Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Photographie | Musique | Solfège | Musique -- Intervalles et gammes | Dessins et plans | Partitions -- Lecture et déchiffrage | Sol | Instruments de musique | Note de musique | Partitions (musique) | Musique -- Classification | Notes (musique) | Associations de musique | Maoris (peuple de Nouvelle-Zélande) -- Musique | Art maori | Flûte Maori | Flûte | Koauau | Maoris (peuple de Nouvelle-Zélande) -- Art | Musique Russe | ...
Ré et clef de sol en solfège. Source : http://data.abuledu.org/URI/5344ff93-re

Ré et clef de sol en solfège

La note ré est la seconde note de la gamme majeure. Il a été choisi par Guido d'Arezzo (0990?-1050) pour nommer la seconde note de la gamme. Le ré est placé entre la note do et la note mi. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9_%28note_de_musique%29

Sol et clef de sol en solfège. Source : http://data.abuledu.org/URI/534503de-sol

Sol et clef de sol en solfège

Le sol est le cinquième degré de la gamme de do en musique. En musique, une note désigne soit un symbole permettant de représenter la hauteur et la durée relative d'un son, soit la hauteur elle-même d'un son. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Note_de_musique

Balalaïka russe. Source : http://data.abuledu.org/URI/53232c44-balalaika

Balalaïka russe

La balalaïka (Russe : Балалайка) est un instrument de musique à cordes pincées russe. C'est un luth à manche long à la caisse typiquement triangulaire. Le mot balalaïka vient du russe balakat, qui signifie bavarder, plaisanter, taquiner. Elle se joue avec un plectre et se décline en plusieurs tailles. La plus courante, la prima, comporte trois cordes, deux accordées en mi et la troisième en la. Elle est souvent associée aux orchestres de balalaïkas. L'ancêtre de la balalaïka s'appelle la domra et date du XVIe siècle. Elle aurait été introduite en Russie par les Tartares. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Balala%C3%AFka.

Boha des Landes. Source : http://data.abuledu.org/URI/533ab955-boha-des-landes

Boha des Landes

Cornemuse des landes, connue sous le nom gascon de "boha". Instrument de facture récente (2003). La boha (prononcer "bou-heu") ou cornemuse des Landes de Gascogne est un instrument de musique à vent utilisé dans la musique gasconne. C'est une cornemuse à anches simples. Elle a une petite poche et possède une partie mélodique et un seul bourdon à 2 tons contenus dans une pièce en bois de buis ou de fruitier recelant deux perces parallèles, appelée pihet (mot gascon de même racine que "pifre" signifiant "fifre"). Le nom "boha" vient du verbe bohar qui en gascon signifie souffler ; les sonneurs de boha sont appelés bohaires. La boha était autrefois sonnée sur une aire comprenant une partie des actuels départements des Landes, de la Gironde, du Lot-et-Garonne et du Gers. La boha est constituée de 4 parties essentielles : - La poche : généralement en peau de chèvre voire d'agneau. - Le porte-vent : contenant en général une valve (d'autres systèmes existent ou sont en expérimentation) pour empêcher le retour de l'air. - Le pihet (double tuyau) : contenant deux tuyaux, un pour la mélodie et un pour le bourdon. Le tuyau mélodique est percé de 7 ou 8 trous ; le tuyau du bourdon est percé d'un trou et est prolongé par le brunidèr - Le brunider : pièce de bois prolongeant le tuyau du bourdon et qui permet s'il est mis ou enlevé de modifier la note du bourdon. La boha est généralement associée à une culture de bal gascon et accompagne des danses comme le rondeau, la mazurka, la polka, la valse, la scottish…

Clavier de piano en couleur. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c4a7ce-clavier-de-piano-en-couleur

Clavier de piano en couleur

Clavier de piano avec les couleurs synésthésiques perçues par Scriabine : Par la combinaison des sons, des couleurs (« clavier à lumières » pour Prométhée ou le poème du feu), à la recherche d'une liberté spirituelle et de l’extase, sa musique évolue de façon toujours plus nette vers les aspects mystiques de la vie, de la mort, de la réincarnation. La synesthésie (du grec syn, avec (union), et aesthesis, sensation) est un phénomène neurologique par lequel deux ou plusieurs sens sont associés : la musique et d'autres sons peuvent être perçus colorés, ou ayant une forme particulière. Alexandre Nikolaïevitch Scriabine ou Skriabine (en russe : Александр Николаевич Скрябин) est un pianiste et un compositeur russe né à Moscou le 25 décembre 1871 du calendrier julien/6 janvier 1872 et mort à Moscou le 14 avril du calendrier julien/27 avril 1915. DO en rouge, R2 en jaune, MI en bleu clair, FA en marron, SOL en orange, LA en vert, SI en bleu.

Clef de sol. Source : http://data.abuledu.org/URI/51239c05-clef-de-sol

Clef de sol

En solfège, une clef (ou clé) est un signe graphique placé au début de la portée qui indique la hauteur des notes associées à chaque ligne.

Clef de ut. Source : http://data.abuledu.org/URI/51239e0b-clef-de-ut

Clef de ut

En solfège, une clef (ou clé) est un signe graphique placé au début de la portée qui indique la hauteur des notes associées à chaque ligne.

Domra russe. Source : http://data.abuledu.org/URI/53284e02-domra

Domra russe

La domra est un instrument à cordes russe de la famille des luths répandu jusqu'au XVIIe siècle puis disparu, et recréé à la fin du XIXe siècle par Vassili Andreyev, le musicien à l'origine du renouveau de la balalaika et de la musique folklorique russe. En 1905, un luthier y ajouta une quatrième corde. C'est un instrument que l'on retrouve souvent associé à la balalaïka. On en joue avec un plectre en solo, duo ou orchestre. Il est plutôt réservé à l'interprétation des musiques modernes ou classiques.

Koauau maorie. Source : http://data.abuledu.org/URI/53285ddb-koauau

Koauau maorie

La kōauau est une flûte maorie, longue de 10 à 20 centimètres et possédant de trois à six trous pour les doigts. Les joueurs maori de kōauau étaient supposément renommés pour le pouvoir que leur instrument leur donnait pour obtenir l'affection des femmes (pouvoir illustré notablement par l'histoire de Tūtānekai, qui, en jouant de son kōauau, a convaincu Hinemoa de traverser le lac Rotorua à la nage pour le rejoindre). La flûte kōauau est faite de bois ou d'os. Anciennement, des os d'oiseaux étaient utilisés, comme des os d'albatros ou de moa. Certains instruments furent aussi fabriqués à partir d'os humains et étaient associés à un statut de chef et à la pratique précoloniale du utu.

Taiko Japonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/53281fcd-taiko-japonais

Taiko Japonais

Taiko (太鼓) veut dire tambour en japonais, ce mot vient du chinois : 太鼓 ; pinyin : tàigǔ ; littéralement : « tambour le plus grand » mais ce mot est généralement utilisé en dehors de ce pays pour désigner les différentes formes de tambours. Les Japonais préfèrent utiliser le terme plus spécifique wadaiko (和太鼓, littéralement tambour japonais), associé depuis longtemps à l'histoire du Japon.

Trajet en omnibus en 1828. Source : http://data.abuledu.org/URI/514edebd-trajet-en-omnibus-en-1828

Trajet en omnibus en 1828

Le trajet en omnibus en 1828, par Jean Ignace Isidore Gérard, mieux connu sous son pseudonyme de J. J. Grandville (1803-1847), célèbre pour ses illustrations de journaux comme "La Silhouette," "L'Artiste," "La Caricature," et "Le Charivari." Ce dessin illustre une pièce de musique de "Une Course d'Omnibus" de Charles Henri Plantade (1764-1839). Un omnibus (du latin omnibus, signifiant « pour tous ») est un véhicule à traction hippomobile inspiré des diligences et assurant un service de transport public. Un omnibus circule à des horaires déterminés sur des lignes fixes, ce qui le distingue des fiacres, ancêtres des taxis, qui, loués par une personne ou une famille, se rend à la destination choisie par ses clients. Par ailleurs, il circule sur la chaussée, sans être guidés par des rails, ce qui les distingue des tramways. Il n'a pas nécessairement de points d'arrêts fixes. Le mot « omnibus », d'où viennent « autobus » et « bus », est apparu en relation avec la ligne créée à Nantes en 1826, la première en France, au XIXe siècle. L'âge d'or des omnibus est cependant le XIXe siècle, lorsque les villes commencent à s'étendre sous la pression d'une forte croissance démographique et industrielle, l'amélioration de la voirie, et à une époque où la petite bourgeoisie, qui pouvait économiquement payer des places, se développe. Lorsque Stanislas Baudry (1777-1830) décide de créer le même service à Paris, il crée une nouvelle entreprise à qui il donne le nom d'Entreprise générale des omnibus (EGO) ; il y est associé avec d'autres hommes d'affaires (Boitard et Saint-Céran). Le 30 janvier 1828, l'EGO obtient du préfet de police de Paris, Louis-Maurice Debelleyme, l'autorisation d'exploiter une entreprise de « voitures destinées à transporter à bas prix les habitants de certains points de la ville à d'autres points également fixés et en suivant des itinéraires fixés par la ville », avec au plus cent voitures. Les omnibus de l'EGO, tractés par trois chevaux, comptent 14 places assises réparties en trois classes. Après une phase de succès, l'EGO subit une crise dès l'hiver 1830 et est mise en faillite.