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Peinture, Épiphanie (fête), Art orthodoxe, Fête de l'Épiphanie, Temps de l'Épiphanie, Art chrétien, Boris Kustodiev (1878-1927), Église orthodoxe -- Liturgie, Théophanie (fête)
Boris Kustodiev, 1921 : Cérémonie de la consécration de l'eau pour Théophanie.
Photographie, Relief (sculpture), Histoire médiévale, Roland -- Légendes, Angoulême (Charente) -- Cathédrale Saint-Pierre, Art chrétien, Chanson de Roland, Linteaux
Angoulême - Cathédrale Saint-Pierre - Façade occidentale : linteau de la chanson de Roland (détail 1). Fausse porte à droite de la porte centrale : linteau de la chanson de Roland. Combat équestre de l'évêque Turpin, avec sa cotte de mailles et sa mitre, contre le géant Abisme qu'il transperce de sa lance
Photographie, Relief (sculpture), Saragosse (Espagne), Histoire médiévale, Angoulême (Charente) -- Cathédrale Saint-Pierre, Art chrétien, Chanson de Roland
Angoulême - Cathédrale Saint-Pierre - Chanson de Roland (détail 2). Fausse porte à droite de la porte centrale : linteau de la chanson de Roland - À gauche un gonfanon, puis Roland, neveu de Charlemagne, poursuit Marsile, roi de Saragosse, tranche de son épée le bras de l'adversaire dont le cheval a déjà tourné bride. Puis, sur la scène suivante, Marsile tombe devant la porte ouverte de Saragosse.
Vitrail en forme d'éventail de l'église St. Alexandre à Schmallenberg (Nord-Westfalie), Allemagne.
Photographie, Cathédrales, Contreforts, Carrières (exploitations minières), Art chrétien (Moyen âge), Architecture, Ressources minérales, Paris (France) -- Notre-Dame de Paris
Matériaux utilisés pour la construction de Notre Dame de Paris : "À l'inspection des monuments élevés pendant le moyen âge, il est aisé de reconnaître qu'alors, plus encore que pendant la période gallo-romaine, on exploitait une quantité considérable de carrières qui depuis ont été abandonnées, qu'on savait employer les pierres exploitées en raison de leur qualité, mais avec une économie scrupuleuse ; c'est-à-dire qu'on ne plaçait pas dans un parement, par exemple, une pierre de qualité supérieure convenable pour faire des colonnes monolithes, des corniches, des chéneaux ou des meneaux. Ce fait est remarquable dans un de nos édifices bâti avec un luxe de matériaux exceptionnel: nous voulons parler de la cathédrale de Paris. Là les constructeurs ont procédé avec autant de soin que d'économie dans l'emploi des matériaux. Les pierres employées dans la cathédrale de Paris proviennent toutes des riches carrières qui existaient autrefois sous la butte Saint-Jacques, et qui s'étendent sous la plaine de Montrouge jusqu'à Bagneux et Arcueil. La façade est entièrement construite en roche et en haut banc pour les parements, en liais tendre pour les grandes sculptures (banc qui avait jusqu'à 0m,90 de hauteur) et en cliquart pour les larmiers, chéneaux, colonnettes (banc de 0m,45 de hauteur au plus). Le liais tendre des carrières Saint-Jacques se comporte bien en délit, aussi est-ce avec ces pierres qu'ont été faites les arcatures à jour de la grande galerie sous les tours. Les cliquarts ont donné des matériaux incomparables pour la rose et pour les grandes colonnettes de la galerie, ainsi que pour tous les larmiers des terrasses. Parmi ces matériaux, on rencontre aussi dans les parements et pour les couronnements des contre-forts des tours l'ancien banc royal de Bagneux, qui porte 0m,70, et le gros banc de Montrouge, qui porte 0m,65 : ces dernières pierres se sont admirablement conservées. Dans les fondations, nous avons reconnu l'emploi des lambourdes de la plaine, et surtout de la lambourde dite ferme, qui porte jusqu'à un mètre ; quelquefois, mais rarement, du banc vert." Eugène Viollet-le-Duc. "Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle".
Peinture, Maïs, Art aztèque, Calendrier aztèque, Calendriers solaires, Manuscrits, Aztèques -- Calendrier, Aztèques -- Mythologie, Dieux aztèques
Le codex Tovar, attribué à Jean de Tovar, jésuite mexicain du XVIe siècle, contient des informations détaillées sur les rites et les cérémonies des Aztèques (également connus sous le nom de Mexicas). Il est illustré de 51 aquarelles de la taille d'une page. Fortement influencées par les manuscrits pictographiques de la période précontact, ces peintures sont d'une qualité artistique exceptionnelle. Le manuscrit est divisé en trois sections. La première section contient une histoire des voyages des Aztèques avant l'arrivée des Espagnols. La deuxième section est une histoire illustrée des Aztèques. Dans la troisième section, le calendrier de Tovar transcrit un calendrier aztèque continu avec les mois, les semaines, les jours, les lettres dominicales et les fêtes liturgiques d'une année chrétienne de 365 jours. Cette illustration, extraite de la troisième section, représente un dieu, probablement Tlaloc (ou un prêtre l'incarnant), tenant une tige de maïs et un récipient rempli d'eau. Vêtu d'une cape, ses yeux et sa bouche sont encerclés de vert. Un crabe est dessiné au-dessus de sa tête. Le texte décrit ce mois comme étant celui des travailleurs et des classes inférieures, lorsqu'ils portent la robe représentée ici pour rappeler à chacun qui fournit la nourriture. Ce mois, appelé Etzalcualiztli (repas de maïs et de haricots), est assimilé au début du mois de juin avec le signe astrologique du Cancer. Son dieu protecteur était Tlaloc, dieu de la pluie. Les attributs de Tlaloc incluent une jarre à eau avec une anse, les cercles autour des yeux et de la bouche, et une tige de maïs.
Peinture, Légendes, Art médiéval -- Europe, Peintres suédois, Trolls, Peintures murales, Västmanland (Suède), Mer -- Folklore, Mythologie suédoise, Pierres levées, Saints chrétiens -- Légendes
Les trolls transformés en pierres. Peinture murale de la fin du Moyen Âge, église de Västmanland.
Gravure, Instruments de musique, Meubles, Armes médiévales, Histoire médiévale, Onzième siècle, Antiquités médiévales, Art chrétien médiéval -- Europe, Civilisation chrétienne médiévale
Planche 35, XIème siècle, Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1 à 12, instruments de musique ; 13, arbalète normande ; 14-13, anneaux et crosse d'évêque ; 16-18, boucliers ; 19-20, dague et épée ; 21, bannière ; 22, fourchettes et couteau ; 23, carafe ; 24, seau en bois ; 25-28, sceptres ; 29-32, sièges ; 33-34, pupitres ; 35, table avec nappe et couverts ; 36, lit.
Photographie, Afrique, girafe, Archéologie, Pétroglyphes, Archéologie -- Sites, Libye, Libyens antiques, Peinture rupestre préhistorique, Pétroglyphes préhistoriques
Art rupestre dans le Tadrart Acacus, à la frontière du Tassili n'Ajjer algérien, également site du patrimoine mondial : ce massif rocheux est riche de milliers de peintures rupestres de styles très différents dont les plus anciennes remontent à 12 000 ans environ av. J.-C., les plus récentes pouvant être datées du Ier siècle de l'ère chrétienne. Ces peintures reflètent les modifications profondes de la faune et de la flore, ainsi que les divers modes de vie des populations qui se sont succédé dans cette partie du Sahara.
Photographie, Douzième siècle, Moyen âge, Latin (langue), Civilisation médiévale, Art chrétien (Moyen âge), Civilisation chrétienne (Moyen âge), Églises -- Dédicace, Inscriptions médiévales, Martin (saint, 0316?-0397)
Limeuil - Eglise Saint-Martin - Pierre de dédicace de l'église en 1194 à saint Thomas Becket et saint Martin. Texte de la dédicace de l'église consacrée en février 1194 : ANNO AB INCARNATIONE DOMINI MILLESIMO CENTESIMO - NONAGESIMO QUARTO INDICTIONE DUODECIMA CONCURRETE QUINTA EPACTA - XXVI TERCIO E FEBROARII DIE DOMINICA LUNA QUARTA DEDICATA EST - HEC ECCLESIA ET ALTARE A DOMINO ADEMARO PETRAGORICENSI EPISCOPO IN - HONORE SANCTE TRINITATIS ET SANCTE MARIE VIRGINIS ET BEATI MARTINI - EPISCOPI ET CONFESSORIS ET BEATI PA( )POSTPLI ET BEATI HTOME - ARCHIEPISCOPI ET MARTIRIS ET SANCTE CATERINE VIRGINIS ET MARTIRIS ET - OMNIUM SANCTORUM DEI HEBRARDO DE VILARS HUIUS ECCLE DIACONO - EXISTENTE CELESTINO PAPA SANCTE ROMANE HECCLESIE PRESIDENTE - PHILIPO REGE FRANCORUM IMPERANTE RICHARDO REGE ANGLIE - DUCATUM AQUITANIE TENENTE HELIAM TALIARANDUM PETRAGORIUM - COMITEM IN METROPOLICA BURDEGALENSI hELIA RESIDENTE. Traduction : L’AN DE L’INCARNATION DU SEIGNEUR MILLE CENT - QUATRE VINGT QUATORZE INDICTION DOUZIÈME CONCURRENT CINQUIÈME ÉPACTE - XXVI LE TROISIÈME DES CALENDES DE FÉVRIER JOUR DU SEIGNEUR LUNE QUATRIÈME A ÉTÉ DÉDIÉE - CETTE ÉGLISE ET L’AUTEL PAR LE SEIGNEUR ADÉMAR ÉVÊQUE DE PÉRIGUEUX EN - L’HONNEUR DE LA SAINTE TRINITÉ ET DE SAINTE MARIE VIERGE ET DU BIENHEUREUX MARTIN - ÉVÊQUE ET CONFESSEUR ET DU BIENHEUREUX PAUL APÔTRE ET DU BIENHEUREUX THOMAS - ARCHEVÊQUE ET MARTYR ET DE SAINTE CATHERINE VIERGE ET MARTYRE ET - DE TOUS LES SAINTS DE DIEU HÉBRARD DE VILLARS ÉTANT DIACRE DE CETTE ÉGLISE - CÉLESTIN PAPE PRÉSIDENT À LA SAINTE ÉGLISE ROMAINE - PHILIPPE ROI DES FRANÇAIS EXERÇANT LE POUVOIR RICHARD ROI D’ANGLETERRE - TENANT LE DUCHÉ D’AQUITAINE HÉLIE DE TALLAIRAND (ÉTANT) DE PERIGORD - COMTE HÉLIE OCCUPANT LE SIÈGE MÉTROPOLITAIN DE BORDEAUX.
Photographie, Antiquités chrétiennes, Bordeaux (Gironde), Archéologie paléochrétienne, Art paléochrétien, Burdigala (ville ancienne), sylvanus-aquitaine, Piliers
Visite des réserves lapidaires du Musée d'Aquitaine (20150621-Anne Zieglé) : pilier paléo-chrétien hexagonal, fouilles de l'ilot Saint-Christoly, 1974. Source : chttp://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/galia_0016-4119_1975_num_33_2_1536 (fig.4)