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Photographie | Musique | Instruments de musique | Instruments à vent | Bambous | Flûte | Instruments à percussion | Bois (instruments de musique) | Instruments de musique -- Chine | Instruments de musique -- Japon | Flûte traversière | Vents (instruments de musique) | Tambour (membranophones) | Instruments de musique -- Indonésie | Flûte droite | Gravure sur bambou | Échelles (cartographie) | Caïambe | Kayamb | Abrus precatorius | ...
Angklung indonésien. Source : http://data.abuledu.org/URI/533970d3-angklung-indonesien

Angklung indonésien

L’angklung est à la fois un instrument de musique en bambou et un ensemble de musiciens l'utilisant. Il s'agit d'un hochet complexe d'Indonésie populaire dans toute l’Asie du Sud-Est. L’angklung indonésien a été inscrit en 2010 par l'UNESCO sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité. On obtient de la musique de l'angklung en le secouant, faisant ainsi claquer les résonateurs de bambou sur les montants. Chaque instrument produit ainsi deux ou trois notes. Il est souvent disposé en série croissante si bien qu'au lieu d'avoir un ou deux instruments par musicien, ce dernier pourra en manipuler plusieurs dizaines. Généralement, trois personnes ou plus ont un angklung dans leurs mains, qui produisent des sons sur différents tons. De cette façon, il est possible de jouer une mélodie pentatonique complète. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Angklung

Chenda indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/53397fd5-chenda

Chenda indien

Le chenda ou chende est un instrument de musique de l’Inde. C'est un instrument de percussion membranophone. C'est un tambour en tonneau à deux peaux utilisé dans la musique kéralaise. Seuls des membres de la communauté Mârâr ou Pothuvâl sont habilités à en jouer. D'un diamètre de 22 cm, avec 55 cm de long, il est en un bois épais de jacquier. Deux cercles de 32 cm de diamètre en bois ou en bambou assurent la fixation des cordes de tensions réglables à l'aide d'un anneau le long du fût. Les membranes sont en peau de vache ou de veau (l'une d'elles a six couches distinctes de peaux). C'est l'un des rares tambours, maintenu à l'aide d'une sangle passée sur les épaules, à être joué debout. L'instrument est tenu à la verticale, comme un tambour européen. On le frappe sur la face supérieure (valantâla) à l'aide d'une ou deux baguettes courbes ou avec la main gauche nue. À de rares occasions, la face inférieure (etântâla) est aussi frappée. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Chenda

Dabakan des Philippines. Source : http://data.abuledu.org/URI/5335aae9-dabakan

Dabakan des Philippines

Le dabakan est un tambour philippin faisant partie de l'ensemble musical kulintang. Le bois du jacquier ou du cocotier est utilisé pour faire le cadre, la membrane est en cuir de vache ou peau de serpent. Les baguettes utilisées pour frapper la peau sont en bambou ou rotin. Le tambour est utilisé pour garder le rythme de l'ensemble musical ; c'est le seul instrument qui ne soit pas un gong. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Dabakan

Ektara du Bengale. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c528d-ektara-

Ektara du Bengale

L'ektara des bauls du Bengale, est un instrument unique en son genre. C'est une petite caisse de résonance cylindrique en bois ou gourde, sur laquelle une peau de chèvre est fixée ; une corde est nouée à celle-ci et tendue grâce à deux languettes d'un bambou fendu fixées elles au bord de la caisse. Une cheville y est placée pour accorder la corde. On en joue debout ou assis, et uniquement de la musique folklorique ou des bhajans dévotionnels. On obtient une mélodie sur l'instrument baul en pressant sur le bambou fendu en deux : plus on presse le bambou, plus la note devient grave, et plus on le relâche, plus la note devient aiguë. Pour l'autre, il suffit de pincer la corde avec le doigt, et il n'y a pas de variation mélodique : c'est un bourdon. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ektara.

Flute de Pan. Source : http://data.abuledu.org/URI/549df143-flute-de-pan

Flute de Pan

Flûte de Pan des îles Salomon ; Date de collecte : fin XIX ème siècle - Ancienne collection de Théophile Savès ; Matériaux : Roseau, Bambou, Corde ; Taille: 22 x 11 x 1,5 cm ; Muséum de Toulouse.

Gong à Bali. Source : http://data.abuledu.org/URI/53271e72-gong-bali

Gong à Bali

Gong dans une fabrique de gongs à Bali en Indonésie. Le gong désigne une variété d'instruments de musique de percussion en métal. Il ne faut pas le confondre avec le tam-tam, ce dernier a une hauteur indéfinie alors que le gong est accordé. Le terme vient du malais et du javanais mais est très répandu à travers l'Asie. L'instrument en lui-même provient vraisemblablement des percussions en bronze de Chine et des cymbales d'Asie centrale. Les gongs sont plus ou moins plats et circulaires. Ils sont suspendus verticalement par des cordes passées à travers des trous sur la partie haute du disque. On les frappe à l'aide d'un bâton dont la taille est proportionnelle au gong. Les plus grands gongs peuvent être préparés en les frappant légèrement avant de donner le véritable coup ce qui permet d'améliorer la qualité du son. Les grands gongs ont un son très puissant. Les plus petits gongs sont joués avec des baguettes de bambou ou de batterie occidentales.

Graines de pois rouge réunionnais. Source : http://data.abuledu.org/URI/522ce31b-graines-de-pois-rouge-reunionnais

Graines de pois rouge réunionnais

Graines de pois rouge (abrus precatorius). À La Réunion, les graines sont aussi utilisées dans le kayamb ou "caïambe", instrument de musique rectangulaire fait de bambou creux, qu'on remue des mains pour avoir la "grainée" sonore de la danse maloya.

Hulusi chinois. Source : http://data.abuledu.org/URI/53304b36-hulusi

Hulusi chinois

Le hulusi est un instrument à vent à anche libre de culture dai, composé d'une calebasse et de tubes de bambou. Le son est proche de celui d'une clarinette. C'est un cousin du pungi indien. Trois tubes sortent de la calebasse. Le central, le plus long, comporte des trous, bouchés avec les doigts. Dans certains hulusi, le tube central peut se détacher du reste pour se transformer en une flûte traversière. Selon les modèles, un ou deux des autres tuyaux contiennent un bouchon amovible : ce sont des bourdons qui produisent un son lorsque le bouchon est enlevé. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hulusi

Koudi chinois. Source : http://data.abuledu.org/URI/53398304-koudi

Koudi chinois

Photo de koudi à côté d'un crayon, pour donner l'échelle. Le koudi est une minuscule flûte traversière en bambou chinoise dérivée du dizi. Elle a été inventée en 1971 par le maitre de dizi Yu Xunfa. Elle est faite d'un très court segment de bambou avec des trous de jeu de part et d'autre du trou d'insufflation. Une des plus célèbres compositions pour le koudi est YunQue. L'instrument est également utilisé dans les pièces d'orchestre chinoises telle que Fei Tian. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Koudi

Pungi de charmeur de serpents. Source : http://data.abuledu.org/URI/53070b80-pungi-de-charmeur-de-serpents

Pungi de charmeur de serpents

Pungi de charmeur de serpents : La caisse de résonance est une gourde percée aux extrémités pour laisser passer deux ou trois morceaux de bambou, l'un d'eux comportant les trous de jeu. À l'intérieur de l'entrée de la gourde, une anche simple est fixée, et ce n'est qu'après son passage que l'air est séparé entre les bourdons et le "chanter", le tuyau de jeu. L'instrument est très décoré et peut atteindre 80 cm de long. C'est une sorte de cornemuse primitive, dont le sac est formé des poumons et de la bouche du musicien. Elle se joue avec un souffle continu, consistant à aspirer de l'air en même temps que l'on expire. On en joue debout, assis, mais surtout accroupi, tout près des serpents : les serpents étant sourds, mais sensibles aux vibrations. Seule une caste uniquement formée de musiciens, les sapera (de sâp serpent), est autorisée à en jouer. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pungi.

Ravanhatta indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/533454a2-ravanhatta

Ravanhatta indien

Le ravanhatta est une vièle rustique indienne considérée comme l'ancêtre le plus primitif du violon et du rabâb. Selon la légende, il aurait été inventé en 3 000 avant notre ère par Ravana, roi de Ceylan. Il est constitué de deux cordes en boyau de gazelle accordées à la quinte, un chevalet, une caisse de résonance en noix de coco, un manche en bois, des chevilles et un archet en bambou ; celui-ci est percé au talon d'un trou dans lequel passe la mèche arrêtée par un nœud et à la pointe, c'est dans une fente que vient se fixer, par un nœud également, l'autre bout de la mèche. Il est ainsi courbé comme un arc (à la différence de l'archet moderne). On note la position particulière de l'archet : celui-ci est bloqué par la mèche entre les deux cordes, et l'on frotte l'une ou l'autre de celles-ci selon que l'on met l'archet vers l'avant ou vers l'arrière. Cet instrument est très joué dans le folklore du Rajasthan et par les musiciens itinérants. Il se joue souvent debout, tenu contre la poitrine, en même temps que le musicien chante. Il est parfois accompagné des castagnettes indiennes kartal. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ravanhatta

Ryuteki, flûte traversière japonaise. Source : http://data.abuledu.org/URI/53315eca-ryuteki

Ryuteki, flûte traversière japonaise

Le ryūteki est une flûte traversière japonaise fabriquée traditionnellement en bambou. Ryūteki signifie littéralement "flûte du dragon". Elle est utilisée dans la musique gagaku où le son du ryūteki est censé représenter les dragons qui montent entre les lumières des cieux (représentés par les shō) et les gens de la terre représentés par les hichiriki. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ry%C5%ABteki.

Shakuhachi, flûte chinoise. Source : http://data.abuledu.org/URI/53316008-shakuhachi

Shakuhachi, flûte chinoise

Le shakuhachi est une flûte chinoise, également utilisée en musique japonaise droite à embouchure libre en bambou. Évoquant la nature, elle est utilisée en musique traditionnelle. C'est au VIe siècle qu'on retrouve des traces écrites de la flûte de bambou prouvant son utilisation au Japon. Au VIIe siècle, la flûte de bambou faisait partie des instruments utilisés pendant les représentations données à la cour, musique connue sous le nom de Gagaku. Le musicien est généralement agenouillé, assis sur ses talons. Contrairement au joueur de flûte à bec, qui souffle dans un bec rigide conduisant ainsi l’air dans un sifflet, le joueur de shakuhachi souffle dans son instrument comme on soufflerait dans le goulot d’une bouteille vide. L’embouchure du shakuhachi présente également un bord biseauté, permettant au joueur de contrôler très finement la hauteur du son, en un mouvement d’abaissement ou de montée de l’instrument, par rapport à l’axe des lèvres. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Shakuhachi

Suling indonésienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5339357e-suling

Suling indonésienne

La suling est une flûte droite indonésienne en bambou. On l'utilise notamment dans le duo kacapi suling. On la retrouve aux Philippines. C'est une flûte à conduit de 60 cm de long, avec le biseau taillé vers l'intérieur. Une bande en ratan ou en palme entoure l'extrémité plate, et entraîne la vibration de l'air nécessaire pour produire une note. Le nombre de trous diffère en fonction du style de jeu : pelog, salendro, madenda ou mandalungan. Elle est utilisée notamment dans le gamelan. Elle produit de nombreuses harmoniques. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Suling