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Nuage de mots clés

Dessins et plans | Photographie | Trains à grande vitesse | TGV | Inventions | ABCD | ABCD-inventions | Vents | Vitesse angulaire | Vents -- Vitesse | Physique | Vecteurs | Mesures | Trains à vapeur | Vitesse | Automobiles | Signalisation routière | Éclipses de soleil (1999) | Peinture | Rotation | ...
Le petit lapin timide et pas malin, 4. Source : http://data.abuledu.org/URI/52781a78-le-petit-lapin-timide-et-pas-malin-4

Le petit lapin timide et pas malin, 4

Le petit lapin timide et pas malin, 4. Bande Dessinée par Yvain Coudert, Ryxéo, septembre 2013, illustrant ce conte de Djataka : Il détala à toute vitesse, sans même regarder derrière lui pour vérifier la source du bruit.

Le petit lapin timide et pas malin, 8. Source : http://data.abuledu.org/URI/52781f8a-le-petit-lapin-timide-et-pas-malin-8

Le petit lapin timide et pas malin, 8

Le petit lapin timide et pas malin, 8. Bande Dessinée par Yvain Coudert, Ryxéo, septembre 2013, illustrant ce conte de Djataka : L'un après l'autre, d'autres lapins se mirent à courir, des centaines de lapins se mirent à courir à toute vitesse.

Le sprinter Beaufrand en 1931. Source : http://data.abuledu.org/URI/58852712-le-sprinter-beaufrand-en-1931

Le sprinter Beaufrand en 1931

Le sprinter français Roger Beaufrand (1908 - 2007), champion olympique du kilomètre aux Jeux olympiques d'Amsterdam en 1928. (Épreuve recadrée.)

Levier pour amplifier un effort humain. Source : http://data.abuledu.org/URI/52e521c5-levier

Levier pour amplifier un effort humain

Barre métallique servant de levier. Croquis de Pearson Scott Foresman. Le levier peut être utilisé pour amplifier un mouvement ou une vitesse, ou bien pour amplifier un effort, les deux étant exclusifs (c'est l'un ou l'autre). Source : http://fr.wikiversity.org/wiki/M%C3%A9canique_pour_l%27enseignement_technique_industriel/Notions_de_m%C3%A9canisme_et_de_structure

Machine électrique de Holtz. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c27d57-machine-electrique-de-holtz

Machine électrique de Holtz

Machine électrique de Holtz, dite machine à influence. Source : Bibliothèque des merveilles - Forces Physiques. Entre 1864 et 1880, W. T. B. Holtz a construit et a décrit un grand nombre de machines à influence considérées comme les plus avancées de l'époque. La machine de Holtz est composée d'un disque de verre monté sur un axe horizontal fait pour tourner à une vitesse considérable par démultiplication. Un autre disque, immobile, porte des échancrures dans lesquelles passent de petites pattes conductrices qui permettent aux inducteurs de se décharger.

Manche à air. Source : http://data.abuledu.org/URI/50940c10-manche-a-air

Manche à air

La manche à air, parfois appelée la manche à vent, est un dispositif destiné à indiquer non seulement la direction du vent, mais aussi — contrairement à la girouette — une estimation de sa vitesse. La manche à air est constituée d'un mât auquel est attaché un manchon conique en tissu, resserré à son extrémité. Ce manchon comporte cinq anneaux alternant trois rouges et deux blancs. L'air entre par le gros bout du manchon, celui près du mât, et est soulevé dans la direction opposée à celle d'où vient le vent. Chacune des bandes de couleur, lorsque gonflée par le vent, correspond à environ 5 nœuds (environ 9 km/h) ; le manchon est donc à l'horizontale lorsque le vent souffle à plus de 25 nœuds (environ 45 km/h). Cela donne une estimation relativement précise de la direction et de la vitesse du vent jusqu'à cette force.

Manche à air. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d60b8e-manche-a-air

Manche à air

La manche à air, parfois appelé la manche à vent, est un dispositif destiné à indiquer non seulement la direction du vent, mais aussi — contrairement à la girouette — une estimation de sa vitesse. La manche à air est constituée d'un mât auquel est attaché un manchon conique en tissu, resserré à son extrémité. Ce manchon comporte cinq anneaux alternant trois rouges et deux blancs. L'air entre par le gros bout du manchon, celui près du mât, et est soulevé dans la direction opposée à celle d'où vient le vent. Chacune des bandes de couleur, lorsque gonflée par le vent, correspond à environ 5 nœuds (environ 9 km/h) ; le manchon est donc à l'horizontale lorsque le vent souffle à plus de 25 nœuds (environ 45 km/h). Cela donne une estimation relativement précise de la direction et de la vitesse du vent jusqu'à cette force.

Mesure de la vitesse de la lumière par Foucault. Source : http://data.abuledu.org/URI/50aa9fd1-mesure-de-la-vitesse-de-la-lumiere-par-foucault

Mesure de la vitesse de la lumière par Foucault

Appareillage utilisé par Foucault avec miroir tournant pour mesurer la vitesse de la lumière : en bas à gauche, la lumière est réfléchie par un miroir tournant (à gauche) en direction d'un miroir fixe (en haut) ; à droite, la lumière réfléchie en provenance du miroir stationnaire rebondit sur le miroir tournant qui a avancé d'un angle θ pendant le déplacement de la lumière. Le télescope situé à un angle 2θ de la source récupère le rayon réfléchi par le miroir tournant. Vers 1848, Fizeau et Foucault se lancent dans la mise au point d'expériences visant à mesure la vitesse de la lumière sur Terre, et à comparer la vitesse de la lumière dans l'air et dans l'eau.

Mesure de la vitesse de la lumière, par un miroir tournant. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a790ef-mesure-de-la-vitesse-de-la-lumiere-par-un-miroir-tournant

Mesure de la vitesse de la lumière, par un miroir tournant

Schéma de l'expérience du miroir tournant pour la détermination de la vitesse de la lumière (Léon Foucault et Hippolyte Fizeau) : Méthode du miroir tournant, fabriqué par Louis Breguet. Le faisceau émis par la source ⊗ est réfléchi par un miroir tournant à grande vitesse, qui l'envoie sur un télescope fixe à distance S, ce qui donne une brève impulsion au moment où le miroir tournant est orienté dans la bonne direction. Cette impulsion réfléchie va trouver le miroir tournant décalé d'un angle α/2, et va donc se réfléchir à un angle α de la source. La mesure de la distance X ~ α P fournit la vitesse de la lumière connaissant la vitesse de rotation du miroir, et les diverses distances. En 1850, il mesure la vitesse de l'électricité avec E. Gounelle.

Métronome . Source : http://data.abuledu.org/URI/50f0318c-metronome-

Métronome

Un métronome est un instrument donnant un signal audible ou visuel permettant d'indiquer un tempo, vitesse à laquelle doit être jouée une musique. Il est surtout utilisé dans l'étude d'une partition, la mise en place d'une interprétation ou la recherche du minutage (timing) d'une œuvre musicale.

Minkowski, le trajet d'un photon. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ad7bd4-minkowski-le-trajet-d-un-photon

Minkowski, le trajet d'un photon

Référentiel inertiel de Minkowski : Ligne d'univers du photon. En jaune le trajet d'un photon x = ct, avec c = vitesse de la lumière. Le diagramme de Minkowski est un diagramme d'espace-temps développé en 1908 par Hermann Minkowski, qui fournit une représentation des propriétés de l'espace-temps défini par la théorie de la relativité restreinte. Il permet une compréhension qualitative et intuitive de phénomènes comme la dilatation du temps, la contraction des longueurs ou encore la notion de simultanéité, sans utiliser d'équations mathématiques. Pour la lisibilité du diagramme, une seule dimension spatiale est représentée. Contrairement aux diagrammes distance/temps usuels, la coordonnée spatiale est en abscisse et le temps en ordonnée. Les objets décrits par ce diagramme peuvent être pensés comme se déplaçant du bas vers le haut à mesure que le temps passe. La trajectoire d'un objet dans ce diagramme est appelée ligne d'univers. Une particule immobile aura une ligne d'univers verticale. Chaque point du diagramme représente une certaine position dans l'espace et le temps. Cette position est appelée un événement, indépendamment du fait qu'il se passe réellement quelque chose en ce point ou non. Pour faciliter l'utilisation du diagramme, l'axe des ordonnées représente une quantité "ct" qui est le temps multiplié par la vitesse de la lumière "c". Cette quantité est assimilable également à une distance. De cette manière, la ligne d'univers du photon est une droite de pente 45°, l'échelle des deux axes étant identique dans un diagramme de Minkowski.

Minkowski, messages vers le passé. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ad8096-minkowski-messages-vers-le-passe

Minkowski, messages vers le passé

Émission d'un message vers le passé, à une vitesse supraluminique, de S à M' via O'. Description de la contradiction à laquelle on aboutit quand on transmet des signaux plus vite que la lumière (émission de signaux dans son propre passé). Adapté de David Bohm, "The Special Theory of Relativity" p. 121. Le diagramme de Minkowski permet de mettre en évidence les contradictions et paradoxes qui interviennent à partir du moment où on postule qu'une information peut se propager à une vitesse supérieure à celle de la lumière. Notamment, il serait possible dans ces conditions de transmettre une information dans son propre passé.

Mixeur. Source : http://data.abuledu.org/URI/5141e135-mixeur

Mixeur

Le mixeur (ou mélangeur au Québec) est un appareil destiné à mélanger des ingrédients. Il est composé d’un moteur installé dans un socle fixe et d’un récipient vertical qui reçoit les ingrédients. Le moteur entraîne une lame qui tourne à grande vitesse dans le bas du récipient. Cette rotation rapide permet d’incorporer de l’air dans les préparations, tout en les rendant plus liquides.

Odomètre et indicateur de vitesse. Source : http://data.abuledu.org/URI/58e66ca4-odometre-et-indicateur-de-vitesse

Odomètre et indicateur de vitesse

Indicateur de vitesse (années 1980) équipé en son centre d'un odomètre ou compteur kilométrique : Citroën "Acadiane", 1986.

Orthogonalité dans l'espace de Minkowski. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ad8268-orthogonalite-dans-l-espace-de-minkowski

Orthogonalité dans l'espace de Minkowski

Orthogonalité dans l'espace de Minkowski pour une vitesse v=0. Dans la représentation qu'est un diagramme de Minkowski, l'orthogonalité minkowskienne possède une propriété que ne possède pas l'orthogonalité euclidienne : l'angle entre un vecteur et son orthogonal varie en fonction de l'inclinaison du vecteur (en géométrie euclidienne, l'angle est fixe et égal à 90°). Quand le vecteur est de « genre lumière », ce vecteur est alors son propre orthogonal : la ligne d'univers est contenue dans le plan de simultanéité. Pour un photon, le temps ne s'écoule pas quand il progresse sur sa ligne d'univers.

Orthogonalité de Minkowski. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ad82c2-orthogonalite-de-minkowski

Orthogonalité de Minkowski

Orthogonalité dans l'espace de Minkowski pour une vitesse v=0.9c.

Orthogonalité de Minkowski. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ad8308-orthogonalite-de-minkowski

Orthogonalité de Minkowski

Orthogonalité dans l'espace de minkowski pour une vitesse v=c.

Panache Petitgris 24. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c61462-panache-petitgris-24

Panache Petitgris 24

Panache Petitgris, 1911, par Beatrix Potter (1866-1943) : The Tale of Timmy Tiptoes-24, Source : http://www.gutenberg.org/ebooks/14797. Le tamia rayé s'enfuit à toute vitesse.

Panneau de risque de léopards. Source : http://data.abuledu.org/URI/51379fcb-panneau-de-risque-de-leopards

Panneau de risque de léopards

Panneau routier en Namibie : limitation de vitesse, risque de traversée de léopards.

Panneau de signalisation d'éclipse solaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/54132466-panneau-de-signalisation-d-eclipse-solaire

Panneau de signalisation d'éclipse solaire

Panneau routier sur l'autoroute A4 d'interdiction de vitesse supérieure à 70 Km/h pendant l'éclipse solaire du 11 août 1999.

Panneau de signalisation pendant l'éclipse solaire de 1999. Source : http://data.abuledu.org/URI/550cc314-panneau-de-signalisation-pendant-l-eclipse-solaire-de-1999

Panneau de signalisation pendant l'éclipse solaire de 1999

Panneau routier d'interdiction - vitesse limite à 70 Km/h pendant l'éclipse solaire de 1999.

Petit Koudou femelle et son petit. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d65c0-petit-koudou-femelle-et-son-petit

Petit Koudou femelle et son petit

Petit koudou femelle (Tragelaphus imberbis) broutant avec son petit. Le petit koudou est une antilope de taille moyenne, très élancée, fine et haute sur pattes, mais plus petite que son cousin le Grand koudou. Les petits koudous vivent dans une grande aire de répartition situé à l'Est de l’Afrique. Le petit koudou aime les acacias, les brousses denses des zones semi-arides. Les petits koudous ne possèdent pas de territoire, mais un domaine vital d'environ 200 hectares. Les petits koudous sont des herbivores phytophages et opportunistes. Ils se nourrissent de feuillages, pousses, bourgeons, tubercules, fruits, racines et un peu d'herbes. Ils boivent régulièrement, mais peuvent se passer d'eau pendant de longues périodes. Léopards, guépards, lycaons, lions ensuite les babouins et les pythons s'attaquent aux jeunes. Animal vigilant, doté d'une bonne vue diurne, d'un bon odorat et d'une ouie très fine. Le petit koudou est un coureur rapide ainsi qu'un bon sauteur. Il peut bondir jusqu'à 2 mètres de hauteur et jusqu'à 7 mètres en longueur. Il court à 30 km/h en vitesse normale, mais peut accélérer en cas de danger et atteindre environ 70 km/h de moyenne sur une course de vitesse ou un sprint avec des pointes maximales proches de 100 km/h sur une courte distance, qui lui permet de semer ses prédateurs.

Pluie, Vapeur et Vitesse. Source : http://data.abuledu.org/URI/546a45f2-pluie-vapeur-et-vitesse

Pluie, Vapeur et Vitesse

Pluie, Vapeur et Vitesse - Le Grand Chemin de Fer de l’Ouest, 1844, par Joseph Mallord William Turner (1775-1851).

Portée vélique : portance et traînée. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b0c800-portee-velique-portance-et-trainee

Portée vélique : portance et traînée

Schéma type d'un profil représentant l'évolution de la traînée C_D et de la portance C_L suivant l'incidence. La portance latérale n'est quasiment jamais représentée car le profil est assimilé à un profil d'allongement infini donc les valeurs mesurées sont faibles. La forme générale de la force F = frac12 imes ho imes S imes C imes V^2 est calculée ou mesurée dans une veine d'air à vitesse aussi uniforme que possible arrivant sur la voile. La force est décomposable suivant les trois dimensions. La viscosité par nature frotte sur le profil, et donc engendre un effet résistant au mouvement. Plus important, cette viscosité perturbe le flux d'air autour du profil ; cette perturbation engendre une force considérable perpendiculairement au profil. De même, comme le profil n'est pas infini, les extrémités du profil engendrent elles aussi un effort dans la dimension restante. La voile se déforme sous l'effet du vent et prend une forme nommée profil. Lorsque l'écoulement de l'air autour de ce profil est laminaire, le facteur dépression face sous le vent devient déterminant. Cet effet est alors appelé portance. Les études et la théorie établissent pour une voile que : la dépression relative sur l'extrados (face sous le vent) représente les 2/3 de la portance, la surpression sur l'intrados (face au vent) représente 1/3 de la portance.

Principe de la mesure optique de la vitesse angulaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/518faa6e-principe-de-la-mesure-optique-de-la-vitesse-angulaire

Principe de la mesure optique de la vitesse angulaire

Effet Sagnac : Principe de la mesure optique de la vitesse angulaire. On appelle effet Sagnac le décalage temporel de la réception de deux signaux lumineux tournant en sens inverse autour de la circonférence d'un disque en rotation (par rapport à un référentiel inertiel), quand ils sont émis par un émetteur-récepteur fixé sur ce disque. L'effet Sagnac a été découvert par Georges Sagnac en 1913.

Production annuelle d'électricité dans le monde. Source : http://data.abuledu.org/URI/5218f83f-production-annuelle-d-electricite-dans-le-monde

Production annuelle d'électricité dans le monde

Évolution de la production annuelle nette d'électricité dans le monde depuis trente ans (1980-2009) : en vert, renouvelable ; en rouge nucléaire ; en marron, d'origine fossile. Pour rattraper le retard pris par rapport aux objectifs de Rio de Janeiro et Kyoto, l'ONU a proposé en 2011 un nouvel objectif pour que 30 % de l'énergie utilisée en 2030 soit produite grâce à des énergies renouvelables comme les éoliennes. Les combustibles fossiles ou minéraux (matériaux fissiles) ne sont pas des sources d'énergie renouvelables, les ressources étant consommées à une vitesse bien supérieure à la vitesse à laquelle celles-ci sont naturellement créées ou disponibles. Source : EIA, U.S. information Source Energy.

Radar à impulsions. Source : http://data.abuledu.org/URI/5232f9bc-radar-a-impulsions

Radar à impulsions

Schéma de fonctionnement du radar à impulsions avec une longueur d'onde de 5,35 cm caractéristique de plusieurs radars météorologiques. Une manière de mesurer la distance à un objet est d'émettre une courte impulsion de signal radio, et de mesurer le temps que prend l'onde pour revenir après avoir été réfléchie. La distance est la moitié du temps de retour de l'onde (car le signal doit aller à la cible puis revenir) multipliée par la vitesse du signal (qui est proche de la vitesse de la lumière dans le vide si le milieu traversé est l'atmosphère). Quand l'antenne est à la fois émettrice et réceptrice (ce qui est le cas le plus courant), l'antenne ne peut pas détecter l'onde réfléchie (aussi appelée retour) pendant que le signal est émis - on ne peut pas savoir si le signal mesuré est l'original ou le retour. Cela implique qu'un radar a une portée minimale, qui est la moitié de la durée de l'impulsion multipliée par la vitesse de la lumière. Pour détecter des cibles plus proches, il faut utiliser une durée d'impulsion plus courte.

Réaction avec et sans catalyse. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cdb6cc-reaction-avec-et-sans-catalyse

Réaction avec et sans catalyse

Illustration d'un changement d'énergie d'activation causée par une catalyse. Effet d'un catalyseur positif sur l'énergie d'activation d'une réaction : elle est plus faible et la vitesse de réaction augmente. Source : original créé par Bkel, en vectorisant l'image de Vinay.bhat, qui détient le copyright mais a relâché les droits.

Records du 100 mètres de 1910 à 2010. Source : http://data.abuledu.org/URI/54737e54-records-du-100-metres-de-1910-a-2010

Records du 100 mètres de 1910 à 2010

Graphique représentant l'évolution du record du monde du 100m hommes (athlétisme) de 1910 à 2010.

Relativité restreinte : collision entre deux particules. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b2162e-relativite-restreinte-collision-entre-deux-particules

Relativité restreinte : collision entre deux particules

Conservation du quadrivecteur énergie-impulsion dans une collision entre deux particules. Une collision de deux particules est représenté dans la figure ci-contre. Une particule A de masse 8 (en unités arbitraires) animée d'une vitesse v/c de 15/17 dirigée vers la droite frappe une particule de masse 12 arrivant en sens inverse avec une vitesse v/c de 5/13 (les chiffres ont été choisis pour que les calculs "tombent juste"). Après la collision, A rebondit dans l'autre sens en ayant communiqué à B une partie de sa quantité de mouvement. L'énergie totale, somme des énergies des particules A et B est conservée, de même que la quantité de mouvement totale. Les grandeurs E et p indiquées représentent en réalité (E/c2) et (p/c) et sont exprimées en unités de masse, arbitraires. Avec ces grandeurs on a la relation E 2 = p 2 + m 2. Le facteur γ est toujours défini par γ = [1 - (v/c)2]-1/2.

Relativité restreinte, gerbe de rayons cosmiques. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b22499-gerbe-png

Relativité restreinte, gerbe de rayons cosmiques

"Gerbe de rayons cosmiques", traduction de "Extended Air Shower": cascade de particules atmosphériques déclenchée par un proton incident. On détecte en astronomie des particules porteuses d'une énergie colossale : les rayons cosmiques. Bien que leur mécanisme de production demeure encore mystérieux, on peut mesurer leur énergie. Les nombres considérables que l'on obtient montrent que leur analyse exige l'emploi des formules de la relativité restreinte. Les rayons cosmiques fournissent donc une illustration idéale de la théorie d'Einstein. On détecte des particules jusqu'à des énergies invraisemblables de l'ordre de 1020 électron-volts, soit cent millions de TeV. Supposons donc qu'un rayon cosmique soit un proton de 1020 eV. Quelle est la vitesse de cette particule ? la vitesse du proton considéré est quasiment égale à la vitesse de la lumière. Elle n'en diffère que par moins de 10-22 (mais ne peut en aucun cas l'égaler). Voyons ce que ces chiffres impliquent pour les facteurs relativistes existant entre le référentiel propre de la particule et le référentiel terrestre. Notre propre Galaxie, de diamètre environ cent mille années-lumière est traversée par la lumière en cent mille ans. Par conséquent pour un observateur terrestre le proton traverse cette Galaxie dans le même temps. L'extraordinaire c'est que dans le référentiel du proton relativiste, le temps correspondant est 1011 fois plus faible, et vaut donc 30 secondes (une année fait 3×107 secondes) ! Notre proton ultra-relativiste et ultra-énergétique traverse notre Galaxie en 30 secondes de son temps propre mais en 100 000 ans de notre temps terrestre. Lorsque ce rayon cosmique heurte un atome d'oxygène ou d'azote de l'atmosphère terrestre à une altitude de l'ordre de 20 à 50 kilomètres au-dessus du sol, une gerbe de particules élémentaires se déclenche contenant en particulier des muons. Une partie d'entre eux se dirigent vers le sol avec une vitesse pratiquement égale à celle de la lumière, de 300 000 kilomètres par seconde dans le référentiel terrestre. Ces particules traversent donc les quelque 30 kilomètres d'atmosphère en 10-4 seconde (ou 100 microsecondes).

Repère d'Euler. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ccd859-repere-d-euler

Repère d'Euler

Repère d'Euler (en vert). Les composantes du pseudovecteur vitesse angulaire ont été calculé pour la première fois par Leonhard Euler en utilisant ses angles d'Euler et un repère intermédiaire construit à partir des repères intermédiaires de la construction : 1-Un axe du repère de référence (l'axe de précession), 2-La ligne des nœuds du repère tournant par rapport au repère de référence (axe de nutation), 3-Un axe du repère tournant (l'axe de rotation intrinsèque). Euler prouva que les projections du pseudovecteur vitesse angulaire sur ces trois axes sont les dérivées des angles associés (ce qui est équivalent à décomposer la rotation instantanée en trois rotations de Euler instantanées). Ainsi : omega = dotalpha old u_1 +doteta old u_2 +dotgamma old u_3.

Réseau de trains à grande vitesse en Italie. Source : http://data.abuledu.org/URI/5209c76f-reseau-de-trains-a-grande-vitesse-en-italie

Réseau de trains à grande vitesse en Italie

Réseau de trains à grande vitesse en Italie.

Saison cyclonique 2012 dans l'Atlantique nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c83bdd-saison-cyclonique-2012-dans-l-atlantique-nord

Saison cyclonique 2012 dans l'Atlantique nord

Saison cyclonique 2012 dans l'Atlantique nord de mai à novembre : localisation de chaque cyclone toutes les six heures, codage couleur-vitesse selon l'échelle Saffir-Simpson.

Schémas d'écoulements transsoniques. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c866b8-schemas-d-ecoulements-transsoniques

Schémas d'écoulements transsoniques

Trois régimes d'écoulements transsoniques par rapport au nombre de Mach critique. En aérodynamique, le nombre de Mach critique d'un aéronef est le nombre de Mach le plus bas à partir duquel l'écoulement de l'air atteint la vitesse du son en un point au moins de l'appareil.

Scooter. Source : http://data.abuledu.org/URI/51b7295f-scooter

Scooter

Le scooter est une motocyclette caractérisée par des petites roues (d'un diamètre souvent inférieur à 36 cm), un cadre ouvert formant plancher (un large espace entre les roues permet d’y placer les pieds et éventuellement des bagages) et un carénage. Les scooters sont souvent équipés d'un variateur de vitesse mécanique.

Sources de bruit d'une voiture. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d5bfba-sources-de-bruit-d-une-voiture

Sources de bruit d'une voiture

urces de bruit dans une automobile. Le bruit est principalement généré par : le système d'admission, le groupe motopropulseur, le système d'échappement et la bouche d'échappement ; la vitesse (roulement, écoulement aérodynamique, vibration des panneaux, projections d'eau, etc.) ; et la climatisation (ventilation, ...).

Spin d'un cheval. Source : http://data.abuledu.org/URI/52e8cfe8-spin-d-un-cheval

Spin d'un cheval

Lors de l'épreuve de Reining en équitation western, le cheval doit réaliser une figure que l'on appelle le "Spin". Le spin, ou pivot sur l’arrière-main, est un tour complet du cheval sur ses hanches, avec un postérieur qui reste planté dans le sol. Cette figure doit se réaliser avec le plus de vitesse possible.

Statue de la déesse de la Victoire. Source : http://data.abuledu.org/URI/509048a6-statue-de-la-deesse-de-la-victoire

Statue de la déesse de la Victoire

Statue de la déesse de la Victoire, 2°-1er siècle avant JC : Elle est représentée comme une divinité ailée, capable de se déplacer à grande vitesse. Une célèbre sculpture de Niké, la Victoire de Samothrace, est conservée au musée du Louvre. Elle est aussi souvent représentée dans les mains de Zeus et d'Athéna. Le prénom Bérénice (littéralement "qui porte la victoire") est directement tiré de cette divinité, ainsi que le nom de la ville de Nice.

Temps de parcours du GPS. Source : http://data.abuledu.org/URI/50aa9870-temps-de-parcours-du-gps

Temps de parcours du GPS

Temps de parcours du GPS. Positions limites du récepteur en vert, Émissions des signaux par le satellite en rouge : 67ms pour 20200km et 86ms pour 26000km. Les horloges des satellites étant synchronisées sur une source commune (le "temps GPS"), il suffit de recevoir des signaux de quatre satellites pour disposer de quatre "pseudo-distances", calculées en multipliant le temps de parcours entaché de l'erreur de synchronisation de l'horloge du récepteur par la vitesse de propagation ; la résolution du système de quatre équations à quatre inconnues permet d'accéder à celles-ci : les trois coordonnées du récepteur et le décalage de son horloge par rapport aux horloges des satellites.

TGV au Japon. Source : http://data.abuledu.org/URI/565742a1-tgv-au-japon

TGV au Japon

TGV, gare de Hakata Station, juillet 1998.

TGV au Japon. Source : http://data.abuledu.org/URI/56574329-tgv-au-japon

TGV au Japon

TGV entre les gares de Kakegawa et de Shizuoka.

TGV de Paris à Dijon en 1984. Source : http://data.abuledu.org/URI/56574433-tgv-de-paris-a-dijon-en-1984

TGV de Paris à Dijon en 1984

TGV de Paris à Dijon en 1984.

TGV et train à vapeur près de Montereau en 1987. Source : http://data.abuledu.org/URI/5657448d-tgv-et-train-a-vapeur-pres-de-montereau-en-1987

TGV et train à vapeur près de Montereau en 1987

Croisement entre un TGV Sud-Est et un train à vapeur à proximité de Montereau (sur le territoire de la commune de Saint-Germain-Laval) le 24 mai 1987.

Train à grande vitesse. Source : http://data.abuledu.org/URI/51603488-train-a-grande-vitesse

Train à grande vitesse

Train allemand à grande vitesse A ICE 1 Nuremberg-Munich, sortant du tunnel de Schellenberg-tunnel.

Turboréacteur. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c83ec3-turboreacteur

Turboréacteur

Schéma de turboréacteur d'avion typique (simple flux, simple corps). L'air est comprimé par les pales en entrant dans le réacteur, puis est mélangé avec le carburant qui brûle dans la chambre de combustion. Les gaz d'échappement donnent une forte poussée en avant et font tourner les turbines qui actionnent les pales de compression. Un turboréacteur fonctionne sur le principe d'action-réaction. La variation de vitesse de l'air entre l'entrée et la sortie du réacteur crée une quantité de mouvement (dénommée poussée) vers l'arrière du moteur qui, par réaction, — d'où le terme de moteur à réaction — engendre le déplacement du moteur, donc du véhicule sur lequel il est fixé, vers l'avant. Le turboréacteur fonctionne sur le principe des turbines à gaz. À l'admission, l'air est aspiré par la soufflante (le cas échéant) puis comprimé via un compresseur (dans tous les cas). Du kérosène est ensuite injecté puis mélangé avec l'air au niveau de la chambre de combustion puis enflammé, ce qui permet de fortement dilater les gaz. Ces derniers s'échappent du turboréacteur par la tuyère qui, en raison de sa section convergente, augmente la vitesse de l'air (suivant l'effet venturi) (l'écoulement étant maintenu subsonique au sein du réacteur). L'air passe au préalable par une turbine permettant d'entraîner le compresseur et les accessoires nécessaires au fonctionnement du réacteur ; le mouvement est auto-entretenu tant qu'il y a injection de carburant. En simplifiant, l'énergie de pression engendrée au sein du réacteur sera transformée en énergie cinétique en sortie, ce qui engendrera une forte poussée. À l'image des moteurs automobile, le turboréacteur réalise ainsi un cycle continu à quatre temps — admission, compression, combustion et détente/échappement — théoriquement décrit par le cycle de Brayton. Ce cycle est constitué d'une compression adiabatique réversible, d'une combustion isobare irréversible (le réacteur étant considéré comme un système ouvert), d'une détente adiabatique réversible et d'un refroidissement isobare réversible.

Une bicyclette. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d58c87-une-bicyclette

Une bicyclette

Une bicyclette, ou un vélo, est un véhicule terrestre composé de deux roues alignées (d'où le nom « bicyclette »). La force motrice est fournie par son conducteur (appelé « cycliste »), en position le plus souvent assise, par l'intermédiaire de deux pédales entraînant la roue arrière par une chaîne. La bicyclette est l'un des principaux moyens de transport dans de nombreuses parties du monde. Sa pratique, le cyclisme, constitue à la fois un usage quotidien, un loisir populaire et un sport. Par rapport à la marche, le vélo est trois fois plus efficace à effort égal et entre trois et quatre fois plus rapide. Il a été également calculé qu'en termes de conversion en mouvement de l'énergie issue de la nourriture, il s'agit d'une forme de locomotion plus efficace que celle de n'importe quel organisme biologique. La bicyclette ne dispose que de deux points d'appui au sol : elle se trouve nécessairement en équilibre instable. On parle d'équilibre métastable, car le passage de la position d'équilibre temporaire à une position de déséquilibre perceptible est relativement lent. Les principales forces en action sont : la gravité, qui tend à attirer le vélo vers le sol ; la force centrifuge, qui lorsque le vélo vire, tend à le redresser vers l'extérieur du virage. L'équilibre est maintenu dynamiquement par les actions du cycliste, qui s'emploie à toujours redresser sa machine en la faisant tourner légèrement dans la direction où elle commence à tomber. Le cycliste jongle donc en permanence entre ces deux forces pour compenser les effets de l'une avec l'autre et réciproquement. Il est aidé en cela par la chasse du vélo : il s'agit de la distance entre l'intersection de l'axe de la fourche avec le sol et du point de contact de la roue avant au sol. En effet, l'axe de la fourche est incliné de manière à ce que son intersection avec le sol se trouve en avant du point de contact de la roue avec le sol. Ainsi, si le vélo est penché d'un côté, la roue avant va être forcée à se placer de manière à faire tourner le vélo du même côté, engageant ainsi un virage tendant à équilibrer cette inclinaison. Enfin, on peut noter que lorsque le vélo roule, l'effet gyroscopique lié à la rotation des roues vient contrarier toute variation de la position de leurs axes. Ce phénomène est proportionnel à la vitesse de rotation des roues et à leur masse. Cet effet reste habituellement négligeable et est normalement imperceptible par le cycliste. En effet, la masse et donc l'inertie du vélo et de son pilote sont d'un ordre de grandeur supérieur à celle des roues, ce qui réduit considérablement l'influence de l'effet gyroscopique. Lorsque la vitesse augmente, l'effet gyroscopique augmente en proportion et devient plus perceptible.

Vecteur vitesse angulaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ccd4e5-vecteur-vitesse-angulaire

Vecteur vitesse angulaire

Le vecteur vitesse angulaire d'une particule au point P par rapport à l'origine O est déterminé par la composante orthogonale du vecteur vitesse v. La vitesse angulaire d'une particule est mesurée par rapport ou relativement à un point, appelé origine. Comme indiqué sur la figure (avec les angles phi et heta en radians, si l'on trace une droite depuis l'origine (O) jusqu'à la particule (P), alors le vecteur vitesse (v) de la particule a une composante le long de la droite (composante radiale, v∥) et une composante orthogonale (v_perp). Si la composante radiale est nulle, la particule se déplace sur un cercle, alors que si la composante orthogonale est nulle, la particule se déplace sur une ligne droite passant par l'origine. Un mouvement radial n'induit aucun changement dans la direction de la particule par rapport à l'origine, c'est pourquoi, lorsque l'on s'intéresse à la vitesse angulaire, la composante radiale peut être ignorée. Ainsi, la rotation est entièrement produite par le mouvement orthogonal relativement à l'origine, et la vitesse angulaire est entièrement déterminée par cette composante.

Vecteur vitesse angulaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ccd5fe-vecteur-vitesse-angulaire

Vecteur vitesse angulaire

Le vecteur vitesse angulaire décrit la vitesse de rotation et l'axe de rotation instantanée. La direction du vecteur vitesse angulaire est celle de l'axe de rotation; dans ce cas (sens anti-horaire) le vecteur point vers le haut. En trois dimensions, la vitesse angulaire est en général considérée comme un vecteur, ou plus précisément, un pseudovecteur. On parle du vecteur (ou pseudovecteur) vitesse angulaire. Il a non seulement une magnitude, mais aussi une direction et un sens. La magnitude est la vitesse angulaire scalaire et la direction indique l'axe de rotation. Le sens du vecteur précise le sens de rotation, via la règle de la main droite.