Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Photographie | Bretagne (France) | Dessins et plans | Gravure | Géographie | Peinture | Cartes | Histoire | Géographie linguistique | Hermine | Alimentation | Dix-neuvième siècle | Île inhabitée de France | Côtes-d'Armor (France) | Armoiries | Châteaux forts | Ducs de Bretagne | Nantes (Loire-Atlantique) -- Château des ducs de Bretagne | Botanique | Bretagne (France) -- Histoire | ...
Assiette en faïence à décor breton de Locmaria. Source : http://data.abuledu.org/URI/58585fef-assiette-en-faience-a-decor-breton-de-locmaria

Assiette en faïence à décor breton de Locmaria

Faïence de Quimper : assiette à décor de scène bretonne (Villot, Musée de la faïence de Quimper).

Basset Fauve de Bretagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/51609be7-basset-fauve-de-bretagne

Basset Fauve de Bretagne

Le basset fauve de Bretagne est une race de chien de chasse originaire de France, de Bretagne (comme l'indique son nom). Très populaire au XIXe siècle dans sa région d'origine, il a acquis sa renommée nationale dans les 30 dernières années du XXe siècle. Malgré son air farouche, c'est un chien calme et affectueux qui a souvent tendance à rechercher la compagnie des humains. Il est très gentil avec les enfants quel que soit leur âge. Son côté rustique et joueur fait qu'il s'adapte très bien à tout environnement, y compris à la ville mais à condition de l'y habituer très tôt. En tant que chien de chasse, on l'emploie surtout pour chasser le lapin de garenne. Son poil rêche lui permet de s'aventurer sans problème dans les fourrés pour y débusquer le gibier. Il est très endurant (mais attention à bien hydrater le chien en battue car les dépenses énergétiques sont très importantes. Ne pas hésiter non plus à augmenter les rations journalières). En meute, le basset fauve de Bretagne est sociable. Les conflits entre chiens sont généralement très rares. Si le cas se présente, les échauffourées sont courtes, mais suffisamment longues pour réinstaurer la hiérarchie. Le groupe est dirigé par un meneur, facilement identifiable par sa robustesse, son caractère.

Blason breton en pierre. Source : http://data.abuledu.org/URI/58588a8f-blason-breton-en-pierre

Blason breton en pierre

Brerst, Tour de la Motte-Tanguy : pierre armoiriée (blason de Bretagne). Se trouve au "Musée départemental breton" de Quimper.

Braconnage de bécasses des bois. Source : http://data.abuledu.org/URI/5134e979-braconnage-de-becasses-des-bois

Braconnage de bécasses des bois

On chassait ou braconnait autrefois la volontiers la bécasse de nuit, quand elle quitte les fourrés pour partir à la recherche de nourriture, notamment en Bretagne, illustration gravée par Yan Dargent pour les Annales forestières, « Chronique forestière », chapitre "Les oiseaux des forêts" ; année 1868, volume 7. Légende d'époque : Ces oiseaux de passage, dont les chasseurs font le plus grand cas, nous arrivent par un temps sombre, le plus souvent la nuit ; ils s'abattent dans les taillis ou les futaies, et préfèrent les bois où il y a beaucoup de terreau humide et de feuilles mortes ; ils s'y trouvent si bien cachés qu'il faut des chiens pour les faire lever. Ils quittent ces fourrés à rentrée de la nuit pour se répandre dans les clairières en suivant les sentiers. C’est là qu'on les prend facilement au lacet. En Bretagne, on leur fait la chasse d'une singulière façon. Deux hommes se réunissent pour s'embusquer dans les pâturages de la forêt, où, sous les bousards (bouses) de vache, les bécasses trouvent une ample moisson de vers. L'un porte une lanterne et une sorte d'épinette fixée à l’extrêmité d'un long manche ; l'autre une de ces sonnettes qu'on attache au cou des vaches. Les oiseaux se laissent ainsi approcher d'assez près pour les enserrer dans les mailles d'un filet. La bécasse est, comme dit Belon, « une moult grosse bête, » si elle se laisse prendre de la manière qu'il raconte et qu'il nomme folâtrerie. « Un homme couvert d'une cape couleur de feuilles sèches, marchant courbé sur deux courtes béquilles, s'approche doucement, s'arrêtant lorsque la bécasse le fixe, continuant d'aller lorsqu'elle recommence à errer jusqu'à ce qu'il la voie s'arrêter la tête basse ; alors frappant doucement de ses deux bâtons l'un contre l'autre, la bécasse s'y amusera et affolera tellement, que le chasseur l'approchera d'assez près pour lui passer un lacet au cou. » La chair de la bécasse, y compris les excréments, est une friandise pour ceux qui l'aiment. C'est le cas de rappeler le proverbe latin : Degustibus... non est disputandum. Source : Belon, Histoire de la nature des oiseaux, p. S7S /Paris, 1355, in-fol. Jean-Édouard Dargent dit Yan' Dargent (1824-1899) est un peintre et illustrateur français dont la majeure partie de l'œuvre picturale est consacrée à sa région natale, la Bretagne.

Carte de la Bretagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/573dadef-carte-de-la-bretagne

Carte de la Bretagne

Carte de la Bretagne, Johannes van Keulen (1654–1715).

Carte historique des pays de Bretagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/51cc112e-carte-historique-des-pays-de-bretagne

Carte historique des pays de Bretagne

Carte des pays traditionnels bretons.

Distribution relative des brittophones en 2004. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bc5008-distribution-relative-des-brittophones-en-2004

Distribution relative des brittophones en 2004

Distribution relative des brittophones en 2004.

Distribution relative des brittophones en 2004. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bc9ef0-distribution-relative-des-brittophones-en-2004

Distribution relative des brittophones en 2004

Distribution relative des brittophones en 2004, d'après le diagnostic de l'état de la langue bretonne mené par l'Office public de la langue bretonne.

Drapeau de Saint-Pierre and Miquelon. Source : http://data.abuledu.org/URI/52802c2b-drapeau-de-saint-pierre-and-miquelon

Drapeau de Saint-Pierre and Miquelon

Drapeau de Saint-Pierre and Miquelon : L'ikkurina figure – à côté des drapeaux de Bretagne et de Normandie – sur le drapeau (non-officiel par ailleurs) de Saint-Pierre-et-Miquelon, pour rappeler l'héritage culturel de cette île marquée par le passage des marins basques. D'après Alfred Znamierowski, le bleu représente l'Océan Atlantique et le bateau rappelle le découvreur français Jacques Cartier, qui est arrivé en 1535. Les emblèmes réunis dans la frange verticale rappellent que les colons arrivèrent du Pays Basque, de Bretagne et de Normandie.

Flamme des ducs de Bretagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5378a512-flamme-des-ducs-de-bretagne

Flamme des ducs de Bretagne

Flamme des ducs de Bretagne flottant sur le Château des Ducs à Nantes. L'écu d'hermine forme les armoiries des ducs de Bretagne et par extension du duché de Bretagne depuis son adoption par le duc Jean III en 1316. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Duch%C3%A9_de_Bretagne

Histoire des dialectes bretons. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bc9e17-histoire-des-dialectes-bretons

Histoire des dialectes bretons

Dialectes du breton et leur recul à travers les siècles : les différents tons de gris retracent la perte progressive de l'usage du breton dans les campagnes au profit du gallo, puis du français. La limite entre la Haute et la Basse Bretagne a peu à peu glissé vers l'Ouest.

Ile des Landes en Bretagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5358cc76-ile-des-landes

Ile des Landes en Bretagne

Vue panoramique de l'île des Landes depuis la pointe du Grouin. L’île des Landes est une île côtière au nord-est de la pointe du Grouin, à Cancale en Ille-et-Vilaine (Bretagne), pointe à laquelle elle est géologiquement liée. C'est une réserve ornithologique qui compterait plus de 1000 couples de goélands. L'île a une longueur d'un peu plus de 1100 mètres pour une largeur maximale d'à peine 100 mètres. Elle a une orientation nord-nord-est / sud-sud-ouest et présente un relief escarpé. Sa moitié sud longe l'extrémité est de la pointe du Grouin dont elle n'est séparée que par un étroit chenal. L'île est inhabitée et ne présente aucune construction. Outre l'abri d'importantes colonies d'oiseaux marins, la particularité de cette île réside dans son apparence polystratée. Des couches d'algues, de lichens noirs, de lichens jaunes et de plantes halophytes se superposent horizontalement. L'île irradiée par le soleil diffuse des couleurs assez remarquables, contrastant avec un horizon (baie du Mont-Saint-Michel) aux tons nettement différents. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%8Ele_des_Landes

Incinération du varech sur les côtes de Bretagne en 1873. Source : http://data.abuledu.org/URI/56bb9681-incineration-du-varech-sur-les-cotes-de-bretagne-en-1873

Incinération du varech sur les côtes de Bretagne en 1873

Incinération du varech sur les côtes de Bretagne en 1873, in Les merveilles de l'industrie ou, Description des principales industries modernes, par Louis Figuier. - Paris : Furne, Jouvet, [1873-1877]. - Tome I.

L'hôpital Saint-Yves à Rennes. Source : http://data.abuledu.org/URI/5148da8e-l-hopital-saint-yves-a-rennes

L'hôpital Saint-Yves à Rennes

L'hôpital Saint-Yves à Rennes, par Jean-Jacques Monanteuil (1785-1860).

L'île Rouzic en Bretagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5357d413-ile-rouzic

L'île Rouzic en Bretagne

L'île Rouzic est l'île la plus à l'est de l'archipel des Sept-Îles dépendant de la commune de Perros-Guirec dans les Côtes-d'Armor. Elle abrite de 11 500 couples à plus de 20 000 couples de fous de Bassan qui vivent temporairement sur l’île (la partie nord, à l’opposée du continent, de l’activité humaine) : l'île Rouzic est le point le plus méridional d'accueil pour une colonie de fous de Bassan, et leur unique point de nidification en France ainsi que pour la quasi-totalité des macareux moine, puffins des Anglais, pingouins torda... Le débarquement y est interdit. Cependant, des caméras vidéo y sont installées et les images peuvent être vues en direct depuis la station de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) à l'Île-Grande. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%8Ele_Rouzic

Le chartier embourbé. Source : http://data.abuledu.org/URI/519c651e-le-chartier-embourbe

Le chartier embourbé

Le Chartier embourbé. Source : Cent fables de Jean de La Fontaine (1621-1695) illustrées par P. J. Billinghurst (Gutenberg), 1901. "Aide-toi, le ciel t'aidera."

Le gardien de porcs en 1888. Source : http://data.abuledu.org/URI/534edeca-le-gardien-de-porcs-en-1888

Le gardien de porcs en 1888

Le gardien de porcs, 1888, par Paul Gauguin (1848–1903).

Les lavandières de la nuit. Source : http://data.abuledu.org/URI/5134f833-les-lavandieres-de-la-nuit

Les lavandières de la nuit

"Les Lavandières de la nuit", légende bretonne, 1861, Yan' Dargent (1824-1899) : «Il y a un véritable sentiment fantastique dans Les Lavandières de la Nuit de M. Yan' Dargent. On connaît cette légende bretonne de laveuses-spectres qui savonnent des linceuls avec des clairs de lune sur la pierre des lavoirs et prient le passant égaré de les aider à tordre leur linge. C'est par ces nuits où des brumes blanches flottent au dessus des prairies et des saulaies qu'on entend le bruit de leurs battoirs couper la note plaintive de la rainette dans le vaste silence des campagnes. L'artiste a représenté sur une toile de forme oblongue les lavandières de la nuit à la poursuite d'un pauvre paysan bas-breton à qui la peur donne des ailes malgré les grègues embarrassantes et ses lourds sabots. Mais l'haleine va bientôt lui manquer et il tombera mort dans une de ces flaques d'eau où parmi les nénuphars flotte déjà un cadavre. L'essaim des laveuses nocturnes s'allonge derrière lui comme un banc de vapeurs, dessinant de vagues formes humaines, tendant de maigres bras armés de battoirs. Les vieux troncs de saules écimés se tortillent hideusement au bord de la route et prennent de monstrueuses apparences spectrales ; de leurs moignons informes ils semblent vouloir retenir le fugitif ou le menacer. Cependant, une lune blafarde jette son froid rayon sur cette scène de fantasmagorie ébauchant çà et là à travers l'obscurité des silhouettes inquiétantes… » Et Théophile Gauthier (1811-1872) de conclure : « M. Yan' Dargent exprime le côté légendaire de cette Bretagne dont Adolphe Leleux, Luminais et Fortin rendent si bien le côté rustique. » Cité dans le catalogue de l'exposition "Les Lavandières" de la nuit Musée Yan' Dargent.

Maison de la Réserve naturelle et des castors de Brennilis. Source : http://data.abuledu.org/URI/56d53e63-maison-de-la-reserve-naturelle-et-des-castors-de-brennilis

Maison de la Réserve naturelle et des castors de Brennilis

Brennilis : la maison de la Réserve naturelle et des castors (parc naturel régional d'Armorique).

Paysage de Bretagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/528d6d64-paysage-de-bretagne

Paysage de Bretagne

Paysage de Bretagne, 1888, par Paul Gauguin (1848–1903).

Pêche à la sardine en 1866. Source : http://data.abuledu.org/URI/5945787c-peche-a-la-sardine-en-1866

Pêche à la sardine en 1866

Alfred Moquin-Tandon, alias Alfred Frédol, "Le monde de la mer" en 1866 : Planche XXIX, Pêche à la sardine sur les côtes de Bretagne. Dessin de Riou d'après la photographie du commandant L. Hautefeuille.

Statue en chocolat d'Amieux Frères. Source : http://data.abuledu.org/URI/5380d180-statue-en-chocolat-d-amieux-freres

Statue en chocolat d'Amieux Frères

Statue vantant "Amieux Frères", photo prise au Musée du château des ducs de Bretagne de Nantes. Ce sont les fils de Jean-Maurice Amieux, Louis (1867-1936) et Maurice (1871-1944), qui lancent la marque "Amieux Frères". En 1900, la société possède onze usines en Bretagne et en Vendée et emploie 4000 ouvriers. À cette époque, Amieux Frères commence la diversification de ses activités (confitures et chocolats Amieux et St Clair, moutardes, saumures, charcuterie, foie gras). En 1923, ils rachètent l'usine Colin, ancien grenier à sel, et y fondent un musée technique et rétrospectif de la conserve devenu Musée des Salorges, détruit en 1943 et installé ensuite dans le château des ducs de Bretagne. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Maurice-%C3%89tienne_Amieux

Amers de côte bretonne. Source : http://data.abuledu.org/URI/518fbdb6-amers-de-cote-bretonne

Amers de côte bretonne

Les amers de la Pointe Saint-Mathieu (Bretagne, France). Au premier plan, la tourelle des Vieux Moines.

Ancre et sa chaine. Source : http://data.abuledu.org/URI/502b8b50-ancre-et-sa-chaine

Ancre et sa chaine

Photo d'une ancre du porte-avion Charles de Gaulle, exposée devant le Musée mémorial de la bataille de l'Atlantique, à Camaret, dans le Finistère, en Bretagne.

Armérie maritime sauvage. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad28f6-armerie-maritime-sauvage

Armérie maritime sauvage

Oeillets marins, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Fleurs de Printemps, Paul Lechevalier, 1929. L'armérie maritime (Armeria maritima), œillet marin, gazon d'Olympe ou gazon d'Espagne, est une espèce de plantes herbacées vivaces de la famille des Plumbaginaceae. Sa répartition est au niveau du littoral de l'hémisphère nord. En France, elle est rencontrée sur les côtes de la Manche et de l'Atlantique (Vendée, Bretagne), sur les rochers et pelouses de bords de mer, battus par les embruns. C'est une plante basse à souche ramifiée, formant des coussinets, à feuilles linéaires, à fleurs roses en têtes denses, arrondies. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Arm%C3%A9rie_maritime

Armes du duché de Bretagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5378a5ef-armes-du-duche-de-bretagne

Armes du duché de Bretagne

Armoiries du duché de Bretagne, d'hermine plain sur un écu de tournoi surmonté d'un heaume de même, taré de profil ; Supports, un lion et un griffon

Blason avec hermine au Manoir du Clos Lucé. Source : http://data.abuledu.org/URI/55cbd997-blason-avec-hermine-au-manoir-du-clos-luce

Blason avec hermine au Manoir du Clos Lucé

Vitrail au blason avec hermine au Manoir du Clos Lucé, Amboise.

Bol de caillebotte. Source : http://data.abuledu.org/URI/549de7f7-bol-de-caillebotte

Bol de caillebotte

Caillebotte, lait caillé avec de la présure. La caillebotte est un lait caillé sous l'action d'enzymes d'origine animale ou végétale, consommé traditionnellement en dessert dans l'ouest de la France, principalement en Poitou-Charentes, en passant par l'Anjou et la Bretagne. La "jonchée d'Aunis" dans le nord de la Charente-Maritime est le même produit mais il est égoutté, alors que la caillebotte conserve le petit-lait. La recette est très simple. Elle consiste : 1) à tiédir le lait à 30-35 °C ; 2) à ajouter quelques gouttes de présure (3-4 gouttes pour un litre) et à bien mélanger ; 3) à verser ensuite le contenu dans des bols ou des ramequins et une fois bien refroidis, à les mettre au réfrigérateur. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Caillebotte_%28fromage%29

Campanules en fleurs. Source : http://data.abuledu.org/URI/54dbb76e-campanules-en-fleurs

Campanules en fleurs

Campanule agglomérée (Campanula glomerata), ou ganteline, près de Mitterbach am Erlaufsee, Basse-Autriche. Cette espèce est caractérisée par ses fleurs groupées en un glomérule terminal. D'autres glomérules plus petits sont situés à l'aisselle des feuilles supérieures. Elle est présente dans les régions humides boisées, de l'ouest de la France (excepté la Bretagne), dans les Pyrénées, l'est du Massif central, les Alpes, le Jura, et les Vosges. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Campanule_agglom%C3%A9r%C3%A9e

Carte de Belle-île-en-Mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/51cc9a0a-carte-de-belle-ile-en-mer

Carte de Belle-île-en-Mer

Carte de Belle-île-en-Mer.

Carte de France en 1180. Source : http://data.abuledu.org/URI/50786e98-carte-de-france-en-1180

Carte de France en 1180

Carte de la France en 1180. Source : William R. Shepherd, "The Historical Atlas", 1911 . Duchés de Bretagne, d'Aquitaine, de Normandie, de Bourgogne ; comté de Toulouse, Anjou, Blois, Champagne, Flandre...

Carte de la Campagne de Bretagne en 1488. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d00bed-carte-de-la-campagne-de-bretagne-en-1488

Carte de la Campagne de Bretagne en 1488

Carte de la campagne militaire de 1488 pendant le conflit franco-breton.

Carte des Traites en 1732 : les provinces étrangères. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d01073-carte-des-traites-en-1732-les-provinces-etrangeres

Carte des Traites en 1732 : les provinces étrangères

Carte établie par l'administration royale en 1732 pour représenter les traites, c'est à dire les zones disposant de statuts fiscaux en terme de barrières douanières. Les cinq grosses fermes : en gros la partie nord de la Loire à quelques exceptions près où le commerce interne était libre et les droits de douane vers les autres provinces et l'étranger avaient été uniformisés (Anjou, Aunis, Berry, Bourbonnais, Bourgogne, Champagne, Maine, Orléanais, Picardie, Poitou, Touraine), correspondant globalement à l'aire linguistique de la langue d'oïl. Les provinces réputées étrangères : Le Royaume de Navarre et la Soule (Pays Basque) à l'extrême Sud Ouest, La Bretagne (à l'Ouest), La Flandre, l'Artois (dans le Nord), la Franche Comté (à l'Est) l'Occitanie et la Catalogne (dans le sud de la France) payaient des droits de douane lorsqu'elles échangeaient entre elles ou avec les autres provinces ordinaires du royaume de France. Les provinces à l'instar de l'étranger effectif : comme le Pays Basque (Bayonne et le Labourd), l’Alsace, la Lorraine, le Comtat Vénessain (États du Pape) étaient considérées comme étrangères au royaume (Provinces à l'instar de l'étranger effectif). À ce titre, elles pouvaient commercer librement avec l'étranger, mais payaient des droits de douane importants pour les échanges commerciaux avec les autres provinces françaises. Ces provinces réputés étrangères ou à l'instar de l'étranger effectif sont d'ailleurs les mêmes qui parlent alors, dans la vie quotidienne, une autre langue que le français : le basque, l'occitan et ses dérivés gascons ou provençal, le catalan, le breton, le gallo, l'alsacien, le flamand… En 1732, la Savoie, le comté de Nice, la Corse sont indépendants du Royaume de France.

Char a voile. Source : http://data.abuledu.org/URI/51b08cb4-char-a-voile

Char a voile

Le char à voile est un sport de vitesse qui se pratique en général sur de grandes plages de sable. On le pratique par exemple en France sur les plages de la Côte d'Opale, de la côte picarde, en Normandie, en Vendée, en Bretagne ou en Loire Atlantique. La force de traction du véhicule est le vent, capté par une voile.

Château de Trécesson, Campénéac (Morbihan). Source : http://data.abuledu.org/URI/52bc55ce-chateau-de-trecesson-campeneac-morbihan-

Château de Trécesson, Campénéac (Morbihan)

Le château de Trécesson qui a conservé son aspect médiéval, est un des plus impressionnants châteaux de Bretagne. Ses imposants murs de schiste rougeâtre se reflètent dans les eaux de l’étang qui l’entoure. Il est situé sur la commune de Campénéac (Morbihan) à proximité de la forêt de Brocéliande et en bordure du camp de Coëtquidan. C’est une propriété privée. Le château de Trécesson fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis juin 1922. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_Tr%C3%A9cesson

Château fort de la Latte à Plévenon. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bc51b0-chateau-fort-de-la-latte-a-plevenon

Château fort de la Latte à Plévenon

Vue sur la Côte d’Émeraude, depuis le donjon du fort la Latte à Plévenon (Côtes-d’Armor, Bretagne, ouest de la France). On peut apercevoir au loin, à droite, le cap Fréhel et son phare. Ce panorama est constitué de 5 images au format portrait, prises à 17mm sur un boitier 1,6 (équivalent à 28mm), f/8.0, 1/200s et ISO 100. Collage réalisé avec Hugin et Enblend. Angle de vision horizontal de 150° environ.

Chien Basset Hound. Source : http://data.abuledu.org/URI/51609cdf-chien-basset-hound

Chien Basset Hound

Le basset Hound est une race de chien de chasse dont la fédération cynologique internationale attribue l'origine à la Grande-Bretagne, mais aussi à la France. Ce basset serait issu de croisements entre de vieilles races françaises, notamment le basset d'Artois (race aujourd'hui disparue) et le Saint-Hubert. Le mot « Basset » semble avoir été utilisé pour la première fois dans La Vénérie, un texte sur la chasse écrit par Jacques du Fouilloux en 1561. Ses illustrations le concernant le fait ressembler au Basset fauve de Bretagne. Selon ce traité, ce chien est utilisé dans la poursuite des renards et des blaireaux. En tant que chien de chasse il est adapté au petit et moyen gibier et à la chasse en meute. Il s'y révèle endurant, entêté. Il possède un bon flair et une voix grave. Il est également de plus en plus recherché comme chien de compagnie car il est considéré comme une race très conviviale. Son air mélancolique cache en effet un animal affectueux, espiègle, placide et doux avec les enfants. Têtu, il nécessite une éducation ferme. Il doit être tenu en laisse lors de ses promenades car son flair lui donne une certaine tendance à errer lorsqu'il sent une piste. Il n'entend plus alors la voix de son maître. Le Basset a tendance à hurler lorsqu'il sent que quelque chose ne va pas (une tempête à venir, par exemple). Il se lamente souvent quelque peu lorsqu'il cherche à attirer l'attention. Il se fait entendre surtout lorsqu'il mendie de la nourriture ou des caresses.

Costumes anglais du dix-septième siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5309079b-costumes-anglais-du-dix-septieme-siecle

Costumes anglais du dix-septième siècle

Planche 86, Costumes anglais du dix-septième siècle, Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1, Charles Prince de Galles ; 2, 7, 13, aristocrates ; 3, dame de haut rang ; 4, Henriette Marie, consort de Charles I ; 5-6, enfants de Charles I ; 8, Charles I ; 9-11, soldats ; 12, chancelier.

Costumes français du début du Seizième siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/530893ab-costumes-francais-du-debut-du-seizieme-siecle

Costumes français du début du Seizième siècle

Planche 68, Costumes français du début du Seizième siècle, Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1, Amiral d'Amboise ; 2, Anne de Bretagne (morte en 1514) ; 3, chasseur ; 4, garde du corps ; 5, noble ; 6, citoyen ; 7, dame de la cour ; 8, savant ; 9, juge ; 10, 13, François Ier (mort en 1547) ; 11, Eléonore d'Autriche ; 12, Reine Claude (morte en 1524).

Croquis d'une jeune bretonne. Source : http://data.abuledu.org/URI/514e15ff-croquis-d-une-jeune-bretonne

Croquis d'une jeune bretonne

Croquis d'une jeune paysanne bretonne à Douarnenez, 1909, par Gustave Jacquet (1846–1909).

Cyanobactéries au barrage de Haute-Vilaine. Source : http://data.abuledu.org/URI/55321423-cyanobacteries-au-barrage-de-haute-vilaine

Cyanobactéries au barrage de Haute-Vilaine

Cyanobactéries au barrage de Haute-Vilaine près de Vitré en Ille-et-Vilaine. Créé en 1982 l'étang est un vaste plan d'eau douce de 155 hectares, soit 8 millions de mètres cubes de liquide (6 kilomètres de long, 0,3 kilomètres de large et 13 mètres de profondeur maximale). Le développement de cyanobactéries a conduit le SDAGE Loire-Bretagne à identifier cet étang pour des mesures de rééquilibrage de la fertilisation, notamment du phosphore, et à des interdictions de baignade certains étés. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tang_de_Haute-Vilaine

Danse des quatre bretonnes. Source : http://data.abuledu.org/URI/52b77376-danse-des-quatre-bretonnes

Danse des quatre bretonnes

Bretonnes causant ou la Danse des quatre bretonnes, 1886, par Paul Gauguin (1848-1903).

Descriptif de l'Abbaye de Fontevraud. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f1347b-descriptif-de-l-abbaye-de-fontevraud

Descriptif de l'Abbaye de Fontevraud

Descriptif bilingue de l'Abbaye de Fontevraud, Val de Loir : "Fondée en 1101 par Benoît d'Arbrissel. C'est une des plus vastes cités monastiques d'Europe. Elle regroupe sur un site de 14 hectares l'église abbatiale, trois pieurés, de vastes cuisines médiévales et plusieurs jardins. Jusqu'à la Révolution les Plantagenêts, Valois, Bourbons dirigèrent cet ordre. Napoléon Bonaparte en fit une prison, fonction qu'elle conserva jusqu'en 1963. En 1975 y fut créé le Centre Culturel de l'Ouest. Dans le transept de l'Église abbatiale, se trouvent les tombeaux des Plantagenêts : Henry II Plantagenêt roi d'Angleterre et son épouse Aliénor d'Aquitaine, Richard Coeur de Lion et Isabelle d'Angoulême."

Descriptif du château de Langeais. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f147dc-descriptif-du-chateau-de-langeais

Descriptif du château de Langeais

Descriptif bilingue du château de Langeais, Val de Loire : "En 994 Foulques Nerra bâtit sur le site d'un castrum romain un donjon, un des plus anciens de France. Propriété des comtes d'Anjou également rois d'Angleterre, le château de Langeais est l'enjeu de luttes incessantes entre Richard Coeur de Lion et Philippe Auguste, ce dernier l'emporte. Louis XI confie la construction du château actuel à Bourré, place-forte sur la route de la Bretagne. Le mariage de Charles VIII et d'Anne de Bretagne à Langeais pacifie la Bretagne rattachée de ce fait à la couronne de France. À la fois forteresse féodale et demeure seigneuriale, le château est meublé et orné de tapisseries flamandes."

Descriptif du château de Rigny Ussé. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f1aa96-descriptif-du-chateau-de-rigny-usse

Descriptif du château de Rigny Ussé

Descriptif bilingue du château de Rigny-Ussé : "Dominant l'Indre, le château de Rigny-Ussé est une forteresse de pierre blanche, imposante par ses tours, ses clochetons, ses cheminées. Charles Perrault s'en serait inspiré pour décrire le château de la "Belle au bois dormant". Très ancienne, cette forteresse appartint à la grande famille tourangelle, les du Bueil, qui s'illustrèrent pendant la guerre de Cent Ans. Antoine du Bueil épousa une des filles d'Agnès Sorel et de Charles VII. Vendu en 1485 aux Espinay, famille bretonne au service de Charles VIII et Anne de Bretagne, le château fut la propriété du gendre de Vauban ; aujourd'hui le château appartient au marquis de Blacas."

Deux escargots. Source : http://data.abuledu.org/URI/5342d4d7-deux-escargots

Deux escargots

Deux escargots de Quimper (Elona quimperiana) sur une souche : espèce endémique des Monts d'Arrée en Bretagne.

Dolmen. Source : http://data.abuledu.org/URI/524db0fc-dolmen

Dolmen

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.136 ; manuel scolaire, édition de 1904 : dolmen (UN AUTEL DES ANCIENS GAULOIS. - On trouve dans certaines contrées de la France, et surtout en Bretagne, des sortes de grandes tables de pierre qui, construites depuis les temps les plus reculés, servaient d'autels aux Gaulois, nos ancêtres. C'est sur ces tables qu'ils sacrifiaient leurs victimes, et ces victimes étaient parfois des hommes, des prisonniers de guerre, des esclaves. On appelle ces monuments de pierre des dolmens.)

Edward VII à l'Opéra de Paris en 1903. Source : http://data.abuledu.org/URI/596405fc-edward-vii-a-l-opera-de-paris-en-1903

Edward VII à l'Opéra de Paris en 1903

Edward VII à l'Opéra de Paris en 1903.

Fort de La Conchée en Bretagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5357d887-la-conchee

Fort de La Conchée en Bretagne

La Conchée est un îlot rocheux fortifié situé au large dans la baie de Saint-Malo. Construit par Vauban, le fort recouvre la quasi-totalité de l'îlot situé face à la grande plage de Rochebonne. Ressemblant à un vaisseau de granit, difficilement accessible même par temps calme, le fort est en cours de restauration. Le fort de la Conchée se situe en baie de Saint-Malo à deux milles marins (3 700 m) au nord du port. Il fut édifié par Vauban à partir de 1692 pour s’opposer aux attaques des navires anglais. En 1689, Saint-Malo était alors un centre corsaire actif ouvert sur la Manche. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Conch%C3%A9e

Galette de Haute Bretagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/534c1352-galette-de-haute-bretagne

Galette de Haute Bretagne

À gauche, la galette préparée chaude, contenant jambon, oeuf, fromage, servie dans une assiette. À droite, les galettes froides telles qu'on les trouve dans le commerce.

Galettes sarrasin à la saucisse. Source : http://data.abuledu.org/URI/534bfdde-galettes-sarrasin-a-la-saucisse

Galettes sarrasin à la saucisse

Des galettes-saucisse, spécialité de l'est de la Bretagne.

Goéland à bec cerclé au Québec. Source : http://data.abuledu.org/URI/5356a51d-goeland-a-bec-cercle-au-quebec

Goéland à bec cerclé au Québec

Un goéland à bec cerclé (Larus delawarensis) sur une plage à St-Irénée, Québec. Les adultes mesurent 49 cm de long et ont une envergure de 124 cm. Ils possèdent une tête, un cou et un dessous blancs ainsi qu'un bec jaune relativement petit orné d’un anneau noir. Le dos et les ailes sont gris-argent, les pattes et les yeux sont jaunes. Ce sont des oiseaux migrateurs et la plupart se déplacent au sud vers le golfe du Mexique, les côtes atlantiques et pacifiques de l'Amérique du Nord mais aussi vers les Grands Lacs. Le goéland à bec cerclé se déplace de plus en plus fréquemment vers l'ouest de l'Europe : Irlande, Grande-Bretagne et France où il n'est plus classé comme une rareté, de nombreux oiseaux hivernant dans ces pays. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Go%C3%A9land_%C3%A0_bec_cercl%C3%A9

Guerre de cent ans : Charles V. Source : http://data.abuledu.org/URI/50708e7c-guerre-de-cent-ans-charles-v

Guerre de cent ans : Charles V

Carte de la reconquête des territoires concédés aux anglais à Brétigny. En vert territoires contrôlés par Charles de Navarre allié des Anglais. En Blanc Bretagne alliée des Anglais. En jaune Comté de Foix-Béarn autonome. En bleu Marine apanages tenus par les frères de Charles V et d'où est organisée la reconquète.

Ile du Petit Bé en Bretagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5357de55-ile-du-petit-be-

Ile du Petit Bé en Bretagne

L'île du Petit Bé (ou Bey) et son fort se situent à quelques centaines de mètres des remparts de la ville de Saint-Malo et à quelques dizaines de mètres du Grand Bé. Le fort a été construit au XVIIe siècle. Il faisait partie d'une ceinture défensive conçue par Vauban et destinée à protéger la ville de Saint-Malo d'attaques des escadres ennemies anglaises ou hollandaises. Le fort a été construit par l'ingénieur malouin Siméon Garangeau. Il se compose d’une vaste plateforme, d’un bâtiment sur trois niveaux et de deux bastions et pouvait accueillir jusqu'à 160 soldats pour servir 19 canons et 2 mortiers. Il est classé Monument historique en 1921, mais est délaissé jusqu'en 2000, année où la ville signe un bail avec une association pour sa rénovation et son ouverture au public. Sa restauration est pratiquement terminée (2012) et il peut se visiter à marée basse. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fort_du_Petit_B%C3%A9

L'empire des Plantagenêt. Source : http://data.abuledu.org/URI/5078710e-l-empire-des-plantagenet

L'empire des Plantagenêt

Carte de l'empire des Plantagenêt, dit empire angevin (Carpenter; "The Struggle for Mastery", p.xxi) : l'ensemble d'États s'étendant des confins anglo-écossais aux Pyrénées et de l'Irlande au Limousin et réunis au milieu du XIIe siècle par Henri II Plantagenêt. Carte légendée en anglais : Duché de Bretagne ; Duché de Normandie ; Anjou, Maine et Touraine ; Duché d'Aquitaine, Duché de Gascogne ; en bleu Domaine royal et vassaux du roi de France ; en jaune, Duché de Toulouse.

L’île aux Moines en Bretagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5357d26c-l-ile-aux-moines

L’île aux Moines en Bretagne

L'île aux Moines (breton : Enez ar Breur ou Jentilez) est une île appartenant à l'archipel des Sept-Îles. Parmi les autres îles de son archipel, il s'agit de la seule ouverte au public. Le nom d'île aux Moines vient des moines cordeliers qui ont occupé l'île du XIVe siècle au XVe siècle. Le fort a été édifié sous Louis XV par Siméon Garangeau, un disciple de Vauban, dans le but d'arrêter les trafics de contrebande des pirates. Bâti entre 1831 et 1835 le phare est démoli en 1944 par les Allemands puis reconstruit après la guerre en 1952. Mesurant une hauteur de vingt mètres, il est l’un des derniers phares en mer à être encore habité avant d'être automatisé en 2007. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%8Ele-aux-Moines

La chouette de Cavan en Bretagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/535442f9-la-chouette-de-cavan-en-bretagne

La chouette de Cavan en Bretagne

La chouette de Cavan en Bretagne, symbole de la ville de Kawan (en breton).