Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Photographie | Musique | Dessins et plans | Berlin (Allemagne) | Géométrie | Lune | Microorganismes -- Adhésivité | Cuticules végétales | Nelumbonaceae | Nelumbo | Surfaces hydrophobes | Albert Einstein (1879-1955) | Gravure | Pacifisme | Physique | Horloges et montres | Lotus des Indes | Auto-nettoyage | Aiguilles (horlogerie) | Nuremberg (Allemagne) | ...
L'air nécessaire à la vie. Source : http://data.abuledu.org/URI/520caf58-l-air-necessaire-a-la-vie

L'air nécessaire à la vie

Die Luft, L'air nécessaire à la vie. Plaque commémorative appliquée à Celle en 1987-89 en l'honneur de l'entomologiste Jean-Henri Fabre (1823-1915).

Armoiries d'Allemagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5378e6c6-armoiries-d-allemagne

Armoiries d'Allemagne

Le blason de l'Allemagne est celui du Saint-Empire romain germanique, hérité de l'empire romain : "d'or à l'aigle de sable, armée, béquée et lampassée de gueules." La présentation usuelle aujourd'hui est celle de Tobias Schwab (1887–1967) qui date de 1926. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Armoiries_de_l%27Allemagne

Buccin antique. Source : http://data.abuledu.org/URI/533ababf-buccin

Buccin antique

Buccin du musée du Wurtemberg (Fruchtkasten, Stuttgart). Le buccin (du latin buccina ou būcina) est un instrument de musique à vent de la famille des cuivres, d’origine étrusque et en usage dans l’armée romaine antique. Le corps du buccin avait une forme semi-circulaire (la forme de la lettre « G »). Il possédait parfois un raidisseur (ou poignée) transversal. La perce était conique (comme celle du cor d’harmonie) et l’embouchure était tronconique. Le joueur de buccin est appelé « buccinateur ». Les Étrusques avaient l’habitude de conduire les troupeaux de porcs grâce à cette sorte de clairon. En dehors de la musique il était aussi utilisé pour des signaux à caractère guerrier. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Buccin_%28instrument%29

Buste de géant de conte de fées à Berlin. Source : http://data.abuledu.org/URI/545be48c-buste-de-geant-de-conte-de-fees-a-berlin

Buste de géant de conte de fées à Berlin

Buste de géant de conte de fées à Berlin, Volkspark Friedrichshain : personnage du "Rübezahl" par Georg Wrba (1872-1939). Rübezahl est un être fantastique ou géant des monts des Géants, qui peut prendre des apparences différentes, dont celle d'un moine, d'un mineur, d'un chasseur sauvage ou d'une souche d'arbre. Représenté pour la première fois en 1564, il n'est pas antérieur au XVe siècle. Son nom véritable est Seigneur de la montagne. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%BCbezahl

Cistre allemand. Source : http://data.abuledu.org/URI/532b01bd-cistre-allemande

Cistre allemand

Le cistre est un instrument à cordes pincées qui semble avoir fait son apparition vers le XVe siècle et qui est encore répandu en Europe. Héritier de la citole, le cistre connut deux périodes d'intense prédilection : 1) la plus longue dura du début du XVIe à la moitié du XVIIe siècle. Il y acquiert les caractéristiques qui sont encore les siennes de nos jours. À cette époque, la pratique du cistre est proche de celle du luth mais d'un statut inférieur, plus populaire et plus simple. Les amateurs le pratiquent assidûment, et les recueils mis à leur disposition sont nombreux. Mais, vers le milieu du XVIIe siècle, sans raison apparente, il tombe dans l'oubli. 2) vers 1770 il refait surface. Là, c'est un véritable engouement du public et pour répondre à la demande, les compositeurs vont rivaliser d'imagination, au point que la production en perd sa qualité. Un facteur imagine même d'y adapter une petite table mécanique de pianoforte et de petits marteaux actionnés par l'intermédiaire d'un clavier. Les cordes sont pincées au plectre en bec de plume, au médiator comme pour la guitare folk, ou plus rarement avec des onglets en métal comme pour la guitare dobro. Certains comme Chris Thompson utilisent un bottleneck pour jouer du blues. Le cistre est encore pratiqué en Suisse, en Autriche et en Allemagne : il fait partie de la musique folklorique ou populaire depuis des siècles, dans des versions spécifiques (waldzither, halszither).

Einstein prend les armes, 1933. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b23d6f-einstein-prend-les-armes-1933

Einstein prend les armes, 1933

Dessin de Charles Raymond, 1871-1934, légendé en anglais intitulé "Einstein se saisit de l'épée" (Einstein takes up the sword), publié dans la revue américaine "Brooklyn Eagle" en 1933. Sur le poteau, "Paix mondiale" (World Peace) reposent les deux ailes du "Pacifisme non-résistant" (Non-résistant PACIFICISM) de son engagement avant son installation aux États-Unis. Sur l'épée, est écrit le mot "Préparatifs" (Prepraredness) et Einstein retrousse ses manches. La situation s’assombrit en Allemagne dans les années 1920, et il subit des attaques visant ses origines juives et ses opinions pacifistes. Sa sécurité est menacée par la montée des mouvements nationalistes dont celle du parti nazi. Peu après l’arrivée d’Hitler au pouvoir, au début 1933, il apprend que sa maison de Caputh a été pillée par les nazis, et il décide de ne plus revenir en Allemagne. Après un court séjour sur la côte belge, il s’installe aux États-Unis, où il travaille à l’Institute for Advanced Study de Princeton.

Feuilles de lotus sous la pluie.. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cdadb6-feuilles-de-lotus-sous-la-pluie-

Feuilles de lotus sous la pluie.

À la surface des feuilles de lotus se forment des gouttes d'eau brillantes et argentées (milieu de la photo), les feuilles du nénuphar (nymphéa) (à l'avant de la photo) sont complètement mouillées. Photo prise dans le jardin chnois des Jardins du monde (Gärten der Welt) à Berlin (Erholungspark Marzahn) en Allemagne. L'effet lotus est un phénomène de superhydrophobie causé par une rugosité nanométrique. Son nom provient du lotus (Nelumbo sp), dont les feuilles présentent cette caractéristique. D’autres plantes, comme les feuilles de capucine (Tropaeolum), de chou, de roseau (Phragmites), de taro (Colocasia esculenta) ou de l'ancolie, et certains animaux (par exemple les canards, plus particulièrement leurs plumes), notamment des insectes, montrent le même comportement. L'effet lotus confère à la surface des capacités autonettoyantes : en s'écoulant, les gouttes d'eau emportent avec elles les poussières et particules. La faculté d’auto-nettoyage des surfaces hydrophobes à structure microscopique et nanoscopique a été découverte dans les années 1970 et son application aux produits biomimétiques remonte au milieu des années 1990. L’origine de l’auto-nettoyage réside dans une double structure hydrophobe (c'est-à-dire qui n’absorbe pas l’eau) de la surface. Grâce à celle-ci, la surface de contact, et avec elle la force d’adhérence entre surface et eau ou particules de saleté, est si réduite que cela aboutit à un auto-nettoyage. La double structure est formée d'un épiderme. La couche extérieure s'appelle la cuticule où il y a une couche de cire. L'épiderme de la feuille forme des papilles de quelques microns sur lesquelles reposent les cires. Cette couche de cires est hydrophobe et forme la deuxième partie de la double structure. Pour la plante, la signification biologique de cet effet auto-nettoyant réside en la protection contre une colonisation par des microorganismes, des agents pathogènes ou bien des germes comme les champignons ou encore la prolifération d’algues.

Horloge sans chiffres à Hambourg. Source : http://data.abuledu.org/URI/529b0035-horloge-sans-chiffres-a-hambourg

Horloge sans chiffres à Hambourg

Horloge sans chiffres de l'église St. Jacob à Hamburg en Allemagne. L'aiguille des heures se termine par une étoile et celle des minutes par un quartier de lune. Il est 17h23.

Parallaxe de la Lune entre Berlin et Le Cap. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ac9ffe-parallaxe-de-la-lune-entre-berlin-et-le-cap

Parallaxe de la Lune entre Berlin et Le Cap

Illustration du calcul de la parallaxe de la lune entre Berlin et Le Cap, par Lalande et Lacaille (étape 2). Durant l'année 1751, Jérôme de La Lande situé à Berlin et Nicolas-Louis de La Caille situé au Cap entreprennent une série de mesures synchrones qui permettront de déterminer avec une relative précision la parallaxe de la Lune. Ils mesurent à des jours fixés la hauteur de la Lune quand celle-ci passe au méridien. La différence de longitude entre ces deux villes est assez faible pour que l'on puisse supposer que la position de la Lune n'a pas significativement changé. La réunion de ces deux mesures permet de déterminer la parallaxe lunaire au moment de l'observation. Lalande trouve ainsi une parallaxe moyenne de 57 minutes et 26 secondes. Le principe en est expliqué par Lalande dans son traité d'astronomie.

Vielle à roue dite Hurdy Gurdy. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c4c1b-hurdy-gurdy

Vielle à roue dite Hurdy Gurdy

Hurdy Gurdy, 1700 (Germanic National Museum, Nuremberg). La vielle à roue est un instrument à cordes frottées par une roue en bois au lieu d'un archet. La roue est tournée avec une manivelle, pendant que la main gauche du musicien joue la mélodie sur un clavier. Deux cordes, appelées chanterelles, passent par le clavier ; leur longueur de vibration est changée par l'action des touches appelées sautereaux. Le sautereau est un élément du clavier de la vielle à roue qui comprend des tiges coulissantes pour chaque note. Les sautereaux sont fixés sur chaque tige par groupe de deux (deux cordes en chanterelles) et permettent, comme le doigt du violoniste, de déterminer la partie de corde vibrante. Après appui sur la tige du clavier, celle-ci est rejetée par la vibration des cordes, faisant ainsi reculer la paire de sautereaux. Un nombre variable de cordes, passant hors du clavier, émettent chacune un son, formant ainsi un accord continu : ce sont les bourdons (gros bourdon, petit bourdon, mouche et corde de chien ou trompette). Au-dessous des bourdons se trouvent parfois des cordes sympathiques qui donnent au ton un caractère plus doux. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Vielle_%C3%A0_roue. Parmi les bourdons, une corde particulière donne cette caractéristique originale de la vielle qui est de pouvoir rythmer une mélodie. Cette corde ne passe pas sur un chevalet fixe, mais repose sur une petite pièce de bois appelée le « chien », elle-même maintenue sur la table d'harmonie par la pression de la corde. Lorsque cette corde vibre suffisamment, la pièce de bois vibre alors sur la table, et génère un son comparable à un grésillement. L'instrumentiste produit cette vibration par une frappe de la manivelle, que l'on appelle détaché ou « coup de poignet ».