Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Photographie | Navires de commerce | Dessins et plans | Commerce maritime | Architecture | La Rochelle (Charente-Maritime) | Dix-septième siècle | Moyens de transport | Musées -- Aspect éducatif | Navires marchands | Bateaux -- Maquettes | Histoire maritime | Magasins d'alimentation | Fromage -- Industrie et commerce | Devises héraldiques | Humour | Magasins -- Vitrines | Fromageries | Musées historiques | Navigation -- Histoire | ...
Commerce triangulaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/52962c8d-commerce-triangulaire

Commerce triangulaire

Commerce triangulaire entre l'Europe occidentale, l'Afrique subsaharienne et les Amériques. Le commerce triangulaire, aussi appelé traite atlantique ou traite occidentale, est une traite négrière menée au moyen d'échanges entre l'Europe, l'Afrique et les Amériques, pour assurer la distribution d'esclaves noirs aux colonies du Nouveau Monde (continent américain), pour approvisionner l'Europe en produits de ces colonies et pour fournir à l'Afrique des produits européens et américains.

Le conte du chat de Mr. Whittington. Source : http://data.abuledu.org/URI/508162dc-le-conte-du-chat-de-mr-whittington

Le conte du chat de Mr. Whittington

Illustration du conte anglais "Le chat de Mr. Whittington" de Joseph Jacobs, 1892, par Batten : les marins débarquent toutes les richesses offertes en échange du chat mangeur de rats de Dick Whittington.

Caboteur. Source : http://data.abuledu.org/URI/51b7191f-caboteur

Caboteur

Navire côtier.

Carte de la Mer Blanche. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e74d09-carte-de-la-mer-blanche

Carte de la Mer Blanche

Carte du XVIIIème siècle de la Mer Blanche avec la Dvina, par Samuel Thornton, cartographe anglais du XVIIIème siècle. La mer Blanche s'étend sur 95 000 km2 au nord-ouest de la Russie, au sud de la mer de Barents ; elle constitue une dépendance de l'océan Arctique. L'été y dure de début juin à fin août. Mais dans la partie nord de la mer, il ne dépasse pas un mois et demi. Sa température évolue de 0,5° C à –2 °C l'hiver et de 12 °C à 15 °C l'été. Les glaces apparaissent dès octobre et forment des champs de glace à partir de la mi-novembre. Les animaux des régions polaires viennent alors s'y réfugier : le phoque du Groenland, le chien de mer et le veau marin. La fonte des neiges commence en avril et les glaces disparaissent en mai. Mais, à cause des vents du nord, on peut rencontrer des « glaçons » flottants jusqu'à fin juin. Au printemps, sous l'action des vents du sud et des courants, des animaux sont emportés sur leur morceau de glace vers l'Océan. Ils sont alors abattus par les habitants de la côte qui se déplacent dans des canots à patins. Le port important d'Arkhangelsk se trouve sur la mer Blanche. Pendant une bonne partie de l'histoire de la Russie, ce fut le principal centre de commerce international maritime. À l'époque moderne, ce port est devenu une base navale et sous-marine soviétique.

Entrée du Musée des Beaux-Arts de La Rochelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5821f932-entree-du-musee-des-beaux-arts-de-la-rochelle

Entrée du Musée des Beaux-Arts de La Rochelle

Entrée du Musée des Beaux-Arts de La Rochelle-17. Hôtel Crussol d’Uzès, palais épiscopal construit sous Louis XVI : "Servabor rectore deo", "Je serais gardé Dieu étant mon guide" ou "Je sais préserver avec Dieu pour pilote" selon les auteurs. Armes et devise sont une allusion à la prospérité de son port et de son commerce maritime.

Façade de fromagerie à La Rochelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5821fbe2-facade-de-fromagerie-a-la-rochelle

Façade de fromagerie à La Rochelle

Façade de fromagerie à La Rochelle-17.

Maquette de navire marchand du XVIIème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/548422d6-maquette-de-navire-marchand-du-xviieme-siecle

Maquette de navire marchand du XVIIème siècle

Maquette de navire marchand britannique (400 tonnes) du XVIIème siècle.

Musée Schoelcher de Pointe-à-Pitre. Source : http://data.abuledu.org/URI/529644d6-musee-schoelcher-de-pointe-a-pitre

Musée Schoelcher de Pointe-à-Pitre

Entrée du musée Schœlcher de Pointe-à-Pitre. Au lendemain de l’abolition de l'esclavage en 1848, les planteurs guadeloupéens, à la recherche de main-d’œuvre étrangère explorent plusieurs possibilités. Napoléon III signe la Convention sur l’immigration indienne le 1er juillet 1861. Le «Bombay Gazette» du 15 juin 1858 décrit les individus confinés dans les dépôts comme des pauvres, ignorants et illettrés pour l’essentiel, «nés dans la liberté, prêts à être déportés dans des colonies où l’esclavage a été aboli mais où ils deviendront esclaves». Ce commerce humain est une affaire lucrative pour la Compagnie générale maritime signataire d'un contrat rémunérateur avec le Ministère de la Marine. Leurs conditions de vie misérables deviennent vite dramatiques, et sont qualifiées de « New system of slavery » par le gouvernement britannique, qui, conscient des sévices commis sur ses sujets aux Antilles françaises signe le 1er novembre 1888 l’arrêt de ce mouvement migratoire. Il existe une énorme surmortalité, soit 61,4 pour mille entre 1855 et 1885. Victor Schoelcher déclare que « l’immigration consomme presque autant de créatures humaines que l’esclavage ». Le rapatriement au terme du contrat est rare au début. En 1923, suite à un long procès 1904-1923, Henry Sidambarom (1863-1952), défenseur de la cause des travailleurs indiens, obtient la nationalisation pour les indiens de la Guadeloupe. En 1925, Raymond Poincaré, Président du Conseil, décide d'octroyer définitivement la nationalité française aux ressortissants indiens ainsi que le droit de vote.

Routes commerciales maritimes. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c3f1cc-routes-commerciales-maritimes

Routes commerciales maritimes

Routes commerciales empruntées par les navires entre l'Angleterre et l'Australie-Nouvelle Zélande du XVIIIe au XXe siècle. Dessiné par Jérôme BLUM le 22 juillet 2006, inspiré par la version anglaise. La carte de fond est dans le domaine public. Elle est issue du projet Visible Earth de l'observatoire de la Terre de la NASA. Source : http://visibleearth.nasa.gov/view.php?id=57752. Les vents des quarantièmes rugissants ont joué un rôle significatif dans le choix de la route suivie par les clippers et donc sur le commerce entre l'Europe, l'Amérique du Sud et l'Orient. Wellington est la seule capitale nationale située dans les latitudes des quarantièmes rugissants. Elle est surnommée « Windy Wellington » ou « Windy Welly » à cause du fort vent omniprésent accentué par l'effet Venturi de sa position sur le détroit entre les deux îles principales de Nouvelle-Zélande. L'île de Tasmanie, l'État le plus méridional de l'Australie, est située entièrement dans les quarantièmes rugissants et a, par conséquent, un littoral occidental moins peuplé et balayé par les vents. De même, le sud de l'Amérique du Sud, la Patagonie, est continuellement balayé par les vents des Quarantièmes rugissants et des Cinquantièmes hurlants. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Quaranti%C3%A8mes_rugissants.

Tour génoise de la Parata à Ajaccio. Source : http://data.abuledu.org/URI/51caa47f-tour-genoise-de-la-parata-a-ajaccio

Tour génoise de la Parata à Ajaccio

Tour génoise de La Parata à Ajaccio (1550). La garnison d'une tour se constituait de deux à six hommes (les torregiani) recrutés parmi les habitants et payés sur les taxes locales. Ces gardiens devaient résider en permanence dans la tour. Ils ne pouvaient s'en éloigner que deux jours maximum, pour le ravitaillement et la paye, et un par un. Ils assuraient la vigie avec les feux et signaux réglementaires: ils montaient matin et soir sur la plate-forme, renseignaient navigateurs, bergers et laboureurs sur la sécurité, communiquaient par feux avec les tours les plus proches astucieusement positionnées à portée de vue, et surveillaient l'arrivée d'éventuels pirates. En cas d'alerte, le signal donné sur la terrasse au sommet de la tour, sous forme de fumée, de feu ou d'un son de culombu (grande conque marine), prévenait les environs de l'approche d'un navire hostile. S'ensuivait le repli général des bêtes et des gens vers l'intérieur. Les deux tours les plus proches s'allumaient alors et ainsi de suite, ce qui permettait de mettre toute l'île en alerte en quelques heures. Les tours étaient toujours insuffisamment armées. Elles servaient principalement de postes douaniers et d'amers. Les torregiani négligeaient souvent leur rôle militaire, pour se concentrer sur le contrôle du commerce maritime et la perception de diverses taxes. Ils pratiquaient aussi le négoce du bois et l'agriculture sur les terres environnantes.