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Dessins et plans | Biologie | Populations | Ornithologie | Biologie des populations | Géographie | Espèces (biologie) | Communautés | Compétition entre individus (biologie) | Molécules | Biocénoses | Biosphère | Écosystèmes | ADN | Organes | Biocénoses -- Structure trophique | Biomes | Plantes -- Populations | Biogéographie | Superficies | ...
Équations proie-prédateur de Lotka-Volterra. Source : http://data.abuledu.org/URI/50bf7632-equations-proie-predateur-de-lotka-volterra

Équations proie-prédateur de Lotka-Volterra

Courbes d'évolution d'un système complexe, formé de deux espèces, proie et prédateur : équations de Lotka-Volterra. L'effectif des proies est x(t), celui des prédateurs y(t) . On retombe sur le cas précédent si y est nul. La quantité x(t)y(t) est une probabilité de rencontre, qui influe négativement sur une population (les proies), positivement sur l'autre (les prédateurs). À chaque instant, connaissant les populations en présence, on peut décrire la tendance. Ces deux équations sont couplées c'est-à-dire qu'il faut les résoudre ensemble. Mathématiquement, il faut les concevoir comme une seule équation d'inconnue le couple (x(t),y(t)) . Si l'effectif initial des populations est connu, l'évolution ultérieure est parfaitement déterminée. Elle se fait le long d'une des courbes d'évolution figurées ci-contre, qui laissent apparaître un comportement cyclique.

Trois types de distribution de la population. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b7f4b2-trois-types-de-distribution-de-la-population

Trois types de distribution de la population

Les trois grands types de dispersion de la population. De haut en bas : la dispersion égale, la dispersion inégale et la dispersion insulaire. La distribution spatiale, en écologie, désigne l’arrangement spatial des organismes vivant dans leur milieu naturel. Elle peut aussi se définir comme la fluctuation spatiale de l’abondance des organismes dans leur aire de répartition1. Trois formes de dispersion sont généralement reconnues : égale, inégale et insulaire. La dispersion égale est celle où les organismes sont uniformément répartis dans l’espace. Les dispersions inégale et insulaire représentent les cas où les organismes ne sont pas uniformément répartis dans l’espace. La dispersion inégale donne une apparence d’arbitraire. Toutefois, les organismes sont très rarement dispersés arbitrairement dans un espace. Leur localisation est presque toujours étroitement influencée par divers facteurs biologiques et environnementaux. Dans la dispersion insulaire, les organismes forment des regroupements ou des îlots dans l’espace.

Autruchon. Source : http://data.abuledu.org/URI/538797d5-autruchon

Autruchon

Poussin s'autruche (Struthio camelus). À quatre semaines, le jeune présente un duvet épineux chamois à pinceaux blancs et arbore des taches noires au cou. Les adultes prennent grand soin de leurs jeunes, parfois pendant une année entière. Si la nourriture est abondante, les autruchons seront abandonnés beaucoup plus tôt par leurs parents. Les petits seront alors pris en charge par un groupe de femelles, accompagnées ou non de petits. Ce phénomène d'adoption est très important dans les populations vivant en groupe, car il contribue à limiter les problèmes de consanguinité dans le troupeau. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Autruche_d%27Afrique

La douve de Chine. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e6a594-la-douve-de-chine

La douve de Chine

Cycle de vie du ver, la douve de Chine (Clonorchis sinensis), parasite du porc, du chat et du chien ; transmissible à l'homme et responsable de la distomatose hépatique d'Extrême-Orient : parasitose hépatique la plus fréquente du monde. Elle est endémique en Extrême-Orient. Son importance tient autant de la forte proportion des atteintes (40 % de la population en moyenne, 100 % dans certains foyers) qu'à leur gravité habituelle en zones d'endémie où les réinfestations sont constantes.

Les espèces de goélands autour de l'arctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/525a6dd0-les-especes-de-goelands-autour-de-l-arctique

Les espèces de goélands autour de l'arctique

Exemple de variation clinale de l'espèce Goéland autour de l'arctique. 1 : Larus fuscus (Goéland brun) ; 2 : Population sibérienne de Larus fuscus ; 3 : Larus fuscus heuglini ou Larus heuglini ; 4 : Larus argentatus birulai ; 5 : Larus argentatus vegae ou Larus vegae (Goéland de la Véga) ; 6 : Larus argentatus smithsonianus ou Larus smithsonianus (Goéland hudsonien) ; 7 : Larus argentatus (Goéland argenté). La variation clinale est un type de spéciation par distance, elle illustre ce qui se passe au fil du temps lorsque des populations divergent génétiquement mais représente un cas particulier dans le sens où elle montre sur des populations en vie ce qui se déroule habituellement entre des populations ancestrales depuis longtemps éteintes et des populations en vie. La variation clinale est un exemple pratique de la difficulté à définir précisément les critères du concept d'espèce, même en se limitant à une définition simplifiée basée sur l'interfécondité.

Niveau d'Organisation et d'Intégration du Vivant. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b7f09c-niveau-d-organisation-et-d-integration-du-vivant

Niveau d'Organisation et d'Intégration du Vivant

Graphique représentant les différents niveaux d'organisation ou d'intégration du vivant. Il ne s'agit pas d'une hiérarchie, mais d'une présentation simplifiée, des niveaux étudiés par les biologistes et écologues : biosphère, biomes, paysages, écosystèmes, biocénoses, communautés, populations, individus, organes, cellules, molécules/ADN.

Réseau trophique en eaux côtières. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f9d814-reseau-trophique-en-eaux-cotieres

Réseau trophique en eaux côtières

Réseau trophique en eaux côtières. Un réseau trophique (ou chaîne tropho-dynamique) se définit comme un ensemble de chaînes alimentaires reliées entre elles au sein d'un écosystème et par lesquelles l'énergie et la matière circulent (échanges d'éléments tel que le flux de carbone et d'azote entre les différents niveaux de la chaîne alimentaire, échange de carbone entre les végétaux autotrophes et les hétérotrophes). Le terme trophique se rapporte à tout ce qui est relatif à la nutrition d'un tissu vivant ou d'un organe. Par exemple, une relation trophique est le lien qui unit le prédateur et sa proie dans un écosystème. Dans un écosystème, la structure des réseaux trophiques (les types et réseaux de relations alimentaires entre organismes) influence fortement la quantité, la diversité, la stabilité et la qualité de la biomasse et de la matière organique résiduelle (excrétions, nécromasse) produites par les écosystèmes. La qualité d'un réseau trophique et de ses interactions a un lien direct avec la stabilité et résilience des populations qui en font partie.

Superficie des forêts par pays en 2005. Source : http://data.abuledu.org/URI/513a1c94-superficie-des-forets-par-pays-en-2005

Superficie des forêts par pays en 2005

Superficie des forêts par pays en 2005 : en ordonnées, par millions de km2, de 1 à 9 ; en abscisses, de gauche à droite : Russie, Brésil, Canada, États-Unis, Chine, Australie, R.D. Congo, Indonésie, Pérou, Inde. Dans le monde, la forêt - au sens le plus large - couvrait en 2005 environ 30 % des terres émergées. Selon la définition retenue, la superficie estimée de la forêt mondiale varie de 2,4 à 6 milliards d'hectares sur la base des chiffres envoyés par les États, l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture a estimé la forêt mondiale à presque 4 milliards d'hectares, soit 0,62 ha/habitant. Mais la forêt est mieux préservée sur la ceinture tropicale humide et au nord de la zone tempérée dans l'hémisphère nord. Ailleurs, dans 64 pays abritant un total de 2,0 milliards d'habitants, on compte en 2005 moins de 0,1 hectare de forêt par personne, chiffre qui diminue inéluctablement alors que le taux de population augmente et que la forêt régresse. Sept pays ou territoires ne possèdent plus aucune forêt et dans 57 autres pays, elles ne couvrent plus que moins de 10 % des terres.

Variations de populations clinales en boucle. Source : http://data.abuledu.org/URI/525a6cd0-variations-de-populations-clinales-en-boucle

Variations de populations clinales en boucle

Les variations des populations interfécondes (ici représentées par des blocs de couleurs) le long d'une cline peuvent suivre une courbe, formant au final un anneau. Une variation clinale (ring species, « espèce en anneau ») est une série de populations voisines connectées dont les populations relativement apparentées peuvent se reproduire entre elles, mais au sein de laquelle il existe au moins deux populations « terminales » qui sont trop peu apparentées pour qu'il y ait inter-reproduction. C'est un cas particulier de cline systématique.