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Le Fou qui vend la Sagesse. Source : Cent fables de Jean de La Fontaine (1621-1695) illustrées par P. J. Billinghurst (Gutenberg), 1901.
Gravure, Dix-neuvième siècle, Foires, Gustave Doré (1832-1883), Jean de La Fontaine (1621-1695), Sagesse, Artistes français, Fables classiques, Fous littéraires
Le Fou qui Vend de la Sagesse, illustration des fables de Jean de La Fontaine par Gustave Doré (1832-1883).
Textes, Mères et fils, Marchands, Pères et fils, Contes russes, Lyof N. Tolstoï (1828-1910), Partage, Commerçants, Sagesse, Successions et héritages
Le plus bel héritage, 1888, in "Contes et fables" de Léon Tolstoï (1828-1910). Narration et dialogue (242 mots).
Le singe de la sagesse, par Kaigyokusai Masatsugu (1813–1892), Musée d'art du comté de Los Angeles.
Le singe qui ne voit pas le mal, qui n'entend pas le mal et ne dit pas de mal, Kaigyokusai.
Gravure, Fous et bouffons, Humour, Caricaturistes, Accessoires vestimentaires, Sagesse, Grandville (1803-1847), Dessin en noir et blanc, Modes (goûts collectifs), Vêtements pour hommes, Vêtements masculins, Proverbes français, Chapeaux masculins, Collections d'accessoires vestimentaires, Phénomènes de mode, Tendances vestimentaires
Grandville (1803-1847), "Cent Proverbes", 1845, "Les fous inventent les modes et les sages les suivent."
Graffiti à Shoreditch, Londres - Les trois singes de la Sagesse.
Sculpture des trois singes de la Sagesse, Hiyoshi Shrine à Yanagawa, Fukuoka.
Une bonne recette, court poème de 8 vers et 65 mots prônant la guérison du malade par le rire et la bonne humeur.
Akshobhya, l'un des Dhyani Bouddhas, thangka tibétain de la fin du 13ème siècle, Honolulu Museum of Art. L'arrière-plan est constitué d'images des cinq Dhyani Buddhas. Les cinq dhyani bouddhas ou bouddhas de méditation, encore appelés bouddhas de sagesse, sont un groupe de déités qui, dans le courant vajrayana, représentent les cinq aspects du bouddha primordial et les cinq sagesses permettant de transformer les cinq émotions négatives en énergie positive. En sanscrit ils sont appelés jinas (conquérants) ou tathagatas (Ainsi-venu), et en japonais gochinyōrai. Akshobhya = impassible, inébranlable.
Caricature intitulée "Destruction des barricades. (Invention ossanore du docteur Williams Rogers)" parue dans la revue "Le Caricaturiste", 1er juillet 1849.
Photographie d'un bois de bouleaux en bordure d'un ruisseau à Hankasalmi (Finlande). Le bouleau est le premier arbre du calendrier celtique ; il symbolise la sagesse. Les Amérindiens considéraient le bouleau comme un arbre sacré et utilisaient son écorce pour fabriquer des canots et des parchemins.
Photographie, Antiquités, Antiquités gréco-romaines, Antiquités grecques, Philosophes grecs, Épicurisme, Motivation (psychologie)
Buste d'Épicure, fondateur de l'épicurisme, copie romaine d'un original hellénistique. Épicure (en grec Ἐπίκουρος) est un philosophe grec, né fin -342 ou début -341 et mort en -270. Il est le fondateur, en -306, de l'épicurisme, l'une des plus importantes écoles philosophiques de l'Antiquité. En physique, il soutient que tout ce qui est se compose d'atomes indivisibles. Les atomes se meuvent aléatoirement dans le vide et peuvent se combiner pour former des agrégats de matière. L'âme en particulier serait un de ces agrégats d'atomes, et non une entité spirituelle, notamment d'après son disciple Lucrèce. En éthique, le philosophe grec défend l'idée que le souverain bien est le plaisir, défini essentiellement comme « absence de douleur ». En logique ou épistémologie, Épicure considère que la sensation est à l'origine de toute connaissance et annonce ainsi l'empirisme. La doctrine d'Épicure peut être résumée par ce que les épicuriens ont appelé le tetrapharmakon (quadruple-remède, ou "quadruple-poison" : car tout est question de posologie), que fit graver Diogène d'Œnoanda sur le mur d'un portique, formulé ainsi : on ne doit pas craindre les dieux ; on ne doit pas craindre la mort ; le bien est facile à atteindre ; on peut supprimer la douleur. Épicure classait les besoins et aspirations en quatre catégories : Besoins naturels indispensables à la vie (boire, manger, dormir), au bien-être (maison, hygiène, diététique, affection), et au bonheur (philosophie, amitié, sagesse) ; Aspirations naturelles dont on peut à la rigueur se passer (le sexe, l'amour, jeux, arts, sciences, etc.) ; Aspirations de création humaine et donc artificielles (richesse, gloire, etc.) ; Aspirations mystiques et non réalisables (désirs d'immortalité, etc.).
Âne, Gravure, Ânes, Chevaliers et chevalerie, Littérature de jeunesse, Don Quichotte, Sancho Panza, Miguel de Cervantes Saavedra (1547-1616), Henry Emy (18..-18..), Gouverneurs
Illustration réalisée par Armand-Louis-Henri Telory, lithographe, pour l'adaptation pour enfants de Don Quichotte parue au XIXe siècle et rééditée au XXe siècle par Mango - collection Au Temps Jadis, scannée par Cyrille Largillier. À la fin, le duc respecte sa promesse et fait Sancho gouverneur d'une île, en terre de Barataria. Don Quichotte lui donne des conseils de grande sagesse : s'examiner sincèrement pour tâcher de se connaître soi-même, pour ne pas enfler d'orgueil comme la grenouille qui creva pour devenir aussi grosse qu'un bœuf. Rester humble pour éviter de se faire humilier, etc... Sancho promet de suivre tous ces préceptes sauf celui concernant les proverbes dont il ne peut se passer. L'écuyer fait merveille comme gouverneur ; mais bientôt fatigué des grandeurs et des charges, il quitte son île et revient sagement à son âne. Don Quichotte également épuisé par ses nuits chez le duc et la duchesse décide de reprendre ses errances.
Textes, France (Révolution) (1789-1799), France (1794), France (9 et 10 Thermidor) ( 27-28 juillet 1794), Anne-Robert-Jacques Turgot (1727-1781)
Épître de Fabre d'Églantine à Anne Robert Jacques Turgot, Baron de Laune Turgot. Source : Augustin Challamel, "Histoire-musée de la république Française, depuis l'assemblée des notables", Paris, Delloye, 1842. J'ai vu sur nos chemins l'indigent villageois Accablé sous le faix d'un travail sans salaire, De ses propres secours privé dans sa misère Et mourir de fatigue et de faim à la fois : J'ai vu ce manheureux, honteux d'un esclavage Que par un choix injuste on â fait rdonner Arrosant de ses pleurs un insipide ouvrage, Au sombre désespoir prêt à s'abandonner ; Je l'ai vu frémissant de douleur et de rage À l'aspect des soldats, qui loin de son ménage, À ce travail ingrat accouraient le trainer. Pour punir un instant de désobéissance J'ai vu des hommes durs, dont l'affreuse équité, Au mépris de l'honneur et de l'humanité Vendaient le seul grabât qui fût en sa puissance Et lui ravissaient tout... jusqu'à sa liberté. Oui, tel était le sort de ces hommes utiles, Dont les pénibles soins, dignes d'un meilleur prix, Nourrissent tous les jours, et l'habitant des Villes, Et les Grands...dont peut-être il n'a que les mépris. L'homme sensible et fin, l'homme équitable et sage Gémissaient de ces maux, dans nos champs répandus, Mais contre des conseils, injustes, absolus, Dont le vernis du bien a coloré l'ouvrage, LOUIS de la sagesse a-t'il quelque avantage ? Pour les faire arrêter, pour les voir abbattus, Il fallait de TURGOT, le cœur et le courage Il fallait de LOUIS, les mœurs et les vertus. Par son très humble et très obéissant serviteur, Fabre d'Églantine. Philippe-François-Nazaire Fabre, dit Fabre d’Églantine né et baptisé le 28 juillet 1750 à Carcassonne et guillotiné le 5 avril 1794 à Paris, est un acteur, dramaturge, poète et homme politique français.
Gravure, Art médiéval, Métaphore, Miniaturistes, Douzième siècle, Latin (langue), Philosophie, Manuscrits à enluminures, Allégories -- Dans l'art, Miniatures (enluminure des livres), Philosophie néoplatonicienne, Sept arts libéraux
Représentation de la philosophie et des arts libéraux, in "Hortus Deliciarum" de Herrad von Landsberg, aux alentours de 1180. La philosophie, figure principale, est surmontée de trois têtes identifiées comme étant l'Éthique, la Logique et la Physique. Elle tient dans la main droite une inscription où l'on peut lire "Omnis sapientia a Domino Deo est" (Toute sagesse vient du seigneur), phrase par laquelle débute le texte biblique de l'Ecclésiaste. Sept fontaines de sagesse s'en écoulent, correspondant aux allégories des sept arts libéraux : Grammaire, Rhétorique, Dialectique, Musique, Arithmétique, Géométrie et Astronomie. Dans le cercle central, se trouvent intégrés Socrate et Platon. À l'extérieur, placés au bas de l'image, quatre personnages sont en train d'écrire, chacun étant accompagné d'un oiseau noir perché sur l'épaule qui semble lui chuchoter à l'oreille. Il s'agit d'une allégorie de l'esprit mauvais qui inspire les écrits des auteurs païens. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hortus_deliciarum.
Gravure, Palmiers, Rois et souverains, Caricatures et dessins humoristiques, Pelles, Jardiniers, Frontispice (typographie), Grandville (1803-1847), Arrosoirs, Dessin en noir et blanc, Inaugurations, Proverbes, Français (langue), Arrière-plans (art), Proverbes français
Frontispice de Grandville (1803-1847), "Cent Proverbes", 1845 : Le roi sous l'oeil goguenard du jardinier arrose le palmier portant des proverbes sur ses feuilles ainsi que l'inscription suivante autour de son tronc, "Les proverbes sont la sagesse des nations", sous les vivats d'une foule de spectateurs à l'arrière-plan.
Dessins et plans, Art tibétain, Bouddhisme tibétain, Noeuds ornementaux, Entrelacs (arts décoratifs)
Noeud sans fin tibétain : Le nœud sans fin (sk. Srivatsa, tib. palbe) peut aussi avoir une forme évoquant une fleur. Il serait à l’origine un symbole d’amour. Dans le bouddhisme il représente l’esprit du Bouddha ainsi que l’interdépendance de toutes choses, l’union de la compassion et de la sagesse, de la sagesse et des moyens, ou du vide et de l’interdépendance. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ashtamangala
Dessins et plans, Art tibétain, Bouddhisme tibétain, Noeuds ornementaux, Entrelacs (arts décoratifs)
Noeud sans fin tibétain : Le nœud sans fin (sk. Srivatsa, tib. palbe) peut aussi avoir une forme évoquant une fleur. Il serait à l’origine un symbole d’amour. Dans le bouddhisme il représente l’esprit du Bouddha ainsi que l’interdépendance de toutes choses, l’union de la compassion et de la sagesse, de la sagesse et des moyens, ou du vide et de l’interdépendance. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ashtamangala
Photographie, Afrique, Graines, Or, Chauves-souris, Pesage -- Instruments, Abrus precatorius, Akan (peuple d'Afrique), Ghana -- Antiquités, Ghana -- Ethnologie, Objets en or
Ce peson est un multiple du poids de la graine de pois rouge encore appelé haricot paternoster (Abrus precatorius, 0.14 à 0,19 g) qui servait de référence pour tout pesage. L'or était très important dans la vie économique et politique des royaumes Akan du sud du Ghana et de la Côte d'Ivoire. Jusqu'au milieu du XIXe siècle, la poudre d'or était la principale forme de monnaie dans la région. Afin de mesurer des quantités précises d'or, un système complexe de poids, généralement en laiton coulé, s'est développé au dix-septième siècle. Au-delà de cette fonction usuelle, les pesons d'or font souvent référence au pouvoir politique, reproduisant en miniature les attributs royaux, ainsi qu’à certaines vertus comme la sagesse que commentent généralement des proverbes. Aujourd’hui, la monnaie nationale a remplacé le précieux métal et ce système pondéral n’a plus lieu depuis le début du XX° siècle. Ancienne collection du botaniste et ethnologue français Jean Baur. Don au Muséum de Toulouse en 2010.
Peinture, Rois et souverains, Rois et souverains -- Inde, Rājasthān (Inde), Art persan, Dixhuitième siècle, Sagesse -- Aspect religieux -- Bouddhisme
Le Sage Sukhadeva s'adressant au roi Parikshit, Kishangarh, vers 1760.
L’urne aux trésors (sk. kalasha, tib. bumpa) représente les bienfaits matériels (santé, longévité, aisance matérielle) et spirituels. Dans le bouddhisme, il représente le cou du Bouddha, et le pot à eau qui fait partie des possessions du moine, ou un récipient contenant la sagesse utilisé dans les cérémonies d’onction du vajrayāna. Il représente l’espace dans la série mahabhuta des cinq éléments. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ashtamangala