Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Dessins et plans | Photographie | Physique | Dynamique | Réseaux trophiques | Eaux côtières | Vapeurs | Gaz -- Liquéfaction | Biologie | Gaz, Dynamique des | Ponts -- Tabliers | Rotation (dynamique) | Mouvement rotatoire (dynamique des corps rigides) | Ripisylves | Sète (Hérault) | Architecture (1945-....) | Gaz liquéfiés | Ponts -- France | Ponts basculants | Gaz -- Propriétés thermiques | ...
Bas-reliefs de Claude Théberge à Montréal. Source : http://data.abuledu.org/URI/5978802e-bas-reliefs-de-claude-theberge-a-montreal

Bas-reliefs de Claude Théberge à Montréal

Bas-reliefs de Claude Théberge dans la station De L'Église du métro de Montréal, 1978 : Des lignes gravées dans le béton couvrent la station et forment des fresques dynamiques.

Deux types d'écoulement microfluidique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d5dd8d-deux-types-d-ecoulement-microfluidique

Deux types d'écoulement microfluidique

Flux laminaire (a) et turbulent (b), selon le nombre de Reynolds : la nature de l'écoulement dépend du nombre de Reynolds, et donc de la taille caractéristique d. Aux petites dimensions, les phénomènes physiques macroscopiques ne subissent pas seulement un diminution linéaire de leurs effets. Certains phénomènes négligeables deviennent prépondérants, comme la capillarité ; inversement, d'autres forces telles que la gravité deviennent négligeables. Afin d'appréhender plus facilement les caractéristiques d'un système microfluidique, plusieurs grandeurs sans dimension ont été introduites. La plus répandue est probablement le nombre de Reynolds Re, proposé en 1883, qui caractérise le rapport entre les forces d'inertie et les forces de viscosité. Les systèmes microfluidiques sont généralement caractérisés par un petit nombre de Reynolds : les forces de viscosité sont prépondérantes.

Forces verticales d'une automobile à l'arrêt. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d5bb0a-forces-verticales-d-une-automobile-a-l-arret

Forces verticales d'une automobile à l'arrêt

Forces verticales s'appliquant à une automobile à l'arrêt. Dans le jargon automobile, le transfert de masse (souvent confondu avec le transfert de charge) se rapporte à la redistribution du poids soutenu par chaque pneu pendant l'accélération (longitudinale et latérale). Cela inclut le freinage et la décélération (qui peut être considérée comme une accélération négative). Le transfert de masse est un concept crucial en dynamique des véhicules.

Instrument à vent électronique. Source : http://data.abuledu.org/URI/5300996d-instrument-a-vent-electronique

Instrument à vent électronique

Instrument à vent électronique (EWI) permettant de piloter un synthétiseur. L'EWI possède un bec équipé de capteurs de pression d'air (contrôle du volume) et de pression des lèvres (vibrato). Les clefs ne se déplacent pas, la détection des doigtés se fait par conductivité (détection de la position des doigts par courant électrique), ce qui permet de jouer très rapidement. L'octave est choisie parmi sept en positionnant le pouce gauche sur un ensemble de rouleaux. Le capteur de pression d'air permet une grande étendue dynamique, en particulier en combinaison avec un synthétiseur analogique. Le contrôleur à vent indique les notes à jouer à un synthétiseur intégré ou externe, il est possible de le connecter à une station de travail numérique afin de produire une plus grande variété de sons. Cet instrument a été utilisé tout particulièrement par les musiciens smooth jazz. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Electronic_Wind_Instrument

Mangrove à Cayo Levisa, Cuba. Source : http://data.abuledu.org/URI/52e50a6b-mangrove-a-cayo-levisa-cuba

Mangrove à Cayo Levisa, Cuba

Mangrove (Rhizophora) à Cayo Levisa, Cuba, 2004 : élément avancé d'une mangrove cubaine ; les palétuviers donnent parfois l'impression d'avancer sur leurs racines. Ils ont un comportement d'espèces pionnières, contribuant souvent à fixer le trait de côte. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mangrove.

Peuplier noir. Source : http://data.abuledu.org/URI/50983412-peuplier-noir

Peuplier noir

Planche N° 305 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef : Peuplier noir (Populus nigra). La floraison a lieu de mars à avril ; la pollinisation ainsi que la dispersion du pollen se fait par le vent (anémophile). L’arbre atteint sa maturité sexuelle vers six ans, en produisant des chatons pendants ; les chatons mâles mesurent 8 à 10 cm de long à maturité et sont rouges/pourpres ; les chatons femelles sont vert-jaunâtre et longs de 6 à 8 cm à maturité. Les graines de cette espèce pionnière sont pauvres en réserves et ont une durée de vie plutôt courte, ce qui peut rendre l'espèce vulnérable à l'insularisation écologique ou à la fragmentation écopaysagère. Elles colonisent des sols riches et dénués de végétation tel que les grèves et bancs de sable humides abandonnés par l'eau durant l'été, en compagnie d'autres essences de bois tendre, comme les saules. Dans de bonnes conditions (soleil, sol riche, humidité) l'arbre pousse vite, avec de larges cernes de croissance, mais avec un houppier relativement sensible à la casse en cas de tempêtes. C'est une espèce caractéristique des ripisylves arborescentes ourlant les berges alluvionnaires d'un certain nombre de cours d'eau (en évolution dynamique). Il est encore présent près de la mer (notamment près de l'embouchure de la Loire) et est assez résistant aux embruns. Il semble avoir été autrefois présent très près de la mer dans le nord, par exemple avec des peupliers blancs et trembles dans les pannes dunaires de Dunkerque à la fin du XIXème siècle et au début du XXème siècle, signalé par l'Abbé Arthur Labeau dans une note sur la « flore maritime du littoral français de la mer du nord ».

Pont à bascule. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d4f595-pont-a-bascule

Pont à bascule

Le pont du Tivoli (pont à bascule), en position fermé, depuis le quai des Moulins. La partie centrale est le contrepoids. Construction du pont de 1949 à 1951 par les Établissements Daydé. Sète, Hérault. Un pont basculant est un pont mobile dont le tablier peut se relever par rotation. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pont_basculant

Réseau trophique en eaux côtières. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f9d814-reseau-trophique-en-eaux-cotieres

Réseau trophique en eaux côtières

Réseau trophique en eaux côtières. Un réseau trophique (ou chaîne tropho-dynamique) se définit comme un ensemble de chaînes alimentaires reliées entre elles au sein d'un écosystème et par lesquelles l'énergie et la matière circulent (échanges d'éléments tel que le flux de carbone et d'azote entre les différents niveaux de la chaîne alimentaire, échange de carbone entre les végétaux autotrophes et les hétérotrophes). Le terme trophique se rapporte à tout ce qui est relatif à la nutrition d'un tissu vivant ou d'un organe. Par exemple, une relation trophique est le lien qui unit le prédateur et sa proie dans un écosystème. Dans un écosystème, la structure des réseaux trophiques (les types et réseaux de relations alimentaires entre organismes) influence fortement la quantité, la diversité, la stabilité et la qualité de la biomasse et de la matière organique résiduelle (excrétions, nécromasse) produites par les écosystèmes. La qualité d'un réseau trophique et de ses interactions a un lien direct avec la stabilité et résilience des populations qui en font partie.

Réservoir de gaz liquéfié. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cc448e-reservoir-de-gaz-liquefie

Réservoir de gaz liquéfié

Réservoir de gaz liquéfié : dans le réservoir, le gaz liquéfié est surmonté d'un ciel gazeux sous pression. Lorsque l'on comprime un gaz, à partir d'une certaine pression, il se transforme en liquide ; cette propriété permet de stocker de grandes quantités de gaz dans des réservoirs : butane, propane, GPL (gaz de pétrole liquéfié)… On a au-dessus du liquide un « ciel gazeux » (la plus grande partie du produit est liquide, une petite partie est gazeuse et occupe le volume restant). Lorsque l'on soutire du gaz du réservoir, le liquide bout (à température ambiante) et la vapeur ainsi produite vient compenser le volume retiré ; c'est le fonctionnement normal.

Schistosité des roches. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a2977d-schistosite-des-roches

Schistosité des roches

La schistosité décrit une famille de plans sub-parallèles et régulièrement espacés selon lesquels certaines roches se débitent (ou se clivent) facilement en feuillets plus ou moins épais. Cette particularité est le propre de roches à granulométrie plus ou moins fine ou argileuse, dont elle marque l'aplatissement. A : plan de stratification ; B : schistosité espacée (crénulation, fracture) ; C : foliation diégénétique ; D : schistosité continue (de flux).

Tir à la corde. Source : http://data.abuledu.org/URI/53cc39f0-tir-a-la-corde

Tir à la corde

Tir à la corde, modèle dynamique.

Une bicyclette. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d58c87-une-bicyclette

Une bicyclette

Une bicyclette, ou un vélo, est un véhicule terrestre composé de deux roues alignées (d'où le nom « bicyclette »). La force motrice est fournie par son conducteur (appelé « cycliste »), en position le plus souvent assise, par l'intermédiaire de deux pédales entraînant la roue arrière par une chaîne. La bicyclette est l'un des principaux moyens de transport dans de nombreuses parties du monde. Sa pratique, le cyclisme, constitue à la fois un usage quotidien, un loisir populaire et un sport. Par rapport à la marche, le vélo est trois fois plus efficace à effort égal et entre trois et quatre fois plus rapide. Il a été également calculé qu'en termes de conversion en mouvement de l'énergie issue de la nourriture, il s'agit d'une forme de locomotion plus efficace que celle de n'importe quel organisme biologique. La bicyclette ne dispose que de deux points d'appui au sol : elle se trouve nécessairement en équilibre instable. On parle d'équilibre métastable, car le passage de la position d'équilibre temporaire à une position de déséquilibre perceptible est relativement lent. Les principales forces en action sont : la gravité, qui tend à attirer le vélo vers le sol ; la force centrifuge, qui lorsque le vélo vire, tend à le redresser vers l'extérieur du virage. L'équilibre est maintenu dynamiquement par les actions du cycliste, qui s'emploie à toujours redresser sa machine en la faisant tourner légèrement dans la direction où elle commence à tomber. Le cycliste jongle donc en permanence entre ces deux forces pour compenser les effets de l'une avec l'autre et réciproquement. Il est aidé en cela par la chasse du vélo : il s'agit de la distance entre l'intersection de l'axe de la fourche avec le sol et du point de contact de la roue avant au sol. En effet, l'axe de la fourche est incliné de manière à ce que son intersection avec le sol se trouve en avant du point de contact de la roue avec le sol. Ainsi, si le vélo est penché d'un côté, la roue avant va être forcée à se placer de manière à faire tourner le vélo du même côté, engageant ainsi un virage tendant à équilibrer cette inclinaison. Enfin, on peut noter que lorsque le vélo roule, l'effet gyroscopique lié à la rotation des roues vient contrarier toute variation de la position de leurs axes. Ce phénomène est proportionnel à la vitesse de rotation des roues et à leur masse. Cet effet reste habituellement négligeable et est normalement imperceptible par le cycliste. En effet, la masse et donc l'inertie du vélo et de son pilote sont d'un ordre de grandeur supérieur à celle des roues, ce qui réduit considérablement l'influence de l'effet gyroscopique. Lorsque la vitesse augmente, l'effet gyroscopique augmente en proportion et devient plus perceptible.