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Photographie | Architecture littorale | Jetées | Architecture balnéaire | Paysage et architecture | Paysage -- Évaluation | Phares | Phares -- France | Paysage -- Aménagement | Paysage | Littoral | Aménagement du paysage | Villes | Écologie du paysage | Spirales | Dessins et plans | Architecture militaire | Corse (France. - Domination génoise) (1347-1768) | Tours sèches | Saint-Julien-en-Born (Landes, France) | ...
Coupole en cours de restauration à Arcachon. Source : http://data.abuledu.org/URI/54a2d03e-coupole-en-cours-de-restauration-a-arcachon

Coupole en cours de restauration à Arcachon

Coupole en cours de restauration à Arcachon (Gironde), Nouvelles Galeries : photo prise le 20141225.

La vieille jetée. Source : http://data.abuledu.org/URI/56e4917a-la-vieille-jetee

La vieille jetée

La vieille jetée, "A book of images", 1898, par William Thomas Horton (1864-1919).

Vie sous-marine des jetées de bord de mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/5839c879-vie-sous-marine-des-jetees-de-bord-de-mer

Vie sous-marine des jetées de bord de mer

Jetée abandonnée dont les piliers servent de support à toute une faune sous-marine, Vineyard Haven, Massachusetts. Source : The American Museum journal (c1900-1918)

Village de l'Herbe au Cap-Ferret. Source : http://data.abuledu.org/URI/55bfa995-village-de-l-herbe-au-cap-ferret

Village de l'Herbe au Cap-Ferret

Village de l'Herbe au Cap-Ferret, Gironde, juin 2015.

Paysage littoral urbanisé en Inde. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e0d3b3-paysage-littoral-urbanise-en-inde

Paysage littoral urbanisé en Inde

Vue aérienne de Besant Nagar, Thiruvanmiyur et faubourgs sud de Chennai en Inde. Sur toute la planète, les littoraux tendent à s'artificialiser, et ils sont souvent menacés par la montée des océans.

Phare de Contis dans les Landes. Source : http://data.abuledu.org/URI/53a98b43-phare-de-contis

Phare de Contis dans les Landes

Le phare de Contis est un phare maritime de 1er ordre du littoral aquitain et un amer situé à Contis, station balnéaire de la commune de Saint-Julien-en-Born, dans le département français des Landes. Jusqu'en 1790, le plus grand des deux clochers de l'église Sainte-Marie de Mimizan sert d'amer, facilitant la navigation diurne dans cette partie du golfe de Gascogne. Il s'effondre à cette date par vétusté et manque d'entretien. En 1856, la Commission des phares décide, sous l'égide de Napoléon III, de renforcer les dispositifs de navigation dans ce secteur par la construction d'un nouveau phare, qui se situerait à égale distance de de Biarritz et d'Arcachon. La construction du phare de Contis-les-bains, comme on dit alors, est ainsi ordonnée par décret de Napoléon III en 1860. Entièrement blanc à l'origine, le phare est embelli en 1937 et orné de deux bandes noires en forme de double vis d'Archimède par le peintre Bellocq4, afin qu'il puisse aussi servir d'amer, c'est-à-dire de repère de jour à la navigation. Il se classe ainsi dans la catégorie des phares "barber's poles" (du nom des enseignes de barbier aux États-Unis) noirs et blancs, caractérisée par deux bandes noires effectuant chacune un enroulement autour du corps du phare. La première bande noire prend naissance à la base du phare au niveau de la porte ouest, la seconde bande débute à la base du phare au niveau de sa porte est. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Contis

Tour génoise de la Parata, 1550. Source : http://data.abuledu.org/URI/51caa3c2-tour-genoise-de-la-parata-1550

Tour génoise de la Parata, 1550

Description et plan de la tour génoise de la Parata (1550). Joseph de Fréminvile, Tours génoises du littoral corse, 1894. Le littoral corse est constellé de tours (en corse torri), devenues un des symboles de l'île. Bien que toutes ne soient pas d'origine génoise, on les appelle généralement "tours génoises", sans distinction. La construction de ces tours génoises est la conséquence de la prise de Constantinople par les Turcs en 1453 ; les Barbaresques commencent à razzier les côtes et le feront pendant trois siècles. Elle débuta au XVIe siècle à la demande des communautés villageoises pour se protéger des pirates. En 1530, la république de Gênes dépêche deux commissaires extraordinaires, Paolo Battista Calvo et Francesco Doria, pour inspecter les tours et fortifications chargées de défendre l'île des invasions barbaresques. En 1530 la Corse a 23 tours dont 10 au Cap. Dès 1531, l'édification de quatre-vingt-dix tours est décidée sur le littoral corse, dont trente-deux dans le Cap Corse. Les travaux commencent sous la supervision de deux nouveaux commissaires extraordinaires génois : Sebastiano Doria et Pietro Filippo Grimaldi Podio. Il s'agissait d'étendre à la Corse le système de vigilance déjà en vigueur sur le pourtour méditerranéen. Ces vigies placées en avant-poste prévenaient et défendaient des attaques des Barbaresques et de tous les dangers venant de la mer. En 1730 l'île a 120 tours dont 30 au Cap. Aujourd'hui, sur les 85 tours dénombrées au début du XVIIIe siècle, 67 demeurent encore debout.