et postures). La « règle du 7 % - 38 % - 55 % », également appelée « règle des 3V » est basée sur deux études publiées en 19671 et signifie que : 7 % de la communication est verbale (par la signification des mots), 38 % de la communication est vocale (intonation et son de la voix), 55 % de la communication est visuelle (expressions du visage et du langage corporel). L'expérience d'Albert Mehrabian consistait à estimer l'importance relative des mots, de la voix et des expressions du visage dans l'établissement, l'appréciation ou le rejet de quelqu'un, par exemple lors d'un entretien d'embauche, d'un rendez-vous amoureux ou d'une opération de vente. Généraliser à tout type de message et toutes les situations de communication serait abusif. Pour parler efficacement et significativement de nos émotions, ces 3 formes de communication doivent correspondre entre elles (on parle de congruence). Dans le cas contraire, la personne qui nous écoute peut être troublée par deux messages venant de deux façons différentes et se contredisant (on parle d'incongruence).