Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Camées | Bracelets à portrait | Dates | Mercure -- Culte | Peinture | Peintres hollandais | Seizième siècle | Parfums -- Accessoires | Jupiter -- Culte | Mars | Saturne | Lune | Mythologie romaine | Apollon | Vénus -- Culte | Jour | Semaine | Photographie |
Bracelet des sept jours de la semaine. Source : http://data.abuledu.org/URI/5336c220-bracelet-des-sept-jours-de-la-semaine

Bracelet des sept jours de la semaine

Bracelet de camées du XIXème siècle avec portrait des sept dieux de l'Olympe pour les sept jours de la semaine : Diane pour la lune de lundi, Mars pour mardi, Mercure pour mercredi, Jupiter pour jeudi, Vénus pour vendredi, Saturne pour samedi, et Apollon pour dimanche.

Boule de senteur. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dfa9ec-boule-de-senteur

Boule de senteur

Détail d'un tableau du XVIème siècle montrant une boule de senteur nommée Pomander en 1518. Portrait of Jan Gerritz van Egmond van de Dijenborgh, par Jacob CORNELISZ VAN OOSTSANEN (1472-1533). Les grands pomanders se portent accrochés à la ceinture ou en pendentif autour du cou. Les plus petits, parfois pas plus grands qu'un dé à coudre et reliés par une chaînette à une bague, se tiennent en permanence au creux de la main. D'autres se fixent en breloque à un bracelet, un collier ou servent de bouton à une cape. Pendant les huit siècles de leur histoire, les pomanders adoptèrent des formes très variées : crânes, crucifix, escargots, pommes, œufs, noix ou fleurs, chacune ayant une signification symbolique et ésotérique particulière. Les monogrammes, inscription ou motifs allégoriques dont ils étaient ornés, étaient supposés renforcer leur pouvoir. Transmis de génération en génération, les pomanders étaient en effet bien plus que des objets à parfumer : on leur prêtait des vertus magiques protégeant des forces du mal et de la maladie. Les princes et les nobles en faisaient grand usage, comme les prêtres et les médecins qui comptaient sur leur présence pour se préserver de la contagion. La fin du XVIIe siècle voit ces pouvoirs tournés en dérision. Ils ne sont plus portés que par coquetterie et leurs senteurs lourdes et entêtantes sont supposées servir l'art de la séduction. Ils passent de mode au milieu de XVIIIe siècle.