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Carte de la Mer Blanche. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e74d09-carte-de-la-mer-blanche

Carte de la Mer Blanche

Carte du XVIIIème siècle de la Mer Blanche avec la Dvina, par Samuel Thornton, cartographe anglais du XVIIIème siècle. La mer Blanche s'étend sur 95 000 km2 au nord-ouest de la Russie, au sud de la mer de Barents ; elle constitue une dépendance de l'océan Arctique. L'été y dure de début juin à fin août. Mais dans la partie nord de la mer, il ne dépasse pas un mois et demi. Sa température évolue de 0,5° C à –2 °C l'hiver et de 12 °C à 15 °C l'été. Les glaces apparaissent dès octobre et forment des champs de glace à partir de la mi-novembre. Les animaux des régions polaires viennent alors s'y réfugier : le phoque du Groenland, le chien de mer et le veau marin. La fonte des neiges commence en avril et les glaces disparaissent en mai. Mais, à cause des vents du nord, on peut rencontrer des « glaçons » flottants jusqu'à fin juin. Au printemps, sous l'action des vents du sud et des courants, des animaux sont emportés sur leur morceau de glace vers l'Océan. Ils sont alors abattus par les habitants de la côte qui se déplacent dans des canots à patins. Le port important d'Arkhangelsk se trouve sur la mer Blanche. Pendant une bonne partie de l'histoire de la Russie, ce fut le principal centre de commerce international maritime. À l'époque moderne, ce port est devenu une base navale et sous-marine soviétique.

Carte de la Mer Blanche. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e74e6a-carte-de-la-mer-blanche

Carte de la Mer Blanche

Carte de la Mer Blanche légendée en français.

Armoiries du Costa Rica. Source : http://data.abuledu.org/URI/5379bc74-armoiries-du-costa-rica

Armoiries du Costa Rica

Les Armes du Costa Rica (depuis le 5 mai 1998) présentent une description simplifiée du pays. Les deux bateaux se trouvent de chaque côté du pays, l'un dans la Mer des Caraïbes, l'autre dans l'Océan Pacifique, pour rappeler la longue histoire maritime du pays. Les trois montagnes représentent les trois chaînes montagneuses qui parcourent le territoire costaricien. Les sept étoiles représentent les sept provinces composant le pays. Le nom du pays se trouve dans une bannière blanche en haut du blason, le nom du continent dans une bannière bleue. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Armes_du_Costa_Rica

Corail chou-fleur. Source : http://data.abuledu.org/URI/5554a059-corail-chou-fleur

Corail chou-fleur

Ce corail forme des colonies assez petites, rarement plus de 30 cm, qui comme souvent dans ce genre sont reconnaissables à leurs bras courts et élargis en spatules (pas très régulières chez cette espèce) et comme couvertes de verrues de taille constante (environ 3 mm), qui sont en fait les corallites, formant de courtes branches. Les branches principales de cette espèce sont courtes, très irrégulières, et parfois grossièrement polygonales ; elles sont plus robustes dans les eaux agitées. La couleur est généralement rose, mais peut aller du marron clair au verdâtre, ou être presque blanche. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Pocillopora_damicornis

Corail chou-fleur. Source : http://data.abuledu.org/URI/5554a068-corail-chou-fleur

Corail chou-fleur

Ce corail forme des colonies assez petites, rarement plus de 30 cm, qui comme souvent dans ce genre sont reconnaissables à leurs bras courts et élargis en spatules (pas très régulières chez cette espèce) et comme couvertes de verrues de taille constante (environ 3 mm), qui sont en fait les corallites, formant de courtes branches. Les branches principales de cette espèce sont courtes, très irrégulières, et parfois grossièrement polygonales ; elles sont plus robustes dans les eaux agitées. La couleur est généralement rose, mais peut aller du marron clair au verdâtre, ou être presque blanche. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Pocillopora_damicornis

Érosion à Étretat. Source : http://data.abuledu.org/URI/50955168-erosion-a-etretat

Érosion à Étretat

Un produit de l'érosion du littoral : l'arche naturelle de la Manneporte, Etretat, France. L'érosion peut creuser la roche et donner naissance à des modelés de dissection. Les falaises d'Étretat sont constituées de calcaire du Crétacé, c'est-à-dire, pour l'essentiel, de la craie blanche à silex du Sénonien, plus précisément du Turonien au Coniacien. On y distingue les strates régulières de silex, ce qui explique la présence de galets sur la plage. En effet, à la suite de l'effondrement de pans de falaise, le calcaire et le silex se trouvent au contact de l'eau de mer qui dissout le calcaire et l'action des vagues polit le silex pour en faire des galets. L'existence de trois arches successives : la porte d'Amont, la porte d'Aval et la Manneporte ne serait pas liée à l'origine à l'érosion marine, mais à l'action d'une rivière côtière parallèle à la plage qui aurait creusé son lit dans la falaise avant le recul de celle-ci, matérialisé par l'« aiguille » d'un calcaire plus dur qui a empêché sa dissolution définitive, d'où cette extraordinaire création de la nature. Ensuite, la mer aurait élargi les arches, donnant au site l'aspect qu'on lui connait aujourd'hui. Une autre hypothèse met au contraire l'accent sur une érosion différentielle par la mer, qui serait liée aux caractéristiques de dureté de la craie locale dans la zone de balancement des marées.

L'octopode de Hugo. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b4c710-l-octopode-de-hugo

L'octopode de Hugo

L'octopode de Victor-Marie Hugo (1802-1885), 1866 : Le poète Victor Hugo était un amateur averti de la technique du lavis, comme le montre cette illustration contemporaine des "Travailleurs de la mer". Le lavis est une technique picturale consistant à n'utiliser qu'une seule couleur (à l'aquarelle ou à l'encre de Chine) qui sera diluée pour obtenir différentes intensités de couleur. Le blanc est obtenu par la blancheur du support ou parfois par réhaut de blanc (craie, gouache ou encre de chine blanche par exemple). Par extension on utilise le mot « lavis » pour désigner les œuvres réalisées avec cette technique (par exemple « lavis de Victor Hugo »).

Larus argentatus ad.jpg. Source : http://data.abuledu.org/URI/5086bc31-larus-argentatus-ad-jpg

Larus argentatus ad.jpg

Le Goéland argenté (Larus argentatus) est une espèce d'oiseau de mer européen de taille moyenne de la famille des Laridae. Blanc à dos gris, il est génétiquement proche des autres goélands à tête blanche du genre Larus. Mâle et femelle sont presque identiques, mais le juvénile possède un plumage très différent et met quatre ans à acquérir son plumage d'adulte.

Merlan. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b8dc3d-merlan

Merlan

Le merlan (Merlangius merlangus) est une espèce de poissons de la famille des Gadidae, la seule du genre Merlangius. Ce poisson était auparavant réservé aux gens les moins nantis, mais les autres espèces de poisson, notamment les espèces de la même famille, les Gadidae, devenant plus rares, le merlan est aujourd'hui largement consommé. Ce poisson possède une chair blanche, fine et feuilletée, pauvre en lipides, qui se fragilise beaucoup à la cuisson.

Migration du Cap tourmente. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fddef0-migration-du-cap-tourmente

Migration du Cap tourmente

Les migrations de la grande oie blanche à la réserve nationale de faune du Cap-Tourmente, Québec, Canada. La réserve nationale de faune du cap Tourmente est l'une des huit réserves nationales de faune du Canada présentes au Québec. Établie dans une région liée aux premiers temps de l'histoire de la Nouvelle-France, cette réserve est destinée à protéger les marais à Scirpe d'Amérique, une plante qui constitue l'alimentation de l'Oie des neiges (ou oie blanche) lors de ses migrations annuelles. Le nom de « cap Tourmente » apparaît pour la première fois en 1608 sous la plume de l'explorateur Samuel de Champlain qui notait ainsi la propension des eaux du fleuve Saint-Laurent à s'agiter sous le vent à cet endroit : "De l'isle aux Couldres costoyans la coste, fusme à un cap, que nous avons nommé le Cap de Tourmente, qui en est à sept lieues, et l'avons ainsi appelé, d'autant que pour peu qu'il face de vent, la mer y esleve comme si elle estaoit pleine."

Orque. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ec04c1-orque

Orque

L'orque ou épaulard (Orcinus orca) est une espèce de mammifère marin du sous-ordre des cétacés à dents, les odontocètes. Ce cétacé est facilement reconnaissable à sa livrée noire et blanche et à la taille de sa nageoire dorsale qui peut atteindre 2 mètres de hauteur chez les mâles. L'orque est une redoutable chasseuse. Son alimentation est essentiellement constituée de poissons, de manchots et d’autres mammifères marins (lions de mer, otaries, phoques, marsouins, baleines).

Phare d'Ault en Mer du Nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/535929a4-phare-d-ault

Phare d'Ault en Mer du Nord

Le phare d'Ault ou phare d'Onival, construit sur la falaise d'Onival sur la commune d'Ault dans la Somme, a été mis en service en 1951. C'est une tour tronconique blanche en béton armé au sommet de briques rouges. Il se situe sur le terrain militaire du sémaphore. Il est automatisé depuis 2001 et contrôlé du bureau de Saint-Valery-sur-Somme. Il remplace l'ancienne construction bâtie en briques en 1885 et dynamitée le 6 juin 1940. Hauteur : 28 m - Elévation : 108 m - Portée : 17 milles (31km). Feux : blanc et rouge, à 3 occultations groupées de 12 s. Optique : fixe, focale 0.50 m. Lanterne : halogène 650 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_d%27Ault

Phare de Boulogne-sur-mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/53591809-phare-carnot-boulogne-sur-mer

Phare de Boulogne-sur-mer

Le phare de Boulogne-sur-Mer, dans le Pas-de-Calais, est un phare classé "phare en mer" (le seul de la région) se trouvant en bout de la jetée Carnot sur des anciennes fortifications. La tour cylindrique est en maçonnerie lisse blanche, et verte en son sommet. Il existait un phare antique, la Turris Ardens. Cette tour fut érigée sur ordre de l'empereur romain Caligula en l'an 39 ap. J.-C., après qu'il eut renoncé à envahir l'Angleterre. Ses feux devaient briller toutes les nuits comme à Alexandrie. À partir de 39 ap. J.-C., la côte de Boulogne-sur-Mer est donc éclairée par l'un des premiers phares au monde avec la Tour de Pharos à Alexandrie. La tour ne se trouvait pas à la place du phare actuel, mais sur la falaise, à l'emplacement de l'actuel Calvaire des Marins. Haute de 60 mètres, hauteur remarquable pour l'époque, elle était de forme pyramidale sur plan octogonal et comportait 13 niveaux. Elle était faite de rangs alternés de pierres et de briques. Le phare actuel est construit en 1968. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Boulogne

Phare de Gravelines en mer du Nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/53591584-phare-de-graveline

Phare de Gravelines en mer du Nord

Le phare de Gravelines est situé dans le département du Nord, à Petit-Fort-Philippe, à l'origine hameau incorporé ensuite dans la commune de Gravelines. Il a été en service de 1843 à 1985. Le phare fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 30 décembre 2010. Construit en 1843, il est en briques et enduit d’un badigeon qui le protège des embruns et de la pluie. Il mesure 29 mètres de haut et la maison des gardiens se trouve au pied de la tour. Pour atteindre son sommet, il faut préalablement gravir 116 marches. Jusqu’en 1932, le phare est peint en blanc. De cette manière, pense t-on, il se détache mieux sur le fond du paysage de Petit-Fort Philippe. Après sa restauration, en 1931 – 1932, il acquiert sa couleur actuelle qui le rend reconnaissable entre tous grâce à sa spirale noire et blanche qui lui valut le surnom de "Black and White". Le phare, qui échappe à la destruction durant la Seconde Guerre mondiale, est éteint au départ en retraite de Maurice Bienaimé en 1985. Il ne guide plus les marins mais fait toujours partie intégrante du paysage du hameau. Il offre une vue imprenable, du haut de son sommet. Hauteur : 25.5 m - Elévation : 29 m - Portée : 15 milles. Feux : fixe. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Gravelines

Phare de Ouistreham, gardien de l'estuaire de l'Orne . Source : http://data.abuledu.org/URI/535e6233-phare-de-ouistreham-

Phare de Ouistreham, gardien de l'estuaire de l'Orne

Le phare de Ouistreham) est un phare à terre, cylindrique, mesurant 38 m de haut, fabriqué en granite et peint en rouge et blanc. Il fut mis en service en 1905. Il a été construit à côté de l'usine hydraulique, fonctionnant à l'époque et toujours visible de nos jours. Le phare d'Ouistreham est le "gardien de l'estuaire de l'Orne", il est visible à 16 milles marins à la ronde. La "signature" lumineuse du phare est de trois secondes de lumière blanche suivi d'une seconde d'obscurité. Le phare indique les dangereux rochers des Essarts grâce à un secteur rouge montrant la direction aux marins. Grâce à ses 171 marches de granite bleu de Vire, on accède à l'optique, une lampe halogène derrière une demi-lentille de Fresnel. Il est automatisé, gardienné et visitable. Au cours de l'été 2005, à l'occasion du centenaire, un jeu de lumière a été installé sur le phare. Il éclaire la base de l'édifice, et permet aux Ouistrehamais, en fonction de la couleur, de savoir si la mer est montante ou descendante : il est bleu lors de la marée montante, blanc le reste du temps. Il est peint en rouge en son haut, en écho aux balises latérales bâbord de la zone A. En effet, il est implanté sur la gauche du chenal quand on entre au port. Hauteur : 38.20 m - Elévation : 43 m - Portée : 16 milles nautiques ; Feux : lancs 1 occ., 4 secondes secteurs blanc et rouge ; Optique : demi-lentille de Fresnel, focale 0.25 m. ; Lanterne : lampe halogène 1 500 w. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Ouistreham