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Photographie | Bouteilles en matières plastiques | Polyéthylène térephtalate | Électrostatique | Machines électriques | Dix-huitième siècle | Environnement | Bouteilles miniatures | Pictogrammes | Signaux et signalisation | Losange (géométrie) | Bouteilles à gaz | Clip art | Alimentation |
Pictogramme de gaz sous pression. Source : http://data.abuledu.org/URI/52055db0-pictogramme-de-gaz-sous-pression

Pictogramme de gaz sous pression

Pictogramme international (GHS) de gaz sous pression en bouteille.

Bouteille plastique avant soufflage. Source : http://data.abuledu.org/URI/5102746d-bouteille-plastique-avant-soufflage

Bouteille plastique avant soufflage

Paraison d'une bouteille plastique. Apparu en 1992, le PET ou polytéréphtalate d'éthylène, a remplacé le PVC à la fin des années 1990, pour les bouteilles d'eau, réduisant d'un tiers le poids des bouteilles (30 g pour une bouteille de 1,5 l en PET, contre 50 g pour une bouteille en PVC de même capacité). Les bouteilles en PET sont élaborées par formage à chaud d'une préforme appelée paraison. Celle-ci est réalisée par injection. Le PET fait suffisamment barrière aux gaz pour conditionner l'eau gazeuse. Les bouteilles en PET sont susceptibles de relarguer des traces de trioxyde d’antimoine, utilisé comme catalyseur lors de la polymérisation du PEHD. Toutefois, les valeurs maximales mesurées sont de l'ordre de 0,5 μg·l-1, soit dix fois moins que la norme européenne qui est de 5 μg·l-1 d'antimoine (L'antimoine et la plupart de ses composés sont toxiques).

Générateur électrostatique de Van Marum. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c27adf-generateur-electrostatique-de-van-marum

Générateur électrostatique de Van Marum

Grande machine électrostatique de Van Marum, exposée au musée Teyler, à Haarlem, Pays-Bas. À droite, batterie de bouteilles de Leyde. La machine électrostatique est ainsi nommée parce qu'elle fait appel aux lois de l'électrostatique à la différence des machines dites électromagnétiques. Bien que des moteurs électrostatiques aient été imaginés (ils fonctionnent sur le principe de la réciprocité des générateurs électrostatiques), ils n'ont pas eu de succès. La puissance des machines du XVIIIe siècle et du XIXe siècle était en effet infime (quelques watts) et les frottements mécaniques ne leur laissaient qu'un très mauvais rendement. La raison en est que la densité maximale d'énergie du champ électrique dans l'air est très faible. Les machines électrostatiques ne peuvent être utilisables (de manière industrielle) que si elles fonctionnent dans un milieu où la densité d'énergie du champ électrique est assez élevée, c'est-à-dire pratiquement dans un gaz comprimé. L'invention du condensateur électrique sous la forme de la bouteille de Leyde (par E.-G. Kleist, Van Musschenbroek et son élève Cuneus, améliorée par sir William Watson, 1745-1747) permet de renforcer l'intensité des décharges : 1768, machine de Ramsden ; 1784, la machine de Van Marum.