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Photographie, Cartonnages, Égypte -- Civilisation (332 av. J.-C.-640), Égypte (332-30 av.J.-C.), Égypte, Égypte -- Antiquités, Égypte -- Moeurs et coutumes (332 av. J.-C.-640), Momies
Cartonnage d'une momie portant le nom de la dame Tachéretpaânkh. Étoffe agglomérée, stuquée et dorée, IIIe-Ier siècles av. J.-C. Présent au Louvre
Photographie, Musique, Ivoire, Dents, Hippopotames, Égypte, Égypte -- Antiquités, Canine, Égypte (Époque thinite) (3200-2778 av. J.-C.), Ivoires antiques, Maadi (Égypte. - site archéologique)
Claquoir (instrument de musique). Origine : Maadi. Epoque Thinite. ivoire : canine d'hippopotame. Présent au Louvre.
Photographie, Coiffure -- Appareils et matériel, Peignes, Ivoire, Bouquetins, Coiffures (cheveux), Hippopotames, Égypte, Égypte -- Antiquités, Nagada (Égypte), Ivoires antiques
Peigne au bouquetin. Epoque: Nagada I. Matériaux: Ivoire d'hippopotame Présent au Louvre
Photographie, Pendentifs (bijoux), Égypte -- Civilisation (Jusqu'à 332 av. J.-C.), Horus, Osiris, Égypte, Égypte -- Antiquités, Isis
Pendentif au nom du roi Osorkon II représentant Osiris, Isis et Horus. Date entre 874 et 850 av. J.-C. (XXIIe dynastie). Technique/matériaux or, lapis lazuli et verre. Présent au Louvre.
Renards s'accouplant - Antiquité égyptienne du Musée du Louvre. Matériaux Ostraca
Photographie, Statues, Sculpture, Égypte, Égypte -- Antiquités, Sculpture égyptienne, Fonctionnaires
Statue d'un fonctionnaire, au nom du roi Psammétique II sur la poitrine. Présent au Louvre .
Photographie, Stèles, Thèbes (ville ancienne), Memphis (ville ancienne), Égypte, Égypte -- Antiquités, Grauwacke, Abydos (Égypte. - ville ancienne) -- Temple de Ramsès II, Égypte (Nouvel Empire) (1580-1085 av. J.-C.), Temples -- Égypte, Héliopolis (ville ancienne), Temple de Ramsès II (Abydos, Égypte)
Stèle dédiée par Tchia, trésorier de l'un des temples de Ramsès II, représentant les dieux de Thèbes, Héliopolis et Memphis : Amon-Rê, Rê-Hérakhty et Ptah. Grauwacke, Nouvel Empire. Présent au Louvre
Photographie, Anatomie, Art -- Musées, Visage, Tête, Homme, Égypte -- Civilisation (Jusqu'à 332 av. J.-C.), Sculpture, Égypte, Égypte -- Antiquités, Anatomie -- Musées
Tête de vieil homme. Date XXXe dynastie (entre 380 et 341 av. J.-C.) Technique/matériaux quartzite Présent au Louvre
Photographie, Égypte -- Civilisation (Jusqu'à 332 av. J.-C.), Vases, Égypte, Égypte -- Antiquités, Vases antiques, Cristal de roche, Objets en cristal de roche, Vases égyptiens
Vase portant le nom du roi Roudamon. Date de 757 et 754 av. J.-C. (XXIIIe dynastie) Technique/matériaux cristal de roche
Photographie, Visage, Paris (France) -- Palais du Louvre, Calcaire, Sculpture, Égypte, Égypte -- Antiquités, Sculpture égyptienne, Dahchour (Égypte) -- Pyramide d' Amenemhat III
Antiquité égyptienne du musée du Louvre. Visage d'Amenemhat III, en calcaire. Présent au Louvre.
Interprétation du témoignage d'Hérodote sur la construction d'une grande pyramide. Source : Antoine-Yves Goguet, "L'origine des lois, des arts et des sciences", 1820. Lorsque Hérodote visite l'Égypte vers -450, le pays est sous domination perse depuis un peu moins d'un siècle (XXVIIe dynastie). Ne parlant pas la langue des Égyptiens, Hérodote doit faire appel à des traducteurs, ou bien se contenter des dires des colons grecs qui habitent le pays. Il est difficile de savoir quelle connaissance les Égyptiens de l'époque pouvaient avoir des méthodes de construction de monuments vieux déjà de plus de 2000 ans, et on ne peut que s'interroger sur la véracité des propos rapportés par Hérodote ; il apparaît peu probable qu'ils soient entièrement conformes à la réalité. « Les uns durent, depuis les carrières de la Chaîne Arabique, traîner jusqu'au Nil les blocs de pierre qu'on en tirait ; d'autres eurent la tâche de recevoir ces pierres, passées en barques sur l'autre rive, et de les traîner jusqu'à la montagne qu'on appelle la Chaîne Libyque. Cent mille hommes travaillaient à la fois, relevés tous les trois mois. » Hérodote, L'Enquête II-124, traduction d'Andrée Barguet.
Interprétation du témoignage d'Hérodote sur "La machine". Source : "L'origine des lois, des arts et des sciences", 1820. « Voici comment on construisit cette pyramide, par le système des gradins successifs que l'on appelle tantôt krossai (corbeaux), tantôt bomides (plates-formes). On la construisit d'abord sous cette forme, puis on hissa les pierres de complément à l'aide de machines faites de courtes pièces de bois : on montait la pierre du sol jusqu'à la première plate-forme ; là, on la plaçait dans une autre machine installée sur le premier gradin, et on la tirait sur jusqu'au deuxième gradin, où une troisième machine la prenait. »
Peinture, Antiquités égyptiennes, David Roberts (1796-1864), Peintres aquarellistes, Abou Simbel (Égypte. - site archéologique) -- Grand temple
Aquarelle de l'Entrée du Grand temple d'Abou Simbel, couverture de l'ouvrage de David Roberts (1796-1864).
Peinture, Antiquités égyptiennes, David Roberts (1796-1864), Peintres aquarellistes, Abou Simbel (Égypte. - site archéologique) -- Grand temple
Aquarelle des statues colossales face au Grand Temple d'Abou Simbel en Egypte, en cours de dégagement au XIXème siècle.
Photographie, Philistins, Antiquités égyptiennes, Collections de costumes, Histoire ancienne -- Antiquités, Syriens, Amorites, Hittites -- Antiquités, Médinet Habou (Égypte. - site archéologique), Nubiens
Représentations des ennemis traditionnels de l'ancienne Egypte, temple de Medinet Habu, règne de Ramses III (1182-1151) : Nubiens, Philistin, Amorite, Syrien et Hittite.
Dessins et plans, Antiquités, Phares, Pyramides -- Égypte, Curiosités et merveilles, Bodrum (Turquie) -- Mausolée, Alexandrie (Égypte) -- Phare, Alexandrie (Italie), Babylone (ville ancienne) -- Jardins suspendus, Éphèse (ville ancienne) -- Temple d'Artémis, Guizèh (Égypte), Pyramides de, Memphis (ville ancienne), Olympie (sanctuaire), Olympie (sanctuaire) -- Temple de Zeus, Rhodes (Grèce) -- Colosse, Zeus
Carte des sept merveilles du monde ancien : Pyramide de Khéops à Memphis, Phare d'Alexandrie, Jardins suspendus de Babylone, Colosse de Rhodes, Mausolée d'Halicarnasse, Temple d'Artémis à Éphèse, Statue de Zeus à Olympie.
Photographie, Raisin, Cornes d'abondance, Antiquités égyptiennes, Arsinoé II (reine d'Égypte, 0316?-0270? av. J.-C.), Drachmes, Monnaies grecques de l'Antiquité
Octodrachme d’or égyptien avec une corne d'abondance. Nom de l'atelier : Égypte, Alexandrie. Métal : or Diamètre : 28mm Axe des coins : 11h. Poids : 27,82g.Titulature avers : Κ (kappa) derrière la tête. Description avers : Buste diadémé et voilé d’Arsinoé II à droite, une fleur de lotus à la pointe de la tête. Description revers : Double corne d’abondance, remplie de fruits, une grappe de raisin suspendue de chaque côté, les bandelettes flottant au vent. Légende revers : ΑΡΣΙΝΟΗΣ - ΦΙΛΑΔΕΛΦΟΥ. Traduction revers : (Arsinoé sœur de). Date : vers 180-145 AC.
Palmeraie, fruitier et vigne dans l'oasis d'Al-Bagawat.
Papyrus trouvé à Oxyrhynque en Égypte, comportant un fragment des Éléments d'Euclide.
Rampe hélicoïdale (ou enveloppante) préconisée par Georges Goyon et N. Wheeler. Cette théorie s'appuie sur une construction de la pyramide avec des rampes de brique crue parallèles aux faces et permettant de tirer les blocs de pierre d'un étage à l'autre. Enveloppant entièrement la construction, cette rampe aurait permis l'élaboration de chaque assise, pierres de parement incluses, offrant une explication plausible à la finition des pierres de revêtement à partir du sommet de la pyramide. En effet, une fois le pyramidion posé, il ne restait plus qu'à démanteler la rampe à partir du sommet, dévoilant les blocs de parement qu'il suffisait de ravaler.
Dessins et plans, Antiquités, Pyramides, Pyramides -- Égypte, Architecture égyptienne, Plans inclinés
Rampe frontale en brique crue préconisée par Ludwig Borchardt pour l'édification d'une pyramide. Cette théorie fut développée pour la première fois par l'égyptologue allemand Ludwig Borchardt, interprétant ainsi la présence des vestiges de rampes aux abords de la pyramide de Meïdoum. Elle consiste en une rampe unique, perpendiculaire à une face de la pyramide, dont la pente est constante quelle que soit l'élévation. Cela implique que la longueur de celle-ci croisse proportionnellement avec le nombre d'assises de la pyramide. Les blocs, posés sur des traîneaux, étaient alors charriés sur la rampe à la force des bras. De l'huile, déposée sur le sol, aidait à faire glisser les traîneaux.
Dessins et plans, Antiquités, Pyramides, Pyramides -- Égypte, Architecture égyptienne, Plans inclinés
Rampe frontale préconisée par Jean-Philippe Lauer pour l'édification d'une pyramide : Jean-Philippe Lauer propose une rampe linéaire unique en brique crue, perpendiculaire à la face orientée vers le Nil, de longueur variable jusqu'à une faible hauteur puis de longueur constante avec inclinaison variable.
Dessins et plans, Antiquités, Pyramides, Pyramides -- Égypte, Architecture antique, Architecture égyptienne, Plans inclinés
Rampes de la pyramide de Sésostris Ier à Licht. Le problème de l'élévation des pierres sur les assises des pyramides est celui qui retient le plus l'attention du public. Les égyptologues ont souvent opté pour des solutions fondées sur des rampes, dont les formes et les dimensions restent à définir, tandis que des spécialistes d'autres disciplines s'attachent à donner leurs propres explications. Pourtant, quelques vestiges de rampes subsistent, notamment à la pyramide de Meïdoum, à la pyramide de Sekhemkhet et à celle de Khéphren, ainsi qu'à la pyramide de Sinki, et surtout à celle de Sésostris Ier, à Licht. Toutes sont des rampes frontales, c'est-à-dire perpendiculaires aux faces. Si elles furent effectivement employées, elles ne pouvaient suffire à achever l'édifice, particulièrement dans la phase de la pose des pierres de parement si parfaitement ajustées, comme à la pyramide de Khéops.
Photographie, Antiquités, Statues, Érable sycomore, Agriculture, Égypte (Moyen Empire) (2160-1580 av. J.-C.)
Statuette représentant une scène de labour dans l'antiquité : Moyen Empire, 12ème dynastie (1990-1786 av. J-C) ; Technique/matériaux : Bois de sycomore stuqué polychrome ; Lieu actuel : Musée des beaux-arts de Lyon, Département des Antiquités.
Traineau de transport des barques funéraires du complexe funéraire de Sésostris III à Dahchour : il mesure 4,21 m de long pour une largeur de 0,78 m. Afin d'acheminer les pierres extraites des lointaines carrières (Assouan est situé à près de mille kilomètres de la région memphite des pyramides), le transport fluvial sur le Nil était nécessaire. Le transport par voie fluviale, parfaitement maîtrisé, était essentiel aux anciens Égyptiens. Ils avaient à leur disposition des embarcations spécialement adaptées aux lourdes charges (barges transportant des colonnes monolithiques et sans doute des blocs de granite à fond de cale ou suspendus dans l'eau entre deux embarcations), comme l'atteste le bas-relief de la chaussée d'Ounas. L'activité atteignait son maximum durant la période des inondations, mais, afin de remédier aux difficultés liées aux périodes de décrue, une voie navigable a été creusée parallèlement et à l'ouest du Nil, permettant aux convois de débarquer leurs lourdes charges dans les ports situés à l'emplacement des temples bas des divers chantiers.