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Photographie | Taro | Colocasia esculenta | Alimentation | Botanique | Plantes tropicales | Aracées | Nelumbonaceae | Cultures tropicales | Kerala (Inde) | Nouvelles Hébrides | Aliments -- Marchés publics | Physique | Lotus des Indes | Marchés de plein air | Cuticules végétales | Auto-nettoyage | Surfaces hydrophobes | Microorganismes -- Adhésivité | Nelumbo | ...
Culture du Taro. Source : http://data.abuledu.org/URI/529bba76-culture-du-taro-

Culture du Taro

Culture du Taro (Colocasia esculenta) à Keanae, Maui, Hawaii (août 2002). La plantation doit être faite au début de la saison des pluies. On l'associe avec d'autres plantes telles que l'igname et l'aubergine. Son cycle végétatif s'étend de 8 à 18 mois. La plante exige une humidité suffisante du sol. On récolte les jeunes feuilles dès que le besoin se fait sentir. La récolte des tubercules peut s'effectuer dès que les feuilles les plus âgées dépérissent : 6 à 7 mois après plantation pour le taro. La production est très souvent vivrière, assez rarement commercialisée.

Culture du Taro à Madagascar. Source : http://data.abuledu.org/URI/529bbb19-culture-du-taro-a-madagascar

Culture du Taro à Madagascar

Culture du taro (Colocasia esculenta) à Madagascar.

Feuilles de Taro au Jardin Botanique de Madeira. Source : http://data.abuledu.org/URI/55088d44-feuilles-de-taro-au-jardin-botanique-de-madeira

Feuilles de Taro au Jardin Botanique de Madeira

Feuilles de Taro (Colocasia esculenta), au Jardin Botanique de Madère au Portugal.

Parties comestibles du Taro. Source : http://data.abuledu.org/URI/529bb8bf-parties-comestibles-du-taro

Parties comestibles du Taro

Parties comestibles du Taro (Colocasia esculenta). Le taro est apprécié en Afrique occidentale, en Chine, en Polynésie, dans les îles de l'océan Indien et dans les Antilles. La récolte mondiale avoisine 9,2 millions de tonnes (FAO 2002), les principaux producteurs étant le Nigeria, le Ghana, la Chine et la Côte d'Ivoire. À Madagascar, les champs de taro sont reconnaissables de loin, grâce aux trous circulaires faits autour de chaque pied de taro pour favoriser le développement du tubercule.

Pétioles et rhizomes de Taro. Source : http://data.abuledu.org/URI/529bb828-petioles-et-rhizomes-de-taro

Pétioles et rhizomes de Taro

Pétioles et rhizomes de Taro (Colocasia esculenta). Colocasia esculenta est une plante de la famille des Aracées, généralement connue sous le nom vernaculaire générique de taro et cultivée dans les régions tropicales pour sa racine épaissie en gros tubercule farineux, à la chair de couleur crème à rose, de texture sèche et goût proche de celui de la patate douce. Les feuilles se préparent comme des épinards. Le terme désigne aussi le tubercule lui-même.

Planche botanique du Taro. Source : http://data.abuledu.org/URI/55088c3e-planche-botanique-du-taro

Planche botanique du Taro

Planche botanique du Taro (Colocasia esculenta), par John Nugent Fitch, "Curtis's Botanical Magazine" (1894).

Songe à La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/529bb973-songe-a-la-reunion

Songe à La Réunion

Songe, Colocasia esculenta, novembre 2004, La Réunion : À la Réunion et à l'Ile Maurice, cette plante est connue sous le nom de songe ou arouille violette. En Guyane, Martinique et Guadeloupe on l'appelle dachine ou madère ou encore chou de Chine. Les feuilles grandes et belles, vertes plus ou moins foncées, parfois violacées, sont peltées, à limbe cordiforme à la base, parfois un peu sagittées. Le limbe peut atteindre 70 cm de longueur sur 60 cm de largeur et présente un bon effet déperlant - effet lotus. Il est porté par un long pétiole vert ou violet, engainant à la base.

Taro. Source : http://data.abuledu.org/URI/529bb787-taro

Taro

Feuilles de Taro, nom Māori du saonjo (Colocasia esculenta), Auckland, Nouvelle Zélande. Selon un très vieux proverbe malgache, c'est "l'ainé du riz" (Ny saonjo zokin'ny vary) : il constitue la base alimentaire de tous les Austronésiens, notamment des anciens Ntaolo Vazimba et Vezo.

Taro et bananes vertes au marché. Source : http://data.abuledu.org/URI/529bbc53-taro-et-bananes-vertes-au-marche

Taro et bananes vertes au marché

Taro (Colocasia esculenta) et bananes vertes au marché de Vanuatu.

Taro et gouttes d'eau à Kadavoor en Inde. Source : http://data.abuledu.org/URI/55088b42-taro-et-gouttes-d-eau-a-kadavoor-en-inde

Taro et gouttes d'eau à Kadavoor en Inde

Colocasia esculenta est une plante de la famille des Aracées, généralement connue sous le nom vernaculaire générique de taro et cultivée dans les régions tropicales pour sa racine épaissie en gros tubercule farineux, à la chair de couleur crème à rose, de texture sèche et goût proche de celui de la patate douce. Les feuilles se préparent comme des épinards. Le terme désigne aussi le tubercule lui-même. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Colocasia_esculenta

Feuilles de lotus sous la pluie.. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cdadb6-feuilles-de-lotus-sous-la-pluie-

Feuilles de lotus sous la pluie.

À la surface des feuilles de lotus se forment des gouttes d'eau brillantes et argentées (milieu de la photo), les feuilles du nénuphar (nymphéa) (à l'avant de la photo) sont complètement mouillées. Photo prise dans le jardin chnois des Jardins du monde (Gärten der Welt) à Berlin (Erholungspark Marzahn) en Allemagne. L'effet lotus est un phénomène de superhydrophobie causé par une rugosité nanométrique. Son nom provient du lotus (Nelumbo sp), dont les feuilles présentent cette caractéristique. D’autres plantes, comme les feuilles de capucine (Tropaeolum), de chou, de roseau (Phragmites), de taro (Colocasia esculenta) ou de l'ancolie, et certains animaux (par exemple les canards, plus particulièrement leurs plumes), notamment des insectes, montrent le même comportement. L'effet lotus confère à la surface des capacités autonettoyantes : en s'écoulant, les gouttes d'eau emportent avec elles les poussières et particules. La faculté d’auto-nettoyage des surfaces hydrophobes à structure microscopique et nanoscopique a été découverte dans les années 1970 et son application aux produits biomimétiques remonte au milieu des années 1990. L’origine de l’auto-nettoyage réside dans une double structure hydrophobe (c'est-à-dire qui n’absorbe pas l’eau) de la surface. Grâce à celle-ci, la surface de contact, et avec elle la force d’adhérence entre surface et eau ou particules de saleté, est si réduite que cela aboutit à un auto-nettoyage. La double structure est formée d'un épiderme. La couche extérieure s'appelle la cuticule où il y a une couche de cire. L'épiderme de la feuille forme des papilles de quelques microns sur lesquelles reposent les cires. Cette couche de cires est hydrophobe et forme la deuxième partie de la double structure. Pour la plante, la signification biologique de cet effet auto-nettoyant réside en la protection contre une colonisation par des microorganismes, des agents pathogènes ou bien des germes comme les champignons ou encore la prolifération d’algues.