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Photographie | Gravure | Dix-huitième siècle | Denis Diderot (1713-1784) | Dessins et plans | D' Alembert (1717-1783) | Architecture contemporaine | Textes | Encyclopédie Diderot et d'Alembert | Valence (Espagne) | Fourrures -- Industrie et commerce | Encyclopédies et dictionnaires français | Antiquités | Encyclopédies illustrées | Artistes néerlandais | Arts et sciences | Valencia (Espagne) | Outils | Formes (mathématiques) | Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers | ...
Dodécaèdre étoilé d'Escher. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b58a88-dodecaedre-etoile-d-escher

Dodécaèdre étoilé d'Escher

Sculpture du petit dodécaèdre étoilé qui apparait dans Gravitation, 1952, d'après un dessin de M. C. Escher. Devant l'immeuble de "Mesa+" sur le Campus. En géométrie, le petit dodécaèdre étoilé est un solide de Kepler-Poinsot. C'est un des quatre polyèdres réguliers non convexes. Il est composé de 12 faces pentagrammiques, avec cinq pentagrammes se rencontrant à chaque sommet. Les 12 sommets coïncident avec ceux d'un icosaèdre. Les 30 arêtes sont obtenues en reliant chacun des 12 sommets aux 5 sommets les plus éloignés de lui, autres que le sommet diamétralement opposé. Elles sont partagées par le grand icosaèdre. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Petit_dod%C3%A9ca%C3%A8dre_%C3%A9toil%C3%A9

Vol d'oiseaux par Escher. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b59248-vol-d-oiseaux-par-escher

Vol d'oiseaux par Escher

Vol d'oiseaux, par M. C. Escher, Musée de la céramique, Grote Kerkstraat 11 à Leeuwarden (Pays-Bas).

Acupuncture et poupée japonaise. Source : http://data.abuledu.org/URI/5937015f-acupuncture-et-poupee-japonaise

Acupuncture et poupée japonaise

Acupuncture et poupée japonaise, National Museum of Nature and Science, Tokyo, Japon.

Auto-portrait d'Alexandre von Humboldt. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f45639-auto-portrait-d-alexandre-von-humboldt

Auto-portrait d'Alexandre von Humboldt

Auto-portrait d'Humboldt en 1814 à 35 ans. Humboldt arrive au large de Bordeaux le 1er août 1804. Il s'installe à Paris, au 3 quai Malaquais, où il résidera de 1804 et 1824. Il retrouve le monde scientifique de son temps. Il fait partie de la Société d'Arcueil formée autour du chimiste Berthollet où se rencontrent également François Arago, Jean-Baptiste Biot, Louis-Joseph Gay-Lussac avec lesquels Humboldt se lie d'amitié. Ils publient ensemble plusieurs articles scientifiques. Humboldt et Gay-Lussac mènent des expériences communes sur la composition de l'atmosphère, sur le magnétisme terrestre. Humboldt offre son herbier au muséum d'histoire naturelle de Paris. La collection est acceptée par décret en 1805. Il publie en français la relation de son voyage. Il fréquente les salons parisiens comme celui de Madame de Récamier. Il se lie d'amitié avec Chateaubriand. Il est reçu par Napoléon qui le soupçonne d'espionnage pour le compte de la Prusse. Humboldt est reconnu par les plus grands scientifiques de son temps. Il est élu correspondant pour la section de physique générale de la 1re Classe de l'Institut national des sciences et des arts le 16 pluviôse an XII (6 février 1804), Associé étranger de l'Académie des sciences le 14 mai 1810. Paris est la capitale de la science et, Humboldt décide d'y rester pour trier ses collections et préparer un ouvrage monumental à partir de son expérience.

Buste d'Épicure. Source : http://data.abuledu.org/URI/50bd0177-buste-d-epicure

Buste d'Épicure

Buste d'Épicure, fondateur de l'épicurisme, copie romaine d'un original hellénistique. Épicure (en grec Ἐπίκουρος) est un philosophe grec, né fin -342 ou début -341 et mort en -270. Il est le fondateur, en -306, de l'épicurisme, l'une des plus importantes écoles philosophiques de l'Antiquité. En physique, il soutient que tout ce qui est se compose d'atomes indivisibles. Les atomes se meuvent aléatoirement dans le vide et peuvent se combiner pour former des agrégats de matière. L'âme en particulier serait un de ces agrégats d'atomes, et non une entité spirituelle, notamment d'après son disciple Lucrèce. En éthique, le philosophe grec défend l'idée que le souverain bien est le plaisir, défini essentiellement comme « absence de douleur ». En logique ou épistémologie, Épicure considère que la sensation est à l'origine de toute connaissance et annonce ainsi l'empirisme. La doctrine d'Épicure peut être résumée par ce que les épicuriens ont appelé le tetrapharmakon (quadruple-remède, ou "quadruple-poison" : car tout est question de posologie), que fit graver Diogène d'Œnoanda sur le mur d'un portique, formulé ainsi : on ne doit pas craindre les dieux ; on ne doit pas craindre la mort ; le bien est facile à atteindre ; on peut supprimer la douleur. Épicure classait les besoins et aspirations en quatre catégories : Besoins naturels indispensables à la vie (boire, manger, dormir), au bien-être (maison, hygiène, diététique, affection), et au bonheur (philosophie, amitié, sagesse) ; Aspirations naturelles dont on peut à la rigueur se passer (le sexe, l'amour, jeux, arts, sciences, etc.) ; Aspirations de création humaine et donc artificielles (richesse, gloire, etc.) ; Aspirations mystiques et non réalisables (désirs d'immortalité, etc.).

Cité des Arts et des Sciences à Valence. Source : http://data.abuledu.org/URI/54dbd73e-cite-des-arts-et-des-sciences-a-valence

Cité des Arts et des Sciences à Valence

Cité des Arts et des Sciences à Valence, Espagne.

Cité des arts et des sciences à Valence. Source : http://data.abuledu.org/URI/5630ddfb-cite-des-arts-et-des-sciences-a-valence

Cité des arts et des sciences à Valence

Photographie durant l'heure bleue du musée des sciences Príncipe Felipe (à droite) et de l'Hemisfèric (au fond), cité des arts et des sciences, Valence, Espagne. Le musée, d'une superficie de 40.000 m2, fut ouvert au public le 13 novembre 2000 et fut conçu par Santiago Calatrava Valls.

Construction d'une pyramide, d'après Hérodote. Source : http://data.abuledu.org/URI/50aea448-construction-d-une-pyramide-d-apres-herodote

Construction d'une pyramide, d'après Hérodote

Interprétation du témoignage d'Hérodote sur la construction d'une grande pyramide. Source : Antoine-Yves Goguet, "L'origine des lois, des arts et des sciences", 1820. Lorsque Hérodote visite l'Égypte vers -450, le pays est sous domination perse depuis un peu moins d'un siècle (XXVIIe dynastie). Ne parlant pas la langue des Égyptiens, Hérodote doit faire appel à des traducteurs, ou bien se contenter des dires des colons grecs qui habitent le pays. Il est difficile de savoir quelle connaissance les Égyptiens de l'époque pouvaient avoir des méthodes de construction de monuments vieux déjà de plus de 2000 ans, et on ne peut que s'interroger sur la véracité des propos rapportés par Hérodote ; il apparaît peu probable qu'ils soient entièrement conformes à la réalité. « Les uns durent, depuis les carrières de la Chaîne Arabique, traîner jusqu'au Nil les blocs de pierre qu'on en tirait ; d'autres eurent la tâche de recevoir ces pierres, passées en barques sur l'autre rive, et de les traîner jusqu'à la montagne qu'on appelle la Chaîne Libyque. Cent mille hommes travaillaient à la fois, relevés tous les trois mois. » Hérodote, L'Enquête II-124, traduction d'Andrée Barguet.

Construction d'une pyramide, d'après Hérodote. Source : http://data.abuledu.org/URI/50aea589-construction-d-une-pyramide-d-apres-herodote

Construction d'une pyramide, d'après Hérodote

Interprétation du témoignage d'Hérodote sur "La machine". Source : "L'origine des lois, des arts et des sciences", 1820. « Voici comment on construisit cette pyramide, par le système des gradins successifs que l'on appelle tantôt krossai (corbeaux), tantôt bomides (plates-formes). On la construisit d'abord sous cette forme, puis on hissa les pierres de complément à l'aide de machines faites de courtes pièces de bois : on montait la pierre du sol jusqu'à la première plate-forme ; là, on la plaçait dans une autre machine installée sur le premier gradin, et on la tirait sur jusqu'au deuxième gradin, où une troisième machine la prenait. »

Couverture thématique de wikipedia. Source : http://data.abuledu.org/URI/5444027a-couverture-thematique-de-wikipedia

Couverture thématique de wikipedia

Couverture thématique de Wikipédia Aniket Kittur, Ed H. Chi, and Bongwon Suh, What's in Wikipedia?: Mapping Topics and Conflict using Socially Annotated Category Structure. In Proceedings of the 27th international Conference on Human Factors in Computing Systems (Boston, MA, USA, April 04 - 09, 2009). CHI '09. ACM, New York, NY : biographies, géographie, société, histoire, sciences, technologie, religion, santé, mathématiques, philosophie, culture et arts.

Encyclopédie de Diderot et d'Alembert au Mans. Source : http://data.abuledu.org/URI/524c7617-encyclopedie-de-diderot-et-d-alembert-au-mans

Encyclopédie de Diderot et d'Alembert au Mans

Version de l'encyclopédie de Diderot et d'Alembert conservée dans les fonds anciens du lycée Montesquieu du Mans, ancien collège des Oratoriens.

Forges en 1763. Source : http://data.abuledu.org/URI/56c245ed-forges-en-1763

Forges en 1763

Planches de l'Encyclopédie, ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers de Diderot et d'Alembert, volume 3: Forges. 2nde section, Pl. II.

Inscription en latin de Gergovie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50910499-inscription-en-latin-de-gergovie

Inscription en latin de Gergovie

Inscription en latin sur un monument élevé à la gloire de Vercingétorix en 1900 à l’initiative de l’Académie des Sciences, Belles Lettres et Arts de Clermont-Ferrand, en pierre de Volvic : il est composé de trois colonnes rustiques, surmontées d’un casque ailé. Haut de 26 mètres, le monument montre sur la face ouest de son socle une inscription en latin : GERGOVIA - IN HIS LOCIS DUX ARVENORUM VERCINGETORIX COESAREM INVADENTEM PROFLIGAVIT = Gergovie - En ces lieux le chef des Arvernes, Vercingétorix, a battu César l'envahisseur.

L'Institut de France. Source : http://data.abuledu.org/URI/524f0f5e-l-institut-de-france

L'Institut de France

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.286 : manuel scolaire, édition de 1904. L'INSTITUT DE FRANCE. - C'est dans ce palais que siègent les cinq grandes Académies dont l'ensemble forme l'Institut de France. On appelle académie une réunion d'hommes illustres dans les lettres, dans les sciences ou dans les arts. Tout le monde connaît l'Académie française qui compta parmi ses membres Bossuet, Racine, Corneille, Boileau et tant d'autres ; l'Académie des sciences compta parmi les siens Buffon, Monge, Lavoisier, Laplace, Fresnel, Arago, etc.

Le burin et la gravure. Source : http://data.abuledu.org/URI/511c8975-le-burin-et-la-gravure

Le burin et la gravure

Planche extraite de l'Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers, 1760 par Diderot. En haut (Figure 4) : manière de tenir le burin ; en bas (Figure 5) : la même main dans l'action de graver.

Musée du Prince Philippe à Valence. Source : http://data.abuledu.org/URI/54caad3a-musee-du-prince-philippe-a-valence

Musée du Prince Philippe à Valence

Musée du Prince Philippe à Valence (Espagne), cité des arts et des sciences.

Notes sur le foot-ball. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d9a116-notes-sur-le-foot-ball

Notes sur le foot-ball

PIERRE DE COUBERTIN, Président du Comité international des jeux olympiques, "Notes sur le foot-ball", 1897 ("La Nature", revue des sciences et de leur applications aux arts et à l'industrie. 8 mai 1897). 2802 mots, 9 paragraphes.

Notes sur le foot-ball. Source : http://data.abuledu.org/URI/5265b899-notes-sur-le-foot-ball

Notes sur le foot-ball

Notes sur le foot-ball, 1897, par Pierre de Coubertin (1863-1937), Président du Comité international des jeux olympiques. Source : La Nature, revue des sciences et de leur applications aux arts et à l'industrie, 8 mai 1897. 2803 mots.

Outils du fourreur. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d9c2d9-outils-du-fourreur

Outils du fourreur

Planche des outils du fourreur, Encyclopédie, ou dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers par Denis Diderot et Jean de Rond d'Alembert, Paris 1762-1777. Fig.1. Couteau à habiller. A la lame. B le manche ; 2. Gros ciseaux. AA les taillans. BB les anneaux ; 3. Forces. AA les taillans. BB le ressort ; 4. Carrelets. AAA les tètes. BBB les pointes. C le piquet ; 5. Chevalet. A le chevalet. B la gambette. C le piquet ; 6. Couteau à ècharner. A la lame. BB les Manches ; 7. Dégraiffoir. A le tonneau. B le couvercle. C la manivelle. DD les supports ; 8. Fer de pelletier. A la lame. B les moufles. C le poteau ; 9. Banc à tirer les peaux. A la perche. B la moufle. CC les pallissoirs. DD leurs supports. EE, &c. les arcboutans. F la table. GG les tréteaux ; 10. Claie ; 11. Pot de cuivre deltiné à faire chauffer les drogues ; 12. Élévation perspective de l'étuve à sécher les peaux. AA le poèle. BB, &c. peaux étandues sur des cordes ; 13*. Racloir. A la lame. B le manche ; 13**. Paumelle.

Outils et travail du fourreur. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d9c4ec-outils-et-travail-du-fourreur

Outils et travail du fourreur

Planche explicative du métier de fourreur, in Encyclopédie, ou dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers de Denis Diderot et Jean de Rond d'Alembert, Paris 1762-1777 : planche 1) outils, planches 2 à 5) coupe des peaux.

Perspective cavalière en dessins de fortifications. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e82ccc-perspective-cavaliere-en-dessins-de-fortifications

Perspective cavalière en dessins de fortifications

Source : Ephraim Chambers (1680–1740), "Cyclopaedia, or an Universal Dictionary of Arts and Sciences" 1728. La perspective cavalière est une manière de représenter en deux dimensions des objets en volume. Cette représentation ne présente pas de point de fuite : la taille des objets ne diminue pas lorsqu'ils s'éloignent. C'est une forme particulière de perspective axonométrique, où l'on situe les points grâce à leurs coordonnées dans un repère formé de trois axes. Dans cette perspective, deux des axes sont orthogonaux et ont un facteur de report de 1. Le troisième axe est incliné, en général de 30 ou 45° par rapport à l'horizontale, appelé « angle de fuite », et a un facteur de report inférieur à 1, en général. Cette perspective ne prétend pas donner l'illusion de ce qui peut être vu, mais simplement donner une information sur la notion de profondeur. Simple à réaliser, c'est une perspective naïve qui peut traduire un manque de « vision dans l'espace ». Trop souvent utilisée dans les dessins à main levée, elle est malgré tout à déconseiller par son ambiguïté de représentation : un objet éloigné d'un autre peut sembler être plutôt au-dessus ou au-dessous. Cette représentation était utilisée initialement pour la conception des fortifications militaires. Le « cavalier » est un promontoire de terre situé en arrière des fortifications et qui permet de voir par-dessus, et donc de voir les assaillants. La perspective cavalière était donc la vue que l'on avait du haut du cavalier (les anglais utilisent parfois le terme de « high view point », en français « point de vue de haut »). Certains avancent également que c'est la vue qu'a un cavalier du haut de son cheval.

Pompe du XVIIIème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/52fdc9eb-pompe-du-xviiieme-siecle

Pompe du XVIIIème siècle

Pompe aspirante et foulante associée à un système bielle-manivelle, planche de l'Encyclopédie, ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers de Diderot et d'Alembert, volume -0871 : Agriculture et Jardinage.

Pont de l'Assut de l'Or à Valence. Source : http://data.abuledu.org/URI/55087a70-pont-de-l-assut-de-l-or-a-valence

Pont de l'Assut de l'Or à Valence

Le pont de l'Assut de l'Or, et l'Ágora de la Cité des arts et des sciences, à Valence, en Espagne. Le Pont de l'Assut de l'Or ou Pont de la Serradora est un pont de Valence qui enjambe le fleuve Turia entre, à l'est, la Cité des arts et des sciences et, à l'ouest, l'Ágora, tous trois étant des réalisations de l'architecte valencien Santiago Calatrava Valls. Le pont a été inauguré le 12 décembre 2008. Avec ses 123 mètres, c'est le plus haut monument de la ville. Le pont, blanc comme toutes les autres réalisations de l'architecte, adopte la forme d'une harpe dont les 29 câbles supportent le tablier. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pont_de_l%27Assut_de_l%27Or

Portrait d'Henri Becquerel en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/537a0e24-becquerel-henri

Portrait d'Henri Becquerel en 1904

Portrait d'Henri Becquerel (1852-1908) aux alentours de 1904. Physicien. - A découvert la radioactivité avec Pierre et Marie Curie, avec lesquels il partagea le Prix Nobel de physique (1903). - Professeur de physique au Muséum d'histoire naturelle, à l'École polytechnique et au Conservatoire national des arts et métiers. - Président de l'Académie des sciences. - Fils d'Edmond Becquerel (1820-1891), physicien et père de Jean Becquerel (1878-1953), physicien. Source : notice data-bnf.

Portrait de Gaspard Monge. Source : http://data.abuledu.org/URI/524d91df-portrait-de-gaspard-monge

Portrait de Gaspard Monge

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.108 ; manuel scolaire, édition de 1904 : Gaspard MONGE (1746-1818), mathématicien français dont l'œuvre considérable mêle géométrie descriptive, analyse infinitésimale et géométrie analytique. En parallèle à ses travaux de recherche, il enseigne une grande partie de sa vie et a comme élèves beaucoup des futurs grands mathématiciens français du XIXe siècle. Il joue un grand rôle dans la Révolution française, tant du point de vue politique que du point de vue de l'instauration d'un nouveau système éducatif : il participe à la création de l'École normale de l'an III et de l'École polytechnique (en 1794), deux écoles où il enseigne la géométrie. Il concourt également avec Berthollet, Chaptal et Laplace à la création de l'École d'arts et métiers. Il est également membre de la commission des sciences et des arts lors de la campagne d'Italie (1796-1797), et chargé de mission dans l'expédition d'Égypte (1798-1799). Le 12 décembre 1989, ses cendres ont été transférées au Panthéon.

Pyramide de la communication. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b8f00f-pyramide-de-la-communication

Pyramide de la communication

Pyramide des besoins de communication d'après Albert Mehrabian. 7% verbal, ex. concepts (mots ou verbes pour formuler des émotions morales ou esthétiques ; 38% vocal, ex. intonations perçues (niveau sonore et rythme de la voix) ; 55% visuel, ex. expressions du visage et langage corporel (mouvements et postures). La « règle du 7 % - 38 % - 55 % », également appelée « règle des 3V » est basée sur deux études publiées en 19671 et signifie que : 7 % de la communication est verbale (par la signification des mots), 38 % de la communication est vocale (intonation et son de la voix), 55 % de la communication est visuelle (expressions du visage et du langage corporel). L'expérience d'Albert Mehrabian consistait à estimer l'importance relative des mots, de la voix et des expressions du visage dans l'établissement, l'appréciation ou le rejet de quelqu'un, par exemple lors d'un entretien d'embauche, d'un rendez-vous amoureux ou d'une opération de vente. Généraliser à tout type de message et toutes les situations de communication serait abusif. Pour parler efficacement et significativement de nos émotions, ces 3 formes de communication doivent correspondre entre elles (on parle de congruence). Dans le cas contraire, la personne qui nous écoute peut être troublée par deux messages venant de deux façons différentes et se contredisant (on parle d'incongruence).