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Photographie | Botanique | Peinture | Dessins et plans | Renonculacées | Aquarelles | Fleurs dans l'art | Pivoines | Aquarellistes | Printemps | Sylviculure | Bois -- Séchage | Estonie | Marasmius | Jules Eudes (1856-1938) | Flore | Géologie -- Cartes | Cycle hercynien | Cycle orogénique varisque | Tonneaux | ...
Pattes de gépard. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d6999e-pattes-de-gepard

Pattes de gépard

Pattes de guépard (Acinonyx jubatus) au repos, Le Cap (Cap-Occidental). De sa particularité, exceptionnelle chez les félidés, d'avoir des griffes non rétractiles, vient le nom latin de son genre, dont il est le seul représentant : Acinonyx, formé lui-même sur le grec ancien ἀ, préfixe privatif, κινέω/kinéô, « mouvoir », et ὄνυξ/ónyx, « griffe, ongle ». Le nom binominal complet de l'espèce est Acinonyx jubatus (du latin jubatus, qui signifie « qui a une crinière »). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gu%C3%A9pard.

Colza. Source : http://data.abuledu.org/URI/506fed44-colza

Colza

Planche botanique N°28 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Colza (Brassica napus). est une plante annuelle à fleurs jaunes de la famille des Brassicacées, famille anciennement nommée Crucifères. Elle est largement cultivée pour la production d'huile alimentaire et d'agrocarburant. C'est, avec le tournesol et l'olivier, l'une des trois principales sources d'huile végétale alimentaire en Europe. Étymologie : colza vient du néerlandais koolzaad (littéralement graine de chou). Le colza est surtout cultivé dans la moitié nord de la France, sur 1,5 million d'hectares au total : 960 000 hectares pour les usages alimentaires, et 514 000 hectares pour les usages non-alimentaires (biodiesel et technique) en 2008. La teneur en huile des graines est d'environ 40 %, mais elle peut monter, selon les variétés, jusqu'à 45 %. Selon l’ingénieur J. Cordier, en 1823 « la Flandre est la contrée du monde où la culture des plantes oléagineuses et la fabrication de l’huile ont pris, depuis longtemps, le plus d’extension, et ont fait le plus de progrès. On compte autour de Lille, près de deux cents moulins à huile, appelés tordoirs, que le vent fait mouvoir et depuis 1814 on établit chaque année, des machines à vapeur destinées au même usage »

Lion Rampant en héraldique. Source : http://data.abuledu.org/URI/52517c32-lion-rampant-en-heraldique

Lion Rampant en héraldique

Lion rampant en héraldique. Le lion par défaut est rampant, ce qui signifie qu'il est dans une position où il semble gravir une côte (= une rampe). (Sens primitif de ramper, provenant de l'ancien francique (h)rampon « grimper avec des griffes »). On trouve souvent une autre explication : le lion ne serait pas en train de ramper (= grimper), mais en train d’attraper quelque chose avec ses trois membres levés, en équilibre sur sa patte arrière qui occupe la pointe de l’écu. Le mot viendrait alors de rapiens, qui a la même racine que rapt. Cette étymologie longtemps retenue, semble maintenant non fondée.

Marasmius androsaceus sur une branche en Estonie. Source : http://data.abuledu.org/URI/557a1356-marasmius-androsaceus-sur-une-branche-en-estonie

Marasmius androsaceus sur une branche en Estonie

Marasmius androsaceus, en Estonie. Il s'agit de champignons petits, voire minuscules, généralement coriaces au dessèchement mais souvent hygrophanes. Leur nom a été tiré du grec Marasmos signifiant "dessèchement" en allusion à leur capacité à se dessécher longtemps sur place avant de pourrir (le marasme en médecine, puis, plus récemment, en économie, ont d'ailleurs la même étymologie).

Pivoine mâle. Source : http://data.abuledu.org/URI/53adaf3c-pivoine-male

Pivoine mâle

Poenia carollina, Pivoine mâle, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929.Étymologie : Péon (Παιὠν - Paiôn) était un des plus anciens dieux guérisseurs des grecs, puisqu'il est mentionné dans les tablettes en linéaire B de Knossos en Crête. Il soigna et guérit Hadès et Arès de leurs blessures de guerre. Les anciens Grecs dénommaient aussi la pivoine "paiônia". Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pivoine

Répartition des chaînes varisques. Source : http://data.abuledu.org/URI/506bddfa-repartition-des-chaines-varisques

Répartition des chaînes varisques

Répartition des chaînes varisques et celles d'âge similaire (zone hachurée). Le terme « varisque » est introduit par le géologue Eduard Suess en 1888 pour décrire les chaîne de montagnes qu'il étudiait au Sud de l'Allemagne. Ce vocable est emprunté aux Varasques, habitants de l'actuel Vogtland, dont la ville principale Hof s'appelait en latin Curia Variscorum (le minéral variscite découvert dans cette même région a une étymologie identique). Suess s'intéressait plus aux différences paléontologiques et structurales entre les chaînes de montagne alors que Bertrand cherchait plus à trouver des corrélations entre ces massifs. Aussi, parle-t-on aujourd'hui préférentiellement, pour désigner des entités géologiques cependant communes, de chaînes varisques et de massifs hercyniens.

Répartition des chaînes varisques. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a2b9e2-repartition-des-chaines-varisques

Répartition des chaînes varisques

Répartition des chaînes varisques et celles d'âge similaire (zone hachurée). Le terme « varisque » est introduit par le géologue Eduard Suess en 1888 pour décrire l'orogenèse hercynienne qu'il étudiait au Sud de l'Allemagne. Ce vocable est emprunté aux Varasques, habitants de l'actuel Vogtland, dont la ville principale "Hof" s'appelait en latin "Curia Variscorum" (le minéral variscite découvert dans cette même région a une étymologie identique). Parallèlement le géologue français Marcel Bertrand employa le terme « hercynien » (du latin "Hercynia silva", forêt hercynienne, qui s'étendait sur l'Allemagne centrale) pour désigner ces mêmes reliefs formant l'armature de l'Europe. Suess s'intéressait plus aux différences paléontologiques et structurales entre les chaînes de montagne alors que Bertrand cherchait plus à trouver des corrélations entre ces massifs. Aussi, parle-t-on aujourd'hui préférentiellement, pour désigner des entités géologiques cependant communes, de chaînes varisques et de massifs hercyniens qui s'appliquent plus spécifiquement au Harz et au Harzgebirge (Monts hercyniens).

Séchage des merrains. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dbc47f-sechage-des-merrains

Séchage des merrains

Aire de séchage des merrains en empilements aérés : les merrains sont séchés entre 2 et 3 ans pour atteindre 15 % d'humidité. Ce séchage permet ainsi un affinage du bois par l'élimination d'éllagitannins. Il peut être artificiel ou naturel. Le séchage naturel doit bénéficier de facteurs climatiques adéquats, permettant l'oxydation de composés phénoliques, ainsi que biologiques, des champignons qui par leur enzymes hydrolysent des composés phénoliques. La lignine se dégrade laissant apparaître des composés aromatiques. Le séchage permet une diminution de l'apport d'astringence, ainsi que d'amertume. Étymologie : tanin dérive de tan, poudre extraite de l'écorce du chêne qui sert à tanner les peaux. Ce terme de tan est très probablement issu du gaulois tanno signifiant « chêne » que l'on peut restituer d'après le breton tann-chêne et l'ancien cornique (parlée en Cornouailles jusqu'au XVIIe siècle) tannen-chêne ou l'ancien irlandais teine-houx. Les ellagitanins sont des tanins formés d'au moins deux unités galloyles C-C couplées entre elles et sans liaison glycosidique avec des unités flavanols (catéchines).