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Plantes | Photographie | Peinture | Botanique | Paris (France) -- Quartier du Jardin des Plantes | Dessins et plans | Apiacées | Jardins publics | Gravure | Plantes médicinales | Plantes parasites | Solanacées | Jardins botaniques -- France | Plantes toxiques | Plantes -- Dans l'art | Urbanisme | RyXéo | Botanique -- Nomenclature | Scrophulariacées | Jaune | ...
Chardon des sables. Source : http://data.abuledu.org/URI/50503af2-chardon-des-sables

Chardon des sables

Planche botanique du Panicaut maritime (Eryngium maritimum), Atlas des Plantes de France, 1891. Appelé "Chardon des sables" par Victor Hugo dans son Poème sur la Dune : "L'été rit, et l'on voit sur le bord de la mer Fleurir le chardon bleu des sables."

Chatons de trèfle Pied-de-lièvre. Source : http://data.abuledu.org/URI/533c0d72-trifolium-arvense-

Chatons de trèfle Pied-de-lièvre

Fleurs de trèfle pied-de-lièvre, Keila, en Estonie (Trifolium arvense L.) : c'est un trèfle commun dans toute l'Europe, en plaine ou en moyenne montagne. De couleur blanc rosâtre, son inflorescence est surtout caractérisée par les nombreux poils blancs soyeux dont sont munis les calices, beaucoup plus grands que les corolles. Ces poils, liés à la forme plus ou moins oblongue de l'inflorescence, sont à l'origine du nom vernaculaire. Comme tous les trèfles, le pied-de-lièvre appartient à l'ordre des Fabales et à la famille des Fabacées (ou Légumineuses, ou Papilionacées). Plante annuelle, parfois bisannuelle, poussant en plaine, ou en montagne jusqu'à 1 600 mètres, présente dans toute l'Europe, à l'exception des zones boréales. On la rencontre aussi bien sur sols acides que basiques. Commune, elle apprécie les terrains sablonneux et secs, lisière des champs, friches, bord des chemins, ou encore dunes. Parfois adventice des vignes et des vergers non irrigués, le Pied-de-lièvre fleurit de mai à septembre. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tr%C3%A8fle_Pied-de-li%C3%A8vre

Chèvrefeuille. Source : http://data.abuledu.org/URI/5050c298-chevrefeuille

Chèvrefeuille

Planche botanique du chèvrefeuille (Lonicera caprifolium), Atlas des Plantes de France, 1891. Comme les autres lianes, il offre un habitat supplémentaire aux oiseaux, et facilite le déplacement dans les arbres et buissons de certains insectes et petits mammifères. Ses fleurs sont surtout liées à divers espèces d'insectes de l'environnement nocturne, souvent à longue trompe (sphynx du chèvrefeuille).

Chicorée sauvage. Source : http://data.abuledu.org/URI/50578a3e-chicoree-sauvage

Chicorée sauvage

Planche botanique de la chicorée sauvage (Cichorium intybus), Atlas des Plantes de France, 1891. Il y a cinquante ans, dans les campagnes françaises, le "café" était souvent de la chicorée ou un mélange chicorée café. Au Moyen Äge, elle faisait partie des plantes magiques : voir le jardin médiéval des neuf carrés de l'abbaye de Royaumont.

Cigüe vénéneuse. Source : http://data.abuledu.org/URI/5050310e-cigue-veneneuse

Cigüe vénéneuse

Photographie de Cigüe vénéneuse (Cowbane or Northern Water Hemlock en anglais, Cicuta virosa en latin) sur les bords de la Keravanjoki, à Kerava en Finland.

Colza. Source : http://data.abuledu.org/URI/506fed44-colza

Colza

Planche botanique N°28 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Colza (Brassica napus). est une plante annuelle à fleurs jaunes de la famille des Brassicacées, famille anciennement nommée Crucifères. Elle est largement cultivée pour la production d'huile alimentaire et d'agrocarburant. C'est, avec le tournesol et l'olivier, l'une des trois principales sources d'huile végétale alimentaire en Europe. Étymologie : colza vient du néerlandais koolzaad (littéralement graine de chou). Le colza est surtout cultivé dans la moitié nord de la France, sur 1,5 million d'hectares au total : 960 000 hectares pour les usages alimentaires, et 514 000 hectares pour les usages non-alimentaires (biodiesel et technique) en 2008. La teneur en huile des graines est d'environ 40 %, mais elle peut monter, selon les variétés, jusqu'à 45 %. Selon l’ingénieur J. Cordier, en 1823 « la Flandre est la contrée du monde où la culture des plantes oléagineuses et la fabrication de l’huile ont pris, depuis longtemps, le plus d’extension, et ont fait le plus de progrès. On compte autour de Lille, près de deux cents moulins à huile, appelés tordoirs, que le vent fait mouvoir et depuis 1814 on établit chaque année, des machines à vapeur destinées au même usage »

Cônes d'un cèdre de l'Atlas. Source : http://data.abuledu.org/URI/510b1736-cones-d-un-cedre-de-l-atlas

Cônes d'un cèdre de l'Atlas

Cônes d'un cèdre de l'Atlas, allée du château de Pouthet, Eymet (Dordogne).

Coqueret dit lanterne chinoise. Source : http://data.abuledu.org/URI/505dd30e-coqueret-dit-lanterne-chinoise

Coqueret dit lanterne chinoise

Planche botanique du Coqueret, dit Lanterne chinoise (Physalis alkekengi), Atlas des Plantes de France, 1891. La plante est surtout connue pour son faux-fruit, une baie comestible de couleur orange enfermée dans un calice rouge orangé semblable à une lanterne. Indigène en Europe, sa cueillette est attestée dès le Néolithique sur des sites préhistoriques comme ceux du lac de Chalain dans le Jura français. Cette plante est parfois appelée Amour-en-cage ou Cerise d'hiver. Le terme « alkékenge » est apparu dans la langue française au XIVe siècle, il vient de l'ancien français « alquequange » ou « alcacange », lequel dérive de l'arabe al-kakang. Toute la plante, sauf la racine, peut servir à préparer un vin diurétique. Les fruits peuvent être consommés en salades mais aussi transformés en confiture, gelée, marmelade ou encore être incorporés dans des tartes, clafoutis ou tout autre gâteau.

Coriandre. Source : http://data.abuledu.org/URI/511e417b-coriandre

Coriandre

La Coriandre ou Coriandre cultivée (Coriandrum sativum) est une plante herbacée annuelle de la famille des Apiacées (Ombellifères). C'est une plante aromatique cultivée dans les zones tempérées du monde entier et employée pour de nombreuses préparations culinaires, particulièrement en Asie, en Amérique latine et dans la cuisine méditerranéenne. Les feuilles sont généralement utilisées fraîches en accompagnement ou comme condiment.

Cornouiller sauvage. Source : http://data.abuledu.org/URI/5050b7a0-cornouiller-sauvage

Cornouiller sauvage

Planche botanique du cornouiller sauvage (Cornus mas), Atlas des Plantes de France, 1891. L'espèce doit son nom latin (cornu = corne) au fait que son bois est dur comme la corne : il était autrefois prisé pour la fabrication de flèches et de javelots, d'engrenages, de rayons de roues ou de manches d'outils. L'espèce est utile à la faune car lièvres et cerfs apprécient son feuillage, tout comme les abeilles apprécient ses fleurs précoces à la fin de l'hiver, et les oiseaux ses fruits en été.

Cynoglosse officinale, dite Langue de chien. Source : http://data.abuledu.org/URI/505d98c2-cynoglosse-officinale-dite-langue-de-chien

Cynoglosse officinale, dite Langue de chien

Phoographie de cynoglosse officinale, dite ''Langue de chien" (Cynoglossum officinale).

Dauphinelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5050e2a2-dauphinelle

Dauphinelle

Planche botanique de dauphinelle (Delphinium consolida), Atlas de Plantes de France, 1891 : terme vernaculaire "pied-d'alouette".

Dessin d'arbuste. Source : http://data.abuledu.org/URI/54f7894b-dessin-d-arbuste

Dessin d'arbuste

Dessin d'arbuste, imagier RyXéo mars 2015.

Dessin de plante. Source : http://data.abuledu.org/URI/54f789a4-dessin-de-plante-

Dessin de plante

Dessin de plante, imagier RyXéo mars 2015.

Dessin de plante grimpante verte. Source : http://data.abuledu.org/URI/54f78a1d-dessin-de-plante-grimpante-verte

Dessin de plante grimpante verte

Dessin de plante grimpante verte, imagier RyXéo mars 2015.

Dessin de pomme de terre. Source : http://data.abuledu.org/URI/505da941-dessin-de-pomme-de-terre

Dessin de pomme de terre

Croquis de la partie basse de la plante (tiges aériennes, stolons, tubercules et racines souterraines) : en noir le tubercule "mère".

Deux fleurs de marguerite de la St Michel. Source : http://data.abuledu.org/URI/50524417-deux-fleurs-de-marguerite-de-la-st-michel

Deux fleurs de marguerite de la St Michel

Photographie de deux fleurs d'Aster amelle, Canigou.

Digitale en fleurs. Source : http://data.abuledu.org/URI/505e2010-digitale-en-fleurs

Digitale en fleurs

Digitale en fleurs, le long du lac de l'Oule, lac de barrage situé dans les Pyrénées françaises en vallée d'Aure en Haute-Bigorre dans le département des Hautes-Pyrénées.

Digitale pourpre. Source : http://data.abuledu.org/URI/505e1f5d-digitale-pourpre

Digitale pourpre

Planche botanique de Digitale pourpre ou grande digitale (Digitalis purpurea), Atlas des Plantes de France, 1891. C'est une grande digitale bisannuelle ou vivace, cultivée comme plante ornementale. Elle est appelée parfois Doigtier, Gant-de-Notre-Dame, Gant-de-bergère, Gantelée, Gantière ou Gantillier. "Digitale" provient du latin digitus qui signifie « doigt » car on peut enfoncer son doigt dans la fleur. En vieux pays celte, les femmes badigeonnaient les interstices du dallage de leurs chaumières avec une préparation à base de gants-de-Notre-Dame. Les forces souterraines néfastes ne pouvaient plus faire irruption. Plante médicinale des pathologies cardiaques la digitale pourpre est plus prisée que la digitale jaune parce qu'elle contient plus de principes actifs que cette dernière. La digitale est une plante extrêmement toxique dont on extrait la digitaline ou digitoxine, utilisée comme tonicardiaque.

Églantier. Source : http://data.abuledu.org/URI/504e3b0a-eglantier

Églantier

Planche botanique de l'églantier ou rosier des chiens (Rosa canina), Atlas des Plantes de France, 1891 : Le nom de « rosier des chiens » vient de la propriété attribuée dans l'Antiquité à la racine de cette plante censée guérir la rage.

Épilobe en épi. Source : http://data.abuledu.org/URI/588ce7e1-epilobe-en-epi

Épilobe en épi

Épilobe en épi, l’Épilobe à feuilles étroites ou Laurier de Saint-Antoine (Chamerion angustifolium), ou encore Osier fleuri, espèce de plante herbacée vivace du genre Chamerion de la famille des Onagraceae.

Épinard sauvage. Source : http://data.abuledu.org/URI/5070040b-epinard-sauvage

Épinard sauvage

Planche botanique N°277 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Chénopode bon-henri, ou Épinard sauvage (Chenopodium bonus-henricus). Il pousse dans les endroits où sont déposées des déjections azotées des animaux, et les reposoirs à bestiaux.

Épinard sauvage. Source : http://data.abuledu.org/URI/50700634-epinard-sauvage-

Épinard sauvage

Épinard sauvage (Chenopodium bonus henricus) du Mont Orjen, massif situé dans la chaîne des Alpes dinariques, à la frontière entre le Monténégro et la Bosnie-Herzégovine qui garde de nombreuses traces des glaciers du Pléistocène.

Epipactis à large feuilles et Listère à feuilles ovales. Source : http://data.abuledu.org/URI/5063ffde-epipactis-a-large-feuilles-et-listere-a-feuilles-ovales

Epipactis à large feuilles et Listère à feuilles ovales

Planche botanique de l'Atlas des Plantes de France, 1891 présentant deux orchidées. A- L'épipactis à larges feuilles, (Epipactis helleborine subsp. helleborine), est une plante herbacée vivace de la famille des Orchidacées que l'on rencontre en forêt ou spontanément dans les parcs et jardins des villes et campagnes. Les pollinisateurs confirmés sont des fourmis, mouches, coléoptères (Cantharis rustica...), des bourdons et des guêpes (Vespula vulgaris, Dolichovespula sylvestris...). La plante produit du nectar facilement accessible aux visiteurs en tout genre, son hypochile nectarifère ayant une forme de coupe. Aire de répartition : eurasiatique, se répand dans le quart nord-est des États-Unis depuis 150 ans. Espèce courante en France, sauf dans les départements du Finistère, du Gers et des Landes. B- Listère à feuilles ovales (Listera ovata), Orchidacée terrestre européenne.

Epipactis à larges feuilles. Source : http://data.abuledu.org/URI/50640152-epipactis-a-larges-feuilles

Epipactis à larges feuilles

Planche botanique de l'Atlas des Plantes de France, 1891. L'épipactis à larges feuilles, (Epipactis helleborine subsp. helleborine), est une plante herbacée vivace de la famille des Orchidacées que l'on rencontre en forêt ou spontanément dans les parcs et jardins des villes et campagnes. Les pollinisateurs confirmés sont des fourmis, mouches, coléoptères (Cantharis rustica...), des bourdons et des guêpes (Vespula vulgaris, Dolichovespula sylvestris...). La plante produit du nectar facilement accessible aux visiteurs en tout genre, son hypochile nectarifère ayant une forme de coupe.

Érable sycomore en héraldique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50bb5e04-erable-sycomore-en-heraldique

Érable sycomore en héraldique

Érable sycomore (Acer pseudoplatanus) en héraldique.

Eupatoire à feuilles de chanvre. Source : http://data.abuledu.org/URI/5050f85b-eupatoire-a-feuilles-de-chanvre

Eupatoire à feuilles de chanvre

Planche botanique d'Eupatoire à feuilles de chanvre (Eupatorium cannabinum), Atlas des Plantes de France de 1891 : l'eupatoire chanvrine croît volontiers dans les zones humides, aux bords de fossés, dans les marais, jusqu'à 1 700 mètres d'altitude. Il s'agit d'une plante mellifère qui est appréciée des papillons. La tradition populaire en fait une plante laxative (racines).

Fenouil aquatique. Source : http://data.abuledu.org/URI/504e485c-fenouil-aquatique

Fenouil aquatique

Planche botanique de fenouil aquatique (Oenanthe phellandrium), Atlas des Plantes de France, 1891 : plantes herbacées de la famille des Apiaceae.

Fenouil officinal. Source : http://data.abuledu.org/URI/504fa5fd-fenouil-officinal

Fenouil officinal

Planche botanique du fenouil (Foeniculum vulgare). Dans la civilisation grecque le fenouil sauvage était associé à la claire vision. Dans la civilisation romaine, c'était la plante sacrée de Bacchus. Les fleurs apparaissent généralement en août - septembre. Leur parfum est très anisé. En cuisine, c'est un légume dont toutes les parties, racines, feuilles et graines, sont comestibles. Son goût est proche de celui de l'anis et souvent associé au poisson. On peut le consommer cru (en salade) ou cuit. Il entre également dans la fabrication de certaines liqueurs, conservateurs ou aromates d'usage domestique.

Feuille de noisetier. Source : http://data.abuledu.org/URI/50649e23-feuille-de-noisetier

Feuille de noisetier

Feuille de noisetier (Corylus avellana).

Feuille de tabac. Source : http://data.abuledu.org/URI/50df85c2-feuille-de-tabac

Feuille de tabac

Feuille de tabac. Le tabac est un produit psychoactif manufacturé élaboré à partir de feuilles séchées de plantes de tabac commun (Nicotiana tabacum), une espèce originaire d'Amérique centrale appartenant au genre botanique Nicotiana (famille : Solanaceae).

Feuilles de laitue sauvage. Source : http://data.abuledu.org/URI/505793bc-feuilles-de-laitue-sauvage

Feuilles de laitue sauvage

Photographie de feuilles de laitue sauvage.

Fibres de chanvre. Source : http://data.abuledu.org/URI/506e0501-fibres-de-chanvre

Fibres de chanvre

Fibres de chanvre (Cannabis sativa). Avant de pouvoir être tissé, le chanvre devait subir toute une préparation : le rouissage, le broyage, le teillage et le peignage. Une fois récolté, il était roui, séjournant dans l'eau une dizaine de jours pour que les fibres se détachent. Ensuite, on le broyait sous la « broie » et on le passait au seran qui séparait ce qui pourra être filé au rouet et l'étoupe qui ne pourra pas l’être. Au XVIIIe siècle, ce travail préliminaire du chanvre était effectué par les agriculteurs qui trouvaient là une source de revenu supplémentaire. C'étaient avant tout les femmes qui filaient. Il faut différencier cette production familiale de l'activité des tisserands. Bon nombre d'entre eux recevaient le fil d'un marchand-lissier qui récupérait ensuite la toile de chanvre pour la vendre en France et à l'étranger, ramenant en échange épices ou produits divers. Aujourd'hui, le défibrage du chanvre est mécanisé.

Figuier commun. Source : http://data.abuledu.org/URI/506e7c92-figuier-commun

Figuier commun

Figuier (Ficus carica) portant des fruits mûrs.

Figuier commun. Source : http://data.abuledu.org/URI/506e7bc6-figuier-commun

Figuier commun

Planche botanique N°289 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Figuier commun (Ficus carica). Le Figuier comestible est l'emblème du bassin méditerranéen, où il est cultivé depuis des millénaires. C'est le seul représentant européen du genre Figuier qui représente près de 600 espèces, la plupart tropicales. À maturité, les fruits, ou figues, sont selon les variétés de couleur verdâtre, jaune, marron-rouge ou violet plus ou moins foncé. Toutes les parties de la plante (rameaux, feuilles, fruits) contiennent un latex blanc et irritant.

Fleur de houblon. Source : http://data.abuledu.org/URI/506dfc95-fleur-de-houblon

Fleur de houblon

Fleurs de houblon (Humulus lupus).

Fleur de pois bleu. Source : http://data.abuledu.org/URI/548a0526-fleur-de-pois-bleu

Fleur de pois bleu

Pois bleu en fleur (Clitoria ternatea), plante d'ornement dans un jardin à Pô au Burkina Faso.

Fleurs d'angélique des bois. Source : http://data.abuledu.org/URI/504f5cb8-fleurs-d-angelique-des-bois

Fleurs d'angélique des bois

Photographie de fleurs d'angélique des bois (Angelica sylvestris), prise à Kerava en Finlande.

Fleurs d'aristoloche clématite. Source : http://data.abuledu.org/URI/506f1fce-fleurs-d-aristoloche-clematite

Fleurs d'aristoloche clématite

Fleurs d'aristoloche clématite (Aristolochia clematitis) : Les fleurs de l'Aristoloche clématite sont jaunes et dégagent une odeur désagréable. Elles forment un tube d'environ 3 cm, par lequel les insectes pénètrent, attirés par le nectar. Le « piège » ainsi formé contient le pistil et les étamines, organes mâles et femelles de la plante.

Fleurs de Bois-joli. Source : http://data.abuledu.org/URI/506f2c68-fleurs-de-bois-joli

Fleurs de Bois-joli

Fleurs roses de Bois-joli (Daphne_mezereum) : à l'étage collinéen en France, la floraison est précoce, et débute dès la mi-février (avant les feuilles).

Fleurs de fenouil. Source : http://data.abuledu.org/URI/504fa793-fleurs-de-fenouil

Fleurs de fenouil

Photographie en gros plan de fleurs de fenouil (Foeniculum vulgare). Les fruits secs sont utilisés en homéopathie.

Fleurs de jusquiame noire. Source : http://data.abuledu.org/URI/505df1f0-fleurs-de-jusquiame-noire

Fleurs de jusquiame noire

Photographie de fleurs de jusquiame noire (Hyoscyamus niger) à Sobín, quartier de Prague près de la frontière.

Fleurs de lierre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50504424-fleurs-de-lierre

Fleurs de lierre

Photographie de fleurs de lierre grimpant (Hedera helix). Les jeunes pousses sont utilisées en homéopathie.

Fleurs de noisetier. Source : http://data.abuledu.org/URI/50649eae-fleurs-de-noisetier

Fleurs de noisetier

Fleurs mâles et femelles de noisetier (Corylus avellana).

Fleurs de printemps Coeur de Marie. Source : http://data.abuledu.org/URI/5171a66f-fleurs-de-printemps-coeur-de-marie

Fleurs de printemps Coeur de Marie

Le Cœur de Marie ou encore Cœur-de-Jeannette ou Cœur-Saignant (Dicentra spectabilis L.) est une plante vivace de la famille des Papavéracées, cultivée pour ses fleurs roses et blanches très décoratives.

Floraison du monotrope. Source : http://data.abuledu.org/URI/5058de67-floraison-du-monotrope

Floraison du monotrope

Début de floraison de monotrope (Monotropa hypopitys), photographie prise à Hohenlohe, en Allemagne le 10 juillet 2007.

Framboisier. Source : http://data.abuledu.org/URI/504e37f3-framboisier

Framboisier

Planche du framboisier ou Ronce du Mont Ida (Rubus idaeus), Atlas des Plantes de France, 1891.

Frêne commun. Source : http://data.abuledu.org/URI/505a1148-frene-commun

Frêne commun

Planche botanique du frêne commun (Fraxinus excelsior), Atlas des Plantes de France, 1891. C'est un grand arbre, jusqu'à 40 m de hauteur et 1 m de diamètre, à tronc droit à écorce lisse et grisâtre, se crevassant avec l'âge. Le bois est assez dur, tenace, élastique, couleur blanc nacré, sans aubier distinct. Essence de lumière, à croissance rapide, très résistant au froid mais sensible aux gelées tardives, qui peuvent tuer les bourgeons terminaux et à la sécheresse. Son bois est recherché pour certains usages en raison de sa résistance à la flexion et aux chocs : manches d'outils, outils en bois (râteaux), cannes et bâtons (de hockey notamment), charronnage, carrosserie... les meilleurs exemplaires fournissent un bois de déroulage utilisé en placage. À défaut, c'est un excellent bois de chauffage. Les feuilles sont inscrites à la pharmacopée française.

Fruits de belladone. Source : http://data.abuledu.org/URI/505dec3c-fruits-de-belladone

Fruits de belladone

Photographie de belladone (Atropa belladonna) et ses fruits noirs toxiques.

Fruits de l'orme. Source : http://data.abuledu.org/URI/506e0942-fruits-de-l-orme

Fruits de l'orme

Fruits de l'orme champêtre (Ulmus minor).

Lierre et mur sur l'île d'Elbe. Source : http://data.abuledu.org/URI/582eb25b-lierre-et-mur-sur-l-ile-d-elbe

Lierre et mur sur l'île d'Elbe

Lierre sur les murs d'un église en ruine à San Lorenzo dans l'île d'Elbe.

Lierre grimpant. Source : http://data.abuledu.org/URI/505040b0-lierre-grimpant

Lierre grimpant

Planche botanique de lierre rampant ou grimpant (Hedera Helix), Planche des Plantes de France, 1891 ; parfois surnommé à tort « bourreau des arbres » ou « herbe de saint-Jean », c'est une liane à feuilles persistantes en hiver, qui pousse de façon spontanée. "Il fleurit de fin septembre à octobre, c'est-à-dire après que presque toutes les floraisons d'autres plantes soient terminées, et après la chute des feuilles, le pollen pouvant mieux se disperser ainsi - et les fleurs peut-être plus visibles. C'est ainsi une source critique de nourriture pour les abeilles et autres insectes à une période où il y a peu de fleurs et où l'hiver arrive, et donc ensuite de fruits pour les oiseaux, en février, à une période où de même peu de fruits sont disponibles. Ainsi le lierre semble plutôt être une merveille de la nature ; loin d'être un parasite, c'est à l'inverse un organisme qui paraît doté très grand mutualisme, ce qui pourrait aussi expliquer son succès et le fait qu'il soit aussi répandu sur tout le territoire". (wikipedia)

Massettes des marais. Source : http://data.abuledu.org/URI/50df6d0d-massettes-des-marais

Massettes des marais

Croquis de massettes des marais (Typha latifolia). Les massettes sont des plantes de milieux humides qui possèdent un rhizome. Elles ont une inflorescence typique : dense et en forme de quenouille, dans laquelle les fleurs femelles et mâles sont clairement séparées (monoécie), les fleurs mâles étant placées au-dessus des fleurs femelles au bout d'une tige florifère. Les feuilles sont plates (ou légèrement triangulaires) et croissent à la base de la plante. Elles forment une gaine qui entoure la tige.

Ménagerie du Jardin des Plantes à Paris. Source : http://data.abuledu.org/URI/524f1322-menagerie-du-jardin-des-plantes-a-paris

Ménagerie du Jardin des Plantes à Paris

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.288 : manuel scolaire, édition de 1904. LES LOGES DES BÊTES FÉROCES AU JARDIN DES PLANTES DE PARIS. - Les bêtes féroces réunies dans la ménagerie du Jardin des Plantes appartiennent à l'ordre des carnivores, animaux dont les dents sont propres à broyer la chair. Les principales familles de l'ordre des carnivores ou carnassiers sont la famille des ours, des chats (depuis le chat domestique jusqu'au tigre et au lion), des chiens (depuis le chien domestique jusqu'au loup et au renard) et les hyènes.

Mercuriale vivace. Source : http://data.abuledu.org/URI/506f1c10-mercuriale-vivace

Mercuriale vivace

Planche botanique N°286 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Marcuriale vivace (Mercurialis perennis) ou Mercuriale pérenne, Chou de chien ou Cynocrambe. C'est une plante herbacée des lieux plutôt frais sur sols alcalino-calcaires de la famille des Euphorbiaceae. Son nom en latin vient de Mercure, le dieu qui découvrit les propriétés médicinales des mercuriales et Perennis pour pérenne. Elle se développe à l'ombre des arbres à feuilles caduques des régions tempérées d'Europe. Elle forme grâce à son rhizome souterrain de vastes colonies en sous-bois (plante sociale). L'ensemble de la plante est un purgatif énergique, elle est vénéneuse pour les bêtes.

Monotrope. Source : http://data.abuledu.org/URI/5058dd77-monotrope

Monotrope

Planche botanique du monotrope (Monotropa hipopitys), Atlas des Plantes de France, 1891. C'est une plante vivant en symbiose avec des champignons ; contrairement à la plupart des plantes, elle ne contient pas de chlorophylle et n'utilise donc pas la photosynthèse. Ceci lui permet de vivre dans des conditions de très faible luminosité, par exemple dans le sous-bois de forêts denses. Elle parasite les arbres, notamment les pins.

Morelle douce-amère. Source : http://data.abuledu.org/URI/505da451-morelle-douce-amere

Morelle douce-amère

Planche botanique de la Douce-Amère ou Morelle douce-amère (Solanum dulcamara), Atlas des Plantes de France, 1891. Les tiges ligneuses peuvent atteindre jusqu'à 3 mètres et demi de longueur et s'élever au-dessus du sol avec l'aide d'un support, ses rameaux volubiles lui permettant de s'agripper aux arbres et arbustes de son entourage. La floraison s'étendant sur une longue période, il arrive de pouvoir observer sur un même plant des fleurs violettes aux étamines jaunes et, selon leur degré de maturité, de jeunes fruits allant du vert à l'orange et au rouge. Ceux-ci sont toxiques mais le niveau de toxicité peut s'atténuer avec la fin de la saison, ce qui permet à certains volatiles de se nourrir des derniers fruits encore accrochés l'hiver venu.

Moutarde des champs. Source : http://data.abuledu.org/URI/50702fd6-moutarde-des-champs

Moutarde des champs

Planche botanique N°27 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Moutarde des champs (Sinapis arvensis), placée souvent dans les mauvaises herbes (adventices), envahissant champs et jardins. Les jeunes plantes peuvent être consommées. Les graines une fois moulues peuvent donner une sorte de moutarde.

Nichoir au Jardin des Plantes. Source : http://data.abuledu.org/URI/53e2c403-nichoir-au-jardin-des-plantes

Nichoir au Jardin des Plantes

Nichoir accroché à un arbre au Jardin des Plantes.

Olivier d'Europe. Source : http://data.abuledu.org/URI/505a37b6-olivier-d-europe

Olivier d'Europe

Planche botanique de l'olivier d'Europe (Olea europaea), Atlas des Plantes de France, 1891. Il est cultivé dans les régions de climat méditerranéen pour son fruit, l'olive, qui donne une huile recherchée. L'olivier ne produit naturellement qu'une année sur deux en l'absence de taille, et la production s'installe lentement, progressivement, mais durablement : entre 1 et 7 ans, c'est la période d'installation improductive, dont la durée peut doubler en cas de sécheresse ; jusqu'à 35 ans, l'arbre se développe et connaît une augmentation progressive de la production ; entre 35 ans et 150 ans, l'olivier atteint sa pleine maturité et sa production optimale. Au-delà de 150 ans, il vieillit et ses rendements deviennent aléatoires.

Ortie puante. Source : http://data.abuledu.org/URI/50704ab3-ortie-puante

Ortie puante

Planche botanique N° 265 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Ortie puante ou épiaire des bois (Stachys silvatica). Les feuilles froissées dégagent une odeur désagréable évoluant vers un arôme proche du champignon. Elle pousse dans les bois frais à humide, haies, talus et chemins forestiers.

Ovule de gymnopserme et d'angiosperme. Source : http://data.abuledu.org/URI/50df6f5a-ovule-de-gymnopserme-et-d-angiosperme

Ovule de gymnopserme et d'angiosperme

Représentation schématique (avec légendes) d'un ovule de gymnosperme (à gauche) et d'angiosperme (à droite).

Palmiste noir de La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/52db2de0-palmiste-noir-de-la-reunion

Palmiste noir de La Réunion

Palmiste noir de La Réunion, Louis van Houtte (1810–1876), in Flore des serres et des jardins de l'Europe ou descriptions et figures des plantes les plus rares et les plus méritantes, nouvellement introduites sur le continent ou en Angleterre, vol. 16, 1862-65. Le Palmiste noir ou Palmiste noir des hauts (Acanthophoenix crinita) est une espèce de plantes de la famille des arécacées. Elle est endémique de l'île de La Réunion, département d'outre-mer français dans le sud-ouest de l’océan Indien. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Acanthophoenix_crinita

Panaïs cultivé. Source : http://data.abuledu.org/URI/504f5e88-panais-cultive

Panaïs cultivé

Planche botanique de Panais cultivé (Pastinaca sativa), Atlas des Plantes de France, 1891. Le panais, d'une couleur blanc ivoire, a une forme proche de celle de la carotte, et un goût légèrement sucré. Il peut se consommer cuit en soupes, potages, couscous (Maghreb) et pot-au-feu, il supporte tout type de cuisson et accommode n'importe quelle viande ou poisson. Il est le plus souvent utilisé comme complément ou condiment, à cause de sa saveur assez vive. Il était utilisé comme plante fourragère pour le bétail.

Panorama du Jardin des Plantes. Source : http://data.abuledu.org/URI/5103e374-panorama-du-jardin-des-plantes

Panorama du Jardin des Plantes

Panorama du Jardin des plantes (Paris) depuis l'esplanade Milne-Edwards.

Pavot somnifère. Source : http://data.abuledu.org/URI/505a032b-pavot-somnifere

Pavot somnifère

Planche botanique de Pavot somnifère (Papaver somniferum) ou "pavot des jardins", Atlas des Plantes de France, 1891 : Connu pour ses propriétés psychotropes sédatives, il est aussi cultivé à des fins ornementales ou alimentaires. Le pain au pavot est consommé couramment dans les régions slaves et germaniques notamment en Alsace. Le pavot somnifère se rencontre dans les montagnes asiatiques et est également assez commun en Europe, y fréquentant les mêmes terrains calcaires que le coquelicot : ce sont des plantes dites calcicoles.

Pistacia vera de 1702 au Jardin des Plantes. Source : http://data.abuledu.org/URI/534a709c-pistacia-vera-de-1702-au-jardin-des-plantes

Pistacia vera de 1702 au Jardin des Plantes

Pistacia vera L. Vue d'un specimen historique, planté au Jardin des Plantes ("Jardin des semis", devenu Jardin alpin) en 1702. C'est l'étude de cet arbre qui permit à Sébastien Vaillant de prouver la notion de sexualité chez les végétaux en 1716.

Pistacia vera en 1702. Source : http://data.abuledu.org/URI/534a6fbf-pistacia-vera-en-1702

Pistacia vera en 1702

Plaque concernant le pistachier du Jardin des Plantes (Pistacia vera) en 1702. Le pistachier permit à Sébastien Vaillant d’étudier et de démontrer scientifiquement la sexualité des végétaux en 1716. En 1702, Joseph Pitton de Tournefort rapporta quelques pistaches de Chine et les sema au jardin des semis du Jardin royal des plantes médicinales. Un pistachier mâle poussa. Arbre historique, il se trouve au jardin alpin du Jardin des plantes de Paris. Sébastien Vaillant remarqua que ce pistachier esseulé fleurissait tous les ans sans fructifier comme un autre spécimen aux fleurs différentes situé dans un autre quartier de Paris. Vaillant apporta une branche fleurie du Jardin du roi et la secoua près de l'autre pistachier en fleurs. Des fruits apparurent pour la première fois. Cette expérience démontra la sexualité des plantes et la pollinisation. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pistacia_vera

Plan du Jardin des Plantes. Source : http://data.abuledu.org/URI/5103df49-plan-du-jardin-des-plantes

Plan du Jardin des Plantes

Plan du Jardin des Plantes à Paris : jardin botanique ouvert au public, situé dans le Ve arrondissement de Paris près de la Seine. Il appartient au Muséum national d'histoire naturelle et est, à ce titre, un campus. Placé sous le patronage de Buffon jusqu'en 1788, il s'étend sur une superficie de 23,5 hectares.

Plan du Jardin des plantes de Paris. Source : http://data.abuledu.org/URI/588e0ef1-plan-du-jardin-des-plantes-de-paris

Plan du Jardin des plantes de Paris

Plan détaillé du Jardin des Plantes, Muséum d'histoire naturelle de Paris. Fiche data-bnf : Héritier du Jardin royal des plantes médicinales. - Le décret Lakanal du 10 juin 1793 a instauré la direction par une assemblée des professeurs. - Changement de statut en 1985 et 2001. - Regroupe des galeries d'exposition, des laboratoires, des bibliothèques, des jardins et 26 chaires magistrales.

Plan du Jardin des Plantes et du Muséum. Source : http://data.abuledu.org/URI/5103e0ad-plan-du-jardin-des-plantes-et-du-museum

Plan du Jardin des Plantes et du Muséum

Plan détaillé du Muséum d'Histoire Naturelle et du Jardin des Plantes de Paris, classés, avec l'ensemble des bâtiments, monument historique le 24 mars 1993.

Plan du quartier du Jardin des plantes de Toulouse. Source : http://data.abuledu.org/URI/5828cecc-plan-du-quartier-du-jardin-des-plantes-de-toulouse

Plan du quartier du Jardin des plantes de Toulouse

Plan du quartier du Jardin des plantes de Toulouse-31.

Planche Deyrolle de plantes parasites. Source : http://data.abuledu.org/URI/56f85018-planche-deyrolle-de-plantes-parasites

Planche Deyrolle de plantes parasites

Planche Deyrolle de plantes parasites : cuscute, gui, orobanche.

Plant de mercuriale vivace en fleurs. Source : http://data.abuledu.org/URI/506f1cd5-plant-de-mercuriale-vivace-en-fleurs

Plant de mercuriale vivace en fleurs

Plant de mercuriale vivace (Mercurialis perennis) en fleurs.

Plantes de la mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/524dea3b-plantes-de-la-mer

Plantes de la mer

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.228 ; manuel scolaire, édition de 1904 : PLANTES DE LA MER. - Sous la mer, il existe des montagnes et des vallées, des vallées impénétrables, de vastes prairies où viennent brouter les animaux marins. Les principales plantes de la mer sont les algues et les varechs. On y trouve aussi un grand nombre d'animaux-plantes, comme le corail et la méduse représentés dans la gravure.

Plantes et électricité. Source : http://data.abuledu.org/URI/591bd0d4-plantes-et-electricite

Plantes et électricité

Expériences sur les effets de l'électricité sur les plantes, "De l'électricité des végétaux" par Pierre Bertholon, 1783.

Plantes grasses au jardin botanique de Metz. Source : http://data.abuledu.org/URI/54154dfd-plantes-grasses-au-jardin-botanique-de-metz

Plantes grasses au jardin botanique de Metz

Plantes succulentes (Echeveria), au jardin botanique de Metz, août 2011.

Plantes muricoles de la Citadelle de Lille. Source : http://data.abuledu.org/URI/553a006d-plantes-muricoles-de-la-citadelle-de-lille

Plantes muricoles de la Citadelle de Lille

Sans être vraiment spéciquement "muricoles", de nombreux lichens, mousses, plantes peuvent pousser sur les murs. Dans les régions non-montagneuses (ici Nord-Pas-de-Calais), quelques plantes rares (pour ces régions) ne poussent que sur ces murs ( espèces muricoles ou saxicoles, c'est à dire poussant habituellement sur des rochers). Photo prise en 2013, un an après rénovation du rempart de la citadelle de Vauban à Lille.

Pollens au microscope électronique. Source : http://data.abuledu.org/URI/53930cf6-pollens-au-microscope-electronique

Pollens au microscope électronique

Pollens de quelques plantes courantes : Tournesol, Volubilis, Rose trémière (Sildalcea malviflora), lys (Lilium auratum), onagre (Oenothera fruticosa) et Ricin commun (Ricinus communis). Image aggrandie 500 fois : la particule en forme de grain de café dans le coin inférieur gauche mesure dans les 50 μm.Source : Dartmouth Electron Microscope Facility

Pomme de terre. Source : http://data.abuledu.org/URI/505da80e-pomme-de-terre

Pomme de terre

Planche botanique de la Pomme de terre (Solanum tuberosum), Atlas des Plantes de France, 1891. La Pomme de terre, ou Patate (langage familier, canadianisme et français régional), est un tubercule comestible. Elle est originaire de la cordillère des Andes dans le sud-ouest de l'Amérique du Sud où son utilisation remonte à environ 8 000 ans. Introduite en Europe vers la fin du XVIe siècle à la suite de la découverte de l’Amérique par les conquistadors espagnols, elle s'est rapidement diffusée dans le monde et est aujourd’hui cultivée dans plus de 150 pays sous pratiquement toutes les latitudes habitées. C'est une source importante de glucides, qui se présentent principalement sous forme de fécule, mais aussi de protéines et de vitamines. Ses qualités nutritives et sa facilité de culture font qu’elle est devenue l'un des aliments de base de l’humanité. La fécule de pomme de terre a donné naissance à une industrie de transformation aux multiples débouchés dans les secteurs agro-alimentaire, cosmétique, pharmaceutique et industriel.

Primevère officinale. Source : http://data.abuledu.org/URI/505a065c-primevere-officinale

Primevère officinale

Planche botanique de la primevère officinale (Primula officinalis), Atlas des Plantes de France, 1891. Elle est parfois appelée la Brérelle, le Coqueluchon, le Coucou, l’Herbe à la paralysie, l’Herbe de saint Paul, la Primerolle, la Primevère de printemps ou la Printanière. Ce sont des plantes de pleine lumière des prés, des talus et des bois clairs. Elle doit son nom à "Primula" du latin "primulus", "tout premier", allusion aux fleurs précoces ; "veris" signifie "du printemps"; "officinalis", médicinal. Les fleurs, adoucissantes et calmantes, sont utilisées dans des mélanges pectoraux. Les feuilles sont anti-ecchymotiques. Toute la plante et particulièrement la racine ont des propriétés analgésiques, anti-spasmodiques, diurétiques et pectorales et expectorantes.

Quatre plantes légumineuses. Source : http://data.abuledu.org/URI/524d739c-quatre-plantes-legumineuses

Quatre plantes légumineuses

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), gravure Perot, 1877, p.40 : manuel scolaire, édition de 1904 : PLANTES LÉGUMINEUSES. - On appelle légumineuses les plantes qui ont pour fruits des gousses. Les plus précieuses de ces plantes sont, dans notre pays, les haricots et les pois, si nourrissants, les fèves et les lentilles, qu'on cultive surtout dans nos départements maritimes de l'ouest et du midi et dont les équipages des navires font une consommation considérable.

Radis cultivé. Source : http://data.abuledu.org/URI/5071d6f4-radis-cultive

Radis cultivé

Planche botanique N°26 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Radis cultivé (Raphanus sativus), du latin radix, radicis, « racine, raifort », du grec ῥαπυς, ῥαπυος, « rave, navet », dit « ravanet » en provençal. C'est une plante potagère bisannuelle, de la famille des Brassicacées, cultivée pour son hypocotyle charnu, consommé cru, comme légume. Le terme désigne aussi le légume. La partie comestible, une racine pivot à chair blanche, est la partie gonflée, souterraine, de la tige, au-dessus de la racine. La peau du radis peut être de différentes couleurs, dont la plus courante est le rouge. Certaines variétés peuvent être à peau rose, blanche, ou gris-blanc.

Régénération forestière naturelle après un incendie. Source : http://data.abuledu.org/URI/582e9ced-regeneration-forestiere-naturelle-apres-un-incendie

Régénération forestière naturelle après un incendie

Régénération naturelle de la fruticée altimontaine à branle vert dominant (Erica reunionensis) cinq ans après l'incendie de 2006.

Renouée bistorte. Source : http://data.abuledu.org/URI/506ffc35-renouee-bistorte

Renouée bistorte

Planche botanique N°279 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Renouée bistorte (Polygonum bistorta) à fleurs roses en épi unique terminant la tige et larges de 1 à 3 cm. Polygonum : du grec "polus" = beaucoup, et "gonu" = genou : tiges très noueuses ; Bistorta : du latin "bistortus" = deux fois tordu (forme de la racine). Appellations populaires en France : Feuillotte, Serpentaire rouge, Bistorte, Andresse, Couleuvrée, Langue de bœuf, Faux épinard. Cette plante est comestible : le rhizome a fréquemment été consommé cuit (ou cru, bien qu'il soit souvent amer) en Russie, Sibérie et Alaska1 : après l'avoir fait macérer, on le faisait cuire sous la braise. Pour éliminer son amertume, il peut être nécessaire de le cuire dans plusieurs eaux. Comme pour la plupart des renouées, les jeunes pousses et feuilles sont également comestibles. En vieillissant, elles deviennent amères, il conviendra donc, comme pour le rhizome, de les faire bouillir à plusieurs eaux. L'usage médicinal de la bistorte est ancien, comme l'atteste sa présence dans le Capitulaire De Villis, ordonnance émanant de Charlemagne, qui réclame de la part de ses domaines de cultiver un certain nombre de plantes médicinales et condimentaires dont la "dragantea" identifiée actuellement comme la bistorte renouée. Plante mellifère.

Rhinanthe crête de coq. Source : http://data.abuledu.org/URI/505e21da-rhinanthe-crete-de-coq

Rhinanthe crête de coq

Planche botanique du Rhinanthe crête-de-coq (Rhinanthus crista-galli) ou Rhinanthe velu (Rhinanthus alectorolophus), Atlas des Plantes de France, 1891. C' est une plante herbacée de la famille des Scrophulariacées. C'est une plante semi-parasite, des prairies et pelouses, jusqu'à 2300 m d'altitude, commune surtout en Europe centrale, assez commune en France.

Roquette de mer sur la dune. Source : http://data.abuledu.org/URI/582eb574-roquette-de-mer-sur-la-dune

Roquette de mer sur la dune

Roquette de mer (Cakile maritima) au pied de la dune littorale, au sud de Capbreton, Landes, France.

Saule marsault. Source : http://data.abuledu.org/URI/509808b2-saule-marsault

Saule marsault

Planche N°303 de l'atlas des plantes de France de Masclef : Saule marsault ou saule des chèvres (Salix caprea). Le nom scientifique Salix caprea vient sans doute de la première illustration connue de l'espèce dans le livre de Hieronymus Bock où on voit la plante broutée par une chèvre. L'espèce a été historiquement aussi largement utilisée comme fourrage pour les chèvres. Le bois de saule marsault est employé pour faire des échalas. L'écorce du saule marsault, riche en tanin, est utilisée en tannerie ; elle contient, comme celle de tous les saules, de la saliciline voisine de l'aspirine.

Saxifrage granulée. Source : http://data.abuledu.org/URI/504e6cf2-saxifrage-granulee

Saxifrage granulée

Planche botanique de la saxifrage granulée (Saxifraga granulata), Atlas des Plantes de France de 1891. Son nom vient du latin saxum, le rocher et frangere, briser. Ces plantes rupicoles sont en effet connues pour leur capacité à s'installer dans des fissures de rochers. Elles se font d'ailleurs parfois appeler Casse-pierre ou Perce-pierre.

Scrophulaire noueuse. Source : http://data.abuledu.org/URI/505e0097-scrophulaire-noueuse

Scrophulaire noueuse

Planche botanique de la Scrophulaire noueuse (Scrophularia nodosa), Atlas des Plantes de France, 1891. Plante herbacée haute (jusqu'à 1,5m) à petites fleurs brunes qui pousse dans les berges des fossés et dans l'eau. Pharmacopée : laxatif léger, traitement des maladies cutanées, plus particulièrement l'eczéma.

Scrophulaire noueuse en fleurs. Source : http://data.abuledu.org/URI/505e016b-scrophulaire-noueuse-en-fleurs

Scrophulaire noueuse en fleurs

Photographie d'une scrophulaire noueuse en fleurs (Scrophularia_nodosa).

Serre au Jardin des Plantes. Source : http://data.abuledu.org/URI/53e27ca9-serre-au-jardin-des-plantes

Serre au Jardin des Plantes

Une des plus vieilles serres du monde (1834-1836), restaurée en 2010. Jardin des Plantes, Paris.-- 29 septembre 2010, par Charles Rohault de Fleury (1801-1875).

Sous les combles. Source : http://data.abuledu.org/URI/50579885-sous-les-combles

Sous les combles

Tableau de Carl Spitzweg intitulé "Sous les combles" (circa 1849).

Squelette d'Allosaurus au Jardin des Plantes. Source : http://data.abuledu.org/URI/541d9575-squelette-d-allosaurus-au-jardin-des-plantes

Squelette d'Allosaurus au Jardin des Plantes

Squelette d'Allosaurus, dinosaure de l'ère du Jurassique supérieur, moulage d'un spécimen trouvé dans l'Utah, États-Unis. Galerie d'Anatomie comparée et de Paléontologie, Jardin des Plantes, Paris.

Statue de Bernardin de Saint-Pierre. Source : http://data.abuledu.org/URI/5103f00f-statue-de-bernardin-de-saint-pierre

Statue de Bernardin de Saint-Pierre

Statue de Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre (1737-1814) au Jardin des plantes de Paris ; statue en bronze par Louis Holweck (1861-1935). Grand ami de Rousseau, il fut l'intendant du Jardin pendant un an. Quelques oeuvres peu connues de cet auteur : "Vœux d’un solitaire" (1789), qui tendent à concilier les principes nouveaux avec les idées anciennes ; "Mémoire sur la nécessité de joindre une ménagerie au Jardin national des plantes" (1792) ; "De la Nature de la morale" (1798) ; "Voyage en Silésie" (1807) ; "la Mort de Socrate", drame, précédé d’un "Essai sur les journaux" (1808) ; le "Café de Surate", conte satirique.

Thym. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b4ed35-thym

Thym

Thymus est un genre de plantes (couramment appelées thym ou serpolet) de la famille des Lamiacées. Ce genre comporte plus de 300 espèces. Ce sont des plantes rampantes ou en coussinet portant de petites fleurs rose pâle ou blanches. Ces plantes sont riches en huiles essentielles et à ce titre font partie des plantes aromatiques. La principale huile essentielle de Thymus vulgaris est un terpénoïde qui lui doit son nom, le thymol, une substance bactéricide. Dans le sud de la France, le thym est aussi fréquemment appelé farigoule (de son nom occitan : farigola).

Une plante. Source : http://data.abuledu.org/URI/501a2f58-une-plante

Une plante

photo d'une plante appeler yuca

Utriculaire commune. Source : http://data.abuledu.org/URI/5059e852-utriculaire-commune

Utriculaire commune

Planche botanique de l'utriculaire commune (Utricularia vulgaris), Atlas des Plantes de France, 1891. C'est une plante carnivore aquatique vivace qui vit dans les zones marécageuses. Elle fait 15-35 cm de haut, elle fleurit en juin-août. La tige fleurie est dressée au-dessus de l'eau et les fleurs sont jaune d'or. Les utricules sont des pièges actifs à succion. Les outres des pièges sont fermées par un clapet entouré de longs poils sensitifs. Lorsqu'une proie aquatique comme un petit crustacé touche ces filaments, l'outre se remplit d'eau brusquement ce qui aspire la proie. Le clapet se referme aussitôt et la digestion se fait grâce à des enzymes.