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Dessins et plans | Photographie | Fuseaux horaires | Géographie | Temps -- Systèmes et normes | Saisons | Décembre | Solstice d'hiver | Temps de Noël | Asclépiadacées | Gentianales | Asclepiadaceae | Ouistreham (Calvados) -- Phare | Phares | Phares -- France | Phare du Calvados | Phare de Ouistreham | Ouistreham (Calvados) | Navigation -- Mesures de sécurité | Phare du XXe siècle en France | ...
Carte des fuseaux horaires en Europe. Source : http://data.abuledu.org/URI/5096a7fb-carte-des-fuseaux-horaires-en-europe

Carte des fuseaux horaires en Europe

Carte des fuseaux horaires (UTC) en Europe. Légende : bleu = UTC+1, violet = UTC+2, rouge = UTC+3, rose = UTC+4, vert (à l'est) = UTC+5. Le TAI (Temps atomique international) est établi par le Bureau international des poids et mesures (BIPM) (Pavillon de Breteuil à Sèvres en France) à partir de quelque 349 (décembre 2008) horloges atomiques au césium réparties dans le monde. UTC a la même marche et la même fréquence que le TAI mais en diffère par un nombre entier de secondes. Pour ce faire, UTC est occasionnellement incrémenté ou décrémenté d' une seconde atomique entière, pour faire en sorte que la différence entre UTC et le temps universel UT reste inférieure à 0,9 s, tout en assurant un écart d’un nombre entier de secondes atomiques par rapport au temps atomique.

Cartographie forestière. Source : http://data.abuledu.org/URI/513a1f80-cartographie-forestiere

Cartographie forestière

Transect dans une forêt mesuré par la technologie "Field-Map": Field-Map est une technologie utilisée pour la cartographie, collecte et le traitement des données de terrain. Il est principalement utilisé pour la cartographie des écosystèmes forestiers en temps réel et la collecte des données lors des examens sur le terrain. L'application travaille avec la base de données relationnelle multi-niveaux et fournit également une bonne communication avec des périphériques externes tels que le GPS, le télémètre laser et l'inclinomètre. Le transect (diagramme en profil) est une ligne virtuelle qui montre le profil du terrain ainsi que les profils des arbres et couronnes.

Deux îles de l'Antarctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e7292d-deux-iles-de-l-antarctique

Deux îles de l'Antarctique

L.L. Ivanov et al., Antarctica : Carte des îles de Livingston et de Greenwich, échelle au 1:100000, dans les îles Shetland du Sud, au Nord de l'Antarctique. Montage photo présentant les spécificités des deux îles. L'île de Livingston est située dans l’Océan austral entre le passage de Drake et le détroit de Bransfield, à la distance de 110 km au nord-ouest de la Péninsule Antarctique et 830 km au sud-sud-est du cap Horn. Son sommet principal, la Montagne de Tangra, est situé au sud-est de l'île et culmine à 1700 m. La majeure partie de sa surface est recouverte d'une calotte de glace, qui forme la ligne côtière dans beaucoup de secteurs. Le climat est antarctique maritime. Les températures sont plutôt constantes : elles n'excèdent que rarement 3°C l'été et ne descendent que peu en dessous de –11°C pendant l'hiver. Toutefois, l'île est célèbre pour son mauvais temps, qui est hautement variable, venteux, humide et très peu ensoleillé. Livingston a été découvert par l'Anglais William Smith, le 19 février 1819, et pendant les années qui suivirent, l'île est devenue un centre d'exploitation de ressources vivantes marines. Il reste de cette époque des cabanes, des bateaux et d'autres objets façonnés par les chasseurs de phoques américains et anglais du XIXe siècle. Livingston possède la plus grande concentration de lieux historiques ou symboliques de l'Antarctique, après la Géorgie du Sud. L'île est régie par le régime du Traité sur l'Antarctique. Les bases scientifiques Juan Carlos I (Espagne) et Saint-Clément-d’Ohrid (Bulgarie) se trouvent dans la baie sud de Livingston depuis 1988, et la petite base de Cap Shirreff (Chili et É.-U.) est elle active depuis 1991. Il y a deux aires naturelles protégées sur l’île, la Péninsule Byers et le Cap Shirreff. Le Point Hannah sur le littoral sud de Livingston et l’île Half Moon, près de la côte est, sont des destinations parmi les plus populaires du tourisme antarctique et austral extrême, souvent visitées par des bateaux d’excursion.

Écran tactile. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cdeb76-ecran-tactile-

Écran tactile

Écran tactile capacitif : Dans les systèmes capacitifs, une couche qui accumule les charges, à base d'indium, métal de plus en plus rare, est placée sur la plaque de verre du moniteur. Lorsque l’utilisateur touche la plaque avec son doigt, certaines de ces charges lui sont transférées. Les charges qui quittent la plaque capacitive créent un déficit quantifiable. Avec un capteur dans chacun des coins de la plaque, il est possible en tout temps de mesurer et de déterminer les coordonnées du point de contact. Le traitement de cette information demeure le même que pour les circuits résistifs. Un avantage majeur des systèmes capacitifs, par rapport aux résistifs, est leur capacité à laisser passer la lumière avec un meilleur rendement. En effet, jusqu’à 90 % de la lumière traversera une surface capacitive par rapport à un maximum de 75 % pour les systèmes résistifs, ce qui donne une clarté d’image supérieure pour les systèmes capacitifs. Malheureusement ces systèmes ne sont pas facilement extensibles aux écrans plus grands qu'une vingtaine de pouces. Ils sont par contre très compétitifs aux petites tailles et on les retrouve ainsi dans de nombreux smartphones et tablettes de milieu et haut de gamme. Un écran tactile est un périphérique informatique qui combine les fonctionnalités d'affichage d'un écran (moniteur) et celles d'un dispositif de pointage, comme la souris ou le pavé tactile.

Fleur de Ceropegia racemosa au Burkina Faso. Source : http://data.abuledu.org/URI/548a005e-fleur-de-ceropegia-racemosa-au-burkina-faso

Fleur de Ceropegia racemosa au Burkina Faso

Ceropegia racemosa, Forêt Classée de la Kou, SW du Burkina Faso. Elles comportent toutes d'étranges fleurs tubuleuses et, la plupart du temps, des pétales soudés à leurs extrémités ne laissant que des ouvertures latérales. Les pollinisateurs doivent donc emprunter parfois un circuit compliqué pour atteindre le nectar à la base de la fleur.

Fuseaux horaires. Source : http://data.abuledu.org/URI/5096a51b-fuseaux-horaires

Fuseaux horaires

Fuseaux horaires terrestres depuis le 20 septembre 2011. Source : CIA. Le Temps universel coordonné (UTC) est une échelle de temps adoptée comme base du temps civil international par la majorité des pays du globe. UTC est une échelle de temps comprise entre le Temps atomique international (TAI ; stable mais déconnecté de la rotation de la Terre) et le Temps universel (TU), directement lié à la rotation de la Terre et donc lentement variable. Le terme « coordonné » indique que le Temps universel coordonné est en fait identique au Temps atomique international (il en a la stabilité et l’exactitude) à un nombre entier de secondes près, ce qui lui permet de coller au Temps universel à moins de 0,9 s près. « Coordinated universal time » a été abrégé en « UTC », au lieu de « CUT » correspondant à l’acronyme en anglais ou de « TUC » correspondant à l’acronyme en français. En effet, si les experts de l’UIT étaient d’accord pour définir une abréviation commune à toutes les langues, ils étaient divisés sur le choix de la langue. Finalement, c’est le compromis UTC, qui fut choisi. C’est cette notation qui est utilisée par la norme ISO 8601.

La Terre au solstice d'hiver. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e89cd6-la-terre-au-solstice-d-hiver

La Terre au solstice d'hiver

La Terre lors du solstice d'hiver de l'hémisphère nord. L'eurasie à midi (heure d'hiver d'Europe centrale — CET) le jour du solstice d'hiver dans l'hémisphère nord, du solstice d'été dans l'hémisphère sud. Cette image se base sur les données : Earth's City Lights ; et The Blue Marble: Land Surface, Ocean Color and Sea Ice. Ces images proviennent de la NASA, une agence gouvernementale américaine, et sont dans le domaine public. Les zones éclairées ont été créées par Home Planet de John Walker. Image francisée, auteur original : Przemyslaw "Blueshade" Idzkiewicz. Le solstice est un événement astronomique qui se produit lorsque la position apparente du Soleil vu de la Terre atteint son extrême méridional ou septentrional. Les jours avoisinants le solstice d'été sont les plus longs de l'année, tandis que ceux proches du solstice d'hiver sont les plus courts de l'année. Les dates des solstices d'hiver et d'été sont inversées pour les hémisphères nord et sud, ainsi bien sûr que les saisons. Une année connaît deux solstices : le premier entre le 20 et le 22 juin, le deuxième entre le 20 et le 22 décembre. Par extension, les solstices désignent les jours de l'année pendant lesquels ils se produisent. La date des solstices correspond au début de l'été ou de l'hiver astronomique.

Phare de Ouistreham, gardien de l'estuaire de l'Orne . Source : http://data.abuledu.org/URI/535e6233-phare-de-ouistreham-

Phare de Ouistreham, gardien de l'estuaire de l'Orne

Le phare de Ouistreham) est un phare à terre, cylindrique, mesurant 38 m de haut, fabriqué en granite et peint en rouge et blanc. Il fut mis en service en 1905. Il a été construit à côté de l'usine hydraulique, fonctionnant à l'époque et toujours visible de nos jours. Le phare d'Ouistreham est le "gardien de l'estuaire de l'Orne", il est visible à 16 milles marins à la ronde. La "signature" lumineuse du phare est de trois secondes de lumière blanche suivi d'une seconde d'obscurité. Le phare indique les dangereux rochers des Essarts grâce à un secteur rouge montrant la direction aux marins. Grâce à ses 171 marches de granite bleu de Vire, on accède à l'optique, une lampe halogène derrière une demi-lentille de Fresnel. Il est automatisé, gardienné et visitable. Au cours de l'été 2005, à l'occasion du centenaire, un jeu de lumière a été installé sur le phare. Il éclaire la base de l'édifice, et permet aux Ouistrehamais, en fonction de la couleur, de savoir si la mer est montante ou descendante : il est bleu lors de la marée montante, blanc le reste du temps. Il est peint en rouge en son haut, en écho aux balises latérales bâbord de la zone A. En effet, il est implanté sur la gauche du chenal quand on entre au port. Hauteur : 38.20 m - Elévation : 43 m - Portée : 16 milles nautiques ; Feux : lancs 1 occ., 4 secondes secteurs blanc et rouge ; Optique : demi-lentille de Fresnel, focale 0.25 m. ; Lanterne : lampe halogène 1 500 w. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Ouistreham