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Photographie | Instruments de musique | Musique | Instruments à vent | Instruments à cordes | Cordes (instruments de musique) | Instruments à cordes pincées | Cordes (musique) | Saxifrages | Peinture | Plantes | Instruments de musique -- Chine | Gravure | Outils | Dessins et plans | Golfe Persique (région) | Perca | Perca fluviatilis | Anatomie | Poisson | ...
Plan du château de Druyes. Source : http://data.abuledu.org/URI/51b0f35c-plan-du-chateau-de-druyes

Plan du château de Druyes

Plan du château de Druyes, Yonne : tour-porche, chapelle, logis, Tour du Sault, Tour de Beauregard. Druyes fait partie de la première génération des châteaux philippiens ou châteaux-cours, construits à l'époque du roi Philippe-Auguste avec un plan simple, des tours circulaires qui permettaient d'offrir une meilleure défense à moindre coût. Il est construit sur un plan carré de 52 mètres de côté. Les angles sont défendus par quatre tours rondes. Trois des quatre courtines possèdent une tour carrée. La tour nord, la plus haute, est une porte d'entrée fortifiée. Un grand logis, aujourd'hui disparu, s'appuyait sur la courtine sud, percée d'ouvertures romanes en plein cintre.

Plaque d'égout en 1901. Source : http://data.abuledu.org/URI/534f8b19-plaque-d-egout-en-1901

Plaque d'égout en 1901

Également connue sous le nom de regard de chaussée, la plaque d'égout constitue le couvercle de la bouche d'égout. Sa vocation est prioritairement utilitaire et sécuritaire : il s'agit de limiter l'accès des réseaux d'assainissement souterrains aux seuls professionnels (égoutiers) et d'éviter les accidents sur la voie publique. Son poids est pour ce faire élevé : plus de 50 kg. Il permet ainsi de maintenir la plaque en place quand la circulation routière passe au-dessus d'elle et s'explique par sa composition qui est souvent en fonte, parfois même avec des incrustations de béton ou d'enrobé (pour maintenir la continuité de la surface de la chaussée, et ainsi éviter la perte d'adhérence lorsque des véhicules ou personnes passent dessus). Cela les rend peu onéreuses et robustes, quoique lourdes. Elles sont souvent percées d'un trou qui permet de les soulever grâce à un outil comme un crochet léger, un té d'égoutier ou encore une barre à mine ou une pioche. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Plaque_d%27%C3%A9gout

Porte des anglais à Sore. Source : http://data.abuledu.org/URI/5074afc6-porte-des-anglais-a-sore

Porte des anglais à Sore

Porte de ville dite des anglais à Sore, dans le département français des Landes : remplissages en garluche. Datée de la 2e moitié du XIIIe siècle, elle est inscrite aux monuments historiques par arrêté du 7 octobre 1992. Il existait deux autres portes de ce type à Sore qui ont aujourd'hui disparu, l'une à l'est du plateau, l'autre en face de l'hospice. Celle-ci est en face du moulin à eau. Sur sa clef de voûte est sculpté un chrisme. Notice de la base Mérimée : "Témoin de la ville médiévale qui fut une des forteresses des Seigneurs d'Albret. Vers 1270-1280, Amanieu VII d'Albret semble avoir entrepris une vaste campagne de rénovation de plusieurs forteresses, dont celle de Sore. Cette porte est le dernier vestige encore debout de ces fortifications. L'ouvrage possédait peut-être des éléments défensifs couronnant son sommet. Du côté sud vers le nord, en pénétrant dans la ville, la porte présente un grand arc en anse de panier puis un arc brisé surbaissé, plus étroit et plus bas, en avant duquel subsiste l'emplacement de la herse qui renforçait l'entrée. Sur le côté nord se remarquent les traces d'une tourelle qui renfermait un escalier à vis. Sur le côté sud, deux trous d'assommoir sont percés dans la voûte de l'arc, en avant de la herse. L'enceinte elle-même était en terre, faute de pierres à proximité."

Première dent de lait. Source : http://data.abuledu.org/URI/53372d6b-premiere-dent-de-lait

Première dent de lait

Première dent de lait en train de percer dans la mâchoire inférieure d'un bébé.

Pungi de charmeur de serpents. Source : http://data.abuledu.org/URI/53070b80-pungi-de-charmeur-de-serpents

Pungi de charmeur de serpents

Pungi de charmeur de serpents : La caisse de résonance est une gourde percée aux extrémités pour laisser passer deux ou trois morceaux de bambou, l'un d'eux comportant les trous de jeu. À l'intérieur de l'entrée de la gourde, une anche simple est fixée, et ce n'est qu'après son passage que l'air est séparé entre les bourdons et le "chanter", le tuyau de jeu. L'instrument est très décoré et peut atteindre 80 cm de long. C'est une sorte de cornemuse primitive, dont le sac est formé des poumons et de la bouche du musicien. Elle se joue avec un souffle continu, consistant à aspirer de l'air en même temps que l'on expire. On en joue debout, assis, mais surtout accroupi, tout près des serpents : les serpents étant sourds, mais sensibles aux vibrations. Seule une caste uniquement formée de musiciens, les sapera (de sâp serpent), est autorisée à en jouer. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pungi.

Quatre aiguilles à coudre. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d9baaa-quatre-aiguilles-a-coudre

Quatre aiguilles à coudre

Quatre aiguilles à coudre, deux ordinaires (au centre), une courbe de tapissier (en hau à gauche) et la dernière pour le cuir.Une aiguille à coudre ou aiguille à chas est un instrument de couture permettant de faire passer un fil à travers un tissu ou un cuir. L'une des extrémités est pointue et permet de percer le tissu. L'autre est munie d'une perforation appelée « chas », dans laquelle on passe le fil afin qu'il soit entraîné avec l'aiguille à travers le tissu.

Ravanhatta indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/533454a2-ravanhatta

Ravanhatta indien

Le ravanhatta est une vièle rustique indienne considérée comme l'ancêtre le plus primitif du violon et du rabâb. Selon la légende, il aurait été inventé en 3 000 avant notre ère par Ravana, roi de Ceylan. Il est constitué de deux cordes en boyau de gazelle accordées à la quinte, un chevalet, une caisse de résonance en noix de coco, un manche en bois, des chevilles et un archet en bambou ; celui-ci est percé au talon d'un trou dans lequel passe la mèche arrêtée par un nœud et à la pointe, c'est dans une fente que vient se fixer, par un nœud également, l'autre bout de la mèche. Il est ainsi courbé comme un arc (à la différence de l'archet moderne). On note la position particulière de l'archet : celui-ci est bloqué par la mèche entre les deux cordes, et l'on frotte l'une ou l'autre de celles-ci selon que l'on met l'archet vers l'avant ou vers l'arrière. Cet instrument est très joué dans le folklore du Rajasthan et par les musiciens itinérants. Il se joue souvent debout, tenu contre la poitrine, en même temps que le musicien chante. Il est parfois accompagné des castagnettes indiennes kartal. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ravanhatta

Reconstitution de tombe double préhistorique. Source : http://data.abuledu.org/URI/546146bd-reconstitution-de-tombe-double-prehistorique

Reconstitution de tombe double préhistorique

Reconstitution de tombe double préhistorique, île de Téviec (Morbihan). La reconstitution de cette tombe du Mésolithique a été confiée à Philippe Lacomme qui, au début du XXe siècle, était le taxidermiste et préparateur du muséum. Il a signé cette œuvre en la datant de 1938. Les deux corps ont été ensevelis avec beaucoup de soin dans une fosse creusée moitié dans le sous-sol et moitié dans les débris de cuisine qui le recouvraient. L’ensemble est protégé par un toit fait de bois de cervidés7. Le mobilier funéraire comprend des silex et surtout des stylets en os de sanglier, ainsi que des bijoux funéraires formés de coquilles marines percées et assemblées en colliers, bracelets et anneaux de jambes. Quelques-uns des objets en os portent quelques traits gravés. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/T%C3%A9viec

Rochers percés de Berdorf au Luxembourg. Source : http://data.abuledu.org/URI/56864df7-rochers-perces-de-berdorf-au-luxembourg

Rochers percés de Berdorf au Luxembourg

Rochers percés de Berdorf au Luxembourg.

Rose de Noël. Source : http://data.abuledu.org/URI/504f95a5-rose-de-noel

Rose de Noël

Planche botanique de la rose de Noël (Helleborus niger). On l'appelle également herbe aux fous, pied de griffon, pied de lion, patte d’ours, rose de serpent ou pain de couleuvre. Selon la légende, lorsque le bétail paraissait empoisonné, il fallait lui percer l'oreille et y glisser un fragment de racine de Rose de Noël et l'animal était rétabli en 24 heures. Au Moyen Âge, la plante s'appelait aussi aliboron, terme de l'ancien français issu lui-même du grec elleboros, folie. Considérée comme un remède universel contre la folie dès l'Antiquité, aliboron a pu être associé au nom de maistre pour désigner le médecin, puis le savant et enfin l'âne ou le « maître Aliboron », personnage ridicule car se mêlant de tout. Pas besoin de vous dire qui prononce ces deux vers : "Ma Commère, il vous faut purger Avec quatre grains d'ellébore."

Ruan chinois. Source : http://data.abuledu.org/URI/5330462e-ruan-chinois

Ruan chinois

Le ruan chinois est un luth à manche long appelé aussi guitare-lune. C'est un instrument que l'on retrouve dans toute l'Asie du Sud-Est. La caisse de résonance est ronde et plate, percée en général de deux ouïes près du long manche qui se prolonge sur la table d'harmonie en bois. Il est prolongé par un grand chevillier courbe avec quatre grandes chevilles. Il y a quatre cordes en soie ou métal, fixées non au chevalet, mais au bas de la caisse. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ruan_%28instrument%29

Santouri grec. Source : http://data.abuledu.org/URI/533c2a10-sandouri-grec

Santouri grec

Santouri grec datant de 1940-1960. Le santouri est un instrument de musique iranien, diffusé par tout le Moyen-Orient appartenant à la famille des cithares sur table. On en joue à l'aide de deux petits marteaux placés entre les doigts. Il est imposant par sa taille (100 cm × 60 cm × 10 cm avec angle à 70°) et par la disposition des cordes offrant six sections de jeu. La caisse de résonance est en érable, en hêtre ou en bois de rose laminé ; les côtés sont coupés en deux et recollés en inversant le fil du bois afin d'assurer une meilleure stabilité. La table d'harmonie en épicéa ou en sapin est percée de deux grosses ouïes hexagonales avec sept trous ronds (ou deux grosses rosaces rondes) placées au centre et à gauche de la série de chevalets médians. Il a environ 115 cordes (en acier, en bronze et en cuivre fileté) disposées en chœurs de 2, 3, 4 ou 5 sur cinq séries de chevalets (non amovibles, reliés par des sillets en métal) composés de barres de soutien creusées pour permettre leurs passages. L'accord est complexe et rend le jeu difficile du fait des croisements lors des changements de série de chevalets. Les chevilles filetées sont placées sur le dessus, à droite, à côté de la table d'harmonie, et non pas sur le côté de la caisse de résonance. Là aussi il faut des calibres de cordes différents pour assurer le rendu correct des harmoniques de l'échelle chromatique. Les mailloches sont imposantes (25 cm), lourdes, toujours entourées d'étoupe à l'extrémité, afin de feutrer le son, et jouées avec les poignets, bien que tenues penchées, entre deux ou trois doigts (autrefois on en jouait aussi avec les avant-bras, d'un peu plus loin, avec les baguettes tenues droites, dans lesquelles étaient creusés des trous pour les index). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Santour

Saung Birman. Source : http://data.abuledu.org/URI/53316918-saung-birman

Saung Birman

La saung ou saung-gauk est une harpe traditionnelle birmane (Myanmar). Elle est très ancienne et remonte au VIIIe siècle, d'après des sculptures au temple de Baw-baw-gyi. Bien que jouée depuis, elle bénéficia néanmoins d'un nouvel élan au XVIIIe siècle grâce à Myawaddy Mingyi U Sa (1766-1853) qui adapta la musique siamoise et créa de la musique pour harpe pour accompagner le Ramayana tout en inventant un nouveau genre appelé yodaya. Le nombre de cordes serait alors passé de 7 à 13. C'est une grande harpe de Cour naviforme de 80cm de long sur 76 cm de haut. Elle fait partie des harpes arquées car sa caisse de résonance laquée et recouverte d'une peau de daim (percée de fines ouïes) est horizontale. Son arc est taillé dans une racine d'arbre qui se termine par une sculpture de feuille de l'arbre sacré bo (figuier). L'ensemble est incrusté de mica, perle, verre... Le support sur lequel elle repose est lui aussi très décoré, de même que le bout des 13 à 16 cordes en soie ou nylon. Le chevillier est à friction, mais il en existe des modernes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Saung

Saxhorn basse en Ut. Source : http://data.abuledu.org/URI/534808a2-saxhorn

Saxhorn basse en Ut

Saxhorn Basse en Ut (in C) A.COURTOIS 168. Les saxhorns constituent une sous-famille d'instruments de musique, de la famille des cuivres à perce conique. C'est en quelque sorte la déclinaison d'Adolphe Sax des tubas. L'instrumentiste jouant du saxhorn est appelé saxhorniste. Comme pour tous les cuivres, le son est produit par la vibration des lèvres au niveau de l'embouchure, produisant diverses harmoniques d'une fondamentale, qui peut être abaissée par l'activation des pistons. Les doigtés sont ceux que l'on retrouve à la trompette par exemple, à l'exception des certains saxhorns basses, notamment à 5 pistons, dont le troisième piston abaisse la fondamentale de 2 tons, soit un demi ton de plus que pour la plupart des instruments à pistons. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Saxhorn

Saxifrage granulée. Source : http://data.abuledu.org/URI/504e6cf2-saxifrage-granulee

Saxifrage granulée

Planche botanique de la saxifrage granulée (Saxifraga granulata), Atlas des Plantes de France de 1891. Son nom vient du latin saxum, le rocher et frangere, briser. Ces plantes rupicoles sont en effet connues pour leur capacité à s'installer dans des fissures de rochers. Elles se font d'ailleurs parfois appeler Casse-pierre ou Perce-pierre.

Saxifrages en fleurs. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b2d034-saxifrages-en-fleurs

Saxifrages en fleurs

Fleurs de saxifrages (Saxifraga × arendsii). Le mot saxifrage vient du latin saxum, le rocher et frangere, briser. Ces plantes rupicoles sont en effet connues pour leur capacité à s'installer dans des fissures de rochers. Elles se font d'ailleurs parfois appeler Casse-pierre ou Perce-pierre. Elles produisent des fleurs étoilées.

Schéma de basson. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ffc91d-schema-de-basson

Schéma de basson

Le basson est un instrument de musique de la famille des bois, qui apparaît à la fin du XVIe siècle en Italie sous le nom de fagotto. Il est formé d'un long tuyau de perce conique d'environ 2,50 m en bois précieux (principalement l'érable ou le palissandre), replié sur lui-même, que l'instrumentiste, appelé bassoniste, tient sur son côté droit. Le bonnet (6) est orienté vers le haut, la grande branche (5) et la petite branche (3) sont reliées entre elles par la culasse (4) en forme de U très serré. L'anche double (1) est fixée au bout d'une pièce métallique de 0,30cm, également conique et en forme de point d'interrogation appelée bocal (2).

Squelette de poisson du Golfe Persique. Source : http://data.abuledu.org/URI/5555f7a4-squelette-de-poisson-du-golfe-persique

Squelette de poisson du Golfe Persique

Dessin de squelette de poisson du Golfe Persique : Perca persica.

Tarogato hongrois. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c4317-tarogato

Tarogato hongrois

Le tárogató, taragot ou torogoata (en français: taragote) est un instrument de musique à vent d'origine hongroise répandu en Ukraine et en Roumanie aussi. Le terme désigne deux instruments différents, tous deux d'origine hongroise : 1) du XVe siècle jusqu'au XVIIIe siècle environ, le tárogató — appelé aussi töröksíp, « flûte turque » — était un type de hautbois avec une anche double, une perce conique, et aucune clef. 2) dès 1890, c'est un bois à anche simple, inventé par le facteur d'instruments Vencel József Schunda. En raison de sa sonorité extrêmement forte et rauque, l'ancien tárogató a été employé comme instrument de signalisation pendant les batailles et les soulèvements nationaux (comme le bugle et la cornemuse). Le tárogató moderne est accordé en Si bémol. Son étendue chromatique est de plus de 2 octaves. Son doigté est proche de celui du saxophone. La forme de sa perce fait que le tárogató est un instrument octaviant. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/T%C3%A1rogat%C3%B3.

Tour Santa Maria. Source : http://data.abuledu.org/URI/51caa65a-tour-santa-maria

Tour Santa Maria

Tour génoise Santa Maria, Cap Corse : 1) guardiola, 2) terrasse, 3) salle de garde, 4) salle de repos, 5) réserves. Les tours génoises sont des édifices en pierre de 12 à 17 m de haut sur 8 à 10 m de diamètre. Parfois carrées, le plus souvent circulaires, elles sont toujours construites sur quatre niveaux : 5) la réserve : au sous-sol de la tour ; une niche servait à ranger les vivres ; on y stockait également les munitions ; et l'eau y était conservée dans une citerne, alimentée depuis la terrasse par une conduite directe ; 4) la salle de repos : au premier étage ; parfois séparée de la salle de garde par un simple plancher sommaire et formant avec elle un espace de vie unique ; 3) la salle de garde : au deuxième étage ; percée de meurtrières pour permettre aux torregiani de guetter ; 2) la terrasse : au sommet de la tour ; pour la surveillance ; percée de mâchicoulis ou munie de bretèches, était flanquée d'une guardiola. On passait d'un niveau à l'autre par des trappes et des échelles. L'accès à la porte d'entrée se faisait par une longue échelle mobile, directement au premier étage. Les gardes habitaient à tour de rôle la pièce unique pourvue de niches et d'une cheminée, et située sous la salle de guet.

Tunnel de souterrain anglais. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c65447-tunnel-de-souterrain-anglais

Tunnel de souterrain anglais

source : "Interior of the Tower Subway", dans ''Illustrated London News'', 1870. Le "Tower Subway", Tunnel de la Tour, est un tunnel sous la Tamise dans le centre de Londres, près — comme son nom l'indique— de la Tour de Londres. Son tracé relie "Tower Hill" sur la rive nord et "Vine Lane" au sud. Sa méthode de construction novatrice a introduit un modèle pour le percement du "City & South London Railway" en 1890, la première ligne du "Tube", le métro de Londres dont les tunnels sont tubulaires. Le tunnel est appelé souterrain selon l'usage de l'anglais britannique, qui indique un tunnel piéton, contrairement au mot américain "subway" qui signifie métro. Il est parfois cité comme le premier chemin de fer de type tube au monde, bien qu'il ne soit pas le premier métro souterrain. Toutefois, ce système de transport sur une courte distance, utilisant un seul véhicule actionné par une machinerie fixe, serait plus judicieusement appelé un ascenseur horizontal.

Vérification de l'étanchéité d'un tonneau. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dbd577-verification-de-l-etancheite-d-un-tonneau

Vérification de l'étanchéité d'un tonneau

Vérification de l'étanchéité d'un tonneau. Un trou de bonde est percé sur le tonneau grâce à une vrille, puis agrandi à la bondonnière (rabot conique à manche). L'étanchéité est alors testée lors de l'éprouvage à l'eau chaude en balançant fortement le tonneau d'un fond sur l'autre. Toute fuite donne lieu à une réparation.

Vilebrequin. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c4489d-vilebrequin

Vilebrequin

Un vilebrequin est un outil utilisant la force manuelle pour percer des trous dans les matériaux (principalement le bois). Cet outil est muni d'un mandrin où l'on fixe une mèche, un foret, une fraise ou un tournevis adapté au matériau à percer et à la largeur du trou à forer.

Xun chinois. Source : http://data.abuledu.org/URI/53398641-xun

Xun chinois

Le xun (prononcer "chun") est un instrument chinois très ancien, dont l'origine remonterait à 7 000 ans. Il s'agit d'une flûte globulaire en terre cuite, dont le musicien joue en soufflant sur un trou ouvert (embouchure), au contraire de l'ocarina européen où le jeu se fait en soufflant dans un conduit, comme pour la flûte à bec. En général percé de neuf trous, le xun possède un son très doux et peu puissant, favorisant un jeu intimiste en général soliste. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Xun

Zurna anatolienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/53395baa-zurna

Zurna anatolienne

La zurna est un instrument à vent à anche double de la grande famille des hautbois dont les origines sont anatoliennes. Elle tire son nom du persan زورنه (zur : fête, corne ou force et ney : roseau). Elle est fabriquée en bois de mûrier, de buis ou d'abricotier. La perce est cylindrique pour la partie supérieure, conique pour le pavillon et rappelle son ancêtre, la corne. Elle a huit trous (dont un pour le pouce et un d'accord). Un petit tuyau de bois fendu est inséré dans le conduit principal afin de guider l'air et afin d'en obturer certains trous éventuellement. L’anche double amovible en roseau plié est fixée à un support de métal, qui lui-même est fixé sur une rondelle protectrice en bronze. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Zurna