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Carrés alimentaires de Krill. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e465f1-carres-alimentaires-de-krill

Carrés alimentaires de Krill

Carrés de "viande" de krill dans l'antarctique. Cent mille tonnes de Krills antarctiques sont pêchées chaque année. Cette pêche s’est développée à partir des années 1970, avant de connaître un pic au tout début des années 1980, avant de ralentir légèrement. Le contenu riche en protéines et vitamines du krill, qui le rend utilisable pour l'alimentation humaine comme pour l'industrie d'aliments pour animaux, ainsi que sa grande concentration et son abondance ont tout d’abord intéressé la Russie, une des premières nations à pratiquer cette pêche. Actuellement, les principales nations pêcheuses sont la Corée du Sud, la Norvège, le Japon, la Russie, l’Ukraine et la Pologne. La biologie particulière du krill pose d'autres problèmes pour son utilisation dans l'alimentation. En effet, rapidement après sa sortie de l'eau, les enzymes puissantes contenues dans le krill commencent à dégrader ses protéines, ce qui oblige à un traitement rapide du crustacé fraîchement pêché. La transformation consiste à séparer la partie arrière de la tête et à enlever la carapace de chitine, dans l'optique de produire des produits congelés et des poudres concentrées. Avant sa commercialisation, il est nécessaire d'ôter sa carapace chitineuse riche en fluorures qui sont des composés toxiques pour l'homme. Cette opération est assez délicate à cause de la taille de l'animal et de sa fragilité. Toutes ces difficultés ont fortement augmenté le coût de la pêche du Krill antarctique, et cette activité ne s’est pas autant développée que certains le laissaient présager.

Figuier de barbarie après le passage des lapins. Source : http://data.abuledu.org/URI/53052a1a-figuier-de-barbarie-apres-le-passage-des-lapins

Figuier de barbarie après le passage des lapins

Opuntia saccagé en hiver dans un désert par des lapins affamés.

Lapins dans un clapier. Source : http://data.abuledu.org/URI/53052958-lapins-dans-un-clapier

Lapins dans un clapier

Lapins dans un clapier.

Alimentation hivernale du bec croisé des sapins. Source : http://data.abuledu.org/URI/51fcfc93-alimentation-hivernale-du-bec-croise-des-sapins

Alimentation hivernale du bec croisé des sapins

Alimentation hivernale en forêt du bec croisé des sapins (Loxia curvirostra), par Walter Heubach (1865–1923) : l'oiseau soulève une des écailles de la pomme de pins pour récupérer la graine.

Allaitement d'un dromadaire par sa mère. Source : http://data.abuledu.org/URI/54d221f4-allaitement-d-un-dromadaire-par-sa-mere

Allaitement d'un dromadaire par sa mère

Allaitement d'un dromadaire par sa mère au Sahara.

Assiette de bar grillé. Source : http://data.abuledu.org/URI/52014fad-assiette-de-bar-grille

Assiette de bar grillé

Assiette de bar grillé au riz et aux légumes.

Babiroussa mâle. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ece88c-babiroussa-male

Babiroussa mâle

Babiroussa mâle (Babyrousa celebensis), Sulawesi nord, en Indonésie.

Babiroussa mâle d'Indonésie. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b98e5a-babiroussa-male-d-indonesie

Babiroussa mâle d'Indonésie

Le nom provient du malais, babi (porc) et rusa (cerf). Le babiroussa dispose de deux paires de défenses situées sur le museau. Chez le mâle, la paire supérieure est plus développée (jusqu'à 30 cm) et recourbée vers l'arrière jusqu'à pénétrer dans la peau. Les mâles sont assez solitaires tandis que les femelles vivent en petits troupeaux dans la forêt. Il est surtout actif en matinée et reste à proximité des points d'eau. Très bon nageur, il peut passer d'île en île. En petits groupes familiaux, ils parcourent les marécages des quelques îles où ils vivent à la recherche de fruits, de jeunes pousses ou de feuilles. Ils n'hésitent pas à nager lorsqu'un bras de mer se présente. Les babiroussas sont des animaux discrets et timides. En permanence sur le qui-vive, ils se dissimulent à la moindre alerte sous la végétation. Il occupe un terrier composé de boue et de paille. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Babiroussa Son alimentation est composée de fruits, de feuilles, de champignons et de larves d'insectes.

Biche et deux faons. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fa6e4e-biche-et-deux-faons

Biche et deux faons

Biche et ses deux faons (cerf de Virginie, Odocoileus virginianus) broutant un arbre. Certains herbivores consomment volontiers les feuillages de diverses essences, mais les arbres ainsi « attaqués » peuvent se défendre en produisant des tanins amers qui rendent leurs feuillages moins appétents.

Boule de pemmican. Source : http://data.abuledu.org/URI/534a7990-boule-de-pemmican

Boule de pemmican

Boule de pemmican servie sur une assiette. Le pemmican est une recette typiquement amérindienne constituée de graisse animale, de moelle animale, de viande séchée et réduite en poudre, ainsi que de petits fruits. En mélangeant ces ingrédients, on obtient une espèce de pain ou un pâté qui non seulement a la qualité de ne pas moisir mais peut même se conserver des dizaines d'années voire plus. Il fut, pour cette raison, beaucoup utilisé par les expéditions polaires. De nombreux héros de Jules Verne emmènent du pemmican dans leur paquetage pour leurs lointains voyages. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pemmican

Cerf axis dressé sur ses pattes arrière. Source : http://data.abuledu.org/URI/5505f2fd-cerf-axis-dresse-sur-ses-pattes-arriere

Cerf axis dressé sur ses pattes arrière

Cerf axis (Axis axis) dressé sur ses pattes arrières pour atteindre des feuilles, Parc National de Nagarhole en Inde.

Cerises sèches. Source : http://data.abuledu.org/URI/534a67a2-cerises-seches

Cerises sèches

Cerises sèches (Montmorency, à gauche, et Bing, à droite) sur une assiette. Effets diurétiques signalés par Pline le Jeune, Naturalis Historia, chapitres XX-XXVII. Utilisés par les indiens Crow pour le pemmican. Le pemmican est une recette typiquement amérindienne constituée de graisse animale, de moelle animale, de viande séchée et réduite en poudre, ainsi que de petits fruits. En mélangeant ces ingrédients, on obtient une espèce de pain ou un pâté qui non seulement a la qualité de ne pas moisir mais peut même se conserver des dizaines d'années voire plus. Il fut, pour cette raison, beaucoup utilisé par les expéditions polaires. De nombreux héros de Jules Verne emmènent du pemmican dans leur paquetage pour leurs lointains voyages. Les ingrédients utilisés varient en fonction des disponibilités : bison, élan, wapiti ou autres cervidés pour la viande, baies d'amélanchier (saskatoon) le plus souvent, mais aussi cerises, groseilles, baies d'aronia et canneberges pour les fruits. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pemmican

Chaîne alimentaire entre mer, terre et air. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f9aefc-chaine-alimentaire-entre-mer-terre-et-air

Chaîne alimentaire entre mer, terre et air

Chaîne alimentaire animale entre mer, terre et air. Source : http://www.fcps.edu (ecology on islandcreeks, CK-12 project)

Champs de colza en fleur. Source : http://data.abuledu.org/URI/506ff0bd-champs-de-colza-en-fleur

Champs de colza en fleur

Champs de colza en fleur près de Bavenhausen (Allemagne). En Europe, à la suite de l'augmentation récente de la production d'agro-carburants à partir de colza, on peut considérer que le colza est cultivé à la fois pour l'alimentation animale (grâce à la teneur élevée en protéines du tourteau), pour les agro-carburants et pour l'alimentation humaine. C'est aussi un moyen pour les Européens d'éviter l'importation de produits OGM (soja) et d'assurer une autonomie partielle en protéines. La production mondiale de colza qui s'élevait à 36 millions de tonnes en 2003 (source FAO) a augmenté ces dernières années pour atteindre 56 millions de tonnes en 2011.

Chenille dévorant une feuille en Inde. Source : http://data.abuledu.org/URI/5508974a-chenille-devorant-une-feuille-en-inde

Chenille dévorant une feuille en Inde

Chenille de Polytela gloriosae, dévorant une feuille de Hippeastrum puniceum à Kadavoor, Kerala en Inde.

Chenille et chèvrefeuille. Source : http://data.abuledu.org/URI/541b5632-chenille-et-chevrefeuille

Chenille et chèvrefeuille

Chenille de Bombyx de la ronce mangeant une feuille de chèvrefeuille.

Chèvre. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b99ed4-chevre

Chèvre

Chèvre en train de brouter.

Chlorophore soufré butinant. Source : http://data.abuledu.org/URI/5415537b-chlorophore-soufre-butinant

Chlorophore soufré butinant

Chlorophore soufré (Chlorophorus varius) butinant, à Fronton (Haute-Garonne). On trouve l'adulte de juin à septembre sur les fleurs surtout d'Apiaceae (ombellifères), au soleil. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Chlorophorus_varius

Chouette nourrissant son petit. Source : http://data.abuledu.org/URI/54a70f29-chouette-nourrissant-son-petit

Chouette nourrissant son petit

Chouette chevêche (Athene cunicularia) nourrissant son petit.

Chouette nourrissant son petit. Source : http://data.abuledu.org/URI/54a70fc7-chouette-nourrissant-son-petit

Chouette nourrissant son petit

Chouette chevêche (Athene cunicularia) surveillant le repas de son petit après lui avoir apporté un insecte.

Coccinelle et pucerons. Source : http://data.abuledu.org/URI/534d67a9-coccinelle-et-pucerons

Coccinelle et pucerons

Coccinelle ayant isolé des pucerons (Aphidoidea) au bout de feuilles de rosiers, et s’apprêtant à les manger.

Coléoptère butinant. Source : http://data.abuledu.org/URI/5415523d-coleoptere-butinant

Coléoptère butinant

Coléoptère (Chrysanthia viridissima) butinant, Léguevin, Haute-Garonne.

Coquilles d'escargots cassées. Source : http://data.abuledu.org/URI/5342fea0-coquilles-d-escargots-cassees

Coquilles d'escargots cassées

Coquilles d'escargots (Cepaea hortensis et Cepaea nemoralis) : les merles lancent les escargots sur des surfaces dures où les coquilles se cassent et mangent la chair.

Corbeau et requin. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f59e2e-corbeau-et-requin

Corbeau et requin

Corbeau asiatique à gros bec (Corvus macrorhynchos) tenant dans le bec un cadavre de petit requin dont il débarasse la baie de Kumamoto au Japon. Comme tous les corvidés, il est omnivore et extrêmement polyvalent dans son alimentation. Il se nourrit au sol ou dans les arbres d'un large éventail d'aliments ( vivants ou morts, végétaux ou animaux) mais en se montrant volontiers nécrophage et charognard. Il joue à ce titre un rôle important dans l'élimination des cadavres dans l'écosystème. Il est réputé pouvoir tuer les poulets domestiques, plus que toute autre espèce de corvidés. Au Japon, les corbeaux sauvages sont considérés comme un fléau car ils ont appris à ouvrir les sacs à ordure (dont ils utilisent parfois les fils de fermeture pour les intégrer dans leurs nids).

Couleuvre avalant un lézard. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ade69c-couleuvre-avalant-un-lezard

Couleuvre avalant un lézard

Couleuvre de Montpellier (Malpolon monspessulanus) avalant un lézard (Podarcis hispanica).

Criquets pélerin. Source : http://data.abuledu.org/URI/53031de2-criquets-pelerin

Criquets pélerin

Criquets pélerin (Schistocerca gregaria) sur une branche.

Croissance du tigre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50df43aa-croissance-du-tigre

Croissance du tigre

Courbe de croissance du tigre du Bengale. Les jeunes tigres sont nus et incapables de marcher à la naissance ; ils pèsent de 750 à 1 600 g selon les sous-espèces : le tigre nouveau-né est 200 fois plus léger que le tigre adulte. Trois à trente minutes après la naissance, lorsque le premier cri est poussé, la tigresse libère les petits du cordon ombilical et les nettoie. Attirés par la chaleur du corps de leur mère, les nouveau-nés aveugles cherchent alors les mamelles en tâtonnant. L’allaitement commence durant les quatre premières heures, et les trois premiers jours y seront consacrés. Dans un premier temps, l'allaitement dure 70 % des heures du jour, puis le temps consacré à cette activité diminue : il passe à 60 % au bout de dix jours, 30 % après quarante jours et seulement 10 % à 90 jours, lorsque les jeunes tigres ont presque terminé leur sevrage. La tigresse se désintéresse rapidement des jeunes immobiles, considérés comme mort-nés ; de même, elle ne forcera pas ses petits à se nourrir. Le lait de la tigresse est très riche en lipides et en protéines, ce qui leur assure une croissance rapide : le tigre multiplie son poids par cent durant les vingt premiers mois, sa croissance continuant plus doucement jusqu’à ses deux ans. Source : Kailash Sankhala, "Le tigre : ses mœurs - son histoire - son avenir", MLP Editions, 1998, 96 p. (ISBN 2-7434-1070).

Débat sur la banquise. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e18c54-debat-sur-la-banquise

Débat sur la banquise

Débat de jeunes manchots sur la banquise : petit ou gros poisson ? Cycle de vie de l'empereur.

Deux éléphants mangeant l'écorce d'un baobab. Source : http://data.abuledu.org/URI/53400cff-deux-elephants-mangeant-l-ecorce-d-un-baobab

Deux éléphants mangeant l'écorce d'un baobab

Deux éléphants mangeant l'écorce d'un baobab, Parc national Tarangire, Tanzanie.

Deux papillons sur une fleur. Source : http://data.abuledu.org/URI/54129eff-deux-papillons-sur-une-fleur

Deux papillons sur une fleur

Deux Azurés des Paluds butinant. L’Azuré des paluds (Phengaris nausithous) est un insecte lépidoptère de la famille des Lycaenidae.

Deux souriceaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ec173a-deux-souriceaux

Deux souriceaux

Deux souriceaux de dix jours, alimentés à la seringue.

Écureuil mangeant une pomme. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c44f0f-ecureuil-mangeant-une-pomme

Écureuil mangeant une pomme

Écureuil mangeant une pomme au bord de la mer.

Écureuil roux. Source : http://data.abuledu.org/URI/506d6f23-ecureuil-roux

Écureuil roux

Tableau Aquarelle / Gouache de Hans Hoffmann (ca. 1530 - ca. 1591), 1578, représentant un écureuil roux assis grignotant quelquechose qu'il tient entre ses pattes.

Écureuil roux perché en hiver. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c44b1c-ecureuil-roux-perche-en-hiver

Écureuil roux perché en hiver

Écureuil roux (Sciurus vulgaris) perché en hiver dans un arbre et grignotant une noisette.

Élan européen. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d68ca-elan-europeen

Élan européen

Alces est un genre de mammifères appelés orignaux ou élans au sein de la francophonie. Ces animaux sont les plus grands des cervidés actuels. L’origine du nom « orignal » vient du mot basque oreinak, pluriel d’orein, qui signifie « les cervidés » ou « les rennes » ou « les caribous ». Samuel de Champlain le nommait orignac car aux premières années des colonies, les premiers colons français l’auraient appris des Basques qui venaient régulièrement pêcher la morue et la baleine sur les côtes du Labrador et les abords du fleuve Saint-Laurent. Le mot « élan » dériverait du lituanien. La domestication d'élans semble ancienne. Les Iakoutes de Sibérie l’ont utilisé comme animal de trait et comme monture. Cet usage a plus tard été interdit en Russie, car des malfaiteurs montant des élans distançaient les chevaux de la police. L’élan a aussi servi à tirer de lourdes charges sur des terrains difficiles où le cheval s’enfonçait. Il a été domestiqué, mais non élevé en troupeau. Ses bois sont larges et en partie plats. Au mois de novembre, le cervidé perd sa parure. De longues pattes et un long cou lui permettent de brouter les ligneux, qui composent 50 % de son alimentation en été et 80 % en hiver, ainsi que de se déplacer facilement dans l’eau et dans les mégaphorbiaies en enjambant troncs renversés et ronciers.

Éléphant mangeant l'écorce d'un baobab. Source : http://data.abuledu.org/URI/53400c38-elephant-mangeant-l-ecorce-d-un-baobab

Éléphant mangeant l'écorce d'un baobab

Éléphant mangeant l'écorce d'un baobab.

Eléphanteau têtant sa mère. Source : http://data.abuledu.org/URI/533fe544-elephanteau-tetant-sa-mere

Eléphanteau têtant sa mère

Eléphanteau têtant sa mère (Elephas maximus).

Escargot des bois à coquille jaune. Source : http://data.abuledu.org/URI/534301bf-escargot-des-bois-a-coquille-jaune

Escargot des bois à coquille jaune

Escargot des bois à coquille jaune (Cepaea nemoralis) sur les feuilles d'un arbuste.

Escargot des bois sur une feuille. Source : http://data.abuledu.org/URI/5343000b-escargot-des-bois-sur-une-feuille

Escargot des bois sur une feuille

Escargot des bois (Cepaea nemoralis ; Carolus Linnaeus, 1758).

Escargot des bois sur une feuille. Source : http://data.abuledu.org/URI/53430112-escargot-des-bois-sur-une-feuille

Escargot des bois sur une feuille

Escargot des bois (Cepaea nemoralis) sur une feuille. Il se distingue de l'escargot des jardins (Cepaea hortensis) par la couleur du renflement sur le bord de la coquille, le péristome, qui est généralement de couleur brun foncé. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cepaea_nemoralis

Escargot des bois sur une feuille. Source : http://data.abuledu.org/URI/53430534-escargot-des-bois-sur-une-feuille

Escargot des bois sur une feuille

Escargot des bois (Cepaea nemoralis) sur une feuille.

Festin de papillons. Source : http://data.abuledu.org/URI/588cb0a4-festin-de-papillons-

Festin de papillons

Grand mars changeant (Apatura iris) et petit mars changeant (Apatura ilia) se nourrissant de l'humidité sur le cadavre d'une grenouille deschamps (Rana temporaria), en Ukraine.

Foin pour bétail. Source : http://data.abuledu.org/URI/5157001b-foin-pour-betail

Foin pour bétail

Le foin était la principale alimentation du bétail, autrefois souvent logé sous les maisons en hiver en zone froide et tempérée. Le foin est un fourrage constitué d'herbe séchée et destiné à l'alimentation des animaux domestiques herbivores durant la mauvaise saison. C'était autrefois une des conditions de nombreux systèmes de type polyculture élevage. Les chevaux des administrations (poste, armée, etc.) et des industries privées étaient aussi consommateurs de foin. La qualité du foin, qu'il s'agisse de sa valeur nutritive ou de sa digestibilité, est très variable. Elle dépend de plusieurs facteurs, notamment : 1) du stade de fauchage des herbes. Pour avoir la meilleure qualité énergétique, l'herbe doit être fauchée avant qu'elle soit épiée c’est-à-dire que les graines ne soient sorties de leur gaine ; 2) des conditions de récolte ; 3) de la qualité du séchage (en extérieur d'abord, et éventuel affinage en grange, modernisée selon une méthode née dans les montagnes françaises, suisses et autrichiennes, et en cours d'extension dans l'Ouest de la France.

Fourmis tropicales en Colombie. Source : http://data.abuledu.org/URI/534b8442-fourmis-tropicales-en-colombie

Fourmis tropicales en Colombie

Fourmis découpeuses transportant leur morceau de feuille sur un tronc d'arbre à terre. Les fourmis tropicales Atta peuvent découper les feuilles d’arbres sains, mais ses individus sont attirés par l’odeur de la sève des feuilles ou tiges blessées. Elles peuvent défolier entièrement un grand arbre tombé au sol en 12 à 48 heures. Ces feuilles serviront de support aux cultures d’un champignon dont la fourmi Atta est friande. Ce sont des fourmis champignonnistes coupeuses de feuilles.

Gerbille. Source : http://data.abuledu.org/URI/52e1827b-gerbille

Gerbille

Gerbille mangeant un emballage en carton.

Gobe-mouche. Source : http://data.abuledu.org/URI/53f0dfde-gobe-mouche

Gobe-mouche

Gobe-mouche tenant un insecte dans le bec.

Goélands affamés. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d7cd95-goelands-affames

Goélands affamés

Goélands (Larus fuscus), lac proche de Reykjavik en Islande.

Groupe de grues demoiselles. Source : http://data.abuledu.org/URI/53e9f59f-groupe-de-grues-demoiselles-

Groupe de grues demoiselles

Groupe de grues demoiselles (virgo grus) à Khichan, au Rajasthan en Inde autour d'un point d'eau.

Grues en Inde. Source : http://data.abuledu.org/URI/53e9fb7f-grues-en-inde

Grues en Inde

Groupe de grues Demoiselle (Grus virgo) au bord d'un point d'eau à Jodhpur au Rajasthan, en Inde.

Hélophile suspendu butinant une fleur. Source : http://data.abuledu.org/URI/5415d7c6-helophile-suspendu-butinant-une-fleur

Hélophile suspendu butinant une fleur

Hélophile suspendu (Helophilus pendulus) butinant une fleur.

Impala et oiseau pique-boeuf. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e63f20-impala-et-oiseau

Impala et oiseau pique-boeuf

Association entre un Impala (Aepyceros melampus) au Parc National Mikumi, et un pique-boeuf (Buphagus erythrorhynchus) : dans cette entente mutuelle, le pique-bœuf se nourrit sur le corps de l'impala, qui est débarrassé des parasites et des tiques, et averti en cas de danger par les cris de l'oiseau. L’impala est un ruminant et est donc herbivore. L’alimentation de l’impala est très simple et se résume à pratiquement toutes formes d’herbes, de feuilles et même de fleurs. Cette alimentation a un impact sur sa denture qui ne contient que des molaires (légèrement plus pointues à l’avant). On le retrouve principalement à l’est de l’Afrique centrale et du sud (notamment en Afrique du Sud, en Angola, en République démocratique du Congo, au Rwanda, en Ouganda et au Kenya).