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Nuage de mots clés

Dessins et plans | Photographie | Physique | Gravure | Armoiries | Temps (météorologie) | Couleurs | Échelles (cartographie) | Géologie | Radars météorologiques | Bisons | Biologie | Lumière | Blason (héraldique) | Musique | Silhouettes | Dinosaures | Dessin en noir et blanc | Crétacé supérieur | Instruments de musique | ...
Abbaye de Royaumont. Source : http://data.abuledu.org/URI/50578b56-abbaye-de-royaumont

Abbaye de Royaumont

Vue cavalière de l'abbaye de Royaumont, d'après un dessin (H. Duclos, tome 1, p. 267-68) offert au prince de Lorraine, comte de Harcourt, avec les armes de l'abbaye et celles des princes de Lorraine. Vue depuis le sud, montrant plusieurs bâtiments aujourd'hui disparus.

Absorption de la chlorophylle. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e41760-absorption-de-la-chlorophylle

Absorption de la chlorophylle

Grahique du spectre d'absorption de la chlorophylle : en vert le spectre d'absorption de la chlorophylle a et en rouge le spectre d'absorption de la chlorophylle b. Le spectre visible se situe approximativement entre 380 nm à 780 nm bien qu'une gamme de 400 nm à 700 nm soit plus commune. La lumière perçue comme « verte » par l’œil et le cerveau humain a une longueur d'onde, selon les notions de la couleur « verte », approximativement entre 490 et 570 nanomètres. On remarque sur le graphique que l’absorbance de la chlorophylle est moindre pour cette plage du spectre électromagnétique. La chlorophylle absorbe donc la majeure partie du spectre visible sauf la lumière verte. La lumière rouge a une longueur d'onde de 620-750nm et une fréquence de 400-484THz. La région du rouge atteint un maximum de 660-670 nm pour la Chlorophylle A et aux alentours de 635-645 nm pour la Chlorophylle B. Les plantes ont un grande besoin des ondes rouges sauf celles beaucoup plus longues que 670 nm. La lumière bleue a une longueur d'onde de 450-495nm et une fréquence de 606-668THz. La photosynthèse fonctionne le mieux grâce aux ondes de la couleur rouge, et à moindre degré à celles de la couleur bleue. Mais certaines plantes ont un plus grand besoin de bleu que d'autres pour une croissance saine - notamment pour que les fleurs éclosent et pour que les fruits poussent.

Acanthostomatops vorax. Source : http://data.abuledu.org/URI/563b2c0c-acanthostomatops-vorax

Acanthostomatops vorax

Reconstitution d'un Acanthostomatops vorax. Les Zatrachydidae ou zatrachydidés sont une famille de temnospondyles ayant vécu à la fin du Carbonifère et au début du Permien en Amérique du Nord et en Europe. Ils se reconnaissent par les protubérances osseuses latérales du quadratojugal et une grande ouverture dans le palais. Le crâne est aplati, avec de petites orbites placées loin en arrière. L'ouverture dans le palais peut avoir servi à loger une glande produisant une substance collante pour engluer la proie sur la langue. Si cela était, cela montrerait que ces animaux passaient une grande partie de leur temps sur terre. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Zatrachydidae

Adresse manuscrite sur une enveloppe. Source : http://data.abuledu.org/URI/5045344d-adresse-manuscrite-sur-une-enveloppe

Adresse manuscrite sur une enveloppe

Photographie d'une enveloppe timbrée avec l'adresse de l'expéditeur et celle du destinataire. Mots-clés conseillés en américain : "1906, North Carolina, Boonville, Statesville, The Wallace Bros' Company, Envelope, Cancelled Stamp, Postmark" ; timbre : "Regular Issue, Series of 1902-1903, 1903 Perforated 12 Stamp, Scott #319, Washington, "Father of our Country", 2 cents, carmine."

Altivariomètre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b10f3a-altivariometre

Altivariomètre

L'altimètre indique (grâce à la mesure de la pression atmosphérique) l'altitude à laquelle on se trouve. Souvent couplé avec le variomètre, cela fait un alti-variomètre. Réglé au moment du décollage sur l'altitude locale, ou réglé à 0, il permet de connaître soit l'altitude absolue, soit l'altitude par rapport au point de décollage. C'est particulièrement utile pour mesurer la possibilité de revenir au point de départ pour se poser. Le variomètre indique (grâce à la mesure des différences de pression) la vitesse verticale (en mètres par seconde). Cela permet de savoir si l'on monte ou si on descend et à quelle vitesse. En effet, nous ne percevons que les accélérations, d'après le Principe fondamental de la dynamique. Ainsi, lorsque le pilote s'éloigne du relief ou qu'il traverse une zone turbulente, il discerne difficilement s'il monte ou s'il descend, et l'instrument devient fort utile.

Antennes paraboliques. Source : http://data.abuledu.org/URI/53add0bc-antennes-paraboliques

Antennes paraboliques

Diagramme montrant les types communs d'alimentation d'une antenne parabolique. Les réflecteurs sont en rouge, le cornet d’alimentation en vert et le rayonnement est en noir. Les types sont : (1) Source centrée au point focal de la parabole, le type le plus commun qui a comme inconvénient le blocage partiel du faisceau par la source. (2) La source décalée où le cornet d'alimentation se trouve toujours au point focal mais le faisceau est dirigé vers le réflecteur qui n'est que la partie supérieur d'une parabole. Cela évite l'ombrage par la source. (3) Cassegrain où le source illumine un petit réflecteur secondaire convexe hyperbolique qui renvoie le faisceau vers le réflecteur primaire. Cela permet une antenne plus compacte et se retrouve le plus souvent dans les télescopes. (4) Grégorien, similaire au précédent mais le réflecteur secondaire est un ellipsoïde concave.

Apparition du fantôme-poète. Source : http://data.abuledu.org/URI/53443853-apparition-du-fantome-poete

Apparition du fantôme-poète

Le poète japonais Dainagon reçoit une visite nocturne, celle d'un fantôme hirsute qui hurle des poèmes par sa fenêtre ouverte, Utagawa Kuniyoshi (1797-1861).

Armoiries d'Allemagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5378e6c6-armoiries-d-allemagne

Armoiries d'Allemagne

Le blason de l'Allemagne est celui du Saint-Empire romain germanique, hérité de l'empire romain : "d'or à l'aigle de sable, armée, béquée et lampassée de gueules." La présentation usuelle aujourd'hui est celle de Tobias Schwab (1887–1967) qui date de 1926. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Armoiries_de_l%27Allemagne

Armoiries de la Colombie. Source : http://data.abuledu.org/URI/5379b48c-armoiries-de-la-colombie

Armoiries de la Colombie

Armoiries de la Colombie. Le Condor des Andes, en plus d'être l'emblème national, symbolise la liberté ; il est représenté de face, avec les ailes déployées et regardant vers la droite ; une couronne de lauriers pend depuis son bec. Sous le Condor, on peut voir, sur une ceinture d'or, la devise officielle du pays : "Libertad y Orden" = Liberté et ordre. Dans le tiers supérieur du blason, sur un fond d'azur, on peut voir une grenade d'or ouverte, qui fait référence à la Nouvelle-Grenade, nom que le pays a porté au XIXe siècle. Sur les côtés se trouvent deux cornes d'abondance : celle de gauche est remplie de pièces de monnaie d'or et d'argent et celle de droite de fruits tropicaux. Ces cornes symbolisent la richesse et l'abondance du sol du pays. Dans le tiers central, sur un fond de platine, une barretina, reposant sur un bâton d'or, qui rappelle l'esprit de la république mais aussi un symbole de liberté. Dans le tiers inférieur, sur la mer, deux navires avec les voiles déployées : un pour l'océan Pacifique, l'autre pour l'océan Atlantique, car la Colombie est le seul État sud-américain à être bordé par ces deux océans. Les voiles déployées représentent le commerce mondial de la Colombie. Le blason est en fait daté à cet égard, le Panamá ayant depuis lors, en 1903, fait sécession, privant la Colombie de l'isthme du même nom. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Armoiries_de_la_Colombie

Armoiries de Moscou. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f21732-armoiries-de-moscou

Armoiries de Moscou

Armoiries de Moscou (Russie) : Georges de Lydda à cheval, en armure et portant une cape bleue, tient une lance et attaque un dragon avec celle-ci.

Ascendance thermique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b10e19-ascendance-thermique

Ascendance thermique

Schématisation du phénomène d'ascendance thermique : Le nuage (A) au-dessus du sol. Le soleil augmente la température du sol qui, à son tour, réchauffe l'air au-dessus (1). La bulle d'air chaud commence à s'élever (2) jusqu'à un certain point. La masse condense et redescend, à cause de sa température inférieure (3). Le vol thermique consiste à utiliser des courants d'air ascendants (appelés « thermiques », « ascendances », « pompes » ou « bulles ») pour monter. L'aérologie fait appel à quelques notions physiques : l'air chaud moins dense est plus léger que l'air froid ; si l'on considère la différence de température moyenne entre celle au niveau de la mer et celle au niveau de la tropopause, divisé par la hauteur, on obtient une diminution moyenne de la température de la masse d'air avec l'élévation de l'altitude de 0,65 °C tous les 100 m ; le soleil réchauffe de manière négligeable l'air directement mais le soleil réchauffe le sol de manière variable selon sa nature qui lui ensuite chauffe l'air au contact du sol par conduction ; lorsque qu'une masse d'air au contact du sol est suffisamment réchauffée, sa densité baisse, elle devient plus légère et s'élève si elle est entourée d'air plus froid ; cette « bulle » d'air s'élève aussi longtemps que l'air environnant est plus froid ; la « bulle » elle-même se refroidit non pas du fait du contact avec de l'air plus frais avec l'altitude mais du fait qu'avec l'altitude, la pression baisse, la bulle se dilate donc, la dilatation d'un gaz provoque son refroidissement à raison de 1 °C tous les 100 m de manière invariable.

Atténuation. Source : http://data.abuledu.org/URI/5232e82d-attenuation

Atténuation

Forte atténuation du signal lors du passage d'une ligne de forts orages au-dessus du radôme. Source : Environnement Canada. Toute onde électromagnétique peut être absorbée en passant dans un milieu quelconque car elle excite les molécules qui le composent. Cela peut donc enlever une partie des photons pour faire changer le niveau énergétique du milieu. L'air est très peu absorbant mais la molécule d'eau l'est. Plus la longueur d'onde porteuse du faisceau radar se rapproche de celle des gouttes d'eau (0,1 à 7 millimètres), plus le dipôle de ces molécules sera excité et plus l'onde sera atténuée par la précipitation rencontrée. En conséquence, les radars météorologiques utilisent généralement une longueur d'onde de 5 cm ou plus. À 5 centimètres, lors de pluies intenses, on note une perte de signal en aval de celles-ci sur l'image radar. L'atténuation est cependant de nulle à acceptable dans des précipitations faibles à modérées et dans la neige. C'est pourquoi la plupart des pays des régions tempérées (Canada et une bonne partie de l'Europe) utilisent cette longueur d'onde. Elle nécessite une technologie moins coûteuse (magnétron et de plus petite antenne). Les nations ayant une prédominance d'orages violents utilisent une longueur d'onde de 10 centimètres qui est atténuée de façon négligeable dans toutes les conditions mais est plus coûteuse (klystron). C'est le cas des États-Unis, de Taïwan et d'autres. Les longueurs d'onde de moins de 5 cm sont fortement atténuées, même par pluie modérée, mais peuvent avoir une certaine utilité à courte portée, là où la résolution est plus fine. Certaines stations de télévision américaines utilisent des radars de 3 centimètres pour couvrir leur auditoire en plus du NEXRAD local.

Bande brillante sur radar météorologique. Source : http://data.abuledu.org/URI/5232e922-bande-brillante-sur-radar-meteorologique

Bande brillante sur radar météorologique

En haut, CAPPI de 1,5km d'altitude montrent de forts échos radar, en jaune, parmi des échos plus faibles en vert. Dans la partie du bas, la coupe verticale à travers les données radar montre que ces intensités sont dues à la présence d'une zone de réflectivité plus intense se situant entre 1,5 km à 2,5 km d'altitude. Cette bande brillante est causée par de la neige fondante. Source: Meteorological Service of Canada (Environment Canada). Le retour de réflectivité est proportionnel au diamètre, au nombre et à la constante diélectrique de la cible. Entre un flocon de neige et une goutte de pluie de même masse, il y a une différence importante de ces trois variables. Ainsi le diamètre d'un flocon est beaucoup plus grand que celui de la goutte mais la constante diélectrique est beaucoup plus petite. Les flocons tombant plus lentement, ils ont une plus grande concentration que les gouttes mais celles-ci se combinent souvent par collisions pour donner de plus grosses cibles. Lorsque l'on tient compte de tous ces facteurs et que l'on calcule la réflectivité de chacune de ces deux cibles, on se rend compte que la différence est d'environ 1,5 dBZ en faveur de la goutte. Lorsque de la neige, en altitude, descend vers le sol et rencontre de l'air au-dessus du point de congélation, elle se transforme en pluie. Donc on s'attend à ce que la réflectivité augmente d'environ 1,5 dBZ entre une donnée radar prise dans la neige et une autre prise dans la pluie. À l'altitude où la neige commence à fondre, il y a cependant un rehaussement des réflectivités jusqu'à 6,5 dBZ. Qu'arrive-t-il? À ce niveau, nous avons affaire à des flocons mouillés. Ils ont encore un diamètre important, se rapprochant de celui des flocons de neige, mais leur constante diélectrique s'approche de celle de la pluie et ils tombent lentement. Nous avons alors les trois facteurs favorisant une plus grande réflectivité. Il en résulte une zone qu'on appelle la bande brillante. Dans les données radar, sur PPI ou CAPPI, qui croisent ce niveau, l'on verra alors un rehaussement des intensités des précipitations qui n'est pas réel. Utiliser les taux de précipitations contaminés par la bande brillante conduira donc à une surestimation des quantités de pluie au sol. Plusieurs techniques ont été développées pour filtrer cet artéfact par plusieurs services météorologiques. Le principe général est de repérer le niveau de la bande brillante et d'essayer d'utiliser les données dans la pluie sous celle-ci, si possible, ou sinon dans la neige au-dessus, mais avec correction.

Bioluminescence. Source : http://data.abuledu.org/URI/5094f923-bioluminescence

Bioluminescence

mecanisme général des réactions de bioluminescences : La bioluminescence extracellulaire est réalisée à partir de la réaction entre la luciférine et la luciférase, une enzyme. Une fois synthétisé, chaque composant est stocké dans des glandes de la peau ou sous celle-ci. L'expulsion et le mélange de chaque réactif à l'extérieur produit des nuages lumineux. Ce type de bioluminescence est commun à quelques espèces de crustacés et aux céphalopodes abyssaux.

Bison. Source : http://data.abuledu.org/URI/5048c4c0-bison

Bison

Les bisons forment un genre de grands bovidés ruminants dont il existe deux espèces vivantes : celle d'Amérique du Nord (Bison bison) et celle d'Europe (Bison bonasus). La première vit essentiellement dans les steppes nord-américaines tandis que la seconde est forestière.

Bison Americain. Source : http://data.abuledu.org/URI/5062cd70-bison-americain

Bison Americain

Les bisons forment un genre de grands bovidés ruminants dont il existe deux espèces vivantes : celle d'Amérique du Nord (Bison bison) et celle d'Europe (Bison bonasus). La première vit essentiellement dans les steppes nord-américaines tandis que la seconde est forestière.

Bison américain. Source : http://data.abuledu.org/URI/516ae45a-bison-americain

Bison américain

Bison américain. Image prise par Jack Dykinga pour l'USDA. Légende originale de l'USDA : "Les scientifiques aident les utilisateurs des pâturages américains à relever le défi de la gestion multiusage durable." Les bisons forment un genre de grands bovidés ruminants dont il existe deux espèces vivantes : celle d'Amérique du Nord (Bison bison) et celle d'Europe (Bison bonasus). La première vit essentiellement dans les steppes nord-américaines tandis que la seconde est forestière. Le bison a été un animal caractéristique de l'Amérique du Nord et un symbole pour de nombreuses cultures amérindiennes. Les Amérindiens des grandes plaines de l'Amérique du Nord avaient une économie largement basée sur le bison. Les bisons d'Amérique du Nord étaient encore 50 à 70 millions avant l'arrivée des Européens en Amérique, vivant et migrant sur les plaines herbeuses d'Amérique du Nord, du Mexique au Canada. Ils ont frisé l'extinction avec la conquête de l'Ouest, l'introduction des chevaux et la construction du chemin de fer (vers 1870-1880), où le massacre des bisons fut une entreprise économique à très grande échelle, mais aussi une stratégie pour affecter les Amérindiens. Buffalo Bill (William Frederick Cody 1846-1917) fut un des plus grands chasseurs de bisons.

Brouette dans une descente. Source : http://data.abuledu.org/URI/51de6524-brouette-dans-une-descente

Brouette dans une descente

Schéma pour étude statique de la brouette : dans une descente (roue en aval), le point de concours des droites de forces est au-dessous du sol. L’étude montre que l’intensité de l’action du pousseur est à peu près la même. À cela s’ajoute le problème du contenu, surtout s’il est liquide. Dans une montée on peut corriger l’assiette en soulevant la brouette, dans une descente cela n’est plus possible dès que les pieds touchent le sol.

Causes de l'épuisement professionnel. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d23d04-causes-de-l-epuisement-professionnel

Causes de l'épuisement professionnel

Schéma des causes de syndrome d'épuisement professionnel d'après le modèle de recherche de Carol Cordes et Thomas Dougherty (Carol Cordes, Thomas Dougherty, Academy of Management Review, vol. 18 : "integration of research on job burnout", 1993 ISSN 0363-7425, p. 621–656). Les variables génératrices du syndrome d’épuisement professionnel se situent schématiquement à trois niveaux : organisationnel, interindividuel et intraindividuel. Il est à noter que le rôle des technologies de l'information et de la communication (TIC) est de plus en plus discuté par les sociologues. En effet, leur évolution pourrait contribuer au mélange des plages de travail et de repos (phénomène de "weisure = work + leisure"), conduisant ainsi à un enchainement inintérompu des causes sous-citées. Au niveau organisationnel, on étudie l’influence du contenu de l’activité et celle du contexte dans lequel elle se déroule. Au niveau interindividuel, c’est principalement l’effet de relations déséquilibrées, injustes, des conflits, mais aussi du soutien social ou de son absence qui est étudié. Étant donné le nombre élevé des emplois de services où les relations avec autrui sont capitales, ces variables sont importantes. La théorie de l’équité, celles du support social et de l’affiliation fournissent à ce niveau des grilles de lecture pertinentes. les caractéristiques individuelles jouent un rôle essentiel dans l’émergence de la réaction de stress. L’évaluation d’un stresseur (comme une tâche supplémentaire à réaliser, des horaires de travail qui changent, une organisation de travail différente, etc.) varie d’un individu à l’autre. Certains peuvent y voir un défi permettant d’exercer leurs compétences, d’autres ne retiennent que la menace. En outre, les caractéristiques individuelles agissent sur les capacités de faire face à ces exigences, sur les ressources que l’individu cherche à mobiliser. Certains se sentent plus aptes que d’autres à contrôler la situation, à mobiliser le soutien de leurs collègues et à utiliser ce support efficacement. Au niveau individuel, on s’intéresse aussi à la sphère attitudinale, notamment aux attentes des individus, ou à l’écart entre attentes et réalité de travail. Les variables sociodémographiques sont également prises en compte, lorsqu’on étudie les différences entre hommes et femmes, l’influence de l’âge, du sexe ou du statut matrimonial. Il va sans dire que, quel que soit le niveau d’analyse, on recherche les facteurs qui déclenchent le processus de "burnout", mais aussi ceux qui freinent sa progression. Les ressources disponibles ralentissent l’évolution du processus.

Chant et shamisen au Japon. Source : http://data.abuledu.org/URI/527690dd-chant-et-shamisen-au-japon

Chant et shamisen au Japon

Chanteur et joueur de shamisen. Le shamisen doit rendre l'état intérieur des personnages. Pour ce faire, il se doit de souligner les effets du chanteur. Cela passe par une abdication de la recherche de musicalité ou de performance propre pour se consacrer uniquement à son rôle de complément indispensable du récitant.

Chaussures de tango. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fc0ea9-chaussures-de-tango

Chaussures de tango

Chaussures dansant le tango, celles de la danseuse posées sur celles du danseur dont elle suit les pas. Homer et Cristina Ladas à l'école de danse de Stanford en Février 2011.

Cinq clémentines. Source : http://data.abuledu.org/URI/52b57bce-cinq-clementines

Cinq clémentines

Cinq clémentines (Citrus reticulata) : trois entières, une à moitié pelée et celle de gauche présentée en quartiers et en moitié.

Circulation de l'air atmosphérique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50be4541-circulation-de-l-air-atmospherique

Circulation de l'air atmosphérique

Circulation atmosphérique générale : cellule de Hadley, cellule de Ferrel, cellule polaire. La circulation atmosphérique est le mouvement à l'échelle planétaire de la couche d'air entourant la Terre qui redistribue la chaleur provenant du Soleil en conjonction avec la circulation océanique. En effet, comme la Terre est un sphéroïde, la radiation solaire incidente au sol varie entre un maximum aux régions faisant face directement au Soleil, situé selon les saisons plus ou moins loin de l'équateur, et un minimum à celles très inclinés par rapport à ce dernier proches des Pôles. La radiation réémise par le sol est liée à la quantité d'énergie reçue. Il s'ensuit un réchauffement différentiel entre les deux régions. Le déséquilibre ainsi créé a pour conséquence des différences de pression, qui sont à l'origine des circulations atmosphériques. Celle-ci, combinée aux courants marins, est le moyen qui permet de redistribuer la chaleur sur la surface de la Terre. Les détails de la circulation atmosphérique varient continuellement, mais la structure de base reste assez constante.

Comparaison de la taille humaine avec celle d'un dinosaure. Source : http://data.abuledu.org/URI/53393840-comparaison-de-la-taille-humaine-avec-celle-d-un-dinosaure

Comparaison de la taille humaine avec celle d'un dinosaure

Comparaison de la taille humaine et d'un Sauroposeidon, montrant les quatre vertèbres cervicales retrouvées et leur position probable dans son cou. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Formation_d%27Antlers.

Comparaison de la taille humaine avec celle d'un dinosaure. Source : http://data.abuledu.org/URI/53393206-comparaison-de-la-taille-humaine-avec-celle-d-un-dinosaure

Comparaison de la taille humaine avec celle d'un dinosaure

Comparaison de la taille humaine avec celle d'un dinosaure végétarien à crète et bec de canard, le Parasaurolophus walkeri. Ces animaux ont vécu au Crétacé supérieur lors du Campanien de 83,5 à 65,5 Ma dans l'actuelle Amérique du Nord. Au moins une quinzaine de fossiles ont été découverts en 2008. La crête du Parasaurolophus a plusieurs fonctions : la reconnaissance visuelle à la fois des deux espèces et des deux sexes, amplificateur acoustique, ou encore système de thermorégulation. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Parasaurolophus

Comparaison de la taille humaine et d'un dinosaure. Source : http://data.abuledu.org/URI/5339408d-comparaison-de-la-taille-humaine-et-d-un-dinosaure

Comparaison de la taille humaine et d'un dinosaure

Comparaison dans un quadrillage de la taille humaine et de celle d'un dinosaure Alamosaurus, grand herbivore mesurant 20 mètres de long, 7 mètres de haut et pesant 26 tonnes. Alamosaurus, comme les autres sauropodes, avait un long cou et une longue queue qui pouvait être en forme de fouet. Ce dinosaure avait une constitution relativement mince. Ses dents n'étaient pas appropriées à la mastication. Au lieu de cela, l'alimentation végétale était avalée et ensuite décomposée dans l'estomac. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Alamosaurus

Connectivité triangulaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50bc1c4d-connectivite-triangulaire

Connectivité triangulaire

Dans le cadre des pavages, la connectivité géométrique indique la relation entre un élément de pavage (une case ou tuile) et ses voisins. On parlera de 3-connectivité lorsqu'une case comporte 3 voisins directs, comme ici avec le triangle. Les connectivités les plus classiques sont celles correspondant à un pavage régulier :

Contrebasson. Source : http://data.abuledu.org/URI/5347f36c-contrabasson

Contrebasson

Le contrebasson est un instrument de musique à vent de la famille des bois, de perce conique et à anche double, et donc parent du basson et sonnant à l'octave inférieure de celui-ci. Son étendue est toutefois moins importante, de trois octaves et une seconde. Le tuyau comporte quatre coudes contre un seul pour le basson et sa colonne d'air d'environ 5 mètres est double de celle du basson. Son anche est environ de 10 % à 20 % plus longue et plus large que celle du basson. C'est le deuxième instrument le plus grave de l'orchestre, sa note la plus grave étant le Si bémol (Bb) en dessous du Mi (E) de la contrebasse et au-dessus du Fa (F) du Tuba contrebasse. Joué par des bassonistes, il constitue néanmoins une spécialisation au sein d'un pupitre de bassons, au même titre que le cor anglais pour les hautboïstes ou la clarinette basse pour les clarinettistes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Contrebasson

Couple d'hippopotames nains. Source : http://data.abuledu.org/URI/516c54f0-couple-d-hippopotames-nains

Couple d'hippopotames nains

Couple d'hippopotames nains au Kenya. Le terme d’hippopotame pygmée ou d’hippopotame nain est le nom vernaculaire de l'une des deux espèces d'hippopotame actuelles, scientifiquement nommée Hexaprotodon liberiensis. Cette appellation renvoie à sa taille, inférieure à celle de l'hippopotame africain classique, l'unique autre espèce existante.

Croupier . Source : http://data.abuledu.org/URI/51b1fe1c-croupier-

Croupier

Le croupier est un employé d'un établissement de jeux comme le casino dont la principale fonction est d'animer une table de jeu traditionnelle comme celle de la roulette, du black Jack ou encore celle du poker par exemple.

Cycle de l'acétabulaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c7ad20-cycle-de-l-acetabulaire

Cycle de l'acétabulaire

Cycle de vie de l'acétabulaire, algue verte unicellulaire. On les rencontre dans les zones rocheuses peu profondes. Leur croissance débute par une cellule minuscule qui se fixe sur un rocher mais aussi sur des substrats comme des cordes ou d'autres algues. Elle utilise pour cela un petit filament qui se développe verticalement formant un axe (pédicule) de quelques centimètres. Celui-ci se terminera par un chapeau qui contient des sacs assurant la reproduction de l'algue. Durant l'hiver, seule la partie basale du végétal subsiste - celle contenant le noyau. Elle régénère le pédicule et le chapeau au printemps suivant.

Cycle de vie d'une algue verte. Source : http://data.abuledu.org/URI/50df5f30-cycle-de-vie-d-une-algue-verte

Cycle de vie d'une algue verte

Cycle de vie de l'algue verte Acetabularia : Les acétabulaires sont des algues vertes unicellulaires. On les rencontre dans les zones rocheuses peu profondes. Leur croissance débute par une cellule minuscule qui se fixe sur un rocher mais aussi sur des substrats comme des cordes ou d'autres algues. Elle utilise pour cela un petit filament (5) qui se développe verticalement formant un axe (pédicule) de quelques centimètres. Celui-ci se terminera par un chapeau (6) qui contient des sacs assurant la reproduction de l'algue. Durant l'hiver, seule la partie basale (7) du végétal subsiste - celle contenant le noyau. Elle régénère le pédicule et le chapeau au printemps suivant.

Cycle de vie de l'acétabulaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/52b0c91c-cycle-de-vie-de-l-acetabulaire

Cycle de vie de l'acétabulaire

Cycle de vie des acétabulaires (genre Acetabularia), algues vertes unicellulaires. On les rencontre dans les zones rocheuses peu profondes. Leur croissance débute par une cellule minuscule qui se fixe sur un rocher mais aussi sur des substrats comme des cordes ou d'autres algues. Elles utilisent pour cela un petit filament qui se développe verticalement formant un axe (pédicule) de quelques centimètres. Celui-ci se terminera par un chapeau qui contient des sacs assurant la reproduction de l'algue. Durant l'hiver, seule la partie basale du végétal subsiste - celle contenant le noyau. Elle régénère le pédicule et le chapeau au printemps suivant. Source : wikipedia, Acétabulaire_(biologie).

Descriptif du château de La Bourdaisière. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f08505-descriptif-du-chateau-de-la-bourdaisiere

Descriptif du château de La Bourdaisière

Descriptif bilingue du château de La Bourdaisière, val de Loire : Forteresse médiévale à l'origine, le château est transformé en une demeure de style Renaissance par François 1er. Le duc de Choiseul détruisit la façade en 1790 et au XIX° siècle, celle-ci fut reconstruite dans un style Néo-Renaissance. Demeure des maîtresses royales : Marie Gaudin fut la maîtresse de François Ier et Gabrielle d'Estrées celle de Henry IV.

Deux bossus. Source : http://data.abuledu.org/URI/53502f61-deux-bossus

Deux bossus

Grandville (1803-1847), "Cent Proverbes", 1845, "Le bossu ne voit pas sa bosse, mais celle de son voisin."

Diffraction à travers un voilage. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a8d78e-diffraction-a-travers-un-voilage

Diffraction à travers un voilage

Lorsqu'une source de lumière quasiment ponctuelle est observée à travers un rideau ou un voilage, on peut voir une figure de diffraction telle celle-ci : zoom vers lumière extérieure allumée de jour (lobes secondaires presque indiscernables). Elle résulte de la diffraction de la lumière par le rideau, dont le tissu constitue tout un ensemble d'ouvertures carrées. La mesure de l'angle entre la tache centrale et sa voisine permet d'obtenir le pas du rideau. Les irisations des taches proviennent du fait que chaque longueur d'onde construit sa propre figure de diffraction, légèrement différente de celle d'une longueur d'onde voisine. Les endroits où les figures coïncident sont blancs (en particulier la tache centrale), les autres sont colorés. On constate que la répartition des couleurs est logique car les maxima du sinus cardinal sont obtenus régulièrement (tous les Pi/2 et x, distance d'un point au centre de la tâche, est proportionnel à lambda.

Diffusion de Raleigh et de Mie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50dd7afc-diffusion-de-raleigh-et-de-mie

Diffusion de Raleigh et de Mie

Illustration de la diffusion de Raleigh et de Mie sur une particule sphérique. De gauche à droite : intensité de la diffusion Rayleigh, de la diffusion Mie pour de petites particules et de la diffusion Mie pour de grosses particules, en fonction de la direction. L'onde incidente arrive par la gauche. La diffusion par des très petites particules, telles que des molécules, de dimensions inférieures au dixième de la longueur d'onde considérée, est un cas limite appelé diffusion Rayleigh. Pour les particules plus grosses que cette longueur d'onde, on doit prendre en compte la diffusion de Mie dans son intégralité : elle explique dans quelles directions la diffusion est la plus intense, on obtient ainsi un « patron de réémission » qui ressemble à celui des lobes d'émission d'une antenne, avec, dans le cas de grosses particules, un lobe plus intense dans la direction opposée à celle d'où provient l'onde incidente. La diffusion de Mie n'est pas fortement dépendante de la longueur d'onde utilisée comme c'est le cas dans celle de Rayleigh. Elle produit donc une lumière presque blanche lorsque le Soleil illumine de grosses particules dans l'air : c'est cette dispersion qui donne la couleur blanc laiteux à la brume et au brouillard. La couleur du ciel, pendant toute la durée du jour, est provoquée par diffusions Rayleigh et Mie de la lumière solaire dans l'atmosphère. La diffusion Rayleigh provoque les teintes bleues, violettes et vertes du ciel. Les couleurs caractéristiques du lever de soleil sont causées par diffusion de Mie de sa lumière par les particules de poussière, suie, fumée et cendre en suspension dans l'atmosphère : lorsque le Soleil est près de l'horizon, sa lumière traverse une plus grande épaisseur d'atmosphère, elle est donc plus susceptible d'être diffusée.

Discordance géologique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50957747-discordance-geologique

Discordance géologique

Discordance (Cambrien / Trias) de Bédarieux, Hérault (34) : Lorsqu'il y a interruption de la sédimentation, suivie d'une déformation (failles, basculement ou plissement) et d'une érosion, il y a discordance entre les couches (ou strates) les plus anciennes déformées et celles plus récentes, horizontales. Il existe aussi des discordances sédimentaires. Elles sont le résultat d'un changement du milieu de dépôt. Ce changement est provoqué par une variation du niveau marin.

Dompteuse. Source : http://data.abuledu.org/URI/51e95290-dompteuse

Dompteuse

Celui, celle qui fait profession de dompter les bêtes dites « féroces », ou n’importe quel animal non domestique.

Dulcitone. Source : http://data.abuledu.org/URI/5347fef8-dulcitone

Dulcitone

Un dulcitone (à l'origine forks piano, où fork = diapason) est un instrument de musique dont le son est produit par une rangée de diapasons métalliques, qui vibrent sous l'action de marteaux similaires à ceux du piano, activés par un clavier à échappement simple (2 modèles : 3 octaves, ou 5 octaves 1/2). Sa fabrication date de la fin du XIXe siècle, début du XXe siècle, par la firme écossaise Thomas Machell & Sons (Glasgow). Sa sonorité fait penser à celle d'un marimba dans les notes graves, atteignant progressivement celle d'un célesta dans les aiguës. Une forme plus ancienne apparaît sous le nom de typophone dans Le Chant de la cloche (Op. 18, création 1886) de Vincent d'Indy. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Dulcitone

Durée de voyage en train depuis Paris. Source : http://data.abuledu.org/URI/50dce2ba-duree-de-voyage-en-train-depuis-paris

Durée de voyage en train depuis Paris

Carte de la durée de voyage en train depuis Paris : Chaque couleur correspond à toutes les régions du territoire français dont le temps de parcours depuis Paris par le réseau SNCF est compris entre x heures et x+1 heures. Par exemple, le gris le plus clair correspond aux régions situées à moins d'une heure de Paris ; le gris le plus foncé, à celles situées à plus de 6 heures de Paris. Les villes représentées par un point sur cette carte sont celles dont le meilleur temps de parcours depuis Paris a été précisément vérifié. Les préfectures sont indiquées en noir, les autres villes importantes en bleu.

Échelle de couleur de radar météorologique. Source : http://data.abuledu.org/URI/5232f131-echelle-de-couleur-de-radar-meteorologique

Échelle de couleur de radar météorologique

Expemple d'échelle de couleur associée avec une image de réflectivité pour un radar météorologique. On y retrouve l'intensité taux de précipitation et en correspondance en dBZ. En général, les images de réflectivité utilisent une variation de couleur similaire à celle de l’arc-en-ciel. Les intensités les plus faibles sont indiquée par le bleu pâle (cyan), les intensités modérées par le jaune et les fortes par le rouge puis le magenta. Les intensités peuvent être reliées à la réflectivité en dBZ ou à son équivalent en millimètres/centimètres par heure. Par exemple, les images disponibles sur le site du Service météorologique du Canada utilisent cette échelle : en hiver le violet représente le taux de précipitation le plus élevé (20 cm/h) alors que le bleu-vert du bas de l'échelle représente le taux le plus bas (0,1 cm/h). Durant les mois d'été, l'échelle de réflectivité est remplacée par celle des précipitations pluviales, en mm/h, qui va d'une trace à plus de 100 mm/h. Certains utilisateurs préfèrent cependant des codes numériques plus simples à interpréter. Ainsi, lorsqu'un pilote d'avion ou un contrôleur aérien décrivent l'intensité des échos de précipitations sur leur affichage radar, ils utilisent des niveaux : niveau 1 pour la précipitation faible, niveau 2 pour de la précipitation modérée possiblement reliée avec une basse visibilité et de la turbulence, niveau 3 pour de la pluie/neige forte reliée à des conditions de vol dangereuses. Certains affichages commerciaux indiquent le type de précipitations. Ainsi les images que l'on peut voir aux bulletins télévisés en hiver peuvent séparer les zones de pluie, de pluie verglaçante et de neige. Ceci n'est pas une information venant du radar mais une association avec les informations venant des stations météorologiques de surface. Un programme analyse la température, le point de rosée et le type de précipitation rapportés par les METAR sous une zone d'échos au radar et fait la division des zones. Cet analyse peut être améliorée en utilisant les données des modèles de prévision numérique du temps comme champ d'essai mais le tout reste sujet à des erreurs de lissage et ne tient pas compte des effets de petite échelle dans la distribution des types de précipitations (air froid emprisonné dans une vallée qui donne de la pluie verglaçante au lieu de pluie par exemple). Quand les données de double polarisation seront largement disponibles, une telle analyse sera plus fiable.

Emporte-pièce. Source : http://data.abuledu.org/URI/513dedc7-emporte-piece

Emporte-pièce

Un emporte-pièce est un outil manuel généralement en métal et de forme déterminée, servant à découper cette forme dans de la pâte avant sa cuisson alors que celle-ci est étalée sur un plan de travail.

Exemples de forces motrices. Source : http://data.abuledu.org/URI/524d7774-exemples-de-forces-motrices

Exemples de forces motrices

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.49 ; manuel scolaire, édition de 1904 : LES FORCES MOTRICES. - Les principales forces motrices que l'homme emploie à son service sont d'abord celle des animaux, comme dans le manège qu'un cheval fait tourner, puis celle de l'eau et du vent, comme dans les moulins, l'électricité, et enfin la grande force de la vapeur qui fait mouvoir tant de machines et de locomotives.

Feuilles de lotus sous la pluie.. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cdadb6-feuilles-de-lotus-sous-la-pluie-

Feuilles de lotus sous la pluie.

À la surface des feuilles de lotus se forment des gouttes d'eau brillantes et argentées (milieu de la photo), les feuilles du nénuphar (nymphéa) (à l'avant de la photo) sont complètement mouillées. Photo prise dans le jardin chnois des Jardins du monde (Gärten der Welt) à Berlin (Erholungspark Marzahn) en Allemagne. L'effet lotus est un phénomène de superhydrophobie causé par une rugosité nanométrique. Son nom provient du lotus (Nelumbo sp), dont les feuilles présentent cette caractéristique. D’autres plantes, comme les feuilles de capucine (Tropaeolum), de chou, de roseau (Phragmites), de taro (Colocasia esculenta) ou de l'ancolie, et certains animaux (par exemple les canards, plus particulièrement leurs plumes), notamment des insectes, montrent le même comportement. L'effet lotus confère à la surface des capacités autonettoyantes : en s'écoulant, les gouttes d'eau emportent avec elles les poussières et particules. La faculté d’auto-nettoyage des surfaces hydrophobes à structure microscopique et nanoscopique a été découverte dans les années 1970 et son application aux produits biomimétiques remonte au milieu des années 1990. L’origine de l’auto-nettoyage réside dans une double structure hydrophobe (c'est-à-dire qui n’absorbe pas l’eau) de la surface. Grâce à celle-ci, la surface de contact, et avec elle la force d’adhérence entre surface et eau ou particules de saleté, est si réduite que cela aboutit à un auto-nettoyage. La double structure est formée d'un épiderme. La couche extérieure s'appelle la cuticule où il y a une couche de cire. L'épiderme de la feuille forme des papilles de quelques microns sur lesquelles reposent les cires. Cette couche de cires est hydrophobe et forme la deuxième partie de la double structure. Pour la plante, la signification biologique de cet effet auto-nettoyant réside en la protection contre une colonisation par des microorganismes, des agents pathogènes ou bien des germes comme les champignons ou encore la prolifération d’algues.

Force appliquée sous forme annulaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c7333e-force-appliquee-sous-forme-annulaire

Force appliquée sous forme annulaire

Mécanique : force appliquée selon une forme annulaire. La modélisation des liaisons mécaniques s'appuie d'abord sur l'analyse de la géométrie de contact entre deux pièces. Dans un premier temps, lorsque les géométries sont considérées parfaites, on obtient un premier modèle présentant un certain nombre de degré de liaison ; ce modèle suppose un ajustement « glissant sans jeu », la liaison modélisée est dite « idéale ». Si l'on est en présence d'un jeu plus important, certains degrés de liaison disparaissent. Cela revient à considérer que les pièces flottent dans cet espace rendu disponible par le jeu. Si l'on veut modéliser correctement le comportement du système, il faut alors utiliser une autre liaison idéale que celle obtenue par l'analyse initiale. En particulier, pour avoir des machines performantes, il faut s'assurer que le mécanisme est conçu pour assurer aux pièces des positions exploitant ces jeux (alignements corrects). Ainsi, une liaison obtenue par emboîtement, sans jeu, deux cylindres complémentaires parfaits, constitue une liaison pivot glissant ; on parle de « centrage long ». Si on ajoute un jeu radial à cet ajustement, et qu'on diminue la longueur de portée, alors les deux cylindres peuvent se déplacer latéralement (mais cela reste imperceptible) et obliquer par rapport à la direction de l'axe. La liaison idéale qu'il faut utiliser pour modéliser l'assemblage est alors la liaison linéaire annulaire, et l'on parle de « centrage court ».

Gare de Dakar. Source : http://data.abuledu.org/URI/54e34c94-gare-de-dakar

Gare de Dakar

De style colonial, la première gare fut construite en 1885, après celle de Saint-Louis. La gare actuelle fut construite entre 1913 et 1914 et mise en service en juin 1914.

Haricot de Lima. Source : http://data.abuledu.org/URI/5471e241-haricot-de-lima

Haricot de Lima

Haricot de Lima Vilmorin-Andrieux 1904. Tige grimpante, s’élevant à environ 3 mètres de hauteur ; feuilles composées de trois folioles triangulaires, plus longues et beaucoup plus étroites que celles du haricot ordinaire ; fleurs petites, d’un blanc verdâtre, en grappes nombreuses, raides et allongées. Cosses courtes, très aplaties et très larges, rudes extérieurement comme celles du Haricot d’Espagne. Grain aplati, court, légèrement en forme de rognon, ayant presque toujours une moitié un peu plus développée que l’autre, et habituellement marqué de rides ou stries se dirigeant de l’ombilic vers la circonférence. Culture. — Les diverses variétés potagères du Phaseolus lunatus se cultivent comme les haricots à rames ordinaires, mais elles sont plus tardives, et ne mûrissent que très rarement sous le climat de Paris. Usage. — On consomme le grain frais ou sec. Il est très farineux et particulièrement estimé aux États-Unis et dans les pays chauds. Source : https://fr.wikisource.org/wiki/Les_Plantes_potag%C3%A8res/Haricot_de_Lima

Horloge sans chiffres à Hambourg. Source : http://data.abuledu.org/URI/529b0035-horloge-sans-chiffres-a-hambourg

Horloge sans chiffres à Hambourg

Horloge sans chiffres de l'église St. Jacob à Hamburg en Allemagne. L'aiguille des heures se termine par une étoile et celle des minutes par un quartier de lune. Il est 17h23.

Jeu malgache de Fanorona, les prises. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fafacf-jeu-malgache-de-fanorona-les-prises

Jeu malgache de Fanorona, les prises

Exemples de prises au Fanorona : 1 : prise par percussion. 2 : aspiration. 3 : Bleu doit effectuer un choix entre les 2 prises. On y joue avec un tableau (lakapanorona, prononcez lakpanourne) de 5 rangs et 9 colonnes et des pierres (vato, prononcez vat ) de 2 couleurs (22 de chaque) avec un trou central. Le but du jeu est de capturer toutes les pierres adverses. On capture une pierre ennemie en s'en approchant (percussion : situation 1 ; voir schéma) ou en s'en éloignant (aspiration : situation 2). Il faut donc prévoir une case libre devant ou derrière la pierre que l'on veut faire avancer. Le joueur capture alors toutes les pierres adverses situées sur l'axe sur lequel il a fait avancer ou reculer sa pierre. Une fois les pierres ennemies capturées, le joueur ayant le trait peut capturer d'autres séries de pierres au même tour si d'autres possibilités de capture se présentent à lui, à condition que ses captures se fassent 1) dans un sens différent à celui joué précédemment, 2) par un point par lequel le joueur n'est pas passé ce tour ci. Une fois ses captures effectuées, le joueur laisse le trait à son adversaire. Contrairement aux dames, les joueurs ne sont pas obligés de capturer si l'occasion se présente, et peuvent très bien jouer un coup stratégique sans capture directe. Cas particulier : il arrive que le joueur ait pour un même mouvement plusieurs pierres adverses capturables, celles en avant et celles en arrière (situation 3). Il doit alors choisir entre les deux séries (on prend généralement la série la plus nombreuse). Et pour finir, chaque joueur est obligé de jouer, même si le tour suivant le mène forcément à un coup perdant. A Madagascar, ce jeu est de loin le plus populaire et on y joue dans toutes les régions. La plupart des joueurs n'utilisent pas de tableau à proprement parler mais tracent au sol des lignes à l'aide d'une pierre marquante (craie par exemple) puis utilisent en guise de pions des pierres de deux couleurs différentes ramassées aux alentours. Cela permet de pratiquer le jeu en tout lieu : en brousse, en pleine rue ou dans les stations de taxi-brousse.