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Photographie, Guerriers, Lévriers (races canines), Jutland (Danemark. - péninsule), Antiquités celtes, Chaudron de Gundestrup : orfèvrerie
Chaudron du IIème siècle avant J.-C. trouvé dans les tourbières de Gundestrup, Himmerland, Jutland, au Danemark. Sur le registre du bas, sept guerriers en armes dont 6 avec bouclier partent vers la mort, accopagnés par trois joueurs de carnyx. Au bout de leur course un lévrier (vertragus) les retient, tandis qu'un personnage gigantesque plonge dans une cuve un combattant. Quatre guerriers à cheval partent vers la droite dans le bandeau supérieur. Source : Le Destin des Lévriers, Xavier Przezdziecki - Ets Ciais s.
Photographie, Antiquités, Couronnes (ornement), Gyeongju (Corée S.), Kyongju (Corée S.), Silla (royaume)
La couronne en or découverte en 1926 dans le tumulus de Seobongchong, datant du Ve siècle environ, est l'une des couronnes royales de Silla, en Corée. Elle est visible au musée national de Gyeongju, en Corée. Elle mesure 18,4 de diamètre et 24,7 cm de haut (ou 30,7 avec les ornements). Six tiges montent du bandeau : trois devant reprenant le caractère chinois « 出 » signifiant « présenter », et trois ondulées à l'arrière, en forme de branches terminées par des feuilles. Chaque tige est bordée de petits pointillés, et décorée de disques en or et de morceaux de jade recourbés. Les extrémités des branches sont décorées avec un bouton de fleur. Deux traversant ceintures aurifères ayant la pointe sur les quatre points de chaque cadre de la couronne de division, construisent le cadre à l'intérieur. Sur les côtés, deux longues boucles d'oreilles sont accrochées.
Architrave en pierre calcaire avec inscription commémorant la construction d'une salle de jeu de paume (sphaeristerium) dans un complexe thermal et sportif, en l'honneur de Claudius Maternus au début du II° s. ap. J.-C., Musée gallo-romain d'Avenches en Suisse.
Photographie, Antiquités, Instruments à vent, Cuivres (instruments de musique), Âge du bronze, Instruments de musique anciens, Instruments de musique -- Norvège, Lur, Lure
Le lur ou lure est un instrument de musique à vent scandinave. C'est une sorte de trompe plus ou moins droite. On retrouve l'appellation lur dans les Sagas islandaises (lors du Ragnarök, Heimdall, gardien de Bifröst, souffle dans son lur pour appeler hommes et dieux au combat). Lors de fouilles, les lurs sont souvent retrouvés par paires. Plus d'une cinquantaine de lurs en bronze ont ainsi été retrouvés en Suède, Danemark, Norvège et Allemagne. Le lur était utilisé à des fins guerrières, servant à rassembler les troupes et à effrayer l'ennemi. Il servait aussi aux funérailles. La version en bois avait une vocation pastorale proche du cor des Alpes et semble toujours en activité dans les pays nordiques. Il en existe deux types : le lur en bois (du Moyen Âge) et le lur en bronze (de l'âge du bronze), datant d'environ 14 siècles avant Jésus-Christ. Il mesure entre 1 et 2,5 mètres et il n'y a aucun de trou de jeu. Il est en forme de S et se termine par un disque décoré faisant office de pavillon. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Lur_%28instrument%29
Dessins et plans, Antiquités, Pyramides, Pyramides -- Égypte, Architecture antique, Architecture égyptienne, Plans inclinés
Rampes de la pyramide de Sésostris Ier à Licht. Le problème de l'élévation des pierres sur les assises des pyramides est celui qui retient le plus l'attention du public. Les égyptologues ont souvent opté pour des solutions fondées sur des rampes, dont les formes et les dimensions restent à définir, tandis que des spécialistes d'autres disciplines s'attachent à donner leurs propres explications. Pourtant, quelques vestiges de rampes subsistent, notamment à la pyramide de Meïdoum, à la pyramide de Sekhemkhet et à celle de Khéphren, ainsi qu'à la pyramide de Sinki, et surtout à celle de Sésostris Ier, à Licht. Toutes sont des rampes frontales, c'est-à-dire perpendiculaires aux faces. Si elles furent effectivement employées, elles ne pouvaient suffire à achever l'édifice, particulièrement dans la phase de la pose des pierres de parement si parfaitement ajustées, comme à la pyramide de Khéops.
Photographie, Antiquités, Antiquités grecques, Adolescents, Travail, Olives, Amphores grecques, Conditions de travail, Enfants -- Travail, Peinture grecque, Produits de l'olivier, Récolte, Scènes, Travailleurs agricoles
Scène de récolte d'olives par des adolescents, l'un dans l'olivier, l'autre à terre ramasse les olives et les deux autres secouent les branches avec un baton. Sur une amphore à col attique à figures noires du Peintre d'Antiménès, vers 520 av. J.-C., Vulci - Italie. Hauteur : 40,64 cm. Lieu de découverte : Vulci, Viterbo. 1837 : acheté à Lucien Bonaparte, Prince of Canino and Musignano (1775 - 1840)
Renards s'accouplant - Antiquité égyptienne du Musée du Louvre. Matériaux Ostraca
Photographie, Afrique, Antiquités romaines, Monuments funéraires, Cavaliers, Pierres tombales, Latin (langue), Mauritanie, Mauritanie -- Antiquités, Naplouse (Cisjordanie)
Pierre tombale de Naplouse ("Nablus"), 2ème-3ème siècle de notre ère. L'inscription latine est dédiée à l'âme divinisée de Augindai, cavalier de l'escadron de la Mauritanie : D(is) I(nferis) M(anibus) Augindai eq(ues) Mau/rorum vi(x)it anno(s) / XXX h(eres) b(ene) m(erenti).
Traineau de transport des barques funéraires du complexe funéraire de Sésostris III à Dahchour : il mesure 4,21 m de long pour une largeur de 0,78 m. Afin d'acheminer les pierres extraites des lointaines carrières (Assouan est situé à près de mille kilomètres de la région memphite des pyramides), le transport fluvial sur le Nil était nécessaire. Le transport par voie fluviale, parfaitement maîtrisé, était essentiel aux anciens Égyptiens. Ils avaient à leur disposition des embarcations spécialement adaptées aux lourdes charges (barges transportant des colonnes monolithiques et sans doute des blocs de granite à fond de cale ou suspendus dans l'eau entre deux embarcations), comme l'atteste le bas-relief de la chaussée d'Ounas. L'activité atteignait son maximum durant la période des inondations, mais, afin de remédier aux difficultés liées aux périodes de décrue, une voie navigable a été creusée parallèlement et à l'ouest du Nil, permettant aux convois de débarquer leurs lourdes charges dans les ports situés à l'emplacement des temples bas des divers chantiers.