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Photographie | Biodiversité | Dessins et plans | Mer Rouge | Biologie marine | Écologie des récifs coralliens | Animaux des récifs coralliens | Récifs coralliens | Biologie des récifs coralliens | six-minutes-pour-la-mer-rouge | Acropores | Acropora | Récifs coralliens -- Biologie | Récifs | Récifs coralliens -- Faune | Récifs coralliens -- Écologie | Endosymbiose | Botanique | Diversité des espèces | Photosynthèse | ...
Acanthaster pourpre. Source : http://data.abuledu.org/URI/541985e4-acanthaster-pourpre

Acanthaster pourpre

L’acanthaster pourpre (Acanthaster planci) est une espèce d’étoile de mer de couleurs vives, de la famille des Acanthasteridae, espèce nocturne d'étoile de mer se nourrissant des polypes du corail (récemment devenue espèce invasive là où elle a été introduite). On constate que cette espèce progresse sur les récifs exploités, et ne progresse pas ou progresse moins, là où la biodiversité est restée élevée, ou dans les réserves naturelles. Cette espèce carnassière vit dans les écosystèmes coralliens de la zone tropicale du bassin Indo-Pacifique ; elle se nourrit presque exclusivement de corail. De dimensions imposantes, de couleurs et de morphologie variables, elle est dotée de piquants dont le venin, qui provoque la nécrose des tissus, est toxique pour un grand nombre d’espèces, l’homme y compris, ce qui lui fait craindre peu de prédateurs. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Acanthaster_planci

Biodiversité à Hyderabad en 2012. Source : http://data.abuledu.org/URI/53874505-biodiversite-a-hyderabad-en-2012

Biodiversité à Hyderabad en 2012

Conference des Partis (COP-11), Convention sur la biodiversité, 2012, Hyderabad en Inde. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Conf%C3%A9rence_d%27Hyderabad_sur_la_diversit%C3%A9_biologique

Biodiversité animale. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d321c4-biodiversite-animale

Biodiversité animale

Graphique sur la biodiversité animale.

Coléoptères et papilons de Vanikoro. Source : http://data.abuledu.org/URI/59907c49-coleopteres-et-papilons-de-vanikoro

Coléoptères et papilons de Vanikoro

Henri-Pierre Aberlenc, Les savants de Lapérouse, la biodiversité et le peuplement de Vanikoro par les Insectes ː trois punaises et punaise marine (rivière Laurence), cigale de Lapérouse, trois sphinx et un papillon de jour.

Corail corne de cerf. Source : http://data.abuledu.org/URI/55549fdd-corail-corne-de-cerf

Corail corne de cerf

Les Acropora sont des coraux durs, constructeurs de récifs. Ils font partie des espèces responsables de la formation de barrières de corail, qui abritent la plus grande biodiversité de notre planète. Comme tous les coraux durs, les Acropora vivent en endosymbiose avec de minuscules algues appelées zooxanthelles, qui leur fournissent des hydrates de carbone complexes tels que des sucres grâce à la photosynthèse, en échange d'azote organique et de dioxyde de carbone. Outre la photosynthèse, ces coraux se nourrissent aussi selon un régime carnivore. Ils le font la nuit, en attrapant le zooplancton par leurs polypes. Ceux-ci sont rétractés pendant la journée. Les Acropora ont une forme complexe offrant de nombreuses cachettes à un extraordinaire cortège d'espèces associées, comme les poissons des genres Chromis et Dascyllus. Ce sont donc des espèces fondatrices d'une importance capitale pour l'équilibre de l'écosystème. Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Acropora

Corail corne de cerf. Source : http://data.abuledu.org/URI/55549ff5-corail-corne-de-cerf

Corail corne de cerf

Les Acropora sont des coraux durs, constructeurs de récifs. Ils font partie des espèces responsables de la formation de barrières de corail, qui abritent la plus grande biodiversité de notre planète. Comme tous les coraux durs, les Acropora vivent en endosymbiose avec de minuscules algues appelées zooxanthelles, qui leur fournissent des hydrates de carbone complexes telles que des sucres grâce à la photosynthèse, en échange d'azote organique et de dioxyde de carbone. Outre la photosynthèse, ces coraux se nourrissent aussi selon un régime carnivore. Ils le font la nuit, en attrapant le zooplancton par leurs polypes. Ceux-ci sont rétractés pendant la journée. Les Acropora ont une forme complexe offrant de nombreuses cachettes à un extraordinaire cortège d'espèces associées, comme les poissons des genres Chromis et Dascyllus. Ce sont donc des espèces fondatrices d'une importance capitale pour l'équilibre de l'écosystème. Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Acropora

Cycle sylvogénétique. Source : http://data.abuledu.org/URI/582ea002-cycle-sylvogenetique

Cycle sylvogénétique

Diagramme présentant de manière résumée et théorique les 6 étapes du cycle sylvogénétique dans le temps. Après un certain temps survient une perturbation qui fait reprendre le "cycle" à son début (ou à un stade intermédiaire si la perturbation est peu importante). Dans le bas de l'image est représentée l'accroissement de biomasse (sur pied et dans le sol, animale, végétale et fongique) de biodiversité et d'épaisseur de sol (qui a une importance en termes de puits de carbone). Au fur et à mesure de cette succession, les communautés végétales (et les communautés microbiennes, fongiques et animales qui leur sont associées) évoluent en se remplaçant les unes les autres.

Élevage extensif de rennes en Suède. Source : http://data.abuledu.org/URI/52080eb7-elevage-extensif-de-rennes-en-suede

Élevage extensif de rennes en Suède

Rennes en Suède : l'élevage extensif ou pâturage extensif (ranching pour les anglo-saxons) est une méthode d'élevage de bovins, ovins, etc. caractérisée par une faible densité de chargement d'effectifs d'animaux à l'hectare. Hormis le sel mais aussi le fourrage en cas de sécheresse, aucun apport supplémentaire de nourriture n'est requis, ce qui oppose ce mode d'élevage à l'élevage intensif. Il présente un grand intérêt pour la biodiversité, car les herbivores, ne surexploitent pas le milieu, ne contribuent pas à l'eutrophiser et entretiennent des milieux ouverts, tout en jouant un rôle de « corridors biologiques ambulant » (en transportant de nombreuses propagules (graines, spores, larves, etc.) sous leurs sabots, dans leurs poils, dans leur tube digestif…). C'est à ce titre un des modes de gestion restauratoire utilisée pour l'entretien et la restauration de milieux naturels ou semi naturels.

Empreinte d'élan. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d726d-empreinte-d-elan

Empreinte d'élan

Empreinte d'élan. Son pied composé de 4 sabots par patte, reliés pour partie par une membrane interdigitaire qui lui permet de moins s’enfoncer dans les sédiments et sols mous que d’autres espèces (charge de 420 à 440 g/cm2, contre 750 pour un bovin et 800 pour un cheval). Cet animal, capable de traverser des lacs et fleuves importants à la nage en Amérique du Nord, est le seul mammifère cervidé capable de brouter des végétaux aquatiques, la tête sous l’eau. Il semble donc occuper une niche écologique particulière et il pourrait avoir joué pour cette raison un rôle important pour l’entretien de la biodiversité et de la végétation naturelle potentielle des zones humides froides et tempérées. Il consomme quotidiennement environ 5 % de son poids (soit plus ou moins 20 kg de biomasse végétale fraîche par adulte de 400 kg).

Enjeux du Développement Durable. Source : http://data.abuledu.org/URI/506a2749-enjeux-du-developpement-durable

Enjeux du Développement Durable

Représentation graphique très visuelle des interrelations entre domaines (ou enjeux) du développement durable : ACTIONS, RESSOURCES, OBJECTIFS. Ce diagramme décrit la nécessité de gérer, restaurer et protéger des ressources vitales (eau, air, sol, produites ou entretenues par la biodiversité via les écosystèmes, et qui sont des ressources pas, peu, difficilement, coûteusement ou lentement renouvelables), ceci pour des objectifs qui sont à la fois sociaux, économiques et donc environnementaux. Les intersections entre les sphères ou groupes de sphères représentent les interfaces deux à deux, ou trois à trois des items de base. Ce type de représentation permet de garder une vue globale d'un problème (une étude d'impact, un projet, un agenda 21, une situation individuelle ou collective, etc.) et peut -pour partie - servir de "check list" dans l'exploration d'un problème avec une approche écosystémique ou systémique. Autre avantage, ce diagramme est facile à mémoriser.

Étapes du cycle sylvogénétique. Source : http://data.abuledu.org/URI/513a1e06-etapes-du-cycle-sylvogenetique

Étapes du cycle sylvogénétique

Diagramme présentant de manière résumée et théorique les 6 étapes du cycle sylvogénétique dans le temps. Après un certain temps survient une perturbation qui fait reprendre le "cycle" à son début (ou à un stade intermédiaire si la perturbation est peu importante). Dans le bas de l'image est représentée l'accroissement de biomasse (sur pied et dans le sol, animale, végétale et fongique), de biodiversité et d'épaisseur de sol (qui a une importance en termes de puits de carbone. Au fur et à mesure de cette succession, les communautés végétales (et les communautés microbiennes, fongiques et animales qui leur sont associées) évoluent en se remplaçant les unes les autres.

Forêt de bambous à Taïwan. Source : http://data.abuledu.org/URI/513af3ef-foret-de-bambous-a-taiwan

Forêt de bambous à Taïwan

Forêt de bambous près de Shizhuo (Comté de Shiayi à Taïwan). Cette île est située au sud-est de la Chine continentale, au sud du Japon et au nord des Philippines, et bordée à l’est par l’océan Pacifique, au sud par la mer de Chine méridionale, à l’ouest par le détroit de Taïwan et au nord par la mer de Chine orientale. Elle sera longtemps connue en français sous le nom de Formose et Formosa dans la majorité des autres langues européennes (ceci durant toute la période antérieure aux années 1960), puisque les marins portugais l’appelaient Ilha Formosa, la « belle île ». Le bambou est une graminée ligneuse. Il peut fixer 30 % de plus de CO2 que les arbres feuillus, jusqu'à 12 tonnes de CO2/ha/an (3 tonnes pour une forêt de feuillus). Il libère donc 30 % d'oxygène de plus que des arbres. L'étroitesse de ses feuilles améliore l'infiltration de l'eau dans le sol (deux fois plus qu'une forêt de feuillus). Il limite l'érosion des sols (grâce à son réseau racinaire très dense sur 60 centimètres de profondeur) et restaure des sols appauvris. On l'utilise pour l’élimination de certaines toxines du sol (phyto-remédiation), et sa culture ne nécessite peu ou pas d'engrais, ni de produits phytosanitaires. Mais les bambous sont répertoriés parmi les espèces invasives. Certaines espèces, par leurs aptitudes à s'étendre via leurs rhizomes, peuvent porter un réel préjudice à la biodiversité des écosystèmes, à l'échelle locale. Le tronc du bambou est utilisé pour sa résistance et sa légèreté pour les échafaudages des gratte-ciel. Parmi les dix plus hauts du monde, ceux du Two International Finance Center (416 m) et Central Plaza (374 m) de Hong Kong, la Jin Mao Tower (421 m) de Shanghai, le Shun Hing Square (384 m) Shenzhen ou le Citic Plaza (391 m) de Guangzhou (Canton), en Chine, ont notamment utilisé ce matériau.

Golfes de Suez et d'Aqaba. Source : http://data.abuledu.org/URI/5531625b-golfes-de-suez-et-d-aqaba

Golfes de Suez et d'Aqaba

Golfes de Suez et d'Aqaba, 10 février 2009. Le golfe d'Aqaba est situé à l'est de la péninsule du Sinaï et à l'ouest de la péninsule d'Arabie. L'Égypte, Israël, la Jordanie et l'Arabie saoudite en sont les États riverains. Il atteint la profondeur de 1 850 mètres, mesure 24 km à sa plus grande largeur pour une longueur totale de 160 km. Comme l'ensemble des eaux côtières de la mer Rouge, c'est un des premiers sites du monde pour la plongée sous-marine. Le secteur est particulièrement riche en corail et en biodiversité marine et contient un certain nombre d'épaves sous-marines, résultant de quelques naufrages accidentels mais aussi de navires délibérément coulés pour fournir un habitat aux organismes marins. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Golfe_d%27Aqaba

Hôtel à abeilles. Source : http://data.abuledu.org/URI/5103f1d2-hotel-a-abeilles

Hôtel à abeilles

Paris 5e arrondissement - Jardin des plantes - Hôtel à abeilles, vue de face. Le Muséum a installé en 2011 deux « hôtels à abeilles » en vue de préserver la biodiversité des insectes pollinisateurs, et notamment des abeilles sauvages.

Le Mont Kaw en Guyane. Source : http://data.abuledu.org/URI/5277a419-le-mont-kaw-en-guyane

Le Mont Kaw en Guyane

Vue depuis la Montagne de Kaw - Guyane Française. Située dans une des régions les plus humides de Guyane, elle accueille une riche diversité biologique et de nombreuses espèces endémiques. Elle abrite de nombreux abris sous roche favorables au coq de roche orange, espèce emblématique et endémique du Plateau des Guyanes. Le massif est aussi connu pour sa flore et son entomofaune, sans oublier les reptiles et l’avifaune. La plaine mais également la montagne de Kaw sont connues pour leur fort endémisme mais également pour leur biodiversité exceptionnelle. En effet, la forêt de la Montagne de Kaw possède la plus forte pluviométrie de la Guyane, ce qui expliquerait qu'elle aurait servi de refuge pour la faune et la flore lors des périodes de grandes sécheresses de l’ère du Pléistocène. Le projet très controversé de la société CBJ Caïman, filiale du groupe canadien Iamgold, d’ouvrir une mine d’or à ciel ouvert au cœur de l’un des haut-lieux de la biodiversité guyanaise avait mobilisé contre lui de larges secteurs de la société civile locale. À l'issue du Grenelle Environnement, le 30 janvier 2008 le président de la République a décidé de ne pas donner suite au projet d’exploitation aurifère sur la montagne de Kaw en Guyane.

Le vivant et la biodiversité. Source : http://data.abuledu.org/URI/588ca1ee-le-vivant-et-la-biodiversite

Le vivant et la biodiversité

Graphique représentant les différents niveaux d'organisation ou d'intégration du Vivant et de la Biodiversité. Il ne s'agit pas d'une hiérarchie, mais d'une présentation simplifiée des niveaux étudiés par les biologistes et écologues : ADN, cellules, organes, individus, populations, communautés, biocénoses, écosystèmes, paysages, biomes, biosphère.

Lithosphère et atmosphère. Source : http://data.abuledu.org/URI/5094e5e1-lithosphere-et-atmosphere

Lithosphère et atmosphère

Schéma de la place de la biodiversité dans la biosphère, à l'interface entre trois sphères : hydrosphère, atmosphère et lithosphère. La biodiversité interfère avec chacun de ces trois "compartiments" de la biosphère, avec un lien avec le climat dans les trois cas (via les "puits de carbone" en particulier) : La lithosphère constitue l'essentiel de la planète en termes de poids et de volume, loin devant l'eau et l'air. Elle est le support de la vie (Biodiversité) et incorpore les carbone résiduel fossile sous forme de charbon, gaz, pétrole et roches carbonatées. Ce schéma positionne de manière proportionnée en volume les fonctions écosystémiques actives (dont cycles biogéochimiques) de la biodiversité dans le système Terre-Univers et Eau/air/sol.

Musée Naturalis à Leyde. Source : http://data.abuledu.org/URI/584ff3c6-musee-naturalis-a-leyde

Musée Naturalis à Leyde

Musée Naturalis à Leyde, archicte Fons Verheijen.

Plantes et papillon de Vanikoro. Source : http://data.abuledu.org/URI/59907600-plantes-et-papillon-de-vanikoro

Plantes et papillon de Vanikoro

Henri-Pierre Aberlenc, ''Les savants de Lapérouse, la biodiversité et le peuplement de Vanikoro par les Insectes'' ː mosaïque d’espèces cultivées (photos 6 à 8) à Vanikoro, et chenille du papillon Sphinx (Agrius convolvuli) à Païou sur des feuilles de la Patate douce Hypomoea batatas (photos 9 à 11).

Pont suspendu au-dessus de la canopée. Source : http://data.abuledu.org/URI/513a34bb-pont-suspendu-au-dessus-de-la-canopee

Pont suspendu au-dessus de la canopée

Pont suspendu en Malaisie au-dessus de la canopée. La canopée est l'étage supérieur de la forêt, directement influencée par le rayonnement solaire. Elle est parfois considérée comme un habitat ou un écosystème en tant que tel, notamment en forêt tropicale où elle est particulièrement riche de biodiversité et de productivité biologique.

Sarrasin ou Blé noir. Source : http://data.abuledu.org/URI/506f2ed1-sarrasin-ou-ble-noir

Sarrasin ou Blé noir

Planche botanique N° 280 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Blé noir (Polygonum fagopyrum). Malgré son appellation courante de blé noir, le sarrasin n'est pas une graminée, et n'est pas une espèce du genre Triticum (genre regroupant les variétés de blé). Il est dépourvu de gluten, ce qui le rend difficile à utiliser en panification ou pour la confection des pâtes. Il est utilisable dans la confection de produits destinés aux personnes intolérantes au gluten. Les fruits sont des akènes à trois angles, qui contiennent une seule graine. Leur maturation est très échelonnée, ce qui rend la récolte plutôt délicate. Riches en protéines, elles contiennent tous les acides aminés essentiels, en outre elles posséderaient de nombreuses propriétés pour l'alimentation. C’est un grain hautement nutritif, de surcroît riche en fibres solubles et en composés antioxydants. En France la culture a failli disparaître (le blé noir couvrait 700 000 hectares en France au XIXe siècle et 160 000 hectares en Bretagne au milieu des années 1960), remplacée par l'orge, le blé et le maïs, plus rentables. La FAO indique que 30 000 ha sont cultivés en France. Plante mellifère : dans le cadre de l'année internationale de la biodiversité 2010, un projet pilote est en cours en Franche-Comté qui vise à cultiver des surfaces de sarrasin pour permettre aux abeilles d'utiliser le pollen produit par ces plantes comme élément nutritif.

Une table d'Acropore. Source : http://data.abuledu.org/URI/55549d6a-une-table-d-acropore

Une table d'Acropore

Les Acropora sont des coraux durs, constructeurs de récifs. Ils font partie des espèces responsables de la formation de barrières de corail, qui abritent la plus grande biodiversité de notre planète. Comme tous les coraux durs, les Acropora vivent en endosymbiose avec de minuscules algues appelées zooxanthelles, qui leur fournissent des hydrates de carbone complexes tels que des sucres grâce à la photosynthèse, en échange d'azote organique et de dioxyde de carbone. Outre la photosynthèse, ces coraux se nourrissent aussi selon un régime carnivore. Ils le font la nuit, en attrapant le zooplancton par leurs polypes. Ceux-ci sont rétractés pendant la journée. Les Acropora ont une forme complexe offrant de nombreuses cachettes à un extraordinaire cortège d'espèces associées, comme les poissons des genres Chromis et Dascyllus. Ce sont donc des espèces fondatrices d'une importance capitale pour l'équilibre de l'écosystème. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Acropora

Une table d'Acropore. Source : http://data.abuledu.org/URI/55549d89-une-table-d-acropore

Une table d'Acropore

Les Acropora sont des coraux durs, constructeurs de récifs. Ils font partie des espèces responsables de la formation de barrières de corail, qui abritent la plus grande biodiversité de notre planète. Comme tous les coraux durs, les Acropora vivent en endosymbiose avec de minuscules algues appelées zooxanthelles, qui leur fournissent des hydrates de carbone complexes tels que des sucres grâce à la photosynthèse, en échange d'azote organique et de dioxyde de carbone. Outre la photosynthèse, ces coraux se nourrissent aussi selon un régime carnivore. Ils le font la nuit, en attrapant le zooplancton par leurs polypes. Ceux-ci sont rétractés pendant la journée. Les Acropora ont une forme complexe offrant de nombreuses cachettes à un extraordinaire cortège d'espèces associées, comme les poissons des genres Chromis et Dascyllus. Ce sont donc des espèces fondatrices d'une importance capitale pour l'équilibre de l'écosystème. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Acropora

Une table d'Acropore. Source : http://data.abuledu.org/URI/55549da0-une-table-d-acropore

Une table d'Acropore

Les Acropora sont des coraux durs, constructeurs de récifs. Ils font partie des espèces responsables de la formation de barrières de corail, qui abritent la plus grande biodiversité de notre planète. Comme tous les coraux durs, les Acropora vivent en endosymbiose avec de minuscules algues appelées zooxanthelles, qui leur fournissent des hydrates de carbone complexes tels que des sucres grâce à la photosynthèse, en échange d'azote organique et de dioxyde de carbone. Outre la photosynthèse, ces coraux se nourrissent aussi selon un régime carnivore. Ils le font la nuit, en attrapant le zooplancton par leurs polypes. Ceux-ci sont rétractés pendant la journée. Les Acropora ont une forme complexe offrant de nombreuses cachettes à un extraordinaire cortège d'espèces associées, comme les poissons des genres Chromis et Dascyllus. Ce sont donc des espèces fondatrices d'une importance capitale pour l'équilibre de l'écosystème. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Acropora

Volcan Izzeguerit. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d1ce76-volcan-izzeguerit

Volcan Izzeguerit

Alentours du volcan Izzeguerit, sur le Bagzane, Aïr (Niger). Aux alentours des sommets, et plus particulièrement dans le massif des Bagzan, un petit nombre d'espèces à affinité méditerranéenne a été identifié. Ces espèces constituent un enjeu important de conservation car elles sont isolées aux plus hautes altitudes. Il s'agit notamment de l'olivier sauvage Aleou (Olea europaea subsp. laperrinei), d'une lavande, Alan'n'adragh (Lavandula antinae), de Rumex vesicarius ou des Asteraceae Senecio hoggariensis et Senecio flavus. Trois fougères absentes au Niger ont été identifiées en 2005 aux alentours du sommet des Bagzan : Actiniopteris radiata, Ophioglossum polyphyllum, et Cheilanthes coriacea, ce qui montre que les montagnes de l'Aïr offrent des refuges remarquables pour la biodiversité face à l'aridité du désert et permettent la persistance d'espèces ayant colonisé cette région lors de phases climatiques plus clémentes.

Volcan Merapi en éruption de nuit en 1865. Source : http://data.abuledu.org/URI/584ff31b-volcan-merapi-en-eruption-de-nuit-en-1865

Volcan Merapi en éruption de nuit en 1865

Volcan Merapi en éruption de nuit en 1865, par Raden Saleh (1811–1880). Centre de biodiversité Naturalis à Leyde (Pays-Bas).

Vue aérienne de l'autoroute A63 dans les Landes. Source : http://data.abuledu.org/URI/51321b52-vue-aerienne-de-l-autoroute-a63-dans-les-landes

Vue aérienne de l'autoroute A63 dans les Landes

Vue aérienne de l'autoroute A63 (N10) dans le nord du département des Landes. Cet axe est source de fragmentation forestière et d'autres milieux. Une minorité des zones de landes sont naturelles. D'après les dépôts de pollens retrouvés, ces zones étaient couvertes d'arbres. Un défrichage ancien, puis des techniques de culture peu judicieuses (écobuage, soutrage, brûlis, retournement du sol), amena la désertification donc l'abandon de ces terres. La résilience de l'ancien écosystème forestier ayant été dépassée, seule la lande put s'implanter. Sur ces sols ruinés, la culture des pins paraît la plus intéressante, puisque ces arbres s'implantent facilement et le délai d'exploitation est très court. Cependant, comme toutes les cultures mono-spécifiques, celles de pins est judicieuse économiquement à court terme, au prix d'un bilan écologique néfaste. La forêt de résineux est la seule pouvant s'implanter dans des zones où les conditions sont trop extrêmes pour les forêts de feuillus ou mixte. La monoculture de résineux dans tous les autres endroits est donc contre nature. Elle amène la podzolisation du sol, c'est-à-dire une stérilisation de la couche arable du sol par le lessivage systématique des substances nutritives qui s'y trouvent. À une certaine profondeur, les substances emportées se concentrent et forment de l'alios, le sol y est dur et imperméable comme de la pierre. Comparée aux autres types de forêts, celles composées uniquement de conifères ont une biodiversité très pauvre, car leur litière est toxique.