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Photographie | Dessins et plans | Gravure | Peinture | Dix-neuvième siècle | Physique | Grenouilles | Jean de La Fontaine (1621-1695) | Fables | Boeufs | Littérature de jeunesse | Art nouveau (décoration) | Isaac Newton (1642-1727) | Hans Christian Andersen (1805-1875) | Contes | Lumière | Dix-septième siècle | Volcanisme | Lumière -- Propagation | Allégories -- Dans l'art | ...
La grenouille qui se veut faire aussi grosse que le boeuf. Source : http://data.abuledu.org/URI/51816e74-la-grenouille-qui-se-veut-faire-aussi-grosse-que-le-boeuf

La grenouille qui se veut faire aussi grosse que le boeuf

La grenouille qui se veut faire aussi grosse que le boeuf, fable de Jean de La Fontaine (1621-1695). 106 mots, à partir du CE1.

La grenouille qui veut se faire aussi grosse que le boeuf. Source : http://data.abuledu.org/URI/510bfe64-la-grenouille-qui-veut-se-faire-aussi-grosse-que-le-boeuf

La grenouille qui veut se faire aussi grosse que le boeuf

La grenouille qui veut se faire aussi grosse que le boeuf, illustration par François Chauveau (1613-1676), pour les « Fables choisies mises en vers par M. de la Fontaine », Claude Barbin et Denys Thierry, Paris, 1668 (premier recueil) 1678-79 (deuxième recueil) 1694 (troisième recueil).

La grenouille qui voulait se faire aussi grosse que le boeuf. Source : http://data.abuledu.org/URI/5197f0a9-la-grenouille-qui-voulait-se-faire-aussi-grosse-que-le-boeuf

La grenouille qui voulait se faire aussi grosse que le boeuf

La grenouille qui voulait se faire aussi grosse que le boeuf, 1906, illustration par Benjamin Rabier (1864-1939) des fables de Jean de La Fontaine (1621-1695).

La joueuse de Vielle. Source : http://data.abuledu.org/URI/514e1737-la-joueuse-de-vielle

La joueuse de Vielle

La joueuse de vielle, 1907, par Gustave Jacquet (1846–1909). La vielle à roue est un instrument à cordes frottées par une roue en bois au lieu d'un archet. La roue est tournée avec une manivelle, pendant que la main gauche du musicien joue la mélodie sur un clavier. La révolution française va provoquer un changement profond de l'usage de la vielle, qui revient alors dans le domaine des instruments régionaux et populaires. Au XIXe siècle, elle tombe en désuétude avant que le Berry, en quête d’identité, ne s’empare de l’instrument ainsi que de la cornemuse pour en faire ses emblèmes. La société des Gâs du Berry, fondée par Jean Baffier en 1888, solidifie cette réputation. Au XXe siècle, dans les années 1960 et 1970, le mouvement « folk » se l’approprie de nouveau et les groupes dits « folkloriques » se constituent.

La petite sirène d'Andersen. Source : http://data.abuledu.org/URI/5110f678-la-petite-sirene-d-andersen

La petite sirène d'Andersen

Illustration par Bertall de "La petite sirène" d'Andersen, 1876 (wikisource) : "Je vais te préparer un élixir que tu emporteras à terre avant le point du jour. Assieds-toi sur la côte, et bois-le. Aussitôt ta queue se rétrécira et se partagera en ce que les hommes appellent deux belles jambes. Mais je te préviens que cela te fera souffrir comme si l’on te coupait avec une épée tranchante.

La rentrée de Loïc - 4. Source : http://data.abuledu.org/URI/523046cf-la-rentree-de-loic-4

La rentrée de Loïc - 4

TOUT DANS LA TÊTE ! Pôvre tête !!! Tout autour de moi, vous voyez les livres que j'ai lus depuis que je vais à l'école. Je les ai comptés un à un. Je me demande bien comment a fait ma tête pour laisser entrer tout ça sans exploser. Et dire que demain, il y a une nouvelle fournée qui m'attend.

Le baron de Munchhausen - 6. Source : http://data.abuledu.org/URI/521e15ba-le-baron-de-munchhausen-6

Le baron de Munchhausen - 6

Les aventures du baron de Munchhausen - 6, série de cartes postales de Oskar Herrfurth (1862-1934). Résumé de la légende en allemand : Au cours d'une bataille contre les Turcs, Munchhausen avait poursuivi ses ennemis jusqu'à la place du marché d'une ville. Son cheval se précipita jusqu'à la fontaine et but plus que de raison. Il vit alors que l'animal avait perdu d'arrière-train et que l'eau s'écoulait par derrière. Heureusement il retrouva l'autre moitié de l'animal merveilleux à la sortie de la ville.

Le chat qui s'en va tout seul. Source : http://data.abuledu.org/URI/520e7f1a-le-chat-qui-s-en-va-tout-seul

Le chat qui s'en va tout seul

Illustration par Gleeson ou Bransom du conte "Le chat qui s'en va tout seul" des Histoires comme ça (Just so stories, c1912) de Rudyard Kipling (1865-1936), Garden City, NY : "Ça, c'est le portrait du Chat qui s'en va par les Chemins Mouillés du Bois Sauvage, remuant la queue et tout seul. Il n'y a pas autre chose dans l'image, excepté des champignons. Ils ne pouvaient pas faire autrement que de pousser là, parce que les Bois étaient si mouillés. La chose comme une motte sur la branche du bas n'est pas un oiseau. C'est de la mousse qui poussait là, parce que les Bois Sauvages étaient si mouillés. Au-dessous de l'image pour de vrai, il y en a une autre de la Caverne commode où l'Homme et la Femme s'installèrent après la venue du Bébé. C'était la Caverne d'été, et ils plantèrent de l'orge devant. L'Homme part sur le dos du Cheval chercher la Vache, afin de la ramener à la Grotte pour se faire traire. Il lève une main pour appeler le Chien qui a traversé à la nage pour courir après des Lapins."

Le conte d'Ourson, chapitre 1. Source : http://data.abuledu.org/URI/53138e76-le-conte-d-ourson-chapitre-1

Le conte d'Ourson, chapitre 1

Le conte d'Ourson, chapitre 1, Le crapaud et l'alouette, par la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931) : Agnella et Passerose "Quelle infortune ! s'écria-t-elle. Quelle honte que l'héritier d'un beau royaume soit un ours ! Que dira le roi Féroce, votre époux, si jamais il vous retrouve ?" "Et comment me retrouverait-il, Passerose ! Tu sais qu'après notre fuite nous avons été emportées dans un tourbillon, que nous avons été lancées de nuée en nuée, pendant douze heures, avec une vitesse telle que nous nous sommes trouvées à plus de trois mille lieues du royaume de Féroce."

Le conte de Moins que rien. Source : http://data.abuledu.org/URI/507db42f-le-conte-de-moins-que-rien

Le conte de Moins que rien

Illustration du conte anglais "Moins que rien" (Nix Nought Nothing) de Joseph Jacobs, 1892, par Batten : la fille du géant convoque tous les poissons pour boire l'eau de l'étang.

Le géant Samson. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc31b4-le-geant-samson

Le géant Samson

Le géant Samson d'Ath en 2004 : il faut attendre 1804 pour que la procession reprenne vie et 1806-1807 pour que les géants renaissent sous les doigts du sculpteur Emmanuel Florent : L'Aigle, Samson, Goliath, sa femme et Tirant. En principe, les confréries sont abolies. Mais on retrouve différents corps de métiers accompagnés de leur protecteur ou de leur emblème. L'Aigle ainsi que Goliath et sa femme sont autonomes. Il n'est plus question des arbalétriers, ni des tailleurs. En revanche, Tirant est accompagné des archers et Samson des canonniers. Comme dans l'ancienne procession, les autorités civiles ou religieuses, les sociétés, les chars et les groupes religieux font également partie du défilé. Pendant d'entre-deux-guerres, Samson est costumé en homme d'armes du XVe siècle et porte le casque en cuivre. Il est suivi des arquebusiers ainsi que des canonniers avec leur pièce.

Le géologue Édouard Suess. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a2c1ca-le-geologue-edouard-suess

Le géologue Édouard Suess

Édouard Suess (1831 – 1914), géologue autrichien. Eduard Suess, né à Londres le 20 août 1831 et mort à Vienne le 26 avril 1914, est un géologue autrichien spécialiste des Alpes. Il découvre deux des traits géographiques majeurs de la Terre dans son état antérieur : le supercontinent Gondwana et la mer Téthys (1893). Sa découverte majeure concerne des fossiles de fougères Glossopteris similaires découverts en Amérique du Sud, en Afrique et aux Indes (ainsi qu'en Antarctique bien que cette découverte soit postérieure). Son explication est que ces trois continents étaient connectés en un supercontinent qu'il nomme Gondwanaland. Une fois encore sa théorie n'est pas entièrement correcte : Suess pense que les océans ont envahi les terres entre ces continents alors qu'en fait ils se sont éloignés les uns des autres. Il est un des représentants de la théorie de la contraction de la Terre. Ce modèle sera invalidé par la théorie de la dérive des continents d'Alfred Wegener.

Le gyroscope de Foucault. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a797d3-le-gyroscope-de-foucault

Le gyroscope de Foucault

Le gyroscope fut inventé et nommé en 1852 par Léon Foucault pour une expérimentation impliquant la rotation de la Terre. La rotation avait déjà été mise en évidence par le Pendule de Foucault. Cependant Foucault ne comprenait toujours pas pourquoi la rotation du pendule s'effectuait plus lentement que la rotation de la Terre. Un autre instrument était donc nécessaire pour mettre en évidence la rotation de la Terre de façon simple. Foucault présenta ainsi en 1852 un appareil capable de conserver une rotation suffisamment rapide (150 à 200 rotations par seconde) pendant un laps de temps suffisamment long (une dizaine de minutes) pour que des mesures observables puissent être effectuées. Cette prouesse mécanique (pour l'époque) illustre le talent en mécanique de Foucault et de son collaborateur, Froment. Foucault se rendit aussi compte que son appareil pouvait servir à indiquer le nord. En effet, en bloquant certaines pièces, le gyroscope s'aligne sur le méridien. Le compas gyroscopique était né. On trouvera également ce dispositif pour le guidage inertiel des missiles et, par exemple, le pilotage vers la Lune lors du programme Apollo. On en trouve également dans les satellites artificiels pour le contrôle de l'altitude.

Le Jardin du roi en 1636. Source : http://data.abuledu.org/URI/5103e5d5-le-jardin-du-roi-en-1636

Le Jardin du roi en 1636

"Vue cavalière du Jardin du Roi", aquarelle de Frédéric Scalberge (1542-1640) : Source : Bibliothèque du Muséum national d'histoire naturelle. Publiée en frontispice de la "Description du Jardin royal des Plantes médicinales" par Guy de La Brosse, médecin ordinaire de Louis XIII et fondateur du Jardin des Plantes. Créé en 1635, le Jardin du roi présente dès le début le dessin général de l'actuel jardin. Il sera à la Révolution rebaptisé Jardin des plantes de Paris. C’est l’un des plus anciens organismes scientifiques officiels français puisqu’il a ouvert un siècle après le Collège royal (1530) mais avant l’Académie des sciences (1666) et l’Observatoire de Paris (1672). C’est dès 1633 que Guy de la Brosse (1586-1641), par son insistance auprès de Louis XIII dont il est le médecin, et grâce au soutien de Jean Héroard (1550-1628), et de Richelieu (1585-1642), obtient la création d’un jardin botanique à vocation médicale à Paris. Le roi acquiert un terrain dans ce que l'on appelle alors le faubourg St-Victor et de la Brosse commence les premiers travaux et ensemencements. Mais l’Édit qui l’instaure n’est publié qu’en 1635 et le jardin n’est officiellement inauguré qu’en 1640 sous le nom de Jardin royal des plantes médicinales. Le projet suscite de nombreuses oppositions notamment de la part de la faculté de médecine de l’Université de Paris qui y voit un concurrent à son propre enseignement, d’autant que les cours sont ouverts à tous et donnés non en latin, mais en français. Ce n’est pas la seule nouveauté : certains sujets, comme la circulation du sang, y sont enseignés alors qu’ils sont encore critiqués par la faculté. Des enseignants viennent de l’Université de Montpellier, grande rivale de l’Université de Paris. Pour apaiser un peu les tensions, Louis XIII décide d’autoriser l’enseignement mais ne permet pas au Jardin d’y dispenser de diplômes, et le Jardin ne comptera, à la Révolution, que trois postes de professeurs : botanique, anatomie et chimie.

Le jeu des serpents et des échelles. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eb221c-le-jeu-des-serpents-et-des-echelles

Le jeu des serpents et des échelles

Version indienne du XIXème siècle du jeu des serpents et des échelles (Gouache sur tisse). Serpents et échelles ou le jeu de l'échelle est un jeu de société populaire consistant à déplacer les jetons sur un tableau de cases avec un dé en essayant de monter les échelles et en évitant de trébucher sur les serpents. Il est suggéré que l'origine du jeu est moksha-patamu, un ancien jeu hindou remontant au deuxième siècle av. Jésus-Christ, créé par des enseignants hindous spirituels, où les serpents et échelles sont des symboles pour la moralité et spiritualité de la vie. Le jeu est une représentation d'un chemin spirituel que les humains prennent pour atteindre le ciel. Avec des bons gestes, le chemin est raccourci (ce que symbolise les échelles), tandis qu'avec le contraire, le chemin est allongé (d'où vient le symbolisme des serpents). Les différentes cultures ont perçu dans le jeu une valeur éducative et spirituelle, la raison commune pour laquelle ce jeu est surtout présenté aux enfants et adolescents. Les sanscrits avaient un jeu semblable appelé Dapasada. La forme moderne du jeu a été inventée par un Britannique appelé John Jaques qui travaillait pour la société Jaques of London. L'édition la plus connue du jeu est celle de Milton Bradley et Hasbro. La trajectoire suivie par les jetons suit habituellement celle d'un boustrophédon. La forme du jeu peut être mathématiquement représentée par une chaîne de Markov. Elwyn Berlekamp, John Horton Conway et Richard K. Guy ont écrit un livre pour montrer que ce jeu pouvait être traité comme un jeu impartial dans la théorie des jeux combinatoires.

Le lézard d'Alice. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cfda5d-le-lezard-d-alice

Le lézard d'Alice

Le lézard projeté hors de la cheminée par le coup de pied d'Alice enfermée, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Elle retira son pied aussi bas que possible, et ne bougea plus jusqu’à ce qu’elle entendît le bruit d’un petit animal (elle ne pouvait deviner de quelle espèce) qui grattait et cherchait à descendre dans la cheminée, juste au-dessus d’elle ; alors se disant : « Voilà Jacques sans doute, » elle lança un bon coup de pied, et attendit pour voir ce qui allait arriver. La première chose qu’elle entendit fut un cri général de : « Tiens, voilà Jacques en l’air ! » Puis la voix du Lapin, qui criait : « Attrapez-le, vous là-bas, près de la haie ! » Puis un long silence ; ensuite un mélange confus de voix : « Soutenez-lui la tête. — De l’eau-de-vie maintenant. — Ne le faites pas engouer. — Qu’est-ce donc, vieux camarade ? — Que t’est-il arrivé ? Raconte-nous ça ! » Enfin une petite voix faible et flûtée se fit entendre. (« C’est la voix de Jacques, » pensa Alice.) « Je n’en sais vraiment rien. Merci, c’est assez ; je me sens mieux maintenant ; mais je suis encore trop bouleversé pour vous conter la chose. Tout ce que je sais, c’est que j’ai été poussé comme par un ressort, et que je suis parti en l’air comme une fusée. »

Le Songe de Tartini. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d9102a-le-songe-de-tartini

Le Songe de Tartini

Le Songe de Tartini, 1824, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845). Illustration de l'anecdote légendaire sur l'origine de la Sonate des trilles du Diable de Giuseppe Tartini (1692–1770) : « Une nuit (en 1713), je rêvais que j'avais fait un pacte, et que le Diable était à mon service. Tout me réussissait au gré de mes désirs, et mes volontés étaient toujours prévenues par mon nouveau domestique. J'imaginai de lui donner mon violon, pour voir s'il parviendrait à me jouer quelques beaux airs ; mais quel fut mon étonnement lorsque j'entendis une sonate si singulièrement belle, exécutée avec tant de supériorité et d'intelligence que je n'avais même rien conçu qui pût entrer en parallèle. J'éprouvai tant de surprise, de ravissement, de plaisir, que j'en perdis la respiration. Je fus réveillé par cette violente sensation. Je pris à l'instant mon violon, dans l'espoir de retrouver une partie de ce que je venais d'entendre ; ce fut en vain. La pièce que je composais alors est, à la vérité, la meilleure que j'aie jamais faite, et je l'appelle encore la Sonate du Diable ; mais elle est tellement au-dessous de celle qui m'avait si fortement ému, que j'eusse brisé mon violon et abandonné pour toujours la musique, s'il m'eût été possible de me priver des jouissances qu'elle me procure. »

Le spectre électromagnétique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a81854-le-spectre-electromagnetique

Le spectre électromagnétique

Proposition d'illustration du spectre électromagnétique, le spectre visible correspond aux couleurs en bas du schéma. La lumière visible, appelée aussi spectre visible ou spectre optique est la partie du spectre électromagnétique qui est visible pour l'œil humain. Il n'y a aucune limite exacte au spectre visible : l'œil adapté à la lumière possède généralement une sensibilité maximale à la lumière de longueur d'onde d'environ 550 nm, ce qui correspond à une couleur jaune-verte. Généralement, on considère que la réponse de l'œil couvre les longueurs d'ondes de 380 nm à 780 nm bien qu'une gamme de 400 nm à 700 nm soit plus commune. Les fréquences correspondantes vont de 350 à 750 THz (10¹² Hz). Cette gamme de longueur d'onde est importante pour le monde vivant car des longueurs d'ondes plus courtes que 380 nm endommageraient la structure des molécules organiques tandis que celles plus longues que 720 nm seraient absorbées par l'eau, constituant abondant du vivant. Ces extrêmes correspondent respectivement aux couleurs violet et rouge. Cependant, l'œil peut avoir une certaine réponse visuelle dans des gammes de longueurs d'onde encore plus larges. Les longueurs d'onde dans la gamme visible pour l'œil occupent la majeure partie de la fenêtre optique, une gamme des longueurs d'onde qui sont facilement transmises par l'atmosphère de la Terre.

Le stade du miroir de Lacan. Source : http://data.abuledu.org/URI/51eeb9f9-le-stade-du-miroir-de-lacan

Le stade du miroir de Lacan

Stade final du stade du miroir selon Lacan : S barré = le sujet divisé. M (miroir) : A = le grand Autre. C = le corps propre. a = l'objet du désir. i'(a) = moi idéal. S = sujet de l'imaginaire. I = idéal du moi. Dans l'expérience archétypique du stade du miroir, l'enfant n'est pas seul devant le miroir, il est porté par l'un de ses parents qui lui désigne, tant physiquement que verbalement, sa propre image. Ce serait dans le regard et dans le dire de cet autre, tout autant que dans sa propre image, que l'enfant vérifierait son unité. En effet, l'enfant devant le miroir reconnaît tout d'abord l'autre, l'adulte à ses côtés, qui lui dit « Regarde c'est toi ! », et ainsi l'enfant comprend « C'est moi ».

Les cygnes sauvages d'Andersen. Source : http://data.abuledu.org/URI/51112dc6-les-cygnes-sauvages-d-andersen

Les cygnes sauvages d'Andersen

Illustration par Bertall du conte d'Andersen, Les cygnes sauvages, 1876 : "Le lendemain matin, la reine se rendit à la salle de bain, qui était construite de marbre, ornée de coussins moelleux et de tapis magnifiques. Là, elle prit trois crapauds, déposa un baiser sur chacun d’eux, et dit à l’un : - Place-toi sur la tête d’Élisa, lorsqu’elle viendra au bain, afin qu’elle devienne aussi stupide que toi. – Place-toi sur son front dit-elle à l’autre, afin qu’elle devienne aussi laide que toi, et que son père ne puisse la reconnaître. – Pose-toi sur son cœur, souffla-t-elle au troisième, et rends-la tellement méchante, qu’elle en ait beaucoup de tourment."

Les sept piñatas mexicaines. Source : http://data.abuledu.org/URI/540ab8c5-les-sept-pi-atas-mexicaines

Les sept piñatas mexicaines

La piñata est un récipient qui peut prendre la forme d'une figurine ou de tout autre objet et que l'on remplit de sucreries et de jouets. Une succession d'enfants, les yeux bandés, armés d'un bâton essayent de casser la piñata afin de récupérer les sucreries cachées à l'intérieur. La piñata est faite à partir de matériaux facilement cassables, tels que la paille, du papier mâché, ou de l'argile. Traditionnellement, elle est faite avec une forme humaine ou animale (souvent un âne). Elle est utilisée depuis des centaines d'années pour célébrer des fêtes traditionnelles mexicaines tout au long de l'année. Une hypothèse suppose que son origine soit attribuée à la culture chinoise de représentation animale pendant les célébrations. De nos jours, la tradition est plus ou moins fortement présente dans plusieurs régions d'Amérique latine, en Espagne, et dans certains pays anglo-saxons comme les États-Unis, ainsi qu'en Inde. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pi%C3%B1ata

Lettre de Newton sur la vision en 1682. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a595d2-lettre-de-newton-sur-la-vision-en-1682

Lettre de Newton sur la vision en 1682

Lettre en anglais d'Isaac Newton au Dr. William Briggs, chirurgien ophtalmologiste (20 juin 1682) au sujet de son ouvrage "Une nouvelle théorie de la vision" (A New Theory of Vision) : British Museum Add. Ms. 4327 f. 100. Publiée en facsimile dans le "Dictionnaire encyclopédique" de Quillet, Paris, 1953. Avant Isaac Newton, on pensait que le prisme ajoutait des couleurs au faisceau de lumière blanche. Newton place alors un deuxième prisme de telle manière qu'il ne soit atteint que par une seule couleur et découvre que la couleur reste inchangée. Il en conclut que les prismes permettent de disperser les couleurs. Il utilise ensuite un deuxième prisme et réussit à recomposer un faisceau blanc à partir de l'arc-en-ciel généré par le premier prisme : la démonstration était faite que les couleurs ne sont pas le résultat d'une action du prisme sur la lumière blanche, mais bien que c'est la lumière blanche qui est composée de plusieurs couleurs.

Licences de diffusion. Source : http://data.abuledu.org/URI/5310942b-licences-de-diffusion

Licences de diffusion

1) Très bonne idée, ma chère Zéa ! Je vais prêter les photographies de mes expéditions pour que tu les mettes dans Wikipédia ! Mais je voudrais une licence non commerciale. 2) Merci, Oncle Philip ! Mais ça serait mieux si tu permettais les utilisations commerciales. 3) Eh, ma chère ! Je ne voudrais pas que des maisons d'édition s'enrichissent avec le récit de mes aventures ! 4) Tu sais, Oncle Philip, les grandes maisons d'édition ont tellement de moyens qu'il leur est plus simple de faire leurs propres photos que d'exploiter les tiennes. 5) D'ailleurs, même si elles le faisaient, tes photos resteraient libres ; ils ne feraient que t'aider à les diffuser. Par contre, en interdisant les applications commerciales, tu interdis que tes photos soient utilisées sur les DVD et les livres que l'on publie à prix très bas à partir de Wikipédia. 6) Sur ces derniers mots, Oncle Philip s'exclame : By Jove ! Ainsi, en pensant barrer la route à de riches profiteurs, j'allais entraver la diffusion de connaissances libres ! Tu as raison, mettons mes aventures en CC-by-sa !

Météorologie populaire en 1888. Source : http://data.abuledu.org/URI/53328bf0-meteorologie-populaire-en-1888

Météorologie populaire en 1888

La gravure, dite de Flammarion, ou « au pèlerin », est souvent décrite comme une gravure médiévale, à cause du sujet traité. En réalité le style indique une gravure sur bois allemande de la Renaissance. Elle représente un paysage et un ciel hémisphérique où s'accrochent le Soleil, la Lune et les étoiles, et un homme, qui, à cause de son bâton, fait penser à un pèlerin du Moyen Âge, mais que son vêtement long désigne plutôt comme un clerc, ou un étudiant. À quatre pattes sur le sol, il passe sous la voûte céleste à l'endroit où celle-ci rencontre la Terre, et la position de sa main trahit sa surprise, en découvrant ce qui se trouve au-delà. Au premier plan de ce qu'il découvre figure un rideau de flammes, qui nous désigne le "ciel empyrée" que la cosmologie médiévale plaçait au-delà de la sphère des étoiles fixes. Plus haut, l'étrange roue à deux jantes perpendiculaires est identique aux représentations de la "roue d'Ézéchiel", ce qui confirme qu'il s'agit bien du ciel empyrée chrétien, séjour du créateur. Cependant l'image du soleil à droite est étrangement tronquée, tout comme la roue d'Ezéchiel à gauche, à la différence des authentiques gravures de l'époque. Ceci laisse penser que l'image a été recadrée, et donc que l'image originale en montrait plus à gauche, dans le ciel empyrée. Elle montrait probablement ce qui provoque l'étonnement du personnage. Dans le livre de Flammarion, l'image comporte une légende : Un missionnaire du Moyen Âge raconte qu'il avait trouvé le point où le ciel et la Terre se touchent ... En regard, le texte suivant accompagne l'image : Qu'y a-t-il, alors, dans ce ciel bleu, qui existe certainement, et qui nous voile les étoiles durant le jour ? Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gravure_sur_bois_de_Flammarion.

Montgolfière. Source : http://data.abuledu.org/URI/51605a54-montgolfiere

Montgolfière

Montgolfière : les montgolfières exploitent d'une part le principe d'Archimède et d'autre part la caractéristique des gaz d'avoir leur produit (pression x volume) égal à leur produit (constante x température). Ce deuxième principe est décrit par l'équation d'état des gaz parfaits. La poussée d'Archimède est la force reçue d'un corps plongé dans un gaz égale au poids du volume déplacé de ce gaz. Sous l'action de la chaleur, l'air se dilate. Sa masse volumique diminue : donc, à pression constante, l'air chaud prend plus de place pour le même poids, ou pèse moins lourd pour le même volume que l'air froid. On peut vérifier ce phénomène, dans une pièce calme, en plaçant un thermomètre au sol et un autre au plafond. On constate ainsi qu'il y a une légère différence de température et que l'air au plafond est plus chaud que l'air au sol.

Oeil d'Horus. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c4a280-oeil-d-horus

Oeil d'Horus

Dans le mythe osirien enfin, Horus est le fils d'Osiris et d'Isis. Osiris, assassiné par son frère Seth, est ramené à la vie, le temps d'une union, grâce aux efforts conjugués d'Isis et de Nephtys. C'est de cette union miraculeuse que naît Horus l’Enfant, que les Grecs appelleront Harpocrate, ou Harsiésis, Horus fils d’Isis. Pour venger la mort de son père Osiris, Horus affronte son oncle Seth, il gagne le combat et reçoit le trône d'Égypte en héritage. D'où son surnom de « vengeur de son père ». Il est par-là même le premier des pharaons après son père. Cependant, sa légitimité sera sans cesse contestée par Seth. Horus est borgne : lors du combat qui l’oppose à Seth, Horus a perdu son œil gauche, qui est reconstitué par Thot. Appelé Oudjat, cet œil, que les Égyptiens portèrent sous forme d’amulette, possédait des vertus magiques et prophylactiques.

Oies cendrées. Source : http://data.abuledu.org/URI/5134dc71-oies-cendrees

Oies cendrées

Tableau de Archibald Thorburn (1860-1935), illustrateur écossais spécialiste des oiseaux et de leur environnement naturel. L’Oie cendrée (Anser anser) est une espèce d'oiseau appartenant à la famille des Anatidae et à la sous-famille des Anserinae. Elle est, avec l'oie cygnoïde, un des ancêtres des oies domestiques ; sa domestication remonte à plusieurs milliers d'années. Les variétés sauvages présentent un plumage gris-beige, plus sombre et brun sur la nuque, les flancs, le dessus des ailes et le dessus de la queue. Ces plumes brunes sont veinées du même gris-beige que le dessous de l'oiseau. Les flancs sont nuancés de brunâtre. Le ventre peut être parsemé de quelques taches noires mais cette coloration n'est jamais aussi étendue que chez l'Oie rieuse. Le croupion est blanc, tout comme l'arrière du ventre et les sous-caudales. Le bord d'attaque des ailes est bordé d'une ligne gris bleuté pâle. Les pattes sont rose chair, fortes et palmées. L'œil noir est cerclé de blanc. On observe, chez les populations centrées autour de la mer Baltique, que leur bec est terminé par un onglet corné, ce qui permet à ces individus une extraction plus facile des tubercules, bulbes et racines, tandis que les populations centrée sur la Norvège ont un bec plus court, ce qui facilite le cisaillage des plantes herbacées. L'oie est un oiseau peu bruyant sur les lieux de gagnage, mais bien davantage en vol. Le cri de contact se compose de trois à cinq éléments : ga ga ga, ang ang ang ou ong ong ong. Le passage des oiseaux migrateurs est souvent repéré grâce aux cris fréquents, aigus et puissants émis par cet oiseau.

Patineurs et loi de Newton. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b15799-patineurs-et-loi-de-newton

Patineurs et loi de Newton

Illustration de la 3e loi de Newton : actions mutuelles de deux patineurs. L'énoncé original est le suivant : Pour chaque action, il existe une réaction égale et opposée : l’action est toujours égale à la réaction ; c'est-à-dire que les actions de deux corps l’un sur l’autre sont toujours égales, et dans des directions contraires. De manière moderne, on exprime que : Tout corps A exerçant une force sur un corps B subit une force d'intensité égale, de même direction mais de sens opposé, exercée par le corps. Dans le cas d'une action de contact, c'est assez simple : si Albert pousse de 100 N sur Béatrice, alors Béatrice pousse également de 100 N sur Albert ; Albert et Béatrice peuvent être sur un sol adhérent ou de la glace, immobiles ou en train de patiner. Il est souvent plus difficile de comprendre que si Albert s'appuie sur le mur, alors le mur pousse aussi sur Albert ; le mur n'a pas de « volonté motrice », il fléchit sous l'effet de l'action d'Albert mais cette flexion est indécelable sauf pour une paroi souple, et Albert subit donc un « effet ressort ». Il est de même pour la notion de sol qui soutient Albert ; en particulier, en cas de saut, il est difficile d'imaginer que c'est le sol qui propulse Albert, toujours par effet ressort.

Planche de Cubomedusae en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d2a39-planche-de-cubomedusae-en-1909

Planche de Cubomedusae en 1904

Planche de cubomedusae, Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 78 : Chirodropus palmatus,Chiropsalmus quadrigatus, Charybdea obeliscus, Charybdea murrayana, Procharybdis tetraptera, Tamoya prismatica. Le cubozoaire (Cubozoa), appelé aussi méduse-boîte est un invertébré de la classe des cnidaires qui se distingue des autres méduses par la forme de son ombrelle en forme de cube. La méduse-boîte est connue pour son venin extrêmement puissant produit aussi par certaines espèces : Chironex fleckeri, Carukia barnesi et Malo kingi qui sont parmi les créatures les plus venimeuses au monde. Les piqûres de ces espèces ainsi que quelques autres de cette classe sont extrêmement douloureuses et souvent mortelles pour les humains. À l'intérieur de l'ombrelle se trouve un volet ou « velarium » qui sert à concentrer et augmenter l'écoulement de l'eau expulsée par l'ombrelle. En conséquence, la méduse-boîte peut se déplacer plus rapidement que les autres méduses. Des vitesses jusqu'à six mètres par minute ont été enregistrées. Le système nerveux de la méduse-boîte est plus développé que celui des autres méduses. Elle possède notamment un anneau nerveux autour de la base de l'ombrelle qui coordonne ses mouvements de pulsations ; lors que d'autres méduses ont simplement un pigment oculaire, les méduses-boîtes sont uniques du fait de la possession de vrais yeux avec rétines, cornées et lentilles. Leurs yeux (en grappes) sont situés sur chacun des quatre côtés de leur ombrelle. Ceux-ci permettent de voir les points spécifiques de la lumière, plutôt que de simplement distinguer la lumière ou l'obscurité. Les méduses-boîtes ont aussi des yeux de type "inférieur", parce que les gros yeux (visuellement "forts") ne sont qu'un des quatre sous-ensembles. Au total elles ont 24 yeux. Une autre particularité intéressante est que la méduse-boîte a quelque chose dans son organisme que l'on peut considérer comme un cerveau. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cubozoa

Principe de Pascal en hydrostatique. Source : http://data.abuledu.org/URI/509fe717-principe-de-pascal-en-hydrostatique

Principe de Pascal en hydrostatique

Éclatement d'un tonneau sous la pression d'une colonne d'eau : Expérimentalement, on constate que la pression dans l'eau ne dépend que de la profondeur et pas de la direction. En effet, si l'on prend une petite boîte rigide ouverte d'un côté et que l'on tend une membrane élastique, cette boîte enfermant de l'air à pression atmosphérique, et que l'on plonge cette boîte dans l'eau, la déformation de la membrane permet de visualiser la différence de pression entre l'air et l'eau, et celle-ci ne dépend que de la profondeur, pas de l'orientation de la boîte ni de sa position dans le plan horizontal. Cette relation entre la pression dans un fluide et la profondeur est connue sous le nom de principe de Pascal, et est à la base de l'hydrostatique.

Rayons du crépuscule. Source : http://data.abuledu.org/URI/50be3dfe-rayons-du-crepuscule

Rayons du crépuscule

Rayons du crépuscule : les différentes couleurs sont dues à la dispersion de la lumière produite par l'atmosphère. Quand la lumière traverse l'atmosphère, les photons interagissent avec elle à travers la diffusion des ondes. Si la lumière n'interagit pas avec l'atmosphère, c'est la radiation directe et cela correspond au fait de regarder directement le soleil. Les radiations indirectes concernent la lumière qui est diffusée dans l'atmosphère. Par exemple, lors d'un jour couvert quand les ombres ne sont pas visibles il n'y a pas de radiations directes pour la projeter, la lumière a été diffusée. Un autre exemple, dû à un phénomène appelé la diffusion Rayleigh, les longueurs d'onde les plus courtes (bleu) se diffusent plus aisément que les longueurs d'onde les plus longues (rouge). C'est pourquoi le ciel parait bleu car la lumière bleue est diffusée. C'est aussi la raison pour laquelle les couchers de soleil sont rouges. Parce que le soleil est proche de l'horizon, les rayons solaires traversent plus d'atmosphère que la normale avant d'atteindre l'œil par conséquent toute la lumière bleue a été diffusée, ne laissant que le rouge lors du soleil couchant.

Relativité restreinte, gerbe de rayons cosmiques. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b22499-gerbe-png

Relativité restreinte, gerbe de rayons cosmiques

"Gerbe de rayons cosmiques", traduction de "Extended Air Shower": cascade de particules atmosphériques déclenchée par un proton incident. On détecte en astronomie des particules porteuses d'une énergie colossale : les rayons cosmiques. Bien que leur mécanisme de production demeure encore mystérieux, on peut mesurer leur énergie. Les nombres considérables que l'on obtient montrent que leur analyse exige l'emploi des formules de la relativité restreinte. Les rayons cosmiques fournissent donc une illustration idéale de la théorie d'Einstein. On détecte des particules jusqu'à des énergies invraisemblables de l'ordre de 1020 électron-volts, soit cent millions de TeV. Supposons donc qu'un rayon cosmique soit un proton de 1020 eV. Quelle est la vitesse de cette particule ? la vitesse du proton considéré est quasiment égale à la vitesse de la lumière. Elle n'en diffère que par moins de 10-22 (mais ne peut en aucun cas l'égaler). Voyons ce que ces chiffres impliquent pour les facteurs relativistes existant entre le référentiel propre de la particule et le référentiel terrestre. Notre propre Galaxie, de diamètre environ cent mille années-lumière est traversée par la lumière en cent mille ans. Par conséquent pour un observateur terrestre le proton traverse cette Galaxie dans le même temps. L'extraordinaire c'est que dans le référentiel du proton relativiste, le temps correspondant est 1011 fois plus faible, et vaut donc 30 secondes (une année fait 3×107 secondes) ! Notre proton ultra-relativiste et ultra-énergétique traverse notre Galaxie en 30 secondes de son temps propre mais en 100 000 ans de notre temps terrestre. Lorsque ce rayon cosmique heurte un atome d'oxygène ou d'azote de l'atmosphère terrestre à une altitude de l'ordre de 20 à 50 kilomètres au-dessus du sol, une gerbe de particules élémentaires se déclenche contenant en particulier des muons. Une partie d'entre eux se dirigent vers le sol avec une vitesse pratiquement égale à celle de la lumière, de 300 000 kilomètres par seconde dans le référentiel terrestre. Ces particules traversent donc les quelque 30 kilomètres d'atmosphère en 10-4 seconde (ou 100 microsecondes).

Rome la veuve. Source : http://data.abuledu.org/URI/53077464-rome-la-veuve

Rome la veuve

Pétrarque, dans son épître à Benoît XII, décrit Rome sous les traits d'une vieille femme qui supplie à genoux de la délivrer de son infortune (Papauté à Avignon). Bibliotheque Nationale, f° 18, Ms italien 81. Rome, où le poète avait été couronné, devint dès lors pour lui une obsession. Vénérant et idolâtrant cette ville plus que toute autre, il écrivit à son propos : « Rome, la capitale du monde, la reine de toutes les villes, le siège de l'empire, le rocher de la foi catholique, la source de tout exemple mémorable. » Cette glorieuse cité ruinée, capitale d’un empire, devait retrouver tout son lustre. Pétrarque, partisan des gouvernements populaires, vit d’un bon œil la politique qu’y menait Nicola Gabrino, dit Cola di Rienzo. Mais, pour que Rome redevienne Rome, il fallait surtout que la papauté délaissât les berges du Rhône pour retourner sur celles du Tibre. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%A9trarque.

Rosbif. Source : http://data.abuledu.org/URI/50af51e1-rosbif

Rosbif

Le rosbif (de l'anglais roast beef, bœuf rôti) est un morceau de bœuf destiné à être rôti de telle façon que le tour de la viande est cuit à point tandis que la partie centrale est laissée saignante (ou rosée selon le goût). La pièce de viande rôtie est découpée en tranches fines pour être servie aux convives avec divers accompagnements (tels que légumes et pommes de terre) et éventuellement une sauce.

Samovar. Source : http://data.abuledu.org/URI/5118d3fe-samovar

Samovar

Un samovar (en russe : самовар écouter) est un ustensile pour faire du thé en Russie, en Perse (Iran), Turquie, en Arménie orientale ainsi que dans la diaspora arménienne et dans quelques autres pays. Traditionnellement, le samovar a une partie centrale qui contient le charbon2 destiné à chauffer l'eau. La partie basse munie d'un ou de plusieurs robinets, appelée « corps de fontaine », est remplie d'eau, tandis que la petite théière du haut fait bouillir un thé noir très fort. De nos jours, les samovars sont électriques, mais l'utilisation générale reste la même. Le thé que l'on tire de la théière doit être allongé avec l'eau chaude qui se trouve en dessous et versé dans une tasse.

Séchage des merrains. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dbc47f-sechage-des-merrains

Séchage des merrains

Aire de séchage des merrains en empilements aérés : les merrains sont séchés entre 2 et 3 ans pour atteindre 15 % d'humidité. Ce séchage permet ainsi un affinage du bois par l'élimination d'éllagitannins. Il peut être artificiel ou naturel. Le séchage naturel doit bénéficier de facteurs climatiques adéquats, permettant l'oxydation de composés phénoliques, ainsi que biologiques, des champignons qui par leur enzymes hydrolysent des composés phénoliques. La lignine se dégrade laissant apparaître des composés aromatiques. Le séchage permet une diminution de l'apport d'astringence, ainsi que d'amertume. Étymologie : tanin dérive de tan, poudre extraite de l'écorce du chêne qui sert à tanner les peaux. Ce terme de tan est très probablement issu du gaulois tanno signifiant « chêne » que l'on peut restituer d'après le breton tann-chêne et l'ancien cornique (parlée en Cornouailles jusqu'au XVIIe siècle) tannen-chêne ou l'ancien irlandais teine-houx. Les ellagitanins sont des tanins formés d'au moins deux unités galloyles C-C couplées entre elles et sans liaison glycosidique avec des unités flavanols (catéchines).

Sismomètre. Source : http://data.abuledu.org/URI/5093e571-sismometre

Sismomètre

Sismomètre exposé à l'Observatoire astronomique de Lick en Californie : sa situation offrait d'excellentes conditions d'observation grâce notamment à l'absence de pollution lumineuse, et au fait que le sommet du mont Hamilton se trouve presque toujours au-dessus du brouillard souvent présent dans la baie de San Francisco. Un sismomètre est constitué d'une masse très lourde placée sur une barre fixée à une de ses extrémités et qui pivote dans un plan horizontal (pour les deux sismomètres mesurant les composantes horizontales du déplacement) ou dans un plan vertical (pour le sismomètre mesurant la composante verticale). La masse est reliée au bâti par un ressort. Un aimant, fixé au bâti, entoure le bas du ressort, afin de stabiliser la masse après les secousses, et ainsi éviter que le sismographe n'enregistre des tremblements après la fin du séisme. La masse, en raison de son inertie, ne bouge pas alors que le bâti de l'appareil, fixé au sol, accompagne les mouvements du séisme. La plupart du temps, un sismographe est isolé du monde extérieur, pour éviter des perturbations dans les mesures (vent, pression atmosphérique).

Son altesse la femme. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d96160-son-altesse-la-femme-p3

Son altesse la femme

Illustration du livre d'Octave Uzanne (1851–1931), Son altesse la femme (page 3) : "Le Vray Miroüer de Sorcellerie. Ô précieulx mirouer qu’entre tous biens j’estime ! (vielx poesies) Ores, Sachez en temps et heure — opportune et guise de presation, Messiores Gruditi, Drolis — simi, Curiosissimi Savantissimi vous friquets, Damoiseaux et musquins, Lecteurs gaubrégeux Pantagruelistes de tous estages ëtres Lunatiques, hétéroclytes poëtes esventés — . Advocats baraguineux, grimauds espantés, vous plus que tout, cointes et frisques lectrices dont le ioli bec affylé est ià non moins affriandé que la rose oreille, vous quy sçavez ouïr et garber les ioyeulx proupos, retenez in globo, sans lantiponner davantaige, que la docte histoyre que ie m’en vay vous iabotter cy-aprèz n’est point espécialement inventée pour vous faire esclaffer des mandibules et rire à gueule bée, comme la fente d’un royal pourpoinct."

Stylophone. Source : http://data.abuledu.org/URI/5347fdfb-stylophone

Stylophone

Le Dubreq Stylophone est un instrument de musique électronique miniature, créé en 1967 par Brian Jarvis. Il se compose d'un clavier métallique de 20 notes sur lequel on joue à l'aide d'un stylo relié à un fil électrique, ce qui ferme le circuit et produit la note. Le son produit est pauvre et l'appareil se rapproche davantage du gadget que de l'instrument de musique. Néanmoins, les artistes utilisant le stylophone ajoutent le plus souvent des effets sonores (grâce à des pédales multi-effets) pour enrichir le son et en faire un véritable synthétiseur. Durant sa vie éphémère, le stylophone fut un énorme succès commercial, avec trois millions d'exemplaires vendus, surtout en tant que jouet. On lui connaît quelques rares utilisations musicales, par des artistes comme Pulp, Kraftwerk, Erasure et David Bowie (dans le morceau Space Oddity). On peut noter sa réutilisation grâce à des artistes tels que Little Boots, Spirit of the matter, Dionysos (tournée acoustique 2009) ainsi que Charlie Winston lors de son concert au Point gamma 2009 de l'École polytechnique. Source : http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Modern_Stylophone.JPG

Superficie des forêts par pays en 2005. Source : http://data.abuledu.org/URI/513a1c94-superficie-des-forets-par-pays-en-2005

Superficie des forêts par pays en 2005

Superficie des forêts par pays en 2005 : en ordonnées, par millions de km2, de 1 à 9 ; en abscisses, de gauche à droite : Russie, Brésil, Canada, États-Unis, Chine, Australie, R.D. Congo, Indonésie, Pérou, Inde. Dans le monde, la forêt - au sens le plus large - couvrait en 2005 environ 30 % des terres émergées. Selon la définition retenue, la superficie estimée de la forêt mondiale varie de 2,4 à 6 milliards d'hectares sur la base des chiffres envoyés par les États, l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture a estimé la forêt mondiale à presque 4 milliards d'hectares, soit 0,62 ha/habitant. Mais la forêt est mieux préservée sur la ceinture tropicale humide et au nord de la zone tempérée dans l'hémisphère nord. Ailleurs, dans 64 pays abritant un total de 2,0 milliards d'habitants, on compte en 2005 moins de 0,1 hectare de forêt par personne, chiffre qui diminue inéluctablement alors que le taux de population augmente et que la forêt régresse. Sept pays ou territoires ne possèdent plus aucune forêt et dans 57 autres pays, elles ne couvrent plus que moins de 10 % des terres.

Surfaces de repérage sur la Terre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50969a7f-cd-surfref-png

Surfaces de repérage sur la Terre

Croquis des différentes surfaces de repérage sur la Terre. Dans l'acception française du terme, la géodésie s'occupe de la détermination de la forme et des dimensions de la Terre dans son ensemble (autrement dit, de la "figure de la Terre"), ainsi que de son champ de pesanteur (pour l'étude duquel on emploie actuellement le terme de géodésie physique). On définit le géoïde comme étant une surface équipotentielle du champ de pesanteur, choisie arbitrairement, mais très proche du niveau des océans que, par la pensée, nous pouvons prolonger sous les continents. On introduit des systèmes de référence pour décrire le mouvement de la Terre dans l'espace (« système céleste »), ainsi que la géométrie de surface et le champ de pesanteur de la Terre (« système terrestre »). Le choix des meilleurs systèmes de référence, compte tenu des progrès spectaculaires de la métrologie actuelle, est devenu l'une des grandes avancées de la géodésie, la géométrie globale de la Terre étant désormais mesurée à mieux que 1 cm.

Teneur en CO2 de l'atmosphère (Hawaï). Source : http://data.abuledu.org/URI/5093b7a1-teneur-en-co2-de-l-atmosphere-hawai-

Teneur en CO2 de l'atmosphère (Hawaï)

Évolution de la teneur atmosphérique en dioxyde de carbone, mesurée depuis le volcan Mauna Loa, dans l'île de Hawaii. La courbe de cette évolution est connue sous le nom de « courbe de Keeling ». C'est sur le Mauna Loa que les taux mesurés sont les plus élevés, mais on retrouve la même évolution sur d'autres sites dans le monde. La fluctuation annuelle de dioxyde de carbone est dûe aux variations saisonnières causées par les plantes. Comme beaucoup de forêts se trouvent dans l'hémisphère nord, il y a plus de rejet de gaz carbonique dans l'atmosphère durant l'été septentrional que pendant l'été austral. Ce cycle annuel est indiqué dans l'encart en bas à droite de l'image, et montre la concentration moyenne de gaz au cours des différents mois. Ce cycle se répète quelle que soit l'année observée. La courbe grise montre la teneur moyenne mensuelle de dioxyde de carbone, et la courbe rouge représente la moyenne annuelle. Source : Robert A. Rohde (NOAA data , Global Warming Art project).

Treuil d'ardoisière. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e63362-treuil-d-ardoisiere

Treuil d'ardoisière

Ancien treuil de la fosse Saint-Brice, sur une friche d'ardoisière à Rimogne (08) dans les Ardennes. La Compagnie des ardoisières de Rimogne et de Saint-Louis-sur-Meuse est fondée le 14 octobre 1831. La Compagnie règne en maître sur le village, ses statuts font apparaître des propriétés immenses, son fonds social est évalué à 1 080 000 francs. Les parts de la société sont réparties entre 9 membres de la famille et il est précisé que les actions sont indivisibles même par suite de succession. Il est également précisé que les actionnaires veulent, autant que possible, éviter l'introduction d'étrangers dans la société. À partir de 1839, la Compagnie participe aux expositions universelles. Rimogne avait connu plusieurs grèves, en 1825, 1869, 1874, 1878, 1887 avec à chaque fois comme revendications une hausse des salaires. Les ardoisiers vivent dans la misère.

Triangle de l'éthique. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bc408e-triangle-de-l-ethique

Triangle de l'éthique

Triangle de l'éthique : à la base "Que puis-je faire ?" et "Que dois-je faire ?" ; au sommet : "Que veux-je faire ?"

Trou de ver dans l'espace-temps. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c42965-trou-de-ver-dans-l-espace-temps

Trou de ver dans l'espace-temps

Schéma d’un trou de ver de masse négative : Hawking décrit les "trous de ver" (wormholes) des fluctuations quantiques dans l’espace-temps qui, à l’image des tunnels, permettent de prendre des raccourcis dans l’espace-temps. Cette théorie est reprise et vulgarisée par les médias, bien que rien ne prouve que ces trous de ver existent et que personne ne soit capable de dire si ces entités, qui ont une échelle subatomique, peuvent se maintenir à l’échelle macroscopique sans s’effondrer en raison de leur instabilité intrinsèque.

Viscosité du bitume. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c40a77-viscosite-du-bitume

Viscosité du bitume

Expérience dite de la goutte de poix à l'Université de Queensland, démontrant la viscosité du bitume, en comparaison avec une batterie de 9 volts. La version la plus réputée de l'expérience a été démarrée en 1927 par le professeur Thomas Parnell de l'université du Queensland de Brisbane, en Australie, afin de démontrer à ses étudiants que certaines substances d'apparence solide sont en réalité des fluides de très haute viscosité. Parnell fait couler un échantillon de poix chaude dans un entonnoir bouché et le laisse reposer trois ans. En 1930, le bouchon du cou de l'entonnoir est coupé, de façon à ce que la poix puisse s'écouler. Une grosse goutte se forme alors, et tombe environ toutes les décennies. La huitième goutte est tombée le 28 novembre 2000, de sorte que les expérimentateurs ont pu estimer la viscosité de la poix à environ 230 milliards (2,3 × 1011) de fois celle de l'eau. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Exp%C3%A9rience_de_la_goutte_de_poix.

Yak sauvage. Source : http://data.abuledu.org/URI/516c720b-yak-sauvage

Yak sauvage

Yak sauvage (Bos grunniens) à Letdar (Circuit de l'Annapurna au Népal). Le yak vit dans et autour de la chaine de l'Himalaya ; Népal et au Bhoutan, en Chine (Tibet, Xinjiang, Gansu, Mongolie intérieure), ainsi qu'en Mongolie, Russie, Kirghizstan, Kazakhstan, Pakistan, Tadjikistan, Afghanistan, jusqu'à des altitudes de 5 400 mètres. Les yaks vivent quinze ans en haute altitude au-dessus de 3 000 mètres. Le yak sauvage, uniquement présent au Tibet, est plus grand que le yak domestique, pouvant peser jusqu'à une tonne. Il vit habituellement en groupes de 10 à 30 individus. Son habitat est composé de hauts-plateaux dégarnis, de collines et de montagnes à des altitudes comprises entre 3 200 et 5 400 mètres. Il se nourrit d'herbes, de lichens et d'autres plantes. Durant la saison chaude, il vit dans les régions proches des neiges éternelles ; puis descend vers des terres au climat plus clément lorsque la saison froide approche. Le yak peut affronter le froid jusqu'à - 40 °C aussi bien grâce à son sous-poil très dense que par son long et épais pelage de surface. Par ailleurs, il secrète une substance visqueuse dans sa transpiration qui agit comme un isolant au froid. Cette substance est utilisée en médecine traditionnelle au Népal. Le yak sauvage a la vue très faible mais compense ce handicap par un odorat particulièrement développé et surtout une ouïe incroyable qui lui permet d'entendre à plusieurs kilomètres de distance. Le yak sauvage n'existe plus que dans les chaînes de montagnes du Kunlun, de Thangla et de Nyenchen Thangla, ainsi que sur le plateau du Tibet. L'espèce est menacée : la population totale actuelle est estimée à 15 000 animaux.

Zones pélagiques. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b7ec8d-zones-pelagiques

Zones pélagiques

Couches de la zone pélagique. La zone photique, aussi nommée zone euphotique ou zone épipélagique, est la zone aquatique comprise entre la surface et la profondeur maximale d’un lac ou d’un océan, exposée à une lumière suffisante pour que la photosynthèse se produise. La profondeur de la zone photique peut être grandement affectée par la turbidité saisonnière. La zone pélagique est divisée en sous-zones, suivant des différences dans leurs caractéristiques écologiques (qui est sensiblement fonction de la profondeur marine) : 1) Épipélagique (de la surface jusqu'à 200 mètres) - Espace où la lumière est suffisante pour permettre la photosynthèse, les plantes et animaux étant largement concentrés dans cette zone. Cet espace est aussi appelé zone photique. Attention toutefois, la zone photique ne concerne que les 100 premiers mètres de la zone épipélagique. En dessous, il ne reste plus que 1 % du rayonnement global (le bleu va plus profondément, le rouge beaucoup moins), ce qui est insuffisant pour la photosynthèse. 2) Mésopélagique (entre 200 et 1 000 mètres) - La lumière arrivant à pénétrer ces profondeurs est insuffisante pour la photosynthèse. Le nom vient du grec μέσον (meson), « milieu ». Cet espace est aussi appelé zone aphotique. 3) Bathypélagique (entre 1 000 mètres et 4 000 mètres) - À cette profondeur, l'océan est presque entièrement sombre (avec simplement les organismes bioluminescents). Il n'y a pas de plantes vivantes et la plupart des animaux survivent en consommant la neige marine des détritus tombant des zones au-dessus, ou par la chasse d'autres organismes. Les calmars géants vivent à cette profondeur, où ils sont chassés par le cachalot. Le nom vient du grec βαθύς (bathys), « profond ». 4) Abyssopélagique (de 4 000 mètres jusqu'à la croûte océanique) - Aucune lumière quelle qu'elle soit ne pénètre à cette profondeur. La plupart des êtres vivants sont aveugles et albinos. Le nom vient du grec άβυσσος (abyssos), « abysse », signifiant « sans fond » (dans les temps anciens, on croyait que l'océan était sans fond). 5) Hadopélagique (les profondeurs des failles océaniques, jusqu'à 11 000 mètres) - Le nom dérive de Hadès, dieu de la mythologie grecque régnant sur le monde souterrain. Cette zone est en très grande partie inconnue et très peu d'espèces y ont été répertoriées.