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Photographie | Dessins et plans | Peinture | Plantes | Botanique | Gravure | Vents -- Vitesse | Météorologie | Plans inclinés | Géographie | Pyramides | Pyramides -- Égypte | Astéracées | Antiquités | Architecture égyptienne | Vents | Dinosaures | Mammifères | Agriculture | Signalisation routière | ...
Joubarbe des toits. Source : http://data.abuledu.org/URI/504e6958-joubarbe-des-toits

Joubarbe des toits

Planche botanique de joubarbe des toits (Sempervivum tectorum), Atlas des Plantes de France, 1891 : aussi appelée "barbe de Jupiter" c'est une plante succulente thermophile. Selon une ancienne croyance, la joubarbe plantée sur le toit des chaumières protège celle-ci contre la foudre, cet attribut spécifique au dieu Jupiter. (wikipedia)

Jusquiame noire. Source : http://data.abuledu.org/URI/505deeeb-jusquiame-noire

Jusquiame noire

Planche botanique de la Jusquiame noire (Hyoscyamus niger), Atlas des Plantes de France, 1891. Plante toxique, contenant divers alcaloïdes tels que l'atropine, l'hyoscyamine et la scopolamine, mais moins dangereuse que le datura ou la belladone, qui contiennent les mêmes alcaloïdes mais en plus grandes proportions. La graine de Jusquiame est connue pour apaiser la rage de dents, elle s'appelle herbe de Sainte Apolline. Le terme de "jusquiame" est un emprunt au bas latin jusquiamos, hyoscyamos, et du grec ὑοσκύαμος (uoskuamos) de même sens, morphologiquement « fève de porc ». Il s'agit d'une allusion à l'épisode de l'Odyssée durant lequel la magicienne Circé transforma en pourceaux les compagnons d'Ulysse en leur faisant pour cela boire un philtre contenant de la jusquiame. Mais Ulysse était immunisé grâce à un antidote - végétal - dont Hermès lui avait fait présent. Certains interprètent cet épisode comme une métaphore opposant la bestialité (le pourceau) à la raison. Les solanacées "vireuses", dont fait partie la jusquiame, sont fréquemment évoquées dans les histoires de métamorphoses d'homme en animal : lycanthropie par exemple. Elles peuvent en effet générer des hallucinations particulièrement puissantes, y compris celle d'avoir pris la forme d'un animal, au point d'en adopter le comportement.

Kiwi. Source : http://data.abuledu.org/URI/50474526-kiwi

Kiwi

Les Apterygiformes forment un ordre d'oiseaux terrestres incapables de voler, les kiwis. Cet ordre n'est constitué que de la seule famille des Apterygidae (ou aptérygidés en français), et du seul genre, Apteryx et de cinq espèces. Celles-ci sont endémiques de la Nouvelle-Zélande. Ce sont des oiseaux nocturnes appartenant aux espèces menacées.

L'air nécessaire à la vie. Source : http://data.abuledu.org/URI/520caf58-l-air-necessaire-a-la-vie

L'air nécessaire à la vie

Die Luft, L'air nécessaire à la vie. Plaque commémorative appliquée à Celle en 1987-89 en l'honneur de l'entomologiste Jean-Henri Fabre (1823-1915).

L'invitation pour Mme la Duchesse, d'Alice. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cfe81e-l-invitation-pour-mme-la-duchesse-d-alice

L'invitation pour Mme la Duchesse, d'Alice

L'invitation pour Mme la Duchesse, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Alice resta une ou deux minutes à regarder à la porte ; elle se demandait ce qu’il fallait faire, quand tout à coup un laquais en livrée sortit du bois en courant. (Elle le prit pour un laquais à cause de sa livrée ; sans cela, à n’en juger que par la figure, elle l’aurait pris pour un poisson.) Il frappa fortement avec son doigt à la porte. Elle fut ouverte par un autre laquais en livrée qui avait la face toute ronde et de gros yeux comme une grenouille. Alice remarqua que les deux laquais avaient les cheveux poudrés et tout frisés. Elle se sentit piquée de curiosité, et, voulant savoir ce que tout cela signifiait, elle se glissa un peu en dehors du bois afin d’écouter. Alice par John Tenniel 20.png Le Laquais-Poisson prit de dessous son bras une lettre énorme, presque aussi grande que lui, et la présenta au Laquais-Grenouille en disant d’un ton solennel : « Pour Madame la Duchesse, une invitation de la Reine à une partie de croquet. » Le Laquais-Grenouille répéta sur le même ton solennel, en changeant un peu l’ordre des mots : « De la part de la Reine une invitation pour Madame la Duchesse à une partie de croquet ; » puis tous deux se firent un profond salut et les boucles de leurs chevelures s’entremêlèrent.

La faille de San Andreas en Californie. Source : http://data.abuledu.org/URI/509ec006-la-faille-de-san-andreas-en-californie

La faille de San Andreas en Californie

La faille transformante la plus célèbre est celle de San-Andreas, dans la Plaine Carrizo en Californie. Il s'agit en fait d'un ensemble de failles transformantes qui assurent le coulissage de la plaque Pacifique contre la plaque Nord Américaine.

La grue et le crabe. Source : http://data.abuledu.org/URI/5098bbc4-la-grue-et-le-crabe

La grue et le crabe

Illustration par J. D. Batten du conte indien "Le Crabe et la grue" (The cruel crane outwitted), extrait de "Indian Fairy Tales", 1892 par Joseh Jacobs (1854-1916) : Lettrine L de début du conte ("LONG ago..." = il y a longtemps de cela...) qui se passe dans une mare de lotus.

La Querelle des Chiens et des Chats, et celle des Chats et des Souris. Source : http://data.abuledu.org/URI/519cacaf-la-querelle-des-chiens-et-des-chats-et-celle-des-chats-et-des-souris

La Querelle des Chiens et des Chats, et celle des Chats et des Souris

La Querelle des Chiens et des Chats, et celle des Chats et des Souris. Source : Cent fables de Jean de La Fontaine (1621-1695) illustrées par P. J. Billinghurst (Gutenberg), 1901.

La Tour dorée. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b4c90b-la-tour-doree

La Tour dorée

Plan et coupe de la Tour Dorée, par Sébastien Le Prestre de Vauban (1633–1707). Convention de représentation : les éléments existants sont pochés en vieux rose, et les éléments en projet sont pochés en jaune. Vauban, chargé de la défense de la rade de Brest consigne dans son mémoire du 9 mai 1685 : « Il y a encore deux Rades hors du Goullet de Brest qui sont comme le vestibulle de cette entrée, dont l'une, sçavoir celle de Berthaume, est parée contre tous les vents du Nord, et celle de Camaret contre tous ceux du Midy, touttes deux de très-bonne tenüe. Il n'y a rien à faire à celle de Berthaume parce que l'on peut mouiller au large hors du canon des terres. Mais il y a un petit port marchand À un recoin de celle de Camaret où il se retire des bastiments que des corsaires viennent impunément enlever, ce qui leur arrive fort souvent en tems de guerre : c'est pourquoy il seroit nécessaire d'y faire une batterie de quatre ou cinq pièces de canon soutenue d'une tour et d'une petite closture de massonnerie pour les escarter de là et tenir cette Rade nette qui, de cette façon, deviendra un refeuge asseuré pour le bien des vaisseaux marchands que les maivais tems contraignent le plus souvent d'y mouiller et toujours au risque d'y estre pris. » il décide en premier d'installer une position de défense à Bertheaume et de construire une « tour de côte » à Camaret, unique en son genre8. Les premiers dessins de Vauban prévoient la construction d'une tour ronde, mais une fois sur place, il la crée polygonale. Les travaux pour la tour de Camaret ont débuté en 1689.

Le chamois et le hibou. Source : http://data.abuledu.org/URI/5353b083-le-chamois-et-le-hibou

Le chamois et le hibou

Blason de Rochesson dans les Vosges. Blasonnement : D'or, à deux roches de sable issantes de la pointe soutenant celle de dextre un chamois contourné et celle de sénestre un grand-duc, le tout de gueules et accompagné en chef de trois sapins de sinople rangés en fasce.

Le jeu des serpents et des échelles. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eb221c-le-jeu-des-serpents-et-des-echelles

Le jeu des serpents et des échelles

Version indienne du XIXème siècle du jeu des serpents et des échelles (Gouache sur tisse). Serpents et échelles ou le jeu de l'échelle est un jeu de société populaire consistant à déplacer les jetons sur un tableau de cases avec un dé en essayant de monter les échelles et en évitant de trébucher sur les serpents. Il est suggéré que l'origine du jeu est moksha-patamu, un ancien jeu hindou remontant au deuxième siècle av. Jésus-Christ, créé par des enseignants hindous spirituels, où les serpents et échelles sont des symboles pour la moralité et spiritualité de la vie. Le jeu est une représentation d'un chemin spirituel que les humains prennent pour atteindre le ciel. Avec des bons gestes, le chemin est raccourci (ce que symbolise les échelles), tandis qu'avec le contraire, le chemin est allongé (d'où vient le symbolisme des serpents). Les différentes cultures ont perçu dans le jeu une valeur éducative et spirituelle, la raison commune pour laquelle ce jeu est surtout présenté aux enfants et adolescents. Les sanscrits avaient un jeu semblable appelé Dapasada. La forme moderne du jeu a été inventée par un Britannique appelé John Jaques qui travaillait pour la société Jaques of London. L'édition la plus connue du jeu est celle de Milton Bradley et Hasbro. La trajectoire suivie par les jetons suit habituellement celle d'un boustrophédon. La forme du jeu peut être mathématiquement représentée par une chaîne de Markov. Elwyn Berlekamp, John Horton Conway et Richard K. Guy ont écrit un livre pour montrer que ce jeu pouvait être traité comme un jeu impartial dans la théorie des jeux combinatoires.

Manche à air. Source : http://data.abuledu.org/URI/50940c10-manche-a-air

Manche à air

La manche à air, parfois appelée la manche à vent, est un dispositif destiné à indiquer non seulement la direction du vent, mais aussi — contrairement à la girouette — une estimation de sa vitesse. La manche à air est constituée d'un mât auquel est attaché un manchon conique en tissu, resserré à son extrémité. Ce manchon comporte cinq anneaux alternant trois rouges et deux blancs. L'air entre par le gros bout du manchon, celui près du mât, et est soulevé dans la direction opposée à celle d'où vient le vent. Chacune des bandes de couleur, lorsque gonflée par le vent, correspond à environ 5 nœuds (environ 9 km/h) ; le manchon est donc à l'horizontale lorsque le vent souffle à plus de 25 nœuds (environ 45 km/h). Cela donne une estimation relativement précise de la direction et de la vitesse du vent jusqu'à cette force.

Manche à air. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d60b8e-manche-a-air

Manche à air

La manche à air, parfois appelé la manche à vent, est un dispositif destiné à indiquer non seulement la direction du vent, mais aussi — contrairement à la girouette — une estimation de sa vitesse. La manche à air est constituée d'un mât auquel est attaché un manchon conique en tissu, resserré à son extrémité. Ce manchon comporte cinq anneaux alternant trois rouges et deux blancs. L'air entre par le gros bout du manchon, celui près du mât, et est soulevé dans la direction opposée à celle d'où vient le vent. Chacune des bandes de couleur, lorsque gonflée par le vent, correspond à environ 5 nœuds (environ 9 km/h) ; le manchon est donc à l'horizontale lorsque le vent souffle à plus de 25 nœuds (environ 45 km/h). Cela donne une estimation relativement précise de la direction et de la vitesse du vent jusqu'à cette force.

Méandre de rivière. Source : http://data.abuledu.org/URI/506caada-meandre-de-riviere

Méandre de rivière

Formation de méandres. Un méandre est une sinuosité très prononcée du cours d'un fleuve ou rivière qui se produit naturellement lorsque le courant est suffisant pour éroder les berges. Une sinuosité naturelle est accentuée par la force centrifuge qui exerce une pression sur la partie extérieure de la courbe. Cela suppose donc un débit ou une pente assez importants.

Opacité électromagnétique de l'atmosphère. Source : http://data.abuledu.org/URI/50be41a2-opacite-electromagnetique-de-l-atmosphere

Opacité électromagnétique de l'atmosphère

Opacité électromagnétique (ou transmittance) de l'atmosphère en fonction de la longueur d'onde (jusqu'à 1km). L’absorption optique est une autre propriété importante de l'atmosphère. Différentes molécules absorbent différentes longueurs d'onde de radiations. Par exemple, l'O2 et l'O3 absorbent presque toutes les longueurs d'onde inférieures à 300 nanomètres. L'eau (H2O) absorbe la plupart des longueurs d'onde au-dessus de 700 nm, mais cela dépend de la quantité de vapeur d'eau dans l'atmosphère. Quand une molécule absorbe un photon, cela accroît son énergie. Quand les spectres d'absorption des gaz de l'atmosphère sont combinés, il reste des « fenêtres » de faible opacité, autorisant le passage de certaines bandes lumineuses. La fenêtre optique va d'environ 300 nm (ultraviolet-C) jusqu'aux longueurs d'onde que les humains peuvent voir, la lumière visible (communément appelé lumière), à environ 400–700 nm et continue jusqu'aux infrarouges vers environ 1100 nm. Il y a aussi des fenêtres atmosphériques et radios qui transmettent certaines ondes infrarouges et radio sur des longueurs d'onde plus importantes. Par exemple, la fenêtre radio s'étend sur des longueurs d'onde allant de un centimètre à environ onze mètres. Le graphe ci-dessus représente 1-T (exprimé en %) (T:transmittance)

Orage de grêle. Source : http://data.abuledu.org/URI/52349bd5-orage-de-grele

Orage de grêle

Coupe verticale d'un orage de grêle avec l'air entrant soulevé en altitude et formant les grêlons. Dès qu'une goutte gèle dans les niveaux supérieurs de la troposphère (couche inférieure de l'atmosphère terrestre) où la température est inférieure à -10 °C, elle devient un tel noyau de congélation qui peut commencer le grêlon. L'embryon se retrouve alors entouré de vapeur d'eau et de gouttes restées liquides, la surfusion pouvant exister jusqu'à une température de -39 °C. Comme la pression de vapeur de saturation de la glace est moindre que celle de l'eau à ces températures, la vapeur d'eau contenue dans l'air en ascension rapide va se condenser en priorité sur les noyaux de glace. Les grêlons croîtront donc plus rapidement que les gouttes de pluie dans une atmosphère humide comme celle de l'orage. De plus, les embryons de grêle cannibalisent la vapeur d'eau des gouttes surfondues dans leur entourage. En effet, à la surface des gouttes il y a toujours un échange de vapeur d'eau avec l'air environnant et le grêlon semble attirer les molécules d'eau vers lui parce qu'il leur est plus facile de s'y condenser que sur la goutte (Effet Bergeron). Finalement, les gouttes de pluie qui entrent en contact avec les grêlons, gèlent instantanément sur sa surface.

Orage de tornade vu par deux radars. Source : http://data.abuledu.org/URI/5232e5a9-orage-de-tornade-vu-par-deux-radars

Orage de tornade vu par deux radars

Orage tornadique vu par deux radars très près l'un de l'autre. En haut, l'image du haut est d'un Radar météorologique d'aéroport TDWR et celle du bas d’un NEXRAD. L'image du haut a une résolution double de celle du NEXRAD. Nous pouvons beaucoup mieux voir les détails qui aideront le météorologiste à reconnaître la configuration dangereuse d'un écho en crochet annonciatrice d'un tornade. La diminution de la largeur du faisceau, en augmentant le diamètre de l'antenne ou en diminuant la longueur d'onde de sondage, est donc un facteur important pour mieux se conformer à l'hypothèse d'un volume rempli uniformément mais ne fait rien pour la dégradation avec la distance.

Ordre dorique en architecture. Source : http://data.abuledu.org/URI/5102a091-ordre-dorique-en-architecture

Ordre dorique en architecture

Ordre dorique en architecture : 1) Tympan du fronton, 2) Acrotère, 3) Cimaise (du fronton), 4) Corniche, 5) Mutule, 6) Geison, 7) Frise, 8) Triglyphe, 9) Métope, 10) Larmier, 11) Goutte, 12) Réglet (ou Regula), 13) Architrave, 14) Chapiteau, 15) Abaque, 16) Échine, 17) Colonne, 18) Cannelures, 19) Stylobate. Le prototype de la colonne dorique est une colonne de bois surmontée d'une pierre lisse ou granuleuse, qui deviendra le chapiteau (à Olympie, Pausanias, voyageur du IIe siècle, a vu des colonnes originales en bois du temple d'Héra encore en place). Les colonnes doriques les plus anciennes étaient très trapues (premier temple d'Aphaia à Égine), puis elles s'affinent avec le temps. De même le chapiteau, très aplati, se redresse et, à l'époque hellénistique, s'écarte à peine du fût. La hauteur de la colonne, comparée au diamètre inférieur, varie entre 4 diamètres et 5 diamètres 3/4 ; la dimension des entrecolonnements est de 1 diamètre environ ; le rapport de l'entablement à la colonne est à peu près de 1 à 3 ; la hauteur de l'architrave est généralement de 3/4 de diamètre ; celle de la frise, de un diamètre ; celle de la corniche, d'1/4 de diamètre ; celle du chapiteau, y compris l'échine, le tailloir et les filets, d'1/2 diamètre. Le nombre de cannelures du fût varie de seize à vingt-quatre. Chaque triglyphe tombe à l'aplomb du milieu de chaque colonne et du milieu de chaque entrecolonnement, excepté le triglyphe de chaque extrémité, qui se trouve rapporté à l'angle de l'entablement. Outre ces différences dans les proportions et les divisions, l'ordre dorique a connu, en Grèce, des variations assez remarquables de caractère et de style. La frise du Parthénon est ornée de bas-reliefs. La plus belle application qui ait été faite de ce système d'architecture se voit à Athènes, dans les Propylées et le Parthénon. L'ordre dorique est l'ordre par excellence, celui dont les autres ordres ne sont que des émanations. Ce fut le système d'architecture que les Grecs employèrent dans le plus grand nombre de leurs monuments.

Oseille maritime. Source : http://data.abuledu.org/URI/506fffbc-oseille-maritime

Oseille maritime

Planche botanique N°278 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Oseille (Rumex maritimus). Plante cultivée comme plante potagère pour ses feuilles comestibles, qui ressemblent à celles de l'épinard. Elle est utilisée en cuisine (notamment pour en faire une soupe). Sa saveur est acidulée. Une fois cuisinée, elle ne se conserve pas au réfrigérateur. Il convient de la consommer rapidement ou de la congeler. En argot, l'oseille sert à désigner l'argent.

Panneau d'interdiction aux véhicules à bras. Source : http://data.abuledu.org/URI/51376d3b-panneau-d-interdiction-aux-vehicules-a-bras

Panneau d'interdiction aux véhicules à bras

Panneau de signalisation routière B9e : Accès interdit aux voitures à bras à l’exclusion de celles visées à l’article R. 412-34 du code de la route.

Panthère de perse. Source : http://data.abuledu.org/URI/5061cca1-panthere-de-perse

Panthère de perse

La Panthère de Perse (Panthera pardus saxicolor), ou léopard iranien, est l'une des sous-espèces de léopards originaire de l'Asie occidentale. C'est l'une des plus grosses sous-espèce de léopard avec une taille proche de celle de la sous-espèce africaine.

Pâquerettes vivaces. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ada8c2-paquerettes-vivaces

Pâquerettes vivaces

Bellis perennis ou pâquerette vivace, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929. La pâquerette est haute de dix à vingt centimètres. Ses fleurs naissent sur des inflorescences appelées capitules. Celles du pourtour, qui ont l'aspect de pétales, sont appelées fleurs ligulées, parce qu'elles ont la forme d'une languette, ou demi-fleurons. Ce sont des fleurs femelles ; leur couleur varie du blanc au rose plus ou moins prononcé. Celles du centre, jaunes, appelées fleurs tubuleuses, parce que leur corolle forme un tube, ou fleurons, sont hermaphrodites. Ainsi, ce qu'on considère ordinairement comme une fleur de pâquerette n'est pas, du point de vue botanique, une fleur unique mais un capitule portant de très nombreuses fleurs. La pâquerette est très rustique. On la trouve dans les prés, les pelouses, les bords de chemins, les prairies, sur les gazons et les zones d'herbe rase. Leurs fruits s'envolent grâce au vent (anémochorie) et dégagent des odeurs qui attirent les insectes. Elles ont la particularité, comme certaines autres fleurs de plantes herbacées, de se fermer la nuit et de s'ouvrir le matin pour s'épanouir au soleil ; elles peuvent aussi se fermer pendant les averses, voire un peu avant, ce qui permettrait dans les campagnes de prédire la pluie légèrement à l'avance. En phytothérapie, la pâquerette est souvent utilisée pour lutter contre l'hypertension et l'artériosclérose (utilisation des fleurs et des feuilles). En infusion, une cuillère par tasse d'eau bouillante, laisser infuser 10 minutes, 3 tasses par jour. Les pâquerettes survivant très bien aux tontes répétées même très rases dans un gazon, où elles sont particulièrement visibles, elles ont donné lieu à l'expression "au ras des pâquerettes" signifiant "au ras du sol" et, métaphoriquement, "sans intelligence". La pâquerette est parfois utilisée pour le jeu d'effeuillage de la marguerite. Victor Hugo y fait référence dans Les Misérables. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%A2querette

Parcours CheMAIN faisant à Concots 06. Source : http://data.abuledu.org/URI/51b4848d-parcours-chemain-faisant-a-concots-06

Parcours CheMAIN faisant à Concots 06

Golem du Quercy : Panneau N°6 du parcours des artistes près de Concots-46, Mickaël Langevin (cliché als33). Le circuit entre les villages est d'environ 5 km, la boucle de Concots 700 m, et celle d'Escamps 1500 m.

Patates douces. Source : http://data.abuledu.org/URI/53a1cf20-patates-douces

Patates douces

Huit tubercules de patates douces (Ipomoea batatas). Cette plante produit des tubercules de forme plus ou moins allongée, voire arrondie, à la peau fine. Suivant la variété, la couleur de la peau est beige, brune, jaune, orange, rouge, violette. La chair du tubercule varie également blanc, beige, jaune, orange, rouge, rose, violette. Presque toutes les combinaisons de peau et de chair peuvent se rencontrer. Les tubercules avec la chair blanche ou jaune pâle sont moins sucrées et ont un taux d'humidité inférieur à celles qui sont rouges, roses et orange. Ils sont très riches en amidon. Leur saveur sucrée et leur texture farineuse rappellent un peu celle de la châtaigne. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Patate_douce

Peintures rupestres du Tassili. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d06ac0-peintures-rupestres-du-tassili

Peintures rupestres du Tassili

Peintures rupestres de Tassili n'Ajjer, Sahara, Algérie. Les Capsiens ayant migré au Sahara laissent derrière eux des peintures rupestres magnifiques comme celles du Tassili N'adjjer datant de la période -5000 à –1500 ou celles de la région d'El-Bayadh et témoignant du mode de vie, de la chasse, de l'agriculture et des rites capsiens, ainsi que de l'assèchement progressif du Sahara qui commença à partir de 2600 avant JC et coïncida avec leur période. L'aridité du désert qui a suivi cette civilisation a permis de conserver naturellement ces œuvres dans des musées à ciel ouvert et cela à travers plusieurs millénaires.

Pierre tombale d'Apollonia. Source : http://data.abuledu.org/URI/5063345a-pierre-tombale-d-apollonia

Pierre tombale d'Apollonia

Pierre tombale d'Apollonia, circa 100 av. JC. Le prénom "Apollonia" signifie "l'apollinienne", c’est-à-dire celle qui possède les qualités d'Apollon, dieu grec de la beauté, du soleil et des arts en général, chef des Muses.

Pimprenelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/504e3fd8-pimprenelle-

Pimprenelle

Planche botanique de la Pimprenelle (Poterium sanguisorba) de l'Atlas des Plantes de France de 1891. Utilisation en cuisine : les feuilles ont un goût de concombre caractéristique ; elle est pour cela parfois utilisée pour agrémenter les salades.

Pintades. Source : http://data.abuledu.org/URI/50af80b3-pintades

Pintades

Les pintades sont des oiseaux de l'ordre des galliformes et de la famille des Numididae (parfois placée dans celle des Phasianidae), originaires d'Afrique, au plumage foncé pointillé de blanc, qui se nourrissent de graines. Certaines sont domestiquées. Volailles d’ornement, elles sont surtout appréciées pour leur chair.

Porte des anglais à Sore. Source : http://data.abuledu.org/URI/5074afc6-porte-des-anglais-a-sore

Porte des anglais à Sore

Porte de ville dite des anglais à Sore, dans le département français des Landes : remplissages en garluche. Datée de la 2e moitié du XIIIe siècle, elle est inscrite aux monuments historiques par arrêté du 7 octobre 1992. Il existait deux autres portes de ce type à Sore qui ont aujourd'hui disparu, l'une à l'est du plateau, l'autre en face de l'hospice. Celle-ci est en face du moulin à eau. Sur sa clef de voûte est sculpté un chrisme. Notice de la base Mérimée : "Témoin de la ville médiévale qui fut une des forteresses des Seigneurs d'Albret. Vers 1270-1280, Amanieu VII d'Albret semble avoir entrepris une vaste campagne de rénovation de plusieurs forteresses, dont celle de Sore. Cette porte est le dernier vestige encore debout de ces fortifications. L'ouvrage possédait peut-être des éléments défensifs couronnant son sommet. Du côté sud vers le nord, en pénétrant dans la ville, la porte présente un grand arc en anse de panier puis un arc brisé surbaissé, plus étroit et plus bas, en avant duquel subsiste l'emplacement de la herse qui renforçait l'entrée. Sur le côté nord se remarquent les traces d'une tourelle qui renfermait un escalier à vis. Sur le côté sud, deux trous d'assommoir sont percés dans la voûte de l'arc, en avant de la herse. L'enceinte elle-même était en terre, faute de pierres à proximité."

Rampe frontale d'accès à une pyramide. Source : http://data.abuledu.org/URI/50aea8eb-rampe-frontale-d-acces-a-une-pyramide

Rampe frontale d'accès à une pyramide

Rampe frontale en brique crue préconisée par Ludwig Borchardt pour l'édification d'une pyramide. Cette théorie fut développée pour la première fois par l'égyptologue allemand Ludwig Borchardt, interprétant ainsi la présence des vestiges de rampes aux abords de la pyramide de Meïdoum. Elle consiste en une rampe unique, perpendiculaire à une face de la pyramide, dont la pente est constante quelle que soit l'élévation. Cela implique que la longueur de celle-ci croisse proportionnellement avec le nombre d'assises de la pyramide. Les blocs, posés sur des traîneaux, étaient alors charriés sur la rampe à la force des bras. De l'huile, déposée sur le sol, aidait à faire glisser les traîneaux.

Rampes d'accès à une pyramide. Source : http://data.abuledu.org/URI/50aea835-rampes-d-acces-a-une-pyramide

Rampes d'accès à une pyramide

Rampes de la pyramide de Sésostris Ier à Licht. Le problème de l'élévation des pierres sur les assises des pyramides est celui qui retient le plus l'attention du public. Les égyptologues ont souvent opté pour des solutions fondées sur des rampes, dont les formes et les dimensions restent à définir, tandis que des spécialistes d'autres disciplines s'attachent à donner leurs propres explications. Pourtant, quelques vestiges de rampes subsistent, notamment à la pyramide de Meïdoum, à la pyramide de Sekhemkhet et à celle de Khéphren, ainsi qu'à la pyramide de Sinki, et surtout à celle de Sésostris Ier, à Licht. Toutes sont des rampes frontales, c'est-à-dire perpendiculaires aux faces. Si elles furent effectivement employées, elles ne pouvaient suffire à achever l'édifice, particulièrement dans la phase de la pose des pierres de parement si parfaitement ajustées, comme à la pyramide de Khéops.

Répartition mondiale des zones à foudre. Source : http://data.abuledu.org/URI/533c75f5-repartition-mondiale-des-zones-a-foudre

Répartition mondiale des zones à foudre

Répartition mondiale des zones à foudre. On remarque que les zones équatoriales sont celles où les décharges sont les plus fréquentes.

Scabieuse des champs. Source : http://data.abuledu.org/URI/5050df69-159-scabieuse-des-champs

Scabieuse des champs

Planche botanique de Scabieuse des champs (Scabiosa arvensis), Atlas des Plantes de France de 1891 : en réunissant dans un même bouquet plusieurs dizaines de petites fleurs, la scabieuse des champs a forgé une sorte de super-fleur. Dans cette société hiérarchisée, les fleurs de la périphérie montrent une corolle bien développée tandis que celles du centre sont de vraies naines.

Schéma de grand-voile. Source : http://data.abuledu.org/URI/52617902-schema-de-grand-voile

Schéma de grand-voile

Une voile est caractérisée principalement par sa forme, son grammage et le(s) matériau(x) dont elle est composée.Les trois angles de la voile (sur une voile à forme triangulaire) ont une appellation spécifique : 1) Le point de drisse désigne l'angle situé au sommet de la voile une fois celle-ci hissée : c'est l'endroit où la drisse est frappée. 10) Le point d'amure désigne l'angle attaché au point fixe du bateau : lorsque la voile est en position, le point d'amure est sur l'avant du bateau. 12) Le point d'écoute désigne l'angle de la voile auquel est frappée l'écoute (foc) ou non loin duquel est passée l'écoute (grand-voile). Chacune des extrémités de la voile reçoit un renfort (3) constitué de plusieurs épaisseurs de tissus cousues ensemble parfois renforcées par une structure rigide. La têtière (3) est la partie renforcée de l'extrémité supérieure de la voile. Un œillet situé à chacun des angles permet de fixer la voile au gréement. Les côtés d'une voile triangulaire sont : la bordure (11), encore appelée l'envergure, car souvent reliée à une vergue (ici la bôme) est le côté de la voile parallèle au pont : c'est le bas de la voile lorsque celle-ci est hissée ; le guindant (6) est le côté de la voile solidaire de l'étai (foc) ou du mât (grand-voile) ; la chute (5) est le côté de la voile situé vers l'arrière, toujours libre : sa tension est réglée par un nerf de chute (8). Sur la grand-voile on trouve également 2 à 3 bandes de ris (9) - zones horizontales en partie renforcées et comportant des œillets aux extrémités qui sont utilisées pour réduire la surface de la grand-voile lorsque le vent forcit (prise de ris). Une voile est généralement composée de laizes (7) bandes de tissus cousues, découpées de manière à répartir l'effort en faisant éventuellement varier le grammage et positionner le creux de la voile (une voile n'est pas plate sauf s'il s'agit d'une voile de tempête comme le tourmentin). La chute des grand-voiles modernes est arrondie : c'est le rond de chute qui est autorisé par 3 à 4 lattes (4). Sur les voiliers très rapides, la voile peut aussi être complètement lattée, la tension des dites lattes permettant d'obtenir très exactement le profil souhaité. Le guindant de la grand-voile est rendu solidaire du mât soit grâce à des coulisseaux (2) fixés à la voile et passés dans la gorge du mât soit grâce à une ralingue (c’est-à-dire un cordage cousu le long de la voile). La bordure de la grand-voile est également tenue par une ralingue ou un/des coulisseau(x) passée dans la gorge de la bôme.

Sculptures d'ours. Source : http://data.abuledu.org/URI/516f9dc3-sculptures-d-ours

Sculptures d'ours

Rond-point des ours à Axat (Aude). Dans les Pyrénées, nombreux sont les toponymes issus de l'ours, tels que la vallée d'Ossau, la vallée d'Onsera et celle de la Barousse arrosée par la rivière l'Ourse, les pics de la Coumeille de l'Ours ou de la Tute de l'Ours.

Sénéçon commun. Source : http://data.abuledu.org/URI/5056c37d-senecon-commun

Sénéçon commun

Planche botanique de Sénéçon commun (Senecio vulgaris), Atlas des Plantes de France, 1891. Le nom « Séneçon » dérive du latin « Senex, senecio » qui signifie « vieillard ». Cela évoque les aigrettes blanches, souvent duveteuses, surmontant les akènes que produisent certains séneçons. Ces inflorescences surmontées de ces aigrettes évoquent de petites têtes de vieillards.

Taille du Dilophosaurus. Source : http://data.abuledu.org/URI/512299e9-taille-du-dilophosaurus

Taille du Dilophosaurus

Comparaison entre la taille d'un homme et celle de deux espèces de Dilophosaure. Il pouvait mesurer jusqu'à deux mètres cinquante de haut, six mètres de long et peser 500 kilogrammes. Son crâne possédait des articulations qui lui permettaient de plisser le nez et une paire de crêtes osseuses sur la tête (d’où son nom). Le Dilophosaurus fut une importante figure dans le film de 1993 Jurassic Park et dans le roman original de Michael Crichton. La version filmée montre un Dilophosaurus qui possède une membrane rétractile au cou similaire à celle du chlamydosaurus ou lézard à collerette, et a la capacité de cracher aux yeux un venin aveuglant pour paralyser ses victimes. Il n'existe aucune preuve que le Dilophosaurus ait pu cracher du venin, ni qu'il ait possédé une collerette aux couleurs vives, ce qu'a reconnu M. Crichton, en invoquant la liberté de l'artiste. Dans le film de Steven Spielberg, le Dilophosaurus a été réduit à 1 m de haut et 1,5 m de long, beaucoup plus petit qu'en réalité.

Taille du triceratops. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b2e2e0-taille-du-triceratops

Taille du triceratops

Taille du triceratops, comparée à celle de l'homme.

Tarentule et ses bébés. Source : http://data.abuledu.org/URI/5051a911-tarentule-et-ses-bebes

Tarentule et ses bébés

Le mot tarentule désigne une araignée mythique de la province de Tarente en Italie, ou bien l'araignée Lycosa tarantula également originaire de cette région d'Italie. la tarentule n'a pas de squelette à l'intérieur du corps. Elle a ce qu'on appelle un exosquelette, c'est à dire que son corps est dur à l'extérieur. On nomme cela pachitie. Cet exosquelette est très dur et à l'épreuve de l'eau. La tarentule n'est pas dangereuse pour l'homme

Tête de Gazelle Dama. Source : http://data.abuledu.org/URI/516c4a44-tete-de-gazelle-dama

Tête de Gazelle Dama

La Gazelle dama (Gazella dama, ou Nanger dama) est une espèce de gazelle africaine devenue rare et menacée. C'est la plus grande gazelle actuelle. Le cou et les pattes sont très allongés. Les cornes assez courtes sont en forme de S dirigé vers l’arrière. Celles des mâles sont en général plus longues et plus robustes que celles des femelles. La tête est de couleur blanche et les femelles présentent une raie noire en travers de l’œil. Le cou, roux, porte une tâche blanche bien visible. Elle se déplace vers la zone saharienne au moment de la saison des pluies, lorsque les pâturages sont abondants et de bonne qualité et redescend dans la zone sahélienne durant la saison sèche. Elle fréquente plutôt les zones de dunes fixes, les steppes et prairies à acacias. Elles s'amusent aussi au « stotting » ou « pronking », qui sont des rebonds, une discipline commune chez toutes les gazelles, plus ou moins développée selon les espèces. Elle fait des petits bonds, c'est un animal paisible. Ses prédateurs naturels, sont les léopards, et autrefois les guépards du Sahara et les lions de l'Atlas dans une moindre mesure.

Théorème spectral. Source : http://data.abuledu.org/URI/529935e9-theoreme-spectral

Théorème spectral

Représentation de la sphère unité en dimension trois pour deux distances euclidiennes. La sphère rouge représente la sphère unité pour la première forme, la figure bleue représente la sphère unité pour la deuxième forme dans la mesure où celle-ci est définie positive. La figure bleue est un ellipsoïde dont les axes sont orthogonaux pour la première forme. La distance d'origine est définie par la sphère rouge et celle de la quadrique associée à Ψ, par l'ellipsoïde bleu. Il existe alors une base qui respecte l'orthogonalité des deux formes quadratiques. Si l'orthogonalité est respectée, il n'en est pas de même pour les longueurs. Ainsi, le vecteur unitaire de l'axe des x pour la distance originale (en rouge) est de longueur plus petite pour la nouvelle distance (en bleu), d'où la nécessité d'un coefficient s1 pour passer d'une distance à l'autre.

Toit végétalisé à Bour. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ff54b7-toit-vegetalise-a-bour

Toit végétalisé à Bour

Toit végétalisé dans le village de Bour (îles Féroé) ; dans le lointain l'île de Tindhólmur et celle de Gáshólmur à droite.

Une bicyclette. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d58c87-une-bicyclette

Une bicyclette

Une bicyclette, ou un vélo, est un véhicule terrestre composé de deux roues alignées (d'où le nom « bicyclette »). La force motrice est fournie par son conducteur (appelé « cycliste »), en position le plus souvent assise, par l'intermédiaire de deux pédales entraînant la roue arrière par une chaîne. La bicyclette est l'un des principaux moyens de transport dans de nombreuses parties du monde. Sa pratique, le cyclisme, constitue à la fois un usage quotidien, un loisir populaire et un sport. Par rapport à la marche, le vélo est trois fois plus efficace à effort égal et entre trois et quatre fois plus rapide. Il a été également calculé qu'en termes de conversion en mouvement de l'énergie issue de la nourriture, il s'agit d'une forme de locomotion plus efficace que celle de n'importe quel organisme biologique. La bicyclette ne dispose que de deux points d'appui au sol : elle se trouve nécessairement en équilibre instable. On parle d'équilibre métastable, car le passage de la position d'équilibre temporaire à une position de déséquilibre perceptible est relativement lent. Les principales forces en action sont : la gravité, qui tend à attirer le vélo vers le sol ; la force centrifuge, qui lorsque le vélo vire, tend à le redresser vers l'extérieur du virage. L'équilibre est maintenu dynamiquement par les actions du cycliste, qui s'emploie à toujours redresser sa machine en la faisant tourner légèrement dans la direction où elle commence à tomber. Le cycliste jongle donc en permanence entre ces deux forces pour compenser les effets de l'une avec l'autre et réciproquement. Il est aidé en cela par la chasse du vélo : il s'agit de la distance entre l'intersection de l'axe de la fourche avec le sol et du point de contact de la roue avant au sol. En effet, l'axe de la fourche est incliné de manière à ce que son intersection avec le sol se trouve en avant du point de contact de la roue avec le sol. Ainsi, si le vélo est penché d'un côté, la roue avant va être forcée à se placer de manière à faire tourner le vélo du même côté, engageant ainsi un virage tendant à équilibrer cette inclinaison. Enfin, on peut noter que lorsque le vélo roule, l'effet gyroscopique lié à la rotation des roues vient contrarier toute variation de la position de leurs axes. Ce phénomène est proportionnel à la vitesse de rotation des roues et à leur masse. Cet effet reste habituellement négligeable et est normalement imperceptible par le cycliste. En effet, la masse et donc l'inertie du vélo et de son pilote sont d'un ordre de grandeur supérieur à celle des roues, ce qui réduit considérablement l'influence de l'effet gyroscopique. Lorsque la vitesse augmente, l'effet gyroscopique augmente en proportion et devient plus perceptible.

Versailles, Le renard et la cigogne. Source : http://data.abuledu.org/URI/47f5f8cf-versailles-le-renard-et-la-cigogne

Versailles, Le renard et la cigogne

A Fountain : 'The fox and the Crane'The labyrinth had thirty-nine groups of hydraulic statuary representing the fables of Aesop. At the entrance to the Labyrinthe de Versailles à l'entrée duquel étaient placées deux statues symboliques, celles d'Ésope et de Cupidon. À l'intérieur du labyrinthe des fontaines illustraient des fables d'Ésope : ici, Le renard et la cigogne.

Vigneron. Source : http://data.abuledu.org/URI/51e6b4fb-vigneron

Vigneron

Travail de la vigne en Champagne en hiver. Celui ou celle qui cultive la vigne pour en faire du vin.

Vinettier. Source : http://data.abuledu.org/URI/50577376-vinettier

Vinettier

Planche botanique du Vinettier ou Épine-vinette (Berberis vulgaris), Atlas des Plantes de France, 1891. L'Iran est le principal producteur et consommateur de baies séchées d'épine-vinette, (zereshk /زرشک en persan), celles-ci entrant dans la composition du zereshk polo (riz aux zereshks), les baies rouges ajoutant au riz de la couleur et un goût acidulé.

Vue aérienne de l'autoroute A63 dans les Landes. Source : http://data.abuledu.org/URI/51321b52-vue-aerienne-de-l-autoroute-a63-dans-les-landes

Vue aérienne de l'autoroute A63 dans les Landes

Vue aérienne de l'autoroute A63 (N10) dans le nord du département des Landes. Cet axe est source de fragmentation forestière et d'autres milieux. Une minorité des zones de landes sont naturelles. D'après les dépôts de pollens retrouvés, ces zones étaient couvertes d'arbres. Un défrichage ancien, puis des techniques de culture peu judicieuses (écobuage, soutrage, brûlis, retournement du sol), amena la désertification donc l'abandon de ces terres. La résilience de l'ancien écosystème forestier ayant été dépassée, seule la lande put s'implanter. Sur ces sols ruinés, la culture des pins paraît la plus intéressante, puisque ces arbres s'implantent facilement et le délai d'exploitation est très court. Cependant, comme toutes les cultures mono-spécifiques, celles de pins est judicieuse économiquement à court terme, au prix d'un bilan écologique néfaste. La forêt de résineux est la seule pouvant s'implanter dans des zones où les conditions sont trop extrêmes pour les forêts de feuillus ou mixte. La monoculture de résineux dans tous les autres endroits est donc contre nature. Elle amène la podzolisation du sol, c'est-à-dire une stérilisation de la couche arable du sol par le lessivage systématique des substances nutritives qui s'y trouvent. À une certaine profondeur, les substances emportées se concentrent et forment de l'alios, le sol y est dur et imperméable comme de la pierre. Comparée aux autres types de forêts, celles composées uniquement de conifères ont une biodiversité très pauvre, car leur litière est toxique.

Zèbres et termitière. Source : http://data.abuledu.org/URI/536018d8-zebres-et-termitiere

Zèbres et termitière

Zèbres et termitière en Tanzanie. Sa structure, construite et entretenue par les termites, est conçue pour une ventilation passive et le maintien d'une température et hygrométrie optimales pour le nid. Leurs formes et structures sont très variées. Ces monticules ou cheminées pouvant atteindre 6 m de haut (exceptionnellement jusqu'à 8 m en Afrique), et leur diamètre à la base, jusqu'à 30 m. La muraille de ces termitières, très dure, est faite d'un mélange de terre et de salive cuit par le soleil. Une termitière humivore est source de richesse organique et minérale, constituant un îlot de fertilité dans les cas étudiés en zone soudano-sahélienne. Elles sont utiles à la bonne conservation de la matière organique du sol en savane, abritant une communauté microbienne à la fois différente de celle du tube digestif des termites et du sol environnant. Elles ont une activité dénitrifiante 18 fois plus élevée que celle du sol local.Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Termiti%C3%A8re