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Communication linéaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/51ee657f-communication-lineaire

Communication linéaire

Le modèle de Claude Shannon et Weaver désigne un modèle linéaire simple de la communication : cette dernière y est réduite à sa plus simple expression, la transmission d'un message. On peut résumer ce modèle en : Un émetteur, grâce à un codage, envoie un message à un récepteur qui effectue le décodage dans un contexte perturbé de bruit. Apparu dans "Théorie mathématique de la communication" (1948), ce schéma sert à deux mathématiciens Claude Shannon (père entre autres de nombreux concepts informatiques modernes) et Warren Weaver (scientifique versé tant dans la vulgarisation que la direction de grands instituts), à illustrer le travail de mesure de l'information entrepris pendant la Seconde Guerre mondiale par Claude Shannon (ce dernier a été embauché par Weaver à l'Office of Scientific Research and Development pour découvrir, dans le code ennemi, les parties chiffrées du signal au milieu du brouillage). À l'origine, les recherches de Shannon ne concernent pas la communication, mais bien le renseignement militaire. C'est Weaver qui a "traduit" la notion de brouillage par celle de "bruit", la notion de signal par "message", la notion de codeur par "émetteur", la notion de décodeur par "récepteur". Jusqu'à la fin de sa vie, Claude Shannon se défendra contre la reprise du soi-disant modèle pour autre chose que des considérations mathématiques. Le modèle dit de Shannon et Weaver n'a en effet de prétention qu'illustrative. Mais il a souvent été pris au pied de la lettre, révélant alors la forte influence béhavioriste du modèle de Pavlov (stimulus-réponse).

Cartographie forestière. Source : http://data.abuledu.org/URI/513a1f80-cartographie-forestiere

Cartographie forestière

Transect dans une forêt mesuré par la technologie "Field-Map": Field-Map est une technologie utilisée pour la cartographie, collecte et le traitement des données de terrain. Il est principalement utilisé pour la cartographie des écosystèmes forestiers en temps réel et la collecte des données lors des examens sur le terrain. L'application travaille avec la base de données relationnelle multi-niveaux et fournit également une bonne communication avec des périphériques externes tels que le GPS, le télémètre laser et l'inclinomètre. Le transect (diagramme en profil) est une ligne virtuelle qui montre le profil du terrain ainsi que les profils des arbres et couronnes.

Causes de l'épuisement professionnel. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d23d04-causes-de-l-epuisement-professionnel

Causes de l'épuisement professionnel

Schéma des causes de syndrome d'épuisement professionnel d'après le modèle de recherche de Carol Cordes et Thomas Dougherty (Carol Cordes, Thomas Dougherty, Academy of Management Review, vol. 18 : "integration of research on job burnout", 1993 ISSN 0363-7425, p. 621–656). Les variables génératrices du syndrome d’épuisement professionnel se situent schématiquement à trois niveaux : organisationnel, interindividuel et intraindividuel. Il est à noter que le rôle des technologies de l'information et de la communication (TIC) est de plus en plus discuté par les sociologues. En effet, leur évolution pourrait contribuer au mélange des plages de travail et de repos (phénomène de "weisure = work + leisure"), conduisant ainsi à un enchainement inintérompu des causes sous-citées. Au niveau organisationnel, on étudie l’influence du contenu de l’activité et celle du contexte dans lequel elle se déroule. Au niveau interindividuel, c’est principalement l’effet de relations déséquilibrées, injustes, des conflits, mais aussi du soutien social ou de son absence qui est étudié. Étant donné le nombre élevé des emplois de services où les relations avec autrui sont capitales, ces variables sont importantes. La théorie de l’équité, celles du support social et de l’affiliation fournissent à ce niveau des grilles de lecture pertinentes. les caractéristiques individuelles jouent un rôle essentiel dans l’émergence de la réaction de stress. L’évaluation d’un stresseur (comme une tâche supplémentaire à réaliser, des horaires de travail qui changent, une organisation de travail différente, etc.) varie d’un individu à l’autre. Certains peuvent y voir un défi permettant d’exercer leurs compétences, d’autres ne retiennent que la menace. En outre, les caractéristiques individuelles agissent sur les capacités de faire face à ces exigences, sur les ressources que l’individu cherche à mobiliser. Certains se sentent plus aptes que d’autres à contrôler la situation, à mobiliser le soutien de leurs collègues et à utiliser ce support efficacement. Au niveau individuel, on s’intéresse aussi à la sphère attitudinale, notamment aux attentes des individus, ou à l’écart entre attentes et réalité de travail. Les variables sociodémographiques sont également prises en compte, lorsqu’on étudie les différences entre hommes et femmes, l’influence de l’âge, du sexe ou du statut matrimonial. Il va sans dire que, quel que soit le niveau d’analyse, on recherche les facteurs qui déclenchent le processus de "burnout", mais aussi ceux qui freinent sa progression. Les ressources disponibles ralentissent l’évolution du processus.

Conférence sur le logiciel libre au MIT en 2014. Source : http://data.abuledu.org/URI/53e8f514-conference-sur-le-logiciel-libre-au-mit-en-2014

Conférence sur le logiciel libre au MIT en 2014

Conférence sur le logiciel libre à l'Institut de Technologie du Massachusetts en 2014 : "LibrePlanet".

Les 5 Piliers de la 3ème Révolution industrielle selon J. Rifkin. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cb2cd4-les-5-piliers-de-la-3eme-revolution-industrielle-selon-j-rifkin

Les 5 Piliers de la 3ème Révolution industrielle selon J. Rifkin

Les 5 piliers nécessaires à la troisième révolution industrielle telle que présentée dans le projet de Jeremy Rifkin. Pour lui ces 5 piliers sont également indispensables et doivent être mis en œuvre ensemble. Un défaillance ou un retard de l'un des piliers empêcherait le développement des autres. L’expression « troisième révolution industrielle » (TRI), popularisée par Jeremy Rifkin désigne une nouvelle révolution industrielle et économique, peut-être déjà entamée. Elle est fondée sur une production d'énergie non plus « centralisée », mais « distribuée », l'énergie circulant dans le réseau de manière « intelligente », un peu comme l'information circule dans l'Internet. Des prospectivistes tels que J. Rifkin la jugent nécessaire et urgente pour notamment répondre à la diminution de la production de pétrole et pour une transition vers un développement plus soutenable nécessitant une « économie décarbonée » (produisant moins de gaz à effet de serre). L'enjeu est aussi la survie des écosystèmes et donc de l'humanité qui en dépend et Rifkin ne voit pas de « Plan B ». Elle a été récemment rendue possible par les progrès des Nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC) mais reste à mettre en œuvre. En 2007, le Parlement européen a officiellement adopté cette vision. Ces 5 piliers sont : 1) La transition d'un régime d'énergies carbonées ou nucléaire vers les énergies renouvelables. 2) Reconfigurer les infrastructures et bâtiments (180 millions de bâtiments rien qu'en Europe) en mini-centrales électriques collectant in situ des énergies renouvelables ; au profit d’une production décentralisée d’énergies, proche des endroits où on en a besoin. 3) « installer dans chaque bâtiment et dans toute infrastructure de la société des technologies de l'hydrogène et d'autres moyens de stockage pour conserver l'énergie renouvelable intermittente et garantir la satisfaction de la demande par une offre fiable et continue d'électricité verte ». 4) le développement de "Smart grids" et "intergrids" grâce à une technologie inspirée d’Internet connectant les réseaux énergétiques et électriques (devenus bi-directionnels) en un réseau unique et intelligent. Le réseau électrique sera son propre réseau informationnel. Ceci implique que toutes les mini-centrales de productions d'énergie soient équipés d'un module électronique dans un esprit d'interopérabilité. 5) la transition des flottes de transport vers des véhicules hybrides ou à pile à combustible, pour tous les véhicules motorisés, chaque véhicule pouvant acheter et vendre de l'électricité en se connectant au réseau Smart grid. Ce réseau est continental et marin (hydrogène ou électricité produits par les éoliennes offshore eténergies marines. Il est ouvert et interactif ; chaque batterie ou réservoir d’hydrogène de véhicule ou navire y joue aussi potentiellement : 1) un rôle de réservoir « tampon » du réseau, et 2) un rôle de transporteur d'énergie. Tout véhicule connectable peut - selon les moments - prélever de l'énergie dans le réseau, ou lui en fournir (à partir de ses réserves inutilisées et/ou à partir de modules photovoltaïques.

Traçabilité des produits toxiques utilisés par les pompiers. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c25962-tracabilite-des-produits-toxiques-utilises-par-les-pompiers

Traçabilité des produits toxiques utilisés par les pompiers

Page 18 du livret des pompiers utilisé en 2005 dans le Service de lutte contre l'incendie en zone rurale des "New South Wales" (HAZCHEM). L'un des gages de bonne traçabilité et de bonne gestion des risques dans le cas de produits toxiques ou dangereux est un inventaire précis et bien mis à jour. La traçabilité désigne la situation où l'on dispose de l'information nécessaire et suffisante pour connaitre (éventuellement de façon rétrospective) la composition d'un matériau ou d'un produit tout au long de sa chaîne de production et de distribution. Et ce, en quelque endroit que ce soit, et depuis l'origine première du produit jusqu'à sa fin de vie, soit comme le dit l'adage :« du berceau jusqu'à la tombe » pour les produits industriels, ou « de la fourche à la fourchette » pour un produit alimentaire. Les règles et bonnes pratiques en matière de traçabilité sont déterminées par des normes et/ou des organismes de Contrôle nationaux ou internationaux.