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Nuage de mots clés

Photographie | Peinture | Botanique | Plantes | Dessins et plans | Racines (botanique) | Racines | Agriculture | Fanes | Légumes | Gravure | Afrique | Sable | Apiacées | Géographie | Alimentation | Radis (plantes) | Rouge | Plantes médicinales | Plantes aquatiques | ...
Botte de radis. Source : http://data.abuledu.org/URI/536a1376-raphanus-sativus-var-sativus-radish-dscf6413-jpg

Botte de radis

Botte de radis (Raphanus sativus).

Habitat de castors dans les Ardennes. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ac654a-habitat-de-castors-dans-les-ardennes

Habitat de castors dans les Ardennes

Habitat de castors dans les Ardennes.

Racines terrifiantes - 2. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ac604f-racines-terrifiantes-2

Racines terrifiantes - 2

Racines terrifiantes - 2

Racines terrifiantes - 3. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ac60b9-racines-terrifiantes-3

Racines terrifiantes - 3

Racines terrifiantes - 3.

Radis blancs et rouges. Source : http://data.abuledu.org/URI/536a13ec-radis-blancs-et-rouges

Radis blancs et rouges

Radis blancs et rouges avec fanes et racines.

Six types différents de racines. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ac8dd2-six-types-differents-de-racines

Six types différents de racines

Racines : divers types. Source : Gaston Bonnier, Éléments de Botanique ; Paul Dupont éditeur, 1886.

Allégorie de l'Hiver. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ac6191-allegorie-de-l-hiver

Allégorie de l'Hiver

Allégorie de l'hiver par Giuseppe Arcimboldo (1527-1593).

Arbuste de Securidaca longepedunculata. Source : http://data.abuledu.org/URI/54870624-arbuste-de-securidaca-longepedunculata

Arbuste de Securidaca longepedunculata

Arbuste de Securidaca longepedunculata : Récolte des racines par arrachage, pour les besoins de la médecine traditionnelle. Image prise près de Fada N'Gourma, au Burkina Faso.

Association symbiotique entre l'aulne et une bactérie. Source : http://data.abuledu.org/URI/5543d377-association-symbiotique-entre-l-aulne-et-une-bacterie

Association symbiotique entre l'aulne et une bactérie

Association symbiotique entre une racine d'aulne et une bactérie, dans un nodule fixé sur une racine. Crayon servant d'échelle.

Aulne glutineux ou verne. Source : http://data.abuledu.org/URI/509841f1-aulne-glutineux-ou-verne

Aulne glutineux ou verne

Planche N°307 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef : Aulne glutineux (Alnus glutinosa). Porte parfois le nom de aulne noir, aulne poisseux, vergne ou verne. La verne est une essence hygrophile, comme nombre de Bétulacées, et affectionne particulièrement les sources d'eau, y compris domestiques. Il n'est pas rare de constater l'obstruction de canalisation par ses racines. L'arbre possède un système racinaire extrêmement développé (jusqu'à 4 m de profondeur) qui lui permet de bien résister aux vents forts. Ses racines sont le refuge d’une importante faune aquatique lorsqu'il pousse au bord d'un cours d'eau. Autrefois, lorsqu'on voulait se débarrasser de la vermine dans une maison, un poulailler ou une écurie, on épandait sur le sol des feuilles de verne encore bien humides de rosée le matin et toute la vermine venait s'y mettre. Ensuite on jetait les feuilles au feu et le lieu était vidé de ces parasites.

Betterave à sucre. Source : http://data.abuledu.org/URI/502045e2-betterave-a-sucre

Betterave à sucre

Deux racines de bétterave : la traditionnelle à droite ; à gauche la variété SR96, qui accroche moins de terre à l'arrachage et nécessite donc un moindre lavage au traitement.

Carotte commune. Source : http://data.abuledu.org/URI/504f4f97-carotte-commune

Carotte commune

Planche botanique de carotte commune (Daucus carota), Atlas des Plantes de France, 1891. Plante bisannuelle de la famille des apiacées (anciennement ombellifères), largement cultivée pour sa racine pivotante charnue, comestible, de couleur généralement orangée, consommée comme légume. Le terme « carotte » désigne aussi ce légume. C'est un légume riche en carotène.

Carte de répartition du cyclamen. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f733cc-carte-de-repartition-du-cyclamen

Carte de répartition du cyclamen

Carte de répartition des Cyclamens : 1. C. balearicum ; 2. C. repandum ; 3. C. purpurascens ; 4. C. hederifolium ; 5. C. rhodium ; 6. C. creticum ; 7. C. graecum ; 8. C. coum ; 9. C. colchicum ; 10. C. parviflorum ; C. abchasicum ; 11. C. elegans ; 12. C. alpinum ; C. intaminatum ; C. cilicium ; C. mirabile ; C. pseudibericum ; 13. C. cyprium ; 14. C. libanoticum ; 15. C. persicum ; 16. C. rohlfsianum ; 17. C. africanum. Le nom Cyclamen est la transposition du mot grec κυκλἀμινος, dérivé de κυκλος (cercle ou couronne). Les cyclamens sont des géophytes, à gros tubercule arrondi et aplati, en forme de petit pain. Dans certaines régions, la croyance populaire veut que les cochons les déterrent : d’où leur nom vernaculaire « pain de pourceau » (Sow bread en anglais, Pan porcino en italien, varkensbrood en néerlandais). À la page 223 du tome XIV du "Répertoire de pharmacie" on peut ainsi lire : "Son nom vulgaire de Pain-de-pourceau a été donné, dit-on, aux cyclamens, à cause de l'avidité avec laquelle les porcs recherchent leurs racines tuberculeuses", et à la page 225 de ce même répertoire : "les porcs se nourrissent de ses tubercules, sans qu’il en résulte pour eux d’inconvénient". Les feuilles se développent en rosette basilaire de laquelle émergent les fleurs gracieuses portées par une tige mince. Leur face supérieure est souvent marbrée de blanc avec, dans sa partie centrale, un motif en « sapin de Noël ». La face inférieure des feuilles de plusieurs espèces est pourprée. On suppose que cette couleur, servant de calorifère, capte la lumière qui traverse la feuille et la transforme en chaleur.

Ceiba pentandra ou fromager. Source : http://data.abuledu.org/URI/5489f914-ceiba-pentandra-ou-fromager

Ceiba pentandra ou fromager

Racines d'un kapokier (Ceiba pentandra), près de Banfora, Burkina Faso : ceiba pentandra, ou fromager, kapokier, bois coton. En Afrique, les troncs évidés servent à la fabrication de pirogues. Le bois sert aussi à la fabrication de récipients, d'assiettes, d'instruments de musique et de sculptures. Les contreforts sont utilisés pour fabriquer des dessus de table et des portes. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ceiba_pentandra

Chardon bleu des sables. Source : http://data.abuledu.org/URI/50503d17-chardon-bleu-des-sables

Chardon bleu des sables

Photographie de chardon bleu des sables (Panicaut maritime, Eryngium maritimum) sur une plage de Hollande. Les racines, une fois bouilles et grillées ont un goût qui rappelle la châtaigne. En Grande-Bretagne on en fait des sucreries que Shakespeare mentionne dans les Joyeuses Commères de Windsor ("Let it thunder to the tune of Green Sleeves, hail kissing comfits, & snow Eringoes.").

Cuisinière au tablier rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/514ee5fd-cuisiniere-au-tablier-rouge

Cuisinière au tablier rouge

Cuisinière au tablier rouge, 1862, de Léon Bonvin (1834–1866) : La cuisinière porte un grand tablier vermilion et coupe un chou avec un grand couteau sur une table devant la fenêtre où se trouvent des poireaux, des navets, des racines de céleri, des carottes et de la laitue. Poubelle par terre. Le modèle serait l'épouse du peintre, Constance Félicité Gaudon ; la scène se déroulerait dan la cuisine de la taverne familiale à Vaugirard. La lumière provenant de la fenêtre à droite éclaire des détails du cadre : panier suspendu en osier, étagère avec chandeliers, moulin à café, lanterne et un grand fait-tout en cuivre sur la cuisinière.

Cycle de l'azote dans le sol. Source : http://data.abuledu.org/URI/5148a2e0-cycle-de-l-azote-dans-le-sol

Cycle de l'azote dans le sol

Le cycle de l'azote est un cycle biogéochimique qui décrit la succession des modifications subies par les différentes formes de l'azote (diazote, nitrate, nitrite, ammoniaque, azote organique). L'atmosphère est la principale source d'azote, sous forme de diazote, puisqu'elle en contient 79 % en volume. L'azote, composé essentiel à de nombreux processus biologiques, se retrouve entre autres dans les acides aminés constituant les protéines, et dans les bases azotées présentes dans l'ADN. Des processus sont nécessaires pour transformer l'azote atmosphérique en une forme assimilable par les organismes. L'azote atmosphérique est fixé par des bactéries présentes dans le sol, telles que Azotobacter vinelandii, grâce à une enzyme, la nitrogénase. Celles-ci produisent de l'ammoniaque (NH4OH) à partir de l'azote atmosphérique et de l'hydrogène de l'eau (l'ammoniaque est le nom de la forme soluble dans l'eau du gaz ammoniac). Certaines de ces bactéries, comme Rhizobium, vivent en symbiose avec des plantes, produisant de l'ammoniaque nécessaire aux plantes, en contrepartie des glucides de la plante dans la rhizosphère. L'ammoniaque peut aussi provenir de la décomposition d'organismes morts par des bactéries saprophytes sous forme d'ions ammonium (NH4+). Dans les sols bien oxygénés, mais aussi en milieu aquatique oxygéné, des bactéries transforment l'ammoniac (NH3) en nitrite (NO2-), puis en nitrates (NO3-), au cours du processus de nitrification. On peut décomposer cette transformation en nitritation et nitratation. Les végétaux absorbent grâce à leurs racines les ions nitrate (NO3-) et, dans une moindre mesure, l'ammonium présent dans le sol, et les incorporent dans les acides aminés et les protéines. Les végétaux constituent ainsi la source primaire d'azote assimilable par les animaux. En milieu anoxique (sol ou milieu aquatique non oxygéné), des bactéries dites dénitrifiantes transforment les nitrates en gaz diazote, c'est la dénitrification.

Dentition d'adulte. Source : http://data.abuledu.org/URI/533728bc-dentition-d-adulte

Dentition d'adulte

Dentition : La dent humaine est un organe dur, couleur ivoire, composé d'une couronne et d'une ou plusieurs racines implantées dans l'os alvéolaire des os maxillaires (maxillaire et mandibule) de la cavité buccale, et destiné à couper et à broyer les aliments. On distingue les incisives, les canines, les prémolaires et les molaires. Les dents se forment au cours de la dentition et leur nombre total est en principe de 32 s'il s'agit de la denture définitive. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Dent

Dessin de pomme de terre. Source : http://data.abuledu.org/URI/505da941-dessin-de-pomme-de-terre

Dessin de pomme de terre

Croquis de la partie basse de la plante (tiges aériennes, stolons, tubercules et racines souterraines) : en noir le tubercule "mère".

Deux radis. Source : http://data.abuledu.org/URI/536a00f7-deux-radis

Deux radis

Deux radis avec fanes et racine.

Drageons de peupliers. Source : http://data.abuledu.org/URI/582e9b0f-drageons-de-peupliers

Drageons de peupliers

Drageons de peupliers (jeunes pousses émergeant le long des racines superficielles), après une période de fauche tardive à Lille.

Drapeau d'Azerbaidjan. Source : http://data.abuledu.org/URI/537a5696-drapeau-d-azerbaidjan

Drapeau d'Azerbaidjan

Le drapeau de l'Azerbaïdjan est le drapeau national et le pavillon national de la République d'Azerbaïdjan. Il fut adopté le 9 novembre 1918 et utilisé de 1918 à 1920 (période de la République démocratique d'Azerbaïdjan), puis fut réadopté le 5 février 1991, au moment de l'éclatement de l'Union soviétique. Les trois bandes horizontales montrent différents aspects du peuple azéri. La signification de leurs couleurs a été exprimée par le leader nationaliste Ali Bey Hussein Zade comme suit : le bleu pour les racines turques de l'Azerbaïdjan ; le vert pour ses racines islamiques ; le rouge pour le besoin de progrès et de modernisation, en suivant l'exemple des pays européens. Le croissant est un autre symbole de l'islam et est accompagné d'une étoile à huit branches, chaque branche représentant un des grands groupes ethno-linguistiques turcs : Azéri, Turc (de Turquie), Chagatai (Turkmène), Tatar, Kipchak (Tatar, Kazakh & Kirghiz...), Seldjouk, Turkoman. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Drapeau_de_l%27Azerba%C3%AFdjan

Dune littorale. Source : http://data.abuledu.org/URI/53d18850-dune-littorale-

Dune littorale

Dune littorale attaquée par la mer, les racines des arbres ne suffisent plus à fixer le sable ; la dune de protection couverte d'oyats servant habituellement de "tampon" a disparu. 22 juillet 2014.

Eupatoire à feuilles de chanvre. Source : http://data.abuledu.org/URI/5050f85b-eupatoire-a-feuilles-de-chanvre

Eupatoire à feuilles de chanvre

Planche botanique d'Eupatoire à feuilles de chanvre (Eupatorium cannabinum), Atlas des Plantes de France de 1891 : l'eupatoire chanvrine croît volontiers dans les zones humides, aux bords de fossés, dans les marais, jusqu'à 1 700 mètres d'altitude. Il s'agit d'une plante mellifère qui est appréciée des papillons. La tradition populaire en fait une plante laxative (racines).

Exploitation ancienne d'eau d'érable. Source : http://data.abuledu.org/URI/505b974d-exploitation-ancienne-d-eau-d-erable

Exploitation ancienne d'eau d'érable

Gravure représentant une exploitation traditionnelle et artisanale de l'eau d'érable pour fabriquer du sucre. Les acériculteurs collectent l'eau d'érable essentiellement à la fin de l'hiver ou au début du printemps, suivant les régions, lorsque les nuits de gel sont suivies par des jours de dégel (températures diurne positive et nocturne négative). Une entaille (dans la version traditionnelle) permet de récupérer l'eau d'érable, liquide qui contient environ 2 % à 3 % de sucre. Ce sucre (essentiellement du saccharose)5 provient des racines de l'arbre. Au printemps, il monte sous l’écorce, à travers le xylème, dans la totalité de l'arbre afin de fournir l'énergie suffisante pour relancer son métabolisme. L'eau d'érable (ou sève brute) est différente de la sève élaborée.

Fenouil officinal. Source : http://data.abuledu.org/URI/504fa5fd-fenouil-officinal

Fenouil officinal

Planche botanique du fenouil (Foeniculum vulgare). Dans la civilisation grecque le fenouil sauvage était associé à la claire vision. Dans la civilisation romaine, c'était la plante sacrée de Bacchus. Les fleurs apparaissent généralement en août - septembre. Leur parfum est très anisé. En cuisine, c'est un légume dont toutes les parties, racines, feuilles et graines, sont comestibles. Son goût est proche de celui de l'anis et souvent associé au poisson. On peut le consommer cru (en salade) ou cuit. Il entre également dans la fabrication de certaines liqueurs, conservateurs ou aromates d'usage domestique.

Figuier des banians. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b99865-figuier-des-banians

Figuier des banians

Le figuier des banians est une espèce voisine du figuier qui peut se développer en arbres géants pouvant couvrir plusieurs hectares. Il peut avoir jusqu'à 350 gros troncs et 3 000 petits. Il est originaire de l'Inde, du Pakistan et du Sri Lanka, mais a été aussi importé dans d'autres régions du monde. Le banian commence comme épiphyte d'un autre arbre, où un oiseau mangeur de figue dépose la graine. Il émet des racines aériennes depuis les branches, qui se développent en pleines tiges une fois qu'elles touchent terre, ce qui permet à l'arbre de se répandre dans un grand secteur. Cette espèce fait partie des figuiers étrangleurs. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Figuier_des_banians

Forêt de bambous. Source : http://data.abuledu.org/URI/5102b0a5-foret-de-bambous

Forêt de bambous

Forêt de bambous. Tous les bambous ont des tiges souterraines, appelées rhizomes. Ils permettent à la plante de croître en formant des touffes plus ou moins serrées. C'est aussi un organe de réserve. Les racines sont adventives et se développent autour des nœuds du rhizome. La tige principale est un chaume, ou canne, lignifié, fistuleux (c'est-à-dire en tube) cloisonné aux nœuds. La cicatrice visible aux nœuds est la trace de la gaine des feuilles tombées. Le chaume peut se diviser en rameaux feuillés, eux-mêmes divisés en ramuscules. Le bois des chaumes, riche en silice, est très dur et très résistant. La taille des tiges varie selon les espèces de moins d'un mètre à près de 10 m. La vitesse de croissance peut chez certaines espèces être spectaculaire, jusqu'à un mètre par jour. Les chaumes se balancent aux vents forts et se plient sous le poids de la neige mais ils se cassent rarement. Cette flexibilité est due aux entrenœuds creux de chacun des chaumes.

Garance. Source : http://data.abuledu.org/URI/5050d061-garance

Garance

Planche botanique de la garance des teinturiers (Rubia tinctorum), Atlas des Plantes de France, 1891, qui fut largement cultivée pour la teinture rouge extraite de ses racines : les racines et les tiges souterraines contiennent de l'alizarine, qui a la propriété de donner aux tissus une belle couleur rouge. Les uniformes de l'armée française l'employaient abondamment avant la première guerre mondiale. En 1829, Charles X avait imposé au troupier français le pantalon et képi rouge garance afin de favoriser la culture française de la garance et d'avoir une couleur moins salissante (mais voyante) que le blanc. La garance a longtemps été utilisée en peinture en tant que pigment, pour la confection de la laque de garance, un rouge rosé transparent très prisé à l'huile comme à l'aquarelle.

Gentiane jaune. Source : http://data.abuledu.org/URI/505cb018-gentiane-jaune

Gentiane jaune

Planche botanique de la Gentiane jaune ou grande gentiane (Gentiana lutea), Atlas des Plantes de France, 1891. Noms locaux : gentiane officinale, jouvansanne, quinquina d'Europe, quinquina des pauvres, lève-toi-et-marche, jansonna et quinquina indigène. Le rhizome et les racines sont utilisés en phytothérapie comme le laissent supposer ses nombreux noms vernaculaires. Il faut attendre sept à dix ans avant de pouvoir les récolter. La récolte est réalisée essentiellement dans le Massif Central par les Gençanaïres. À l'aide d'une fourche spéciale appelée « fourche du diable », ils peuvent extraire plus de 200 kg de racines par jour. C'est un travail pénible qui s'effectue de mai à octobre. Ce sont près de 1 000 à 1 500 tonnes qui sont utilisées chaque année pour satisfaire les besoins de l'artisanat et l'industrie. En volume, la gentiane est une des trois premières plantes médicinales et aromatiques utilisées en France et ses applications sont nombreuses (pharmacie et médecine humaine et vétérinaire, boissons et spiritueux, cosmétique, fabrication d'arômes et d'extraits, gastronomie…).

Girolles au pied d'un hêtre. Source : http://data.abuledu.org/URI/5064b9fe-girolles-au-pied-d-un-hetre

Girolles au pied d'un hêtre

Ces girolles qui émergent d'une litière de feuilles de Hêtre commun, ne sont en fait que les « fructifications » (les sporophores communément appelés champignons) d'un organisme fongique dont les filaments souterrains (le mycélium) vivent pour partie en association avec les racines de l'arbre.

Herbier de posidonies en méditerranée. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e46a05-herbier-de-posidonies-en-mediterranee

Herbier de posidonies en méditerranée

Herbier de posidonies (Posidonia oceanica) en Méditerranée. Les posidonies (du genre Posidonia) sont des plantes aquatiques de la famille des Posidoniaceae. Bien qu'elles vivent sous l'eau, ce ne sont pas des algues, mais des plantes à fleurs (angiospermes) monocotylédones sous-marines. Comme toutes les plantes à fleurs, elles ont des racines, et se reproduisent grâce aux fruits qu'elles produisent. Dans les eaux moins chaudes de l'Atlantique nord européen elles sont remplacées par les zostères qui constituent des herbiers jouant les mêmes fonctions écologiques. Le nom générique "Posidonia" dérive de "Poséidon" (dieu des Mers et des Océans dans la mythologie grecque). Les fibres des feuilles de posidonies, difficilement dégradables, sont rassemblées par les mouvements de la mer en boule feutrées, appelées aégagropiles, souvent rejetées sur les plages de Méditerranée. Les herbiers qu'elle forme sont des lieux de frayère et de nurserie pour de nombreuses espèces animales. Elle constitue également une source de nourriture, parfois importante, pour certaines espèces herbivores (oursins, saupes, etc.). Une partie de la production de feuilles d'un herbier va se retrouver exportée, sous forme de litière, vers d'autres écosystèmes éloignés (plage, canyon sous-marin,...) où elle constituera une source de carbone importante pour le fonctionnement de ces écosystèmes. Elle permet de fixer les fonds marins grâce à l'entrelacement de ses rhizomes. Ceux-ci s'empilent d'une année sur l'autre, contribuant à augmenter progressivement le niveau du fond (environ un mètre par siècle. Elle « piège » des particules en suspension et du sédiment, contribuant ainsi au maintien de la clarté des eaux. Les herbiers à Posidonia oceanica sont considérés comme des formations essentielles dans le stockage du carbone atmosphérique et l'oxygénation du milieu.

Huitres de palétuviers. Source : http://data.abuledu.org/URI/52e50426-huitres-de-paletuviers

Huitres de palétuviers

Huîtres de palétuviers dans une mangrove de Carabane (Casamance, Sénégal). La cueillette de fruits de mer, notamment d’huîtres, est une autre activité ancestrale toujours pratiquée en Casamance, qui est l’une des trois régions productrices d’huîtres du Sénégal, avec la Petite-Côte et le Sine-Saloum. Les huîtres se développent sur les racines des palétuviers découvertes à marée basse. Elles sont cueillies pendant la saison sèche, principalement par les femmes, qui contrôlent, de la récolte à la distribution, une activité qui ne nécessite guère d’investissement en dehors des déplacements et qui leur assure une certaine autonomie financière. Les huîtres occupent une place importante dans la consommation familiale. Riches en oligo-éléments et en vitamine C, elles sont, chez les Diolas, la deuxième source de protéines animales après le poisson, devançant le poulet et le porc. Elles sont volontiers associées au riz, base de l’alimentation traditionnelle, voire le remplacent, en cas de pénurie. Localement on les consomme bouillies ou grillées au feu de bois, accompagnées d’une sauce relevée. Lorsqu’elles ont été décortiquées et séchées au soleil ou fumées, elles sont vendues dans la région ou conservées, éventuellement durant quelques mois. Dans certains villages – dont Karabane – elles sont parfois gardées vivantes, pendant plusieurs semaines, avant d’être transportées sur les marchés. Outre leurs qualités nutritives, les huîtres constituent aussi une source de revenus appréciable. Karabane se trouvant au centre de la zone de cueillette, c’est l’une des raisons pour lesquelles cette escale revêt une importance stratégique. Autrefois les huîtres étaient écoulées plus facilement, jusqu’à Dakar, au sein de la communauté diola qui y vit. Elles sont vendues par les cueilleuses elles-mêmes ou par les marchandes ambulantes, que l'on appelle bana-bana. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Karabane

L'arbre des jeux. Source : http://data.abuledu.org/URI/513a03d1-l-arbre-des-jeux

L'arbre des jeux

Graphique sur la théorie des jeux. On distingue les branches (options), les nœuds (joueurs) et les feuilles (gains). Ces dernières sont, soit à un seul nœud (singletons) à information parfaite, soit en touffes (sous-arbres) à information imparfaite, organisées de façon anarchique. Les racines (sources) sont le reflet de l'arbre.

La pomme de terre et les tubercules féculents de ses racines. Source : http://data.abuledu.org/URI/56bbaaaa-la-pomme-de-terre-et-les-tubercules-feculents-de-ses-racines

La pomme de terre et les tubercules féculents de ses racines

La pomme de terre et les tubercules féculents de ses racines, illustration d'un plant de pommes de terre extraite de l'ouvrage "Les merveilles de l'industrie ou Description des principales industries modernes" par Louis Figuier, Pari, Furne, Jouvet, [1873-1877].

Laurier d'Apollon. Source : http://data.abuledu.org/URI/506f2625-laurier-d-apollon

Laurier d'Apollon

Planche botanique N°282 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Laurier d'Apollon ou laurier sauce (Laurus nobilis). Le laurier est un arbuste mesurant de 2 à 6 m et jusqu'à 15 m de haut, à tige droite et grise dans sa partie basse, verte en haut. Les feuilles de forme lancéolées, alternes, coriaces, à bord ondulé, sont vert foncé sur leur face supérieure et plus clair à la face inférieure. Elles dégagent une odeur aromatique quand on les froisse. Les feuilles, les fleurs et les racines renferment une huile essentielle. La feuille de laurier-sauce s'emploie en Europe généralement séchée (condiment rentrant dans la composition du bouquet garni) et s'infuse ou cuit dans la sauce. En Saintonge, la feuille très utilisée en cuisine pour tous les courts-bouillons, matelotes ou ragoûts est employée fraîche, comme en Inde, où elle est saisie dans le ghee, conférant un goût unique et un parfum extraordinaire.

Le géant Ambiorix. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc3042-le-geant-ambiorix

Le géant Ambiorix

En 1850, le géant Tirant change de nom. Il devient « Ambiorix ». Cette transformation procède du mouvement historiciste présent également dans l'art qui prétend enseigner au peuple belge indépendant depuis 1830 que son pays a des racines historiques glorieuses dont il peut être fier et dont il est le continuateur. Ambiorix exprime les préoccupations d'une bourgeoisie nationaliste qui veut donner des fondements historiques à son pays.

Mangrove à Cayo Levisa, Cuba. Source : http://data.abuledu.org/URI/52e50a6b-mangrove-a-cayo-levisa-cuba

Mangrove à Cayo Levisa, Cuba

Mangrove (Rhizophora) à Cayo Levisa, Cuba, 2004 : élément avancé d'une mangrove cubaine ; les palétuviers donnent parfois l'impression d'avancer sur leurs racines. Ils ont un comportement d'espèces pionnières, contribuant souvent à fixer le trait de côte. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mangrove.

Mousse espagnole à La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/52234be1-mousse-espagnole-a-la-reunion

Mousse espagnole à La Réunion

Mousse espagnole au Conservatoire botanique de Mascarin, à la Réunion. Tillandsia L. est un genre de plante de la famille des Bromeliaceae (famille de l'ananas). Ce genre comprend plus de 400 espèces, soit épiphytes ou lithophytes, soit terrestres, présentes essentiellement sur le continent américain (de la Floride à l'Argentine). Les tillandsias épiphytes et lithophytes, les plus nombreuses, sont parfois appelées « filles de l'air », du fait de leur propension naturelle à s'accrocher partout où les conditions leur permettent : fils téléphoniques, branches d'arbres, écorces, rochers nus, etc. Leurs graines légères et munies d'un parachute soyeux facilitent cette dissémination. Leurs feuilles, de couleur plus ou moins argentée, sont recouvertes de cellules spécialisées capables d'absorber rapidement l'humidité ambiante (rosée, eau de ruissellement). Leurs racines, quand elles existent, sont transformées en crampons chez les espèces dites « aériennes » et ne servent plus que d'ancrage à leur support.

Néottie nid d'oiseau. Source : http://data.abuledu.org/URI/506402b0-neottie-nid-d-oiseau

Néottie nid d'oiseau

Planche botanique de l'Atlas des Plantes de France, 1891. La Néottie nid d'oiseau (Neottia nidus-avis) est une plante herbacée vivace de la famille des Orchidaceae. C'est un géophyte à rhizomes dépourvu de chlorophylle. Elle de couleur brun jaunâtre. Ses fleurs, roussâtres, sont disposées en épi. Les feuilles sont brunes et transformées en écailles engainantes le long de la tige. La tige desséchée avec les capsules vides persiste d'une année sur l'autre. Sur l'appareil végétatif, en partie souterrain, la disposition et l'enchevêtrement des rhizomes et racines font penser aux brindilles d'un nid d'oiseau. La comparaison est attribuée au médecin et botaniste Jacques Daléchamps en 1586. La floraison s'étale de mai à juillet. Elle peut se faire sous terre. La pollinisation est assurée par les insectes, en particulier des coléoptères et des thysanoures. L'autofécondation peut avoir lieu à défaut de visite d'insecte: les pollinies enflent, puis s'effritent et le pollen se dépose sur le stigmate. La Néottie s'associe à un champignon qui vit en symbiose avec les racines d'un feuillu. L'énergie de l'arbre lui est transmise par le champignon. C'est une espèce d'ombre. Elle est mésophile et apprécie des sols riches au pH basique à neutre. Ses biotopes préférés sont les hêtraies, chênaies ou pineraies.

Oies cendrées. Source : http://data.abuledu.org/URI/5134dc71-oies-cendrees

Oies cendrées

Tableau de Archibald Thorburn (1860-1935), illustrateur écossais spécialiste des oiseaux et de leur environnement naturel. L’Oie cendrée (Anser anser) est une espèce d'oiseau appartenant à la famille des Anatidae et à la sous-famille des Anserinae. Elle est, avec l'oie cygnoïde, un des ancêtres des oies domestiques ; sa domestication remonte à plusieurs milliers d'années. Les variétés sauvages présentent un plumage gris-beige, plus sombre et brun sur la nuque, les flancs, le dessus des ailes et le dessus de la queue. Ces plumes brunes sont veinées du même gris-beige que le dessous de l'oiseau. Les flancs sont nuancés de brunâtre. Le ventre peut être parsemé de quelques taches noires mais cette coloration n'est jamais aussi étendue que chez l'Oie rieuse. Le croupion est blanc, tout comme l'arrière du ventre et les sous-caudales. Le bord d'attaque des ailes est bordé d'une ligne gris bleuté pâle. Les pattes sont rose chair, fortes et palmées. L'œil noir est cerclé de blanc. On observe, chez les populations centrées autour de la mer Baltique, que leur bec est terminé par un onglet corné, ce qui permet à ces individus une extraction plus facile des tubercules, bulbes et racines, tandis que les populations centrée sur la Norvège ont un bec plus court, ce qui facilite le cisaillage des plantes herbacées. L'oie est un oiseau peu bruyant sur les lieux de gagnage, mais bien davantage en vol. Le cri de contact se compose de trois à cinq éléments : ga ga ga, ang ang ang ou ong ong ong. Le passage des oiseaux migrateurs est souvent repéré grâce aux cris fréquents, aigus et puissants émis par cet oiseau.

Orlando Bloom au Festival de Venise 2005. Source : http://data.abuledu.org/URI/53bac3bf-orlando-bloom-au-festival-de-venise-2005

Orlando Bloom au Festival de Venise 2005

Orlando Bloom, interprète de Legolas Vertefeuille, au Festival de Venise 2005 : Fils de Thranduil, le roi des Elfes de la Forêt Noire, Legolas Vertefeuille se fait connaître lors du Conseil d'Elrond en 3018 du Troisième Âge. Il fait ensuite partie de la Communauté de l'Anneau, en tant que représentant des Elfes : "Je suis chez moi parmi les arbres, aux racines comme dans les branches." J. R. R. Tolkien, Livre II, chapitre 6.

Petit Koudou femelle et son petit. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d65c0-petit-koudou-femelle-et-son-petit

Petit Koudou femelle et son petit

Petit koudou femelle (Tragelaphus imberbis) broutant avec son petit. Le petit koudou est une antilope de taille moyenne, très élancée, fine et haute sur pattes, mais plus petite que son cousin le Grand koudou. Les petits koudous vivent dans une grande aire de répartition situé à l'Est de l’Afrique. Le petit koudou aime les acacias, les brousses denses des zones semi-arides. Les petits koudous ne possèdent pas de territoire, mais un domaine vital d'environ 200 hectares. Les petits koudous sont des herbivores phytophages et opportunistes. Ils se nourrissent de feuillages, pousses, bourgeons, tubercules, fruits, racines et un peu d'herbes. Ils boivent régulièrement, mais peuvent se passer d'eau pendant de longues périodes. Léopards, guépards, lycaons, lions ensuite les babouins et les pythons s'attaquent aux jeunes. Animal vigilant, doté d'une bonne vue diurne, d'un bon odorat et d'une ouie très fine. Le petit koudou est un coureur rapide ainsi qu'un bon sauteur. Il peut bondir jusqu'à 2 mètres de hauteur et jusqu'à 7 mètres en longueur. Il court à 30 km/h en vitesse normale, mais peut accélérer en cas de danger et atteindre environ 70 km/h de moyenne sur une course de vitesse ou un sprint avec des pointes maximales proches de 100 km/h sur une courte distance, qui lui permet de semer ses prédateurs.

Phacochère. Source : http://data.abuledu.org/URI/5061ce5f-phacochere

Phacochère

Une caractéristique particulière du phacochère est que la queue est portée droite en l'air lorsqu'il trotte ou court. Celui-ci a été pris dans la réserve nationale de Masaï Mara (Kenya, Afrique). Le phacochère, essentiellement herbivore, se nourrit d'herbes, de baies, d'écorces, et de racines, mais peut également suivre un régime omnivore.

Pissenlit. Source : http://data.abuledu.org/URI/50991f72-pissenlit

Pissenlit

Les feuilles du pissenlit sont très riches en vitamine C et β-carotène, les fleurs et les racines des pissenlits dits « communs » ou « officinaux » sont également consommées (salade de barabans).

Planche botanique de radis. Source : http://data.abuledu.org/URI/536a14b9-planche-botanique-de-radis

Planche botanique de radis

Planche botanique de radis avec racines et fanes. Source : Pedanius Dioscurides – Der Wiener Dioskurides. Codex medicus Graecus 1 der Österreichischen Nationalbibliothek, Band 2. Graz: Akademische Druck- und Verlagsanstalt 1999 fol. 284 recto. Kommentar von Otto Mazal: S. 17

Planche botanique des racines. Source : http://data.abuledu.org/URI/56f81f0e-planche-botanique-des-racines

Planche botanique des racines

Planche botanique des racines.

Poisson-ogre. Source : http://data.abuledu.org/URI/542c87fc-poisson-ogre

Poisson-ogre

Le poisson-ogre (Anoplogaster cornuta) est une espèce de poisson abyssal de la famille des Anoplogastridae. Il a une distribution circumglobale dans les eaux tropicales et tempérées froides. Là où il vit, entre 500 et 5 000 m de profondeur, la nourriture est tellement rare qu'il doit pouvoir manger à peu près tout ce qu'il rencontre. Proportionnellement parlant, c'est l'animal qui possède les plus grandes dents au monde, il ne peut même pas fermer complètement sa mâchoire. Contrairement aux autres espèces qui vivent dans les profondeurs, il est puissant et robuste, c'est un vrai prédateur. Son nom est formé des racines grecques "anoplo" (= sans arme) et "gaster" (= estomac).

Pomme de terre germant. Source : http://data.abuledu.org/URI/505daa65-pomme-de-terre-germant

Pomme de terre germant

Gros-plan sur germes de pomme de terre (Solanum Tuberosum), croissant sur le tubercule. On peut observer à leur base de petites racines adventives.

Ponts et racines en Inde. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ac6268-ponts-et-racines-en-inde

Ponts et racines en Inde

Ponts et racines vivantes, Khasi de l'est, village de Nongriat, Meghalaya (Inde).

Porte en bois au musée de l'école de Nancy. Source : http://data.abuledu.org/URI/5818f7e2-porte-en-bois-au-musee-de-l-ecole-de-nancy

Porte en bois au musée de l'école de Nancy

Porte en chêne dans le jardin du musée de l'école de Nancy, 1897, par Eugène Vallin (1856-1922) liant l'art nouveau, l'art médiéval, le japonisme, le naturalisme et le réalisme. Décor styilisé de feuilles de marronier, et devise d'Émile Gallé (1846-1904) : mes racines sont au fond des bois. Installée dans le jardin en 1964.

Portrait de Legolas Vertefeuille. Source : http://data.abuledu.org/URI/53bacdd4-portrait-de-legolas-vertefeuille

Portrait de Legolas Vertefeuille

Portrait de Legolas Vertefeuille, du Roi des Anneaux. Fils de Thranduil, le roi des Elfes de la Forêt Noire, Legolas Vertefeuille se fait connaître lors du Conseil d'Elrond en 3018 du Troisième Âge. Il fait ensuite partie de la Communauté de l'Anneau, en tant que représentant des Elfes : "Je suis chez moi parmi les arbres, aux racines comme dans les branches." J. R. R. Tolkien, Livre II, chapitre 6.

Principaux types de racines. Source : http://data.abuledu.org/URI/503b6d9d-principaux-types-de-racines

Principaux types de racines

Croquis de quatre principaux types de racines : grêle (a), filiforme, pivot (b) et (c) et fasciculée (c) pour les herbes. Elles peuvent aussi former un caudex comme chez le baobab (e).

Racine cubique de 2 et origami. Source : http://data.abuledu.org/URI/52f4b397-racine-carree-de-2-et-origami

Racine cubique de 2 et origami

Doubler le volume d'un cube : PB/PA = racine cubique de 2. Comment construire la racine cubique de 2 par pliage d'origami : construction par Peter Messer, Problème 1054, Crux Mathematicorum, Vol. 12, No. 10, 1986, pp. 284-285.