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Peinture | Photographie | Manuscrits à enluminures | Art médiéval | Très riches heures du duc de Berry | France -- Moeurs et coutumes (1328-1600) | Mois | Dessins et plans | Art islamique -- Iran | Kāshān (Iran) | Art persan | Gravure | Dix-neuvième siècle | Plantes | Botanique | Façons culturales | Travaux des champs | Riches | Plantes de jardins | Flore | ...
Crésus. Source : http://data.abuledu.org/URI/505f2ee8-cresus

Crésus

Médaillon de Crésus, roi de Lydie, ayant régné d'environ 561 à environ 547 av. J.-C.. Célèbre par ses richesses, il partagea son règne entre les plaisirs, les conquêtes et les arts. Illustration de Guillaume Rouille (1518?-1589), "Promptuarii Iconum Insigniorum", 1553. Inscription : CROESUS REX LID (Crésus, roi 59). Son nom est resté dans le langage courant avec l'expression « riche comme Crésus ».

Crésus et Solon. Source : http://data.abuledu.org/URI/505f2b43-cresus-et-solon

Crésus et Solon

Tableau du peintre néerlandais Frans Franken II (1581-1642), représentant la rencontre de Crésus et Solon (le législateur athénien). Selon Hérodote, Solon : Crésus lui montra avec orgueil ses trésors, ses palais, croyant éblouir le philosophe et vantant son bonheur ; mais Solon se contenta de lui dire : « N'appelons personne heureux avant sa mort. » (Hdt, I, 29-34) En effet, Crésus ne jouit pas longtemps de son bonheur : selon la légende, un de ses deux fils, Ardys, fut victime d'un accident de chasse, tué par la javeline du Phrygien Adraste. (Hdt, I, 34-45).

La pierre. Source : http://data.abuledu.org/URI/514369a3-la-pierre

La pierre

La pierre, 1888, in "Contes et fables" de Léon Tolstoï (1828-1910). Narration et dialogue (147 mots).

Anémone hépatique. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad7a02-anemone-hepatique

Anémone hépatique

Anémone hépatique, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929. C'est une plante duveteuse, aux feuilles généralement persistantes pétiolées, en rosette, à trois lobes vert dessus, souvent brun rougeâtre ou violettes dessous. Les fleurs sont généralement bleues (parfois aussi blanches, roses ou pourprées) avec de cinq à dix sépales ovales. C'est une plante à la floraison précoce (mars-avril) dont il existe des variétés cultivées. Habitat type : sous-bois herbacés médioeuropéens, basophiles. Sols riches et frais souvent calcaire au Québec. On la rencontre dans les bois, broussailles, prés, et même rochers, surtout en montagne en Europe continentale. Séchée, elle peut être utilisée pour ses propriétés diurétiques en macération dans de l'eau ou du vin. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hepatica_nobilis

Arbre généalogique d'une famille chinoise. Source : http://data.abuledu.org/URI/50dca003-arbre-genealogique-d-une-famille-chinoise

Arbre généalogique d'une famille chinoise

Arbre généalogique d'une famille chinoise de hauts fonctionnaires, sur trois générations, brodé sur un "carré de mandarin". La sélection des candidats (pré-Sui) se fait par les autorités locales. Les candidats sont classés en neuf rangs de capacité, selon le niveau géographique de pouvoir, mais le processus tend à favoriser les familles riches et puissantes, sans réels égards à la valeur des candidats. Le « carré de mandarin » brodé sur leur manteau permettait de les distinguer, au niveau du rang et de la fonction. Le manteau des fonctionnaires pouvait être marqué sur la poitrine et sur le dos d'un insigne carré cousu après avoir été brodé (le « carré de mandarin ») qui indiquait le grade du fonctionnaire, sur une échelle de neuf classes. Les fonctionnaires civils se distinguaient par des motifs d'oiseaux, les militaires par des quadrupèdes, brodés sur le manteau uni. Ce carré de broderie était simplement cousu afin de pouvoir être remplacé en fonction de l'avancement ou de la rétrogradation du fonctionnaire. Il fut aussi, exceptionnellement, tissé.

Arène granitique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50951441-arene-granitique

Arène granitique

Granite pourri et arène granitique : chaos de Targassonne près de Font-Romeu, Pyrénées-Orientales (66). Au premier plan : Arène granitique. Au second plan : Granite très altéré. L'arène, ou gore, est un sable grossier formant une roche sédimentaire meuble. Elle est issue de l'altération in situ de roches magmatiques ou métamorphiques (en particulier les granites et leur évolution métamorphique, les gneiss) riches en quartz et feldspaths. Ce sable ni transporté, ni érodé car resté très proche de sa source, a des grains anguleux. Les arènes granitiques sont des formations résiduelles (ou altérites) constituées d'une « pâte » argileuse rouge (car colorée par les oxydes de fer) et de grains de quartz.

Avril dans les Très Riches Heures du Duc de Berry. Source : http://data.abuledu.org/URI/531c51ef-avril-dans-les-tres-riches-heures-du-duc-de-berry

Avril dans les Très Riches Heures du Duc de Berry

Avril dans les Très Riches Heures du Duc de Berry. Le sujet principal de cette peinture est une scène de fiançailles : au premier plan, à gauche, un couple échange des anneaux devant deux témoins et un autre personnage, représenté derrière, plus petit que les autres. Plus au centre, deux suivantes cueillent des fleurs. À droite, on aperçoit un verger clos de murs et d’un édifice à créneaux. À l'arrière-plan se dresse un château, souvent désigné comme le château de Dourdan. Il pourrait aussi s'agir du château de Pierrefonds.

Bécasse des bois et lombric. Source : http://data.abuledu.org/URI/5134e788-becasse-des-bois-et-lombric

Bécasse des bois et lombric

La bécasse des bois a besoin d'un humus riche et épais, où, grâce à son long bec, elle prélève les lombrics qui constituent l'essentiel de sa nourriture. Chaque soir ou presque, dès le crépuscule, la bécasse quitte ses remises forestières pour aller sur nourrir sur des prairies pâturées ou dans des vignes riches en lombrics où elle passe l'essentiel de ses nuits. En cours de journée, elle peut également se nourrir en fouillant l'humus des sous-bois à la recherche de lombrics, araignées et autres petits insectes grâce à son bec doté d'une mandibule supérieure articulée. Les gelées, en durcissant la terre, la chassent donc progressivement vers les plaines puis vers le sud, jusqu'au Maroc. En période durable de froid, la bécasse privilégie les sols acides qui gèlent plus difficilement, et lui permettent de trouver une alimentation encore accessible. En mars, les bécasses quittent les plaines pour remonter en altitude. Elles partent appariées et volent de nuit (dès le matin, elles se blottissent dans quelque bois et ne reprendront leur route que vers le soir).

Bottes de radis avec leurs fannes vertes. Source : http://data.abuledu.org/URI/5071dd2f-bottes-de-radis-avec-leurs-fannes-vertes

Bottes de radis avec leurs fannes vertes

Bottes de radis. Le radis est un légume-racine riche en minéraux et en oligo-éléments. Il aide à la reminéralisation de l'organisme, très efficacement. Il est également riche en soufre, qui lui donne sa saveur piquante et qui, surtout, stimule l'appétit et la digestion. Le tout avec un apport calorique des plus bas, seulement 15 kcal/100 g. Le radis contient, pour 100 g : 243 mg de potassium ; 23 mg de vitamine C, soit 30 % des apports journaliers recommandés, quand il est consommé cru. Son action est renforcée par la présence de pigments rouges, riches en proanthocyanidines, qui protègent les petits vaisseaux sanguins ; 20 mg de calcium ; 1,5 g de fibres. Sa richesse en cellulose le rend particulièrement efficace sur le fonctionnement du transit intestinal. Ses fanes, dont on peut préparer un potage, sont une excellente source de provitamine A, antioxydante, ainsi que de vitamine C et de fer.

Bouvreuil. Source : http://data.abuledu.org/URI/504de922-bouvreuil

Bouvreuil

Le Bouvreuil pivoine (Pyrrhula pyrrhula) est une espèce de passereau d'Eurasie appartenant à la famille des Fringillidae. Il vit et se nourrit en couple, à la lisière d'un bois ou d'une haie. Il disparaît rapidement si on l'approche. Visiteur régulier des petits jardins, surtout dans les régions riches en vergers, il reste très discret, à l'abri de la végétation.

Cadeaux d'étrennes. Source : http://data.abuledu.org/URI/531c3b0e-cadeaux-d-etrennes

Cadeaux d'étrennes

l'Illustration Européenne - 1881 : "Il faut remonter à l'antiquité pour trouver l'origine de cette singulière coutume de solenniser le commencement de l'année par des présents et des voeux réciproquement offerts. Dans la scène nous voyons une jeune femme en élégant costume du matin, montrant à deux amies, les riches cadeaux qu'elle vient de recevoir comme étrennes."

Cartographie des capelans islandais. Source : http://data.abuledu.org/URI/52087c48-cartographie-des-capelans-islandais

Cartographie des capelans islandais

Distribution et migration des capelans islandais ; Zone verte : Zones d'alimentation des adultes ; Zone bleue : Distribution des juvéniles ; Flèches vertes : Migrations alimentaires ; Flèches bleues : Migrations de retour ; Zone rouge et flèches rouges : Migrations de frai - Zones principales de frai et itinéraires de dérive des larves. Les capelans se réunissent en bancs denses et migrent au printemps et en été, pour se nourrir dans les zones océaniques riches en plancton situées entre l'Islande, le Groenland et l'île de Jan Mayen. La distribution et la migration du capelan sont liées aux courants océaniques et aux masses d'eau. Au voisinage de l'Islande, les capelans matures entreprennent de longues migrations pour se nourrir, au printemps et en été, la migration de retour ayant lieu entre septembre et novembre. La migration pour le frai commence au nord de l'Islande en décembre et janvier.

Contreforts en pierre de Notre Dame. Source : http://data.abuledu.org/URI/51439cae-contreforts-en-pierre-de-notre-dame

Contreforts en pierre de Notre Dame

Matériaux utilisés pour la construction de Notre Dame de Paris : "À l'inspection des monuments élevés pendant le moyen âge, il est aisé de reconnaître qu'alors, plus encore que pendant la période gallo-romaine, on exploitait une quantité considérable de carrières qui depuis ont été abandonnées, qu'on savait employer les pierres exploitées en raison de leur qualité, mais avec une économie scrupuleuse ; c'est-à-dire qu'on ne plaçait pas dans un parement, par exemple, une pierre de qualité supérieure convenable pour faire des colonnes monolithes, des corniches, des chéneaux ou des meneaux. Ce fait est remarquable dans un de nos édifices bâti avec un luxe de matériaux exceptionnel: nous voulons parler de la cathédrale de Paris. Là les constructeurs ont procédé avec autant de soin que d'économie dans l'emploi des matériaux. Les pierres employées dans la cathédrale de Paris proviennent toutes des riches carrières qui existaient autrefois sous la butte Saint-Jacques, et qui s'étendent sous la plaine de Montrouge jusqu'à Bagneux et Arcueil. La façade est entièrement construite en roche et en haut banc pour les parements, en liais tendre pour les grandes sculptures (banc qui avait jusqu'à 0m,90 de hauteur) et en cliquart pour les larmiers, chéneaux, colonnettes (banc de 0m,45 de hauteur au plus). Le liais tendre des carrières Saint-Jacques se comporte bien en délit, aussi est-ce avec ces pierres qu'ont été faites les arcatures à jour de la grande galerie sous les tours. Les cliquarts ont donné des matériaux incomparables pour la rose et pour les grandes colonnettes de la galerie, ainsi que pour tous les larmiers des terrasses. Parmi ces matériaux, on rencontre aussi dans les parements et pour les couronnements des contre-forts des tours l'ancien banc royal de Bagneux, qui porte 0m,70, et le gros banc de Montrouge, qui porte 0m,65 : ces dernières pierres se sont admirablement conservées. Dans les fondations, nous avons reconnu l'emploi des lambourdes de la plaine, et surtout de la lambourde dite ferme, qui porte jusqu'à un mètre ; quelquefois, mais rarement, du banc vert." Eugène Viollet-le-Duc. "Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle".

Cycle de vie d'un moustique. Source : http://data.abuledu.org/URI/52906d5f-cycle-de-vie-d-un-moustique

Cycle de vie d'un moustique

Cycle de vie d'un moustique (culex). Le cycle de développement prend deux semaines. Les œufs sont pondus en groupe (nacelles), dans tous les types d'eaux, souvent riches en matière organique.

Défenses de narvals. Source : http://data.abuledu.org/URI/5378c0eb-defenses-de-narvals

Défenses de narvals

Défenses de narvals. Considérée ensuite comme une arme, ou un outil, la "défense" du narval est aujourd'hui analysée comme un organe sensoriel, dont les riches terminaisons nerveuses permettent à l'animal de percevoir les différences de pression, de salinité, ou de température. L'animal lui-même a une longueur de 4 à 5 mètres et vit en groupes dans l'océan Arctique. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Narval

Février dans les Très Riches Heures du Duc de Berry. Source : http://data.abuledu.org/URI/531c4cef-fevrier-dans-les-tres-riches-heures-du-duc-de-berry

Février dans les Très Riches Heures du Duc de Berry

Le mois de février dans "Les Très Riches Heures du duc de Berry", par les Frères de Limbourg (1385-1416) : Un enclos ceint une ferme comprenant une bergerie et, sur la droite, quatre ruches et un pigeonnier. À l'intérieur de la maison, une femme et deux jeunes gens se réchauffent devant le feu. À l'extérieur, un homme abat un arbre à la hache, des fagots à ses pieds, tandis qu'un autre s'apprête à rentrer en soufflant sur ses mains pour se réchauffer. Plus loin, un troisième conduit un âne, chargé de bois, en direction du village voisin.

Fleurs d'arbousier. Source : http://data.abuledu.org/URI/518b5e6b-fleurs-d-arbousier

Fleurs d'arbousier

Gros-plan de fleurs d'arbousiers (Arbutus unedo). Les feuilles à bordure dentée d'une dizaine de centimètres de long sont persistantes ovales, alternes, vert foncé luisant au-dessus, vert pâle dessous. Elles sont riches en tanins. Les fleurs blanc-verdâtre, en forme de clochettes blanches pendent en grappes et apparaissent en septembre-octobre, en même temps que les fruits.

Huitres de palétuviers. Source : http://data.abuledu.org/URI/52e50426-huitres-de-paletuviers

Huitres de palétuviers

Huîtres de palétuviers dans une mangrove de Carabane (Casamance, Sénégal). La cueillette de fruits de mer, notamment d’huîtres, est une autre activité ancestrale toujours pratiquée en Casamance, qui est l’une des trois régions productrices d’huîtres du Sénégal, avec la Petite-Côte et le Sine-Saloum. Les huîtres se développent sur les racines des palétuviers découvertes à marée basse. Elles sont cueillies pendant la saison sèche, principalement par les femmes, qui contrôlent, de la récolte à la distribution, une activité qui ne nécessite guère d’investissement en dehors des déplacements et qui leur assure une certaine autonomie financière. Les huîtres occupent une place importante dans la consommation familiale. Riches en oligo-éléments et en vitamine C, elles sont, chez les Diolas, la deuxième source de protéines animales après le poisson, devançant le poulet et le porc. Elles sont volontiers associées au riz, base de l’alimentation traditionnelle, voire le remplacent, en cas de pénurie. Localement on les consomme bouillies ou grillées au feu de bois, accompagnées d’une sauce relevée. Lorsqu’elles ont été décortiquées et séchées au soleil ou fumées, elles sont vendues dans la région ou conservées, éventuellement durant quelques mois. Dans certains villages – dont Karabane – elles sont parfois gardées vivantes, pendant plusieurs semaines, avant d’être transportées sur les marchés. Outre leurs qualités nutritives, les huîtres constituent aussi une source de revenus appréciable. Karabane se trouvant au centre de la zone de cueillette, c’est l’une des raisons pour lesquelles cette escale revêt une importance stratégique. Autrefois les huîtres étaient écoulées plus facilement, jusqu’à Dakar, au sein de la communauté diola qui y vit. Elles sont vendues par les cueilleuses elles-mêmes ou par les marchandes ambulantes, que l'on appelle bana-bana. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Karabane

Janvier dans Les Très Riches Heures du Duc de Berry. Source : http://data.abuledu.org/URI/531c3c83-janvier-dans-les-tres-riches-heures-du-duc-de-berry

Janvier dans Les Très Riches Heures du Duc de Berry

Janvier dans "Les Très Riches Heures du duc de Berry", par les Frères de Limbourg (1385-1416) : Le duc de Berry, assis en bas à droite, dos au feu, est habillé de bleu et coiffé d'un bonnet de fourrure. Il invite ses gens et ses proches à se présenter à lui. Derrière lui figure l'inscription : Approche Approche. Plusieurs familiers du duc s'approchent de lui pendant que des serviteurs s'affairent : les échansons servent à boire, deux écuyers tranchants au centre sont vus de dos ; au bout de la table officie un panetier. Au-dessus de la cheminée figurent les armes du duc, "d'azur semé de fleurs de lys d'or, à la bordure engrêlée de gueules", avec de petits ours et des cygnes blessés. Plusieurs animaux de compagnie sont représentés : petits chiens sur la table, lévrier au sol. La tapisserie du fond de la salle semble représenter des épisodes de la guerre de Troie.

Jeu de Mésopotamie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eb152e-jeu-de-mesopotamie

Jeu de Mésopotamie

Jeu royal d'Ur, conservé à Londres au British Museum : Le jeu royal d'Ur, ou jeu des vingt carrés, est un jeu de l'ancienne Mésopotamie. Il est connu par deux plateaux, découverts dans des tombes royales d'Ur par Leonard Woolley dans les années 1920. La surface des tableaux en bois est couverte d'une âme de bitume avec une marqueterie de coquillages, de cornaline et de lapis-lazuli formant les riches ornements des cases du jeu. Ces plateaux sont datés d'environ 2600 avant J.-C., ce qui fait du jeu l'un des jeux les plus anciens connus à ce jour avec le senet égyptien. Ce jeu se jouait sur un plateau, avec trois dés à quatre faces et deux équipes de sept pions : les Noirs et les Blancs.

Kimberlite. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a2c548-kimberlite

Kimberlite

Kimberlite à gros cristaux d’olivine provenant d'une mine américaine (les diamants ne sont pas visibles). La kimberlite est une roche ultramafique (riche en magnésium et/ou en fer), potassique et riche en éléments incompatibles, ainsi qu'en volatils (H2O et CO2). Elle doit son nom à la ville de Kimberley en Afrique du Sud, où elle fut découverte et décrite pour la première fois. Kimberley fut fondée pour l'exploitation du diamant et le plus célèbre diatrème (pipe) de cette ville se nomme "Big Hole". Les diamants étaient à l'origine trouvés dans de la kimberlite décomposée et colorée en jaune par la limonite, qui s’appelait pour cette raison « la terre jaune ». Des extractions plus profondes permirent d’obtenir de la roche moins décomposée, de la kimberlite plus pure, que les mineurs appelèrent « la terre bleue ». Les kimberlites sont des roches volcaniques très particulières. Elles sont de composition ultrabasique (SiO2<45%) et sont très riches en H2O et en CO2. Cette richesse en volatils implique une mise en place très explosive. On ne connait pas d'éruption historique de kimberlite, mais toutes les kimberlites se trouvent dans des diatrèmes (ou pipes) ou dans des dykes, accompagnées de brèches qui témoignent de la mise en place brutale de ces magmas. La vitesse d'ascension des magmas kimberlitiques sont de l'ordre de 10 à 30 m·s-1 voire plus dans certains cas.

La grenouille rieuse en France en 2003. Source : http://data.abuledu.org/URI/5351a5a1-la-grenouille-rieuse-en-france-en-2003

La grenouille rieuse en France en 2003

Carte de répartition et d'abondance de la grenouille rieuse (Pelophylax ridibundus) d'après Duguet et al "Les Amphibiens", Parthénope, 2003 : en vert, commun ; en orange, rare ; en violet, très rare ; en bleu, absent. Cette espèce se rencontre principalement en plaine et en moyenne montagne jusqu'à 800 m d'altitude. Elle apprécie les grandes rivières aux rives bien ensoleillées ainsi que les plans d'eau de superficie importante et d'au moins 50 cm de profondeur, comme les étangs et tourbières, dans leurs parties très ensoleillées. C'est souvent le seul amphibien présent dans les plans d'eau riches en poissons. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Grenouille_rieuse Cet animal a un mode de vie très aquatique, contrairement à la Grenouille rousse qui ne s'éloigne que peu de l'eau.

Labour au mois de mars. Source : http://data.abuledu.org/URI/56c979f6-labour-au-mois-de-mars

Labour au mois de mars

Labour en mars, dans Les Très Riches Heures du duc de Berry ; l'agriculture était la base de l'économie du Moyen Âge, tandis que la paysannerie formait l'un des trois ordres de la société médiévale avec le clergé et la noblesse.

Le chevalier de la Mort. Source : http://data.abuledu.org/URI/531c4afe-le-chevalier-de-la-mort

Le chevalier de la Mort

Le chevalier de la Mort, Très Riches Heures du Duc de Berry.

Le clown Pantalone en 1550. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c15cd5-le-clown-pantalone-en-1550

Le clown Pantalone en 1550

Le clown Pantalone en 1550, personnage type de la commedia dell'arte portant une culotte longue. L’habit du personnage est à l'origine un collant rouge avec une volumineuse braguette, pour attirer l’attention sur une virilité dont chacun sait qu’elle appartient au passé, un gilet rouge étroit à grands boutons qui, lorsque Venise eut perdu Négrepont, fut changé en un habit noir, et par-dessus, une simarre. Il porte un masque brun avec un long nez crochu et un couvre-chef sans bords. Pantalon représente le vieillard avare, crédule, libertin, méticuleux. Pantalon est père, époux, veuf, ou encore vieux garçon songeant toujours à plaire. Père, il a deux filles difficiles à marier : Isabelle et Rosaure, ou Camille et Smeraldine, secondées dans leur désobéissance par des soubrettes fines et hardies. Fils de riches marchands, il dispose d'une fortune considérable. Pourtant, il ne l'utilise pas et préfère profiter de la jouissance que cet argent lui procure, à l'instar d'Harpagon. Il n'a qu'un seul ami fidèle : le Docteur, un autre personnage de la Commedia dell'arte. Source : Maurice SAND, Masques et bouffons (Comédie Italienne). Paris, Michel Levy Freres, 1860.

Le mois d'août des Très Riches Heures du Duc de Berry. Source : http://data.abuledu.org/URI/531c570e-le-mois-d-aout-des-tres-riches-heures-du-duc-de-berry

Le mois d'août des Très Riches Heures du Duc de Berry

Le mois d'août des Très Riches Heures du Duc de Berry. Au premier plan, figure une scène de fauconnerie : le cortège à cheval part pour la chasse, précédé d'un fauconnier. Celui-ci tient dans la main droite le long bâton qui lui permettra de battre arbres et buissons pour faire s'envoler le gibier. Il porte deux oiseaux au poing et, à la ceinture, un leurre en forme d'oiseau que l'on garnissait de viande pour inciter les faucons à revenir. Le cortège est accompagné de chiens destinés à lever le gibier ou à rapporter celui qui aura été abattu. Sur leur cheval, trois personnages portent un oiseau, sans doute un épervier ou un faucon émerillon. Au second plan sont représentés les travaux agricoles du mois d'août. Un paysan fauche le champ, un deuxième réunit les épis en gerbes alors qu'un troisième les charge sur une charrette tirée par deux chevaux. À proximité, d'autres personnages se baignent dans une rivière — peut-être la Juine — ou se sèchent au soleil. À l'arrière-plan se dresse le château d'Étampes, que le duc de Berry avait acquis en 1400, à la mort de Louis d'Évreux, comte d'Étampes. Derrière les remparts, on distingue le donjon quadrangulaire et la tour Guinette, qui existe toujours.

Le mois d'octobre dans les Très Riches Heures du Duc de Berry. Source : http://data.abuledu.org/URI/531c59bb-le-mois-d-octobre-dans-les-tres-riches-heures-du-duc-de-berry

Le mois d'octobre dans les Très Riches Heures du Duc de Berry

Le mois d'octobre dans les Très Riches Heures du Duc de Berry : la scène paysanne du premier plan représente les semailles. À droite, un homme sème à la volée. Des pies et des corneilles picorent les graines qui viennent d'être semées, à proximité d'un sac blanc et d'une gibecière. Derrière, un épouvantail en forme d'archer et des fils tendus, sur lesquels sont accrochés des plumes, sont destinés à éloigner les oiseaux. À gauche, un paysan à cheval passe la herse sur laquelle est posée une pierre qui permet aux dents de pénétrer plus profondément dans la terre. Il recouvre ainsi les grains qui viennent d'être semés. À l'arrière-plan, le peintre a représenté le Palais du Louvre. Du château au centre, on distingue, outre le donjon central qui accueillait alors le trésor royal, la façade orientale à droite, encadrée par la tour de la Taillerie et la tour de la Chapelle, et à gauche la façade méridionale, avec ses deux tours jumelées au centre. L'ensemble est entouré d'une enceinte ponctuée de trois tours et de deux bretèches, visibles ici. Sur la rive, des personnages conversent ou se promènent.

Le mois de décembre des Très Riches Heures du Duc de Berry. Source : http://data.abuledu.org/URI/531c5bde-le-mois-de-decembre-des-tres-riches-heures-du-duc-de-berry

Le mois de décembre des Très Riches Heures du Duc de Berry

Le mois de décembre des Très Riches Heures du Duc de Berry. Pour le dernier mois de l'année, le peintre n'a pas retenu l'iconographie traditionnelle de la tuerie de cochon pour Noël pour préférer une scène de vénerie. Il s'agit plus précisément de la curée, au moment où l'un des chasseurs, à droite, achève de sonner l'hallali. Les chiens dépècent le sanglier. La scène se déroule au centre d'une forêt dont les arbres sont encore en feuilles. À l'horizon se dresse le château de Vincennes, achevé par Charles V, avec son donjon central et ses tours.

Le mois de juillet dans les Très Riches Heures du Duc de Berry. Source : http://data.abuledu.org/URI/531c559c-le-mois-de-juillet-dans-les-tres-riches-heures-du-duc-de-berry

Le mois de juillet dans les Très Riches Heures du Duc de Berry

Le mois de juillet dans les Très Riches Heures du Duc de Berry : les travaux du mois de juillet représentent la moisson et la tonte des moutons. Deux personnages fauchent les blés à l'aide d'un volant et d'une baguette. Un volant est une longue faucille ouverte dont le manche fait angle avec le plat de la lame. À l'aide de la baguette, ils dégagent un paquet de tiges qu'ils coupent en lançant le volant. Les moissonneurs avancent de l'extérieur de la parcelle en se dirigeant vers son centre en tournant. L'un d'entre eux porte une pierre à aiguiser à la ceinture. Deux autres personnages, dont une femme, coupent la laine des moutons à l'aide de forces. Exception faite des montagnes imaginaires, le paysage représente, au premier plan, la rivière Boivre se jetant dans le Clain, à proximité du palais comtal de Poitiers.

Le mois de juin dans les Très Riches Heures du Duc de Berry. Source : http://data.abuledu.org/URI/531c5470-le-mois-de-juin-dans-les-tres-riches-heures-du-duc-de-berry

Le mois de juin dans les Très Riches Heures du Duc de Berry

Le mois de juin dans les Très Riches Heures du Duc de Berry : illustration des travaux paysans avec une scène de fenaison. Tandis qu'au premier plan une femme râtelle du foin et qu'une autre le met en tas à l'aide d'une fourche, trois faucheurs forment des sillons au second plan à droite. D'autres personnages minuscules sont représentés dans une barque sur le fleuve, dans l'escalier menant à la poterne et dans l'escalier couvert à l'intérieur du palais. La scène se déroule en bordure de Seine, dans un champ situé à l'emplacement de l'hôtel de Nesle, résidence parisienne du duc de Berry. De l'autre côté du fleuve s'étend dans toute sa longueur le palais de la Cité, avec successivement les jardins du roi, la Salle sur l'eau, les trois tours Bonbec, d'Argent et César, puis la tour de l'Horloge. Derrière la galerie Saint-Louis au centre, les deux pignons de la Grande Salle, le Logis du roi et la tour Montgomery. À droite, la Sainte-Chapelle.

Le mois de Mai des Très Riches Heures du Duc de Berry. Source : http://data.abuledu.org/URI/531c528d-le-mois-de-mai-des-tres-riches-heures-du-duc-de-berry

Le mois de Mai des Très Riches Heures du Duc de Berry

Le mois de Mai des Très Riches Heures du duc de Berry : Ce mois est illustré par la cavalcade traditionnelle du 1er mai : des jeunes gens vont à cheval, précédés de joueurs de trompettes. Ils partent en forêt chercher des rameaux qu'ils porteront sur la tête ou autour du cou. À cette occasion, les dames arborent une longue robe verte, comme c'est ici le cas de trois d'entre elles. Plusieurs personnages portent des feuillages dans leur coiffure. Les constructions de l'arrière-plan ont donné lieu à des interprétations divergentes. Il pourrait s'agir du palais de la Cité à Paris avec le Châtelet à gauche, la Conciergerie et la tour de l'Horloge.

Le mois de novembre des Très Riches Heures du Duc de Berry. Source : http://data.abuledu.org/URI/531c5adc-le-mois-de-novembre-des-tres-riches-heures-du-duc-de-berry

Le mois de novembre des Très Riches Heures du Duc de Berry

Le mois de novembre des Très Riches Heures du Duc de Berry. La miniature représente une scène paysanne traditionnelle d'automne : la glandée. Un porcher, accompagné d'un molosse, fait paître un troupeau de porcs dans un bois de chênes. À l'aide d'un bâton qu'il jette, il frappe les branches pour en faire tomber les glands. Le porc, engraissé puis tué et salé, permettra de préparer l'hiver et de se nourrir toute l'année. On aperçoit à l'arrière-plan un château accroché aux rochers et une rivière qui serpente entre les montagnes bleuies.

Le mois de septembre dans les Très Riches Heures du Duc de Berry. Source : http://data.abuledu.org/URI/531c5895-le-mois-de-septembre-dans-les-tres-riches-heures-du-duc-de-berry

Le mois de septembre dans les Très Riches Heures du Duc de Berry

Le mois de septembre dans les Très Riches Heures du duc de Berry : septembre est illustré par les vendanges. Cinq personnages cueillent du raisin tandis qu'un homme et une femme, apparemment enceinte, se reposent. Les grappes sont déposées dans des paniers qui sont ensuite vidés dans des hottes fixées sur des mulets. Ces hottes sont elles-mêmes déversées dans des cuves chargées dans des charrettes tirées par des bœufs. Le second plan est entièrement occupé par le château de Saumur en Anjou, région déjà viticole à l'époque. Les tours sont coiffées de girouettes à fleurs de lys. À ses abords, une lice (palissade) est représentée avec sa barre centrale et son mur de treillage.

Lentilles Beluga. Source : http://data.abuledu.org/URI/509b86a8-lentilles-beluga

Lentilles Beluga

La lentille cultivée (Lens culinaris) est une espèce de plantes dicotylédones annuelles appartenant à la famille des Fabaceae ou légumineuses, largement cultivée pour ses graines comestibles riches en protéines.

Les douze mois des Très Riches Heures du Duc de Berry. Source : http://data.abuledu.org/URI/531c49d6-les-douze-mois-des-tres-riches-heures-du-duc-de-berry

Les douze mois des Très Riches Heures du Duc de Berry

Les douze mois des Très Riches Heures du Duc de Berry.

Libellule Anax imperator. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d17216-libellule-anax-imperator

Libellule Anax imperator

Un Anax empereur (Anax imperator) mâle, photographié à Puerto de la Cruz, sur l'île de Tenerife. D'origine africaine, elle est assez commune sur la plupart des milieux stagnants (ou à courant faible) riches en végétation (et non pollués par des pesticides) en plaine surtout. Visible d'avril à octobre en Europe occidentale et centrale. Elle a fortement régressé ou disparu des zones d'agriculture intensive.

Licences de diffusion. Source : http://data.abuledu.org/URI/5310942b-licences-de-diffusion

Licences de diffusion

1) Très bonne idée, ma chère Zéa ! Je vais prêter les photographies de mes expéditions pour que tu les mettes dans Wikipédia ! Mais je voudrais une licence non commerciale. 2) Merci, Oncle Philip ! Mais ça serait mieux si tu permettais les utilisations commerciales. 3) Eh, ma chère ! Je ne voudrais pas que des maisons d'édition s'enrichissent avec le récit de mes aventures ! 4) Tu sais, Oncle Philip, les grandes maisons d'édition ont tellement de moyens qu'il leur est plus simple de faire leurs propres photos que d'exploiter les tiennes. 5) D'ailleurs, même si elles le faisaient, tes photos resteraient libres ; ils ne feraient que t'aider à les diffuser. Par contre, en interdisant les applications commerciales, tu interdis que tes photos soient utilisées sur les DVD et les livres que l'on publie à prix très bas à partir de Wikipédia. 6) Sur ces derniers mots, Oncle Philip s'exclame : By Jove ! Ainsi, en pensant barrer la route à de riches profiteurs, j'allais entraver la diffusion de connaissances libres ! Tu as raison, mettons mes aventures en CC-by-sa !

Maïs. Source : http://data.abuledu.org/URI/509d0f54-mais

Maïs

Le maïs (Zea mays), aussi appelé blé d’Inde au Canada, est une plante herbacée tropicale annuelle de la famille des Poacées (graminées), largement cultivée comme céréale pour ses grains riches en amidon, mais aussi comme plante fourragère. Le terme désigne aussi le grain de maïs lui-même, de la taille d’un petit pois.

Maison de Délos. Source : http://data.abuledu.org/URI/5291b15f-maison-de-delos

Maison de Délos

Plan schématique de la disposition des pièces du rez-de chaussée d'une maison délienne. Les maisons de l'ile de Délos donnent une image précise de l'habitation privée hellénistique. Les maisons forment la grande majorité des édifices exhumés à Délos dans un bon état de conservation. Les demeures privées du IIème au Ier siècles av. J.-C. forment la grande majorité des édifices exhumés à Délos et constituent une des principales originalités archéologique de l'île. La "Maison délienne" n'est pas originale dans sa part d'innovation. En effet il s'agit bien d'une maison de type grec avec sa cour et ses pièces en uniformité avec le monde grec. La divergence tient dans la multiplication des variantes par rapport à ces canons et l'extraordinaire diversité des techniques employées conjointement. L'urbanisme de Délos apparaît comme le domaine de l'invention individuelle affranchie de toute réglementation, à la grande différence des cités grecques "classiques" d'alors, comme Olynthe, bâties sur plan hippodaméen. La ville de Délos combine, diversité des plans, diversité des hauteurs des maisons, diversité des couvrements. Les demeures les plus riches voisinaient avec les plus simples. Les quartiers n'étaient ni spécialisés par la fortune ni par l'appartenance ethnique.

Maison persane Borujerdis en Iran. Source : http://data.abuledu.org/URI/5954ef4c-maison-persane-borujerdis-en-iran

Maison persane Borujerdis en Iran

Maison des Boroudjerdi, construite en 1857 par l'architecte Oustad Ali Maryam, pour une famille de riches marchands de la ville de Kashan en Iran, chef d’œuvre de l'architecture résidentielle persane traditionnelle.

Maison persane Borujerdis en Iran. Source : http://data.abuledu.org/URI/5954efaa-maison-persane-borujerdis-en-iran

Maison persane Borujerdis en Iran

Maison des Boroudjerdi, construite en 1857 par l'architecte Oustad Ali Maryam, pour une famille de riches marchands de la ville de Kashan en Iran, chef d’œuvre de l'architecture résidentielle persane traditionnelle.

Maison persane de Boroujerdi. Source : http://data.abuledu.org/URI/5954fd44-maison-persane-de-boroujerdi

Maison persane de Boroujerdi

Maison des Boroudjerdi, construite en 1857 par l'architecte Oustad Ali Maryam, pour une famille de riches marchands de la ville de Kashan en Iran, chef d’œuvre de l'architecture résidentielle persane traditionnelle.

Maison persane de Boroujerdi en Iran. Source : http://data.abuledu.org/URI/5954f008-maison-persane-de-boroujerdi-en-iran

Maison persane de Boroujerdi en Iran

Maison des Boroudjerdi, construite en 1857 par l'architecte Oustad Ali Maryam, pour une famille de riches marchands de la ville de Kashan en Iran, chef d’œuvre de l'architecture résidentielle persane traditionnelle.

Mars dans les Très Riches Heures du Duc de Berry. Source : http://data.abuledu.org/URI/531c4de2-mars-dans-les-tres-riches-heures-du-duc-de-berry

Mars dans les Très Riches Heures du Duc de Berry

Le mois de Mars dans les Très Riches Heures du Duc de Berry : Au premier plan, un paysan laboure un champ à l'aide d'une charrue tirée par deux bœufs, l'homme les dirigeant à l'aide d'une longue gaule. Des vignerons taillent la vigne dans un enclos à gauche et labourent le sol à l'aide d'une houe pour aérer le sol : ce sont les premières façons de la vigne. Sur la droite, un homme se penche sur un sac, sans doute pour y puiser des graines qu'il va ensuite semer. Enfin, dans le fond, un berger emmène le chien qui garde son troupeau. À l'arrière-plan figure le château de Lusignan (Poitou), propriété du duc de Berry qui l'a fait moderniser. On voit à droite de l'image, au-dessus de la tour poitevine, un dragon ailé représentant la fée Mélusine.

Mère Bontemps 12. Source : http://data.abuledu.org/URI/5189d9c3-mere-bontemps-12

Mère Bontemps 12

La Mère Bontemps (12), Magasin d'Éducation et de Récréation, 1892, illustré par Lorenz Fröhlich (1820-1908) dessinateur danois.

Muflier à grandes fleurs ou gueule-de-loup. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad963b-muflier-a-grandes-fleurs-ou-gueule-de-loup

Muflier à grandes fleurs ou gueule-de-loup

Mufliers des jardins, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929. Leur forme singulière est à l'origine du nom Gueule-de-loup de la plante puisque, lorsque l'on pince les côtés de la fleur, celle-ci s'ouvre comme une gueule. Le Muflier atteint une hauteur de 15 à 150 cm. Il fleurit durant l'été et l'automne. Ses fleurs sont blanches, rouges, roses ou jaunes. Ses feuilles sont étroites et ont une longueur de 2 à 8 cm. Il est connu dans les jardins depuis 1583. C'était l'hôte privilégié des jardins de curés. On l'utilise aujourd'hui en rocailles, murets, massifs, jardinières, fleurs coupées et en suspension (selon la variété). Le Muflier apprécie les sols drainants, riches, humifères, à pH neutre. Il est sensible à l'appauvrissement annuel du sol. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Muflier_%C3%A0_grandes_fleurs

Namazu, le poisson-chat géant. Source : http://data.abuledu.org/URI/5381b82b-namazu-le-poisson-chat-geant

Namazu, le poisson-chat géant

Le dieu japonais de l'abondance, Daikoku aidé de Takemikazuchi, dieu du tonnerre chevauchant le poisson-chat géant Namaku, redistribue la fortune des riches : "kawaraban", pamphlet gravé dans le bois. Titre : "Jishin yoke no uta", chanson préventive contre les tremblements de terre. Poème de style kyōka : "Minakami no tsuge ni inochi wo tasukarite roku bu no uchini iruzo ureshiki" = Grâce au message du dieu des mers, nous sommes les six rescapés.

Néottie nid d'oiseau. Source : http://data.abuledu.org/URI/506402b0-neottie-nid-d-oiseau

Néottie nid d'oiseau

Planche botanique de l'Atlas des Plantes de France, 1891. La Néottie nid d'oiseau (Neottia nidus-avis) est une plante herbacée vivace de la famille des Orchidaceae. C'est un géophyte à rhizomes dépourvu de chlorophylle. Elle de couleur brun jaunâtre. Ses fleurs, roussâtres, sont disposées en épi. Les feuilles sont brunes et transformées en écailles engainantes le long de la tige. La tige desséchée avec les capsules vides persiste d'une année sur l'autre. Sur l'appareil végétatif, en partie souterrain, la disposition et l'enchevêtrement des rhizomes et racines font penser aux brindilles d'un nid d'oiseau. La comparaison est attribuée au médecin et botaniste Jacques Daléchamps en 1586. La floraison s'étale de mai à juillet. Elle peut se faire sous terre. La pollinisation est assurée par les insectes, en particulier des coléoptères et des thysanoures. L'autofécondation peut avoir lieu à défaut de visite d'insecte: les pollinies enflent, puis s'effritent et le pollen se dépose sur le stigmate. La Néottie s'associe à un champignon qui vit en symbiose avec les racines d'un feuillu. L'énergie de l'arbre lui est transmise par le champignon. C'est une espèce d'ombre. Elle est mésophile et apprécie des sols riches au pH basique à neutre. Ses biotopes préférés sont les hêtraies, chênaies ou pineraies.

Noisetier. Source : http://data.abuledu.org/URI/50649bc6-noisetier

Noisetier

Planche botanique de l'Atlas des Plantes de Fance, 1891. Le noisetier était anciennement appelé le coudrier (Corylus avellana). Corylus signifie « casque » en latin en référence à la forme de ses cupules (bractées) membraneuses et frangées qui entourent la noisette. Le noisetier serait une des rares espèces de l'ère secondaire (- 70 millions d'années) à avoir survécu jusqu'à nos jours. De tout temps le coudrier apparaît dans la littérature si l'on s'en réfère notamment à Virgile : il est dit dans les Bucoliques que les coudriers et les fleuves ont été témoins de la douleur des nymphes occasionnée par la mort de Daphnis. Par ailleurs, dans Tristan et Iseut, l'amour existe à la seule condition que le coudrier puisse s'enlacer au chèvrefeuille. Dans le cas contraire, les deux dépérissent. Le coudrier a toujours été source d'histoires magiques. Il était utilisé pour des incantations par les druides. Il a aussi été utilisé par les sourciers et les chercheurs d'or. Selon la légende le noisetier était utilisé par les sorcières pour fabriquer leur balai... La noisette, est un des oléagineux parmi les plus riches en omega 3 (contre le mauvais cholestérol). Elle est aussi très riche en vitamine E (contre le vieillissement cellulaire), en fibres (contre le cancer du côlon), en cuivre (contre les rhumatismes et les maladies infectieuses), en fer (contre l'anémie), en magnésium (contre le stress), en phosphore (contre la fatigue intellectuelle) et en vitamine B. Les écorces et les feuilles ont des propriétés astringentes et antidiarrhéiques. L'huile sert de vermifuge pour les enfants. Casse-noisette (en russe : Щелкунчик ; Chtchelkountchik) est un ballet-féerie Tchaïkovski ; Le livret d'Ivan Vsevolojski et Marius Petipa s'inspire de la version d'Alexandre Dumas d'un conte d'Ernst Theodor Amadeus Hoffmann : Nußknacker und Mausekönig (Casse-noisette et le Roi des souris).

Noyer commun. Source : http://data.abuledu.org/URI/5064c36c-noyer-commun

Noyer commun

Planche botanique de l'Atlas des Plantes de France, 1891. Le noyer commun, ou noyer royal (Juglans regia L.), est un arbre assez commun, originaire d'Eurasie, cultivé pour son bois recherché en ébénisterie et ses fruits, les noix, riches en huile. C'est le seul représentant subspontané en France de la famille des Juglandacées.