Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.
Le dindon des broussailles (Alectura lathami) est une espèce d'oiseau commun de la famille des mégapodes, qui couve ses œufs dans des monticules de végétaux plus ou moins en décomposition et dont il règle la hauteur pour maintenir la température constante. C'est un oiseau spectaculaire, avec une grande queue en éventail, aplatie verticalement. Il a un plumage noir, une tête et un cou dénudés, rouges et des caroncules jaunes qui deviennent plus voyantes chez le mâle en période de reproduction. Il a un vol lourd qu'il n'utilise que lorsqu'il est effrayé ou pour se percher dans les arbres la nuit ou aux heures chaudes de la journée. L'adulte a une longueur de 60 à 75 cm, une envergure de 70 à 85 cm.
Gravure, Ustensiles de cuisine, Anglais (langue), Latin (langue), Dix-huitième siècle, Winchester (GB), Éducation civique, Éducation des jeunes, Éducation et humour
Hircocervus, le fidèle serviteur de Winchester, reproduction d'un tableau représentant les vertus ménagères qui sont aussi celles d'un bon étudiant anglais près de la cuisine du collège St Mary (The Trusty Servant, from the original painting on the wall adjacent to the kitchen of St Mary's College), 1749 ; avec poème en vers en latin.
Dessins et plans, Nidification, Oiseaux migrateurs, Europe, Cartes, Goéland argenté, Oiseaux -- Reproduction
Aire de répartition du goéland argenté (Larus argentatus) européen. En vert, Zone de nidification ; en bleu, Zone d'hivernage après dispersion ; en jaune : Zone d'hivernage après migration. Bon voilier et bon marcheur, le goéland est un omnivore opportuniste à tendance carnivore, qui n'hésite pas à devenir charognard, ou à pratiquer le cleptoparasitisme, voire le cannibalisme. Oiseau sociable, il niche en colonie et produit chaque année deux ou trois oisillons qui, s'ils parviennent à l'âge adulte, auront une probabilité de survie particulièrement élevée. Comme chez la plupart des oiseaux de mer, la saison de reproduction s'étale sur une longue période. La reproduction proprement dite, c'est-à-dire la ponte et l'élevage de la nichée, se déroule d'avril à juillet ; mais elle est précédée par une longue phase d'appropriation des territoires et de formation des couples. Les dates d'arrivée aux sites de nidification varient avec la latitude : elles sont plus précoces au sud. Ainsi, les goélands argentés sont observés sur leurs territoires au plus tard dès décembre dans le Finistère et au cap Blanc-Nez, début janvier en mer d'Irlande et début mars dans le sud de la Baltique. Les retours sont même signalés dès novembre au pays de Galles. Schématiquement, les mois précédant la ponte proprement dite, c'est-à-dire approximativement de janvier à avril, sont consacrés à l'appropriation et à la délimitation des territoires, à la formation des couples et à l'accouplement, enfin à la construction du nid. Mai est le mois des pontes et de l'incubation pour la majorité des couples, juin et juillet ceux de l'élevage des jeunes. Les oiseaux quittent progressivement les sites de reproduction dans le courant du mois d'août, les colonies étant pratiquement désertes à la fin de ce mois.
Textes, Formules magiques, Objets magiques, Faim, Contes traditionnels, Malnutrition, Ladakh (Inde), Ladakhi (langue), Ladakhi (peuple de l'Inde)
Le pot de thukpa magique, conte traditionnel écrit en anglais par Jean Chilton et illustré par Asmara Figue, traduit en tibétain de Ladakh par Tsewang Tharchin, édition Rebecca Normal, publication SECMOL (autorisation de reproduction SECMOL). Traduction en trançais als33 (20150223). Texte de 437 mots. Source : http://en.wikipedia.org/wiki/Thukpa
Peinture, Savon, Éducation des garçons, Peinture -- France (19e siècle), Jeux d'extérieur, Peinture de portraits, Bulles -- Dynamique
Reproduction du tableau de Manet de 1867 intitulé "Les bulles de savon", représentant un jeune garçon, un bol dans la main gauche faisant des bulles.
Contes d'ailleurs, Loup-Blanc, page 14 : conte canadien, album édité en lien avec un film d'animation de Jacques Grandclaude. Autorisation de reproduction CLE International avec le concours du C.I.E.P. de Sèvres, maquette/illustrations c.9.i.atelier graphique, 1978, N° 031711. Scan d'un album de famille.
Contes d'ailleurs, Loup-Blanc, page 7 : conte canadien, album édité en lien avec un film d'animation de Jacques Grandclaude. Autorisation de reproduction CLE International avec le concours du C.I.E.P. de Sèvres, maquette/illustrations c.9.i.atelier graphique, 1978, N° 031711. Scan d'un album de famille.
Photographie, Méduses, Aquariums marins, Cnidaires, Animaux marins, Prédation (biologie), Proies et prédateurs, Métazoaires
Méduses dans l'aquarium d'Atlanta. Très souvent fuie à cause de ses cellules urticantes, la méduse a néanmoins des prédateurs. Les deux plus grands consommateurs de méduses sont la tortue Luth dont elle est le mets favori, et le poisson lune. Le thon rouge en est aussi très friand. Dans une moindre mesure, des crustacés apprécient le cadavre de certaines espèces. La surpêche ou la disparition des espèces prédatrices des méduses (thons, harengs, anchois, tortues), la disparition de leurs concurrentes telles que les sardines qui augmentent la quantité de nourriture disponible, « la destruction des fonds marins par les chalutiers qui favorise leur reproduction, le réchauffement des eaux, et l'eutrophisation des milieux côtiers » stimulent leur prolifération, au point que les chercheurs Philippe Cury et Daniel Pauly font la conjecture provocatrice qu'« il nous faudra nous contenter de manger des méduses ! » Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9duse_%28animal%29 ; Philippe Cury et Daniel Pauly, Mange tes méduses !, Éditions Odile Jacob, 2013, 224 p.
Photographie, Mérou brun, Biologie marine, Réserves naturelles, Epinephelus marginatus, Palerme (Italie. - région)
Mérou (Epinephelus marginatus) dans la Réserve naturelle de Capo Gallo à Palerme en Sicile. Son espérance de vie est d'environ 50 ans. Le mérou n'a pas de sexe déterminé avant l'âge de 4 ans. D'abord femelle, il devient mâle vers l'âge de 9 à 12 ans jusqu'à la fin de sa vie. On parle d'un mode de reproduction protérogynique. Le mérou brun a bien failli disparaître des côtes du Nord de la Méditerranée, victime de sa placidité et de la facilité qu'ont eu les hommes à le pêcher. Néanmoins, en France notamment, suite à un moratoire sur sa pêche (sous-marine et à l'hameçon), le mérou brun est de plus en plus fréquent sur les côtes. Le mérou brun, est probablement le poisson le plus recherché et le plus médiatique de Méditerranée. Il peut vivre jusqu'à 200 mètres de profondeur. Les sites où ce poisson imposant et peu farouche a élu domicile sont particulièrement appréciés des plongeurs et des photographes (voir Jojo le Mérou dans Le Monde du silence de Jacques-Yves Cousteau). Il était autrefois très commun, mais la surpêche a fait des ravages dans l'espèce.
Cartes des migrations de l'hirondelle de fenêtre (Delichon) : en jaune zone de reproduction en été.
Photographie, Provence (France), Marseille (Bouches-du-Rhône), Santons, Sculpture en terre cuite, Noëls provençaux, Musées -- Acquisitions, Musées (édifices)
Musée des santons de Provence Marcel Carbonel (collection privée marcel Carbonel). Architecte d'intérieur, Maurice Padovani, Marseille : Marcel Carbonel, né à Lyon le 25 juillet 1911, décédé à Marseille le 25 mai 2003 à l'âge de 92 ans, est un santonnier marseillais, doyen de sa profession. Pour fabriquer le moule original d'une nouvelle création appelé « moule-mère », il utilise du plâtre de Paris de couleur jaunâtre; ses particularités sont la finesse de l'empreinte, sa densité et sa solidité. Pour les moules de reproduction, il utilise un plâtre moins dur qui permet de démouler plus facilement le sujet. La forme des moules de reproduction est importante ; elle est arrondie en haut du moule afin de faciliter l'estampage en série. Ensuite, il laisse sécher le santon et le cuit dans un four électrique à une température qui atteint progressivement 980 °C. Il décore ses santons avec des gouaches de sa propre fabrication. Grâce à sa formation de lithographe, il met au point ses propres gouaches en broyant manuellement des pigments avec de la gomme arabique dure, dite « Kitir », qu'il décante lui-même. Il utilise 19 pigments de base (ocre rouge, ocre jaune, terre de sienne, terre de sienne brûlée, rouge hélios, rouge d'alizarine, rose tyrien, vert de chrome, vert valentine, violet d'alizarine, jaune hansa, jaune de chrome, bleu de cobalt, bleu de manganèse, bleu outremer, bleu de prusse, noir d'ivoire, blanc de titane, blanc de lithopone, qu'il mélange pour créer sa propre palette de 124 couleurs répertoriées et dosées. Ce procédé, d'après son expérience, permet en effet d'obtenir des couleurs plus vives et éclatantes que les gouaches en tube du commerce auxquelles ont généralement recours les autres santonniers. En 1961, la discipline santonnière rentre à la Sorbonne où Marcel Carbonel sera le premier santonnier à être distingué Meilleur ouvrier de France ; cette discipline est toujours en vigueur. Le 9 mai 2003, il est fait chevalier de la Légion d'honneur. Sa collection privée est constituée de pièces originales faites d'argile (cuite ou crue), papiers mâchés, bois sculpté et précieux, verre filé de Murano, plâtre, céramique, porcelaine, polychrome, maïs, liège, tissus (santons habillés). En 1997, cette collection est mise en valeur au travers d'un musée permettant aux visiteurs d'explorer cet artisanat. De la collection privée de Marcel Carbonel de plus de quatre mille cinq cents pièces, seules 2 421 pièces sont exposées.
Oeufs de saumon à différentes étapes de développement. Les œufs (parfois appelés caviar rouge) font environ 5 mm de diamètre. Ils servent à la reproduction des saumons, sont vendus tels quels ou servent d’ingrédient alimentaire ou cosmétique. Les œufs sont extraits des saumons sauvages pêchés au filet ; on peut aussi les extraire (par pression du ventre) de la femelle sans tuer l’animal.
Oiseau vert (Zosterops olivaceus), oiseau forestier endémique de l'île de La Réunion. Son plumage est de couleur vert olive sur le dos et jaune sur le croupion, gris sur le ventre et noir sur la tête. Son œil est entouré d'un cercle de plume blanches. Le mâle et la femelle sont indifférenciés. C'est un oiseau forestier qui vit dans les forêts de bois de couleurs des hauts, entre 500 et 2 500 mètres. On le rencontre fréquemment dans le Parc national de La Réunion ou encore dans la Forêt de Bélouve. Il aime les endroits où poussent les fleurs jaunes. Son bec fin et légèrement recourbé lui permet d'atteindre le nectar des fleurs. L'oiseau vert est toujours en mouvement. Il supporte difficilement la présence de congénères et peut se montrer agressif. L'oiseau vert est essentiellement nectarivore. Mais il se nourrit également de pulpe de fruits et d'insectes. La reproduction a lieu pendant l'été austral c'est-à-dire de juillet à janvier. La femelle pond 2 à 3 œufs dans un nid en forme de coupe composé de brindilles, de duvet et de mousses.
L’okapi se nourrit de feuilles, de divers végétaux différents (dont l’euphorbe, particulièrement toxique pour l’homme), de bourgeons, de branches tendres, de fruits, de champignons et de fougères. Il cueille sa nourriture à l’aide de sa langue et de ses lèvres préhensiles. Il comble ses besoins en minéraux en mangeant de l’argile sulfureuse qu’il trouve près des rivières ou des graminées poussant sur des sols hautement minéralisés. L’okapi est un animal discret et solitaire qui ne fréquente ses pairs qu’au moment de la reproduction. On compte généralement deux individus au km². Sédentaire, il vit sur un territoire qu’il marque par des dépôts d’urine et des sécrétions issues de glandes situées entre ses doigts. Il emprunte toujours les mêmes pistes de passage qu’il a ainsi marquées. C’est un animal essentiellement nocturne dont le principal prédateur est le léopard. Ses oreilles très grandes lui permettent d'entendre le moindre bruit en cas d'attaque.
L'orgue est un instrument à vent multiforme dont les caractéristiques communes sont de produire les sons à l’aide d’ensembles de tuyaux sonores alimentés par une soufflerie, et accordés suivant une gamme définie. L'orgue est joué le plus souvent à l’aide d’au moins un clavier et le plus souvent d’un pédalier, mais il peut aussi être muni exclusivement d'un système de reproduction (cylindres, cartons, mémoire électronique), ou être joué conjointement par ces deux systèmes.
Dessins et plans, Plantes, Botanique, Angiospermes, Ovules (botanique), Gymnospermes, Plantes -- Reproduction, Plantes -- Reproduction sexuée
Représentation schématique (avec légendes) d'un ovule de gymnosperme (à gauche) et d'angiosperme (à droite).
Photographie, Otaries, Géorgie, Kerguelen (Terres australes et antarctiques françaises), Îles, Mammifères marins, Otaries à fourrure
Petite otarie (Arctocephalus gazella). Ses colonies de reproduction sont situées sur les îles sub-antarctiques situées à proximité de la convergence antarctique. Environ 95 % de la population mondiale se reproduit en Géorgie du Sud. À la naissance, les nouveau-nés pèsent entre 4,5 et 6,5 kg et mesurent entre 60 et 73 cm. Ils ont une fourrure laineuse brune à presque noire, qu'ils conservent pendant 2-3 mois. Ensuite l'otarie présente un pelage argenté qui dure jusqu'à l'âge adulte. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Otarie_de_Kerguelen
Pinson des arbres perché (Fringilla coelebs moreletti), à Sao Jorge, Açores :très sociable en dehors de la saison de reproduction. Lors de cette période le pinson des arbres est au contraire très territorial, et le mâle se montre très agressif : il défend son territoire en mettant en fuite les voisins et intrus. Lors de la parade nuptiale les disputes entre partenaires ne sont pas rares, mais ils continuent tout de même à se nourrir ensemble.
Pinson mâle (Fringilla coelebs) : Il est inféodé globalement aux bois de conifères, décidus ou mixtes en plaine et en moyenne montagne. Mais il fréquente aussi les forêts claires avec leurs lisières et leurs clairières, les landes, les taillis, les vergers, les bosquets, les cultures, les parcs et les jardins des villes et des villages, autant de zones boisées pourvu qu’il dispose d’espace libre entre les arbres d’où sa rareté en forêt dense. Son bec, à la fois large à la base et pointu, traduit une adaptation alimentaire mixte de graines et d’invertébrés. Les graines d’arbres les plus prisées sont celles de hêtres (Fagus), d’érables (Acer), de bouleaux (Betula), d’aulnes (Alnus) et de résineux. Les bourgeons, baies et fruits sauvages et cultivés ainsi que les graines des plantes herbacées et céréalières (surtout le colza) sont aussi consommés mais en période de reproduction le régime devient nettement insectivore à l'opposé de la majorité des passereaux. Les pinsons des arbres capturent des insectes dans les branches et sur les feuilles, voire au cours de petits vols vifs et acrobatiques.
Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.
Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.
Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.
Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.
Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.
Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.
Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.
Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.
Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu'ils forment avec dix espèces d'anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d'une anémone. L'individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n'interviennent pas dans la reproduction.
Textes, Léo Drouyn (1816-1896), Arts plastiques, Autoportraits, Manière noire, Gravure à la manière noire, Mezzotinto
Commentaire de huit photos de Claude Petitjean (février 2013) pour expliquer aux élèves de Cestas les étapes de son travail de graveur à la manière noire (mezzo-tinto), illustrées par une reproduction d'un autoportrait de Léo Drouyn (1816-1896) datant de 1861. (419 mots)
Photographie, Antiquités, Armes romaines, Épées, Armes blanches, Reconstitutions historiques, Épées -- Gardes, Carnuntum (Autriche. - site archéologique), Pannonie
Reproduction d'un glaive romain : reconstitution historique de la Légion XV de Carnuntum, Autriche. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Carnuntum
Reproduction végétative par stolons du lierre terrestre (Glechoma hederacea) : cot = cotyledons
Dessins et plans, Points cardinaux, Rose des vents, Cartes marines, Fleur de lys, Aides à la navigation, Cartes anciennes, Fleur de lis, Pedro Reinel (14..-154.?)
Reproduction de la rose des vents de la carte nautique de Pedro Reinel (14..-154.?) de 1504 avec une fleur de lys.
Photographie, Oiseaux, Antarctique, Barrages, Géographie, Littoral, Arctique, Eider (Allemagne. - cours d'eau), Eider (Allemagne), Estuaire de l', Océan glacial arctique, Sterne arctique, Animaux -- Migration, Migrations animales
Sterne arctique en vol (sterna paradisae) près du barrage de l'Eider en mer du Nord (Allemagne). Les sternes sont aussi appelées hirondelles de mer. C'est un oiseau migrateur qui est témoin de deux étés chaque année, puisqu’il effectue un aller-retour à partir de ses aires de reproduction dans le nord, jusqu’aux océans près de l’Antarctique où il hiverne (ce qui représente un trajet pouvant atteindre couramment 70 000 km). La Sterne arctique vole de ce fait huit mois par an.
Photographie, Son -- Enregistrement et reproduction -- Appareils et matériel, Studios d'artiste, Compositeurs, Musique de film
Studio de compositeur de musique de film, Cristo Socorro.
Photographie, Grenouilles, Amphibiens, batraciens, Crapauds, Animaux -- Reproduction, Têtards, Grenouilles -- Reproduction, Bufo bufo, Crapaud vulgaire, Larves de crapauds
Têtards de grenouilles rousses (Rana temporaria) clairs et gros, et de crapauds (Bufo bufo), noirs et petits.
Le Tohi à calotte fauve (Aimophila ruficeps) est une espèce de passereaux de la famille des Emberizidae. On trouve principalement cet oiseau dans le sud-ouest des États-Unis, ainsi que dans une grande partie du Mexique, jusqu'au sud-ouest de la cordillère néovolcanique. Il se nourrit principalement de graines pendant l'hiver et d'insectes au printemps et en été. Le vol est maladroit chez cette espèce, qui préfère sautiller à terre pour se déplacer. Ils adoptent un comportement territorial lors de la reproduction, mais parfois même tout le long de l'année, les mâles marquant leur territoire par leurs chants et leurs postures. Ce tohi est monogame, et se reproduit au printemps.
Tortue de mer. Les tortues marines, comme les autres tortues (Testudines) sont des reptiles ectothermes disposant d'un système respiratoire pulmonaire, qui correspondait à une adaptation complète à la vie terrestre. En supplément des reins, des glandes près de leurs yeux sont capables d'expulser les excédents de sel de leur circulation sanguine. Leur métabolisme est capable de supporter des fortes concentrations de CO2 lors des plongées profondes. Elles peuvent extraire 35 à 52 % de l'oxygène de leur respiration. Leur vision est très développée. Les yeux sont protégés par trois paupières, leur ouïe est particulièrement fine même si elles n'ont pas d'oreilles externes, mais une oreille interne, sous une plaque auditive. Leur odorat est en revanche assez peu performant. Les tortues marines n'ont qu'un seul orifice excréteur, qui sert également pour la reproduction.
Gravure, Caricatures et dessins humoristiques, Coeur, France (É. Loubet) (1899-1906), Russie (Nicolas II) (1894-1917), Russie -- Relations extérieures (1801-1917)
Reproduction de la couverture de l'exemplaire supplémentaire du journal "Le Rire" pour la visite du président Loubet en Russie, 1902 : "Comment j'ai conquis la Russie, carnet de voyage de M. Émile Loubet, Président de la République Française. -- Cher grand Ami et Allié, aucun discours n'aura l'éloquence du Coeur de la France qui vous tend les bras."
Dessins et plans, Biogéographie, Biologie, Espèces (biologie), Espèces (biologie) -- Évolution -- Aspect génétique, Espèces (biologie) -- Répartition géographique, Évolution (biologie)
Les variations des populations interfécondes (ici représentées par des blocs de couleurs) le long d'une cline peuvent suivre une courbe, formant au final un anneau. Une variation clinale (ring species, « espèce en anneau ») est une série de populations voisines connectées dont les populations relativement apparentées peuvent se reproduire entre elles, mais au sein de laquelle il existe au moins deux populations « terminales » qui sont trop peu apparentées pour qu'il y ait inter-reproduction. C'est un cas particulier de cline systématique.