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Photographie | Dessins et plans | Musique | Instruments à vent | Instruments de musique anciens | Vents (instruments de musique) | Instruments de musique | Maïs | Botanique | Graines | Instruments de musique -- Japon | Gagaku | Orgues à bouche | Shō, Musique de | Shō | Instruments de musique -- Chine | Confort (Finistère) | Notes (musique) | Phares -- France | Signaux et signalisation | ...
Avoine. Source : http://data.abuledu.org/URI/50acffdb-avoine

Avoine

L’Avoine cultivée (Avena sativa L.), parfois appelée Avoine byzantine, est une plante bisannuelle appartenant au genre Avena de la famille des Poacéess (graminées), et cultivée comme céréale ou comme fourrage à couper en vert; leurs pousses tendres et sucrées plaisent à tous les animaux de la ferme. Elle fait partie des céréales à paille et est utilisée principalement dans l’alimentation animale (notamment des équidés). L'utilisation de l'avoine dans l'alimentation est surtout d'origine anglo-saxonne ou nord-européenne. Elle concerne les flocons d’avoine, le gruau, le porridge, des biscuits, et la préparation d'une boisson telle que la bière de type oatmeal stout.

Bernicle. Source : http://data.abuledu.org/URI/505c7072-bernicle

Bernicle

Patelle est un mot ambigu en français, servant à désigner diverses espèces de gastéropodes ayant généralement en commun une coquille de forme grossièrement conique et le fait de vivre sur les estrans rocheux. D'origine savante, le terme « patelle » a eu autrefois une signification plus large que de nos jours. les appellations : « arapède » en Méditerranée, « bernique » ou « brenique » en Bretagne, « jambe » sur l'île d'Oléron..

Bouleau blanc. Source : http://data.abuledu.org/URI/50983d17-bouleau-blanc

Bouleau blanc

Planche N°306 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef : Bouleau blanc (Betula pubescens, Betula alba). Les bouleaux poussent en général sur les terres pauvres et souvent siliceuses, jusqu'à 2000 m d'altitude, ainsi que dans les régions arctiques. Les bouleaux sont des plantes pionnières qui constituent souvent la première formation arborée lors de la reconquête ou de la colonisation de landes par la forêt. Ils apprécient les sols plutôt acides et humides. Les bouleaux forment des futaies appelées boulaies ou boulinières ou encore des bétulaies. Cet arbre caduc majestueux de la famille des betulaceae fleurit d'avril à mai. Ses fruits sont des cônes allongés de 10 cm de longueur, dressés puis pendants pour le mâle et de 3 cm dressés pour la femelle. Cet arbre à l'écorce blanche écaillée peut atteindre 20 à 30 m de hauteur et jusqu'à 60 cm de diamètre à la base. Sa sève riche en composés actifs, ainsi que son écorce, recèlent de nombreuses propriétés. Le mot "boul" vient du latin "betula" d'origine probablement celtique (gaulois) d'un thème *betuo-, thématisation de *betu-, dont est issu le nom brittonique de l'arbre : breton "bezv", gallois "bedw". *betu- pourrait être le nom celtique de la poix obtenue en chauffant de jeunes arbres pleins de sève et équivalent du latin "bitumen".

Buccin antique. Source : http://data.abuledu.org/URI/533ababf-buccin

Buccin antique

Buccin du musée du Wurtemberg (Fruchtkasten, Stuttgart). Le buccin (du latin buccina ou būcina) est un instrument de musique à vent de la famille des cuivres, d’origine étrusque et en usage dans l’armée romaine antique. Le corps du buccin avait une forme semi-circulaire (la forme de la lettre « G »). Il possédait parfois un raidisseur (ou poignée) transversal. La perce était conique (comme celle du cor d’harmonie) et l’embouchure était tronconique. Le joueur de buccin est appelé « buccinateur ». Les Étrusques avaient l’habitude de conduire les troupeaux de porcs grâce à cette sorte de clairon. En dehors de la musique il était aussi utilisé pour des signaux à caractère guerrier. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Buccin_%28instrument%29

Canard de Barbarie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50af960d-canard-de-barbarie

Canard de Barbarie

Le Canard de Barbarie désigne les races de canard domestique issues d'une espèce de canard sauvage américain appelé Canard musqué. Bien qu'il soit un oiseau d'origine tropicale, il s'adapte aux climats tempérés et peut supporter des températures allant jusqu'en dessous de -12 °C. La cane préfère couver dans des emplacements un peu sombres. Elle pond d'une douzaine à une vingtaine d'œufs.

Champagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5097d7ce-champagne

Champagne

Verre de champagne. Le champagne, également appelé vin de Champagne, est un vin effervescent français protégé par une appellation d'origine contrôlée dont la réglementation a nécessité plusieurs siècles de gestation.

Fromage bleu de Gex. Source : http://data.abuledu.org/URI/501cfb50-fromage-bleu-de-gex

Fromage bleu de Gex

Le bleu de Gex est un fromage français au lait de vache, à pâte persillée, fabriqué dans le Haut-Jura. Il bénéficie d'une appellation d'origine contrôlée (AOC), sous le nom précis de « Bleu de Gex haut Jura » ; il est aussi appelé « Bleu de Septmoncel ».

Inselberg de Masvingo au Zimbawe. Source : http://data.abuledu.org/URI/52778506-inselberg-de-masvingo-au-zimbawe

Inselberg de Masvingo au Zimbawe

Inselberg de Masvingo au Zimbawe : Un kopje est un mot d'origine afrikaans désignant dans la savane africaine une petite colline sur laquelle se dresse généralement d'imposants rochers. En Afrique du Sud et en Namibie, des formations géologiques semblables mais souvent dépourvues de végétation sont appelées inselberg (mot allemand signifiant « île-montagne »).

Le papangue mâle, ailes déployées. Source : http://data.abuledu.org/URI/521a0cea-le-papangue-male-ailes-deployees

Le papangue mâle, ailes déployées

Papangue, ou Pieds-Jaune ou Busard de Maillard (Circus maillardi) mâle, lithographie de Louis Antoine Roussin (1819-1894). Son nom vernaculaire est d'origine malgache. Il dériverait de papangoet. Il tire son nom spécifique de Maillard, l'auteur qui distingua cet oiseau des busards européens. Cet oiseau mesure 50 à 53 cm de longueur (femelle plus grande que le mâle) pour une envergure de 110 à 150 cm (le plus grand oiseau de La Réunion) et une masse de 650 à 1500 g. Le mâle est noir avec de grandes taches blanches et la femelle est brune. Le papangue aime vivre dans les champs de canne, entre 500 m et 1 500 m d'altitude. On le retrouve aussi sur les hautes plaines à l'est et au sud de l'île. Il est rare dans les cirques de Cilaos et Mafate, sans doute en raison des persécutions dont il est encore l'objet. Il se nourrit de rats, souris, jeunes tenrecs qu'il va talonner au sol et de tec-tecs, cardinaux et moineaux qu'il attrape au vol. Les busards pratiquent les échanges de nourriture en vol, appelés passes par les admirateurs des oiseaux chasseurs. Le mâle lâche sa prise comme par mégarde avant même que sa compagne n'arrive jusqu'à lui. Cette dernière arrive à se saisir de la minuscule proie au prix d'une extraordinaire accélération puis d'une virevolte quelque cinq ou six mètres au-dessous du point de lâché. Il fouille très souvent dans les poubelles. Seul oiseau prédateur de l'île, le papangue n'est pas aimé des Réunionnais qui pensent qu'il pourrait voler des poules dans les poulaillers : fait impossible vu son poids. Mais bien qu'il doive encore essuyer quelques coups de fusil, l'animal est protégé depuis 1989. Actuellement la population de cette espèce est d'environ 200 couples.

Les cinq cercles de la ville. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cc9e87-les-cinq-cercles-de-la-ville

Les cinq cercles de la ville

Ernest Watson Burgess (16 mai 1886 – 27 décembre 1966), canadien d'origine, est un sociologue urbain dont l'œuvre préfigure, pour une part, ce que l'on appellera l'École de Chicago. Il a mis en évidence et conceptualisé la ville en cinq cercles concentriques ("Concentric ring model"), comprenant A-la zone centrale des affaires, B-la zone transitoire (logements, industries,…), C-la zone de la classe ouvrière résidentielle (appartements), D-la zone résidentielle, et E-les banlieues suburbaines.

Nuages convectifs. Source : http://data.abuledu.org/URI/5232fe40-nuages-convectifs

Nuages convectifs

Génération des nuages convectifs selon la différence de température. De haut en bas : 1) Seulement des cumulus ; 2) Des cumulus bourgeonnants de faible extension ; 3) Des cumulus bourgeonnants intenses ou de petits cumulonimbus. On donne à la classe des nuages d'origine convective le nom générique de cumulus. Lorsque la couche d'air instable est peu étendue verticalement, on a formation de cumulus humilis, dit cumulus de beau temps, synonymes d'air ascendant. Si l'EPCD augmente, on passe ensuite au cumulus mediocris, puis au congestus, le second produisant les averses. Si l'instabilité est plus grande on obtient le cumulonimbus calvus, pour finir au roi des nuages le cumulonimbus cappilatus incus qui sont synonymes d'un orage mûr et possédant également un cycle descendant de convection. Chacun de ces nuages est appelé aussi cellule convective. Les orages peuvent être être formés de cellules convectives isolées et on parlera alors d'un orage mono ou uni-cellulaire pour ceux peu importants et d'orages supercellulaires pour les autres. Les orages composés de plusieurs cellules convectives se classent en deux catégories, soit les orages multicellulaires, pour ceux provenant d'une cellule initiale qui se clone, et les systèmes convectifs de méso-échelle (ligne de grain, Derecho, complexe convectif de méso-échelle, cyclone tropical, etc.), pour celles qui s'unissent à partir d'une genèse distincte.

Orbite terrestre pour calcul de l'équation du temps. Source : http://data.abuledu.org/URI/50dab8a7-orbite-terrestre-pour-calcul-de-l-equation-du-temps

Orbite terrestre pour calcul de l'équation du temps

Orbite terrestre pour expliquer l'équation du temps : la Terre T tourne sur elle-même et tourne autour du Soleil S en un an dans le plan de l'écliptique. La situation présentée correspond à l'automne. Le point P est le périhélie, atteint au début du mois de janvier. L'angle heta s'appelle anomalie vraie. L'axe gamma, appelé axe vernal ou point vernal, est l'intersection du plan de l'écliptique avec le plan équatorial. Il sert d'origine pour mesurer la longitude écliptique lambda_s.

Phare de Granville dans les îles Chausey. Source : http://data.abuledu.org/URI/537f53a1-phare-de-granville-

Phare de Granville dans les îles Chausey

Le phare de Granville appelé aussi phare du Cap Lihou se situe sur la pointe du Roc, au cap Lihou dans le département de la Manche, sur la commune de Granville en Basse-Normandie. Le 9 octobre 1825, l'ingénieur Augustin Fresnel (1788-1827) vient valider la construction d'un bâtiment à Granville. C'est lui aussi qui dessine les plans de la tour. Il est un des phares les plus anciens du premier plan de Rossel. C'est une tour grise en granit de Chausey et son sommet est peint en rouge. Il a subi très peu de modifications depuis sa construction. À part l'optique, les équipements intérieurs sont d'origine. À l'intérieur du phare on trouve différentes salles, dont une chambre à coucher avec le lit et les placards en chêne, des cheminées, de la marqueterie(décoration avec lions et feuilles). La coupole est en cuivre à boule et la girouette date de 1882. La salle de repos est en bon état général. En service depuis le 1er novembre 1828, le phare mesure 16 mètres et domine la mer à 52 mètres. Le foyer se trouve à 49 mètres. Le phare est électrifié en 1924. Son automatisme est télécommandé depuis le phare de Chausey. Le phare est inscrit monument historique depuis 2009. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Granville

Roue à carillon en Bretagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bd79b5-roue-a-carillon-en-bretagne

Roue à carillon en Bretagne

Roue à carillon de l'église Notre Dame de Confort (Confort-Meilars, Finistère, Bretagne). Monument Historique de la base Palissy, mobilier PM29000555). D'un diamètre de 1,75 m, elle possède douze clochettes de notes différentes, du Do au Do supérieur. La roue à carillons — appelée aussi roue de guérison, roue de fortune ou roue de gloire — est un instrument de musique de percussion, de type idiophone, d'origine bretonne, généralement constitué d'une douzaine de cloches produisant autant de notes différentes.

Schéma d'un grain du maïs. Source : http://data.abuledu.org/URI/5288c5d1-schema-d-un-grain-du-mais

Schéma d'un grain du maïs

Schéma d'un grain de maïs : 1-Embryon, 2-Albumen (Amidon farineux), 3-Couche à aleurone (amidon corné ou vitreux), 4-péricarpe, 5-zone de transfert. Le grain de maïs est en fait un caryopse, formé de trois parties d’origines différentes : 1) l’embryon, couramment appelé « germe », situé à la base du grain qui comprend l’embryon proprement dit ou « gemmule » et le scutellum, c’est-à-dire le cotylédon, organe de réserve dans lequel la plantule puise son énergie initiale ; l’embryon est issu de l’œuf formé à la suite de la fusion du noyau d’un spermatozoïde et de l’oosphère, il est diploïde ; 2) l’albumen, tissu de réserve (blanc ou jaune), essentiellement composé de grains d’amidon, sauf la couche périphérique située sous le péricarpe qui contient des grains d’aleurone (incolore, rouge ou violet) riches en protéines ; ce tissu est issu de la fusion du noyau d’un spermatozoïde et des deux noyaux de la cellule centrale, c’est donc un tissu triploïde (à 3n chromosomes) ; 4) l’enveloppe extérieure, fine membrane (incolore, rouge ou violette) translucide et fibreuse, issue du péricarpe de l’ovaire (donc en réalité une partie du fruit et non pas de la graine).

Sho japonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/533166da-sho

Sho japonais

Le shō est le nom japonais de l'orgue à bouche d'origine chinoise, où il est appelé sheng. Il accompagne la musique gagaku. C'est un instrument à vent qui fonctionne sur le principe de l'anche libre, celle-ci étant très fine donc très sensible. Les tuyaux qui le composent sont perpendiculaires à l'embouchure. Le musicien souffle dans l'embouchure en bas à droite de l'instrument. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sh%C5%8D

Tarogato hongrois. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c4317-tarogato

Tarogato hongrois

Le tárogató, taragot ou torogoata (en français: taragote) est un instrument de musique à vent d'origine hongroise répandu en Ukraine et en Roumanie aussi. Le terme désigne deux instruments différents, tous deux d'origine hongroise : 1) du XVe siècle jusqu'au XVIIIe siècle environ, le tárogató — appelé aussi töröksíp, « flûte turque » — était un type de hautbois avec une anche double, une perce conique, et aucune clef. 2) dès 1890, c'est un bois à anche simple, inventé par le facteur d'instruments Vencel József Schunda. En raison de sa sonorité extrêmement forte et rauque, l'ancien tárogató a été employé comme instrument de signalisation pendant les batailles et les soulèvements nationaux (comme le bugle et la cornemuse). Le tárogató moderne est accordé en Si bémol. Son étendue chromatique est de plus de 2 octaves. Son doigté est proche de celui du saxophone. La forme de sa perce fait que le tárogató est un instrument octaviant. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/T%C3%A1rogat%C3%B3.

Taureaux de Camargue. Source : http://data.abuledu.org/URI/53aeba06-taureaux-de-camargue

Taureaux de Camargue

Taureaux de Camargue. La raço de "biou", nom occitan de la race camargaise, est une race bovine qui existe en Camargue depuis la nuit des temps. Sa viande est consommée localement depuis aussi longtemps. Elle est d'abord destinée à fournir des animaux pour la tauromachie. Les vaches de réforme, les génisses et les taurillons non retenus pour les courses sont vendus pour la boucherie. Sa viande bénéficie d'une AOC depuis le décret du 8 décembre 1996. L'élevage se fait en liberté, avec une charge inférieure à une UGB (unité gros bovin) pour 1,5 hectare. Les animaux se nourrissent seuls dans la partie humide (inondable) du delta du Rhône entre avril et novembre. En hiver, ils sont déplacés dans une zone périphérique non inondable. Un complément composé de fourrage et de céréales issus de l'aire d'appellation peut être donné si nécessaire. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Taureau_de_Camargue_%28AOC%29

Tour génoise de la Parata, 1550. Source : http://data.abuledu.org/URI/51caa3c2-tour-genoise-de-la-parata-1550

Tour génoise de la Parata, 1550

Description et plan de la tour génoise de la Parata (1550). Joseph de Fréminvile, Tours génoises du littoral corse, 1894. Le littoral corse est constellé de tours (en corse torri), devenues un des symboles de l'île. Bien que toutes ne soient pas d'origine génoise, on les appelle généralement "tours génoises", sans distinction. La construction de ces tours génoises est la conséquence de la prise de Constantinople par les Turcs en 1453 ; les Barbaresques commencent à razzier les côtes et le feront pendant trois siècles. Elle débuta au XVIe siècle à la demande des communautés villageoises pour se protéger des pirates. En 1530, la république de Gênes dépêche deux commissaires extraordinaires, Paolo Battista Calvo et Francesco Doria, pour inspecter les tours et fortifications chargées de défendre l'île des invasions barbaresques. En 1530 la Corse a 23 tours dont 10 au Cap. Dès 1531, l'édification de quatre-vingt-dix tours est décidée sur le littoral corse, dont trente-deux dans le Cap Corse. Les travaux commencent sous la supervision de deux nouveaux commissaires extraordinaires génois : Sebastiano Doria et Pietro Filippo Grimaldi Podio. Il s'agissait d'étendre à la Corse le système de vigilance déjà en vigueur sur le pourtour méditerranéen. Ces vigies placées en avant-poste prévenaient et défendaient des attaques des Barbaresques et de tous les dangers venant de la mer. En 1730 l'île a 120 tours dont 30 au Cap. Aujourd'hui, sur les 85 tours dénombrées au début du XVIIIe siècle, 67 demeurent encore debout.

Virginal anglais de 1641. Source : http://data.abuledu.org/URI/53343a9a-virginal

Virginal anglais de 1641

Virginal de Gabriel Townsend, Londres 1641 (Bruxelles, Musée des Instruments de Musique). La décoration est très recherchée : des moulures rapportées ou taillées dans la masse structurent le décor de la caisse en y délimitant des panneaux rectangulaires, octogonaux ... La partie frontale, la boîte à clavier et l'alentour de la table d'harmonie sont ornées de papier gaufré et doré ; l'intérieur du couvercle et celui du portillon reçoivent une décoration peinte figurant un parc à l'anglaise (St James' Park). La table d'harmonie est peinte à la façon flamande (avec fleurs et oiseaux) ; les rosaces (de une à quatre) sont en bois ou parchemin doré, avec motifs géométriques, entourées de couronnes florales peintes très travaillées. Le nom du facteur et la date, parfois le lieu, sont inscrits à l'avant du chapiteau. "Virginal" (mot venant peut-être du bas latin Virga, vergette), était employé en Angleterre pour désigner le clavecin. À partir de 1650 les termes harpsichord et spinet ont été préférés. Le virginal est un instrument de musique à « vergettes » (sautereaux), de la famille des instruments à clavier et à cordes pincées qui comprend également le clavecin et l'épinette. L'apparition la plus ancienne du terme se situerait en 1460 dans le "Tractatus de Musica" de Paulus Paulinirus. Sa forme est celle d'un coffre, avec un clavier rentrant dans une niche appelée boîte à clavier. La disposition clavier/plan de cordage du virginal flamand est d'origine italienne. Il n'a qu'un seul clavier. L'unique rang de cordes chromatiques permet de disposer les cordes, en travers de la touche du clavier (angle de 10 degrés) plutôt que dans le prolongement de la touche comme dans le clavecin — c'est également le cas des épinettes à l'italienne, dont les cordes sont en biais. Il y a une corde par note, les cordes consécutives sont rassemblées par deux. Il y a une corde à gauche et une à droite dans la travée recevant deux sautereaux alternés. C'est la travée double. Par exemple Mi bémol à gauche et Mi à droite. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_du_clavecin