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Peinture | Botanique | Lettres majuscules | Bertall (1820-1882) | Louis Ratisbonne (1827-1900) | Abécédaires | Alphabet | Humour | Français (langue) -- Abécédaires | Lettres (alphabet) -- Dessin | Écriture minuscule | Printemps | Aquarellistes | Anémones | Jules Eudes (1856-1938) | Plantes | Fleurs dans l'art | Aquarelles | Renonculacées | Flore | ...
Alphabet enchanté, la lettre P. Source : http://data.abuledu.org/URI/531445f1-alphabet-enchante-la-lettre-p

Alphabet enchanté, la lettre P

Alphabet enchanté de Louis Ratisbonne (1827-1900), ABC de Trim (pseudonyme), illustré par Bertall (1820-1882), 1861 : Pauvre Polichinelle ! Il est bien mal campé ! Dame Nature a fait en le créant un P. Et ce porteur de balle, et cet homme éclopé : Petits p.

Alphabet enchanté, la lettre Q. Source : http://data.abuledu.org/URI/5314471c-alphabet-enchante-la-lettre-q

Alphabet enchanté, la lettre Q

Alphabet enchanté de Louis Ratisbonne (1827-1900), ABC de Trim (pseudonyme), illustré par Bertall (1820-1882), 1861 : Un jour Polichinelle, ayant assez vécu, Fait un noeud pour se pendre, et ce noeud est un Q. Casquette d'épicier et besace : on a vu Le petit q.

Alphabet enchanté, la lettre R. Source : http://data.abuledu.org/URI/5314485b-alphabet-enchante-la-lettre-r

Alphabet enchanté, la lettre R

Alphabet enchanté de Louis Ratisbonne (1827-1900), ABC de Trim (pseudonyme), illustré par Bertall (1820-1882), 1861 : Ces gamins se battant, d'un R n'ont-ils pas l'air ? Et la Reine aussi, quel grand R ! Le pistolet, la femme et l'arrosoir en fer Sont faits comme les petits r.

Alphabet enchanté, la lettre S. Source : http://data.abuledu.org/URI/53144c2b-alphabet-enchante-la-lettre-s

Alphabet enchanté, la lettre S

Alphabet enchanté de Louis Ratisbonne (1827-1900), ABC de Trim (pseudonyme), illustré par Bertall (1820-1882), 1861 : Ce serpent qui serpente et qui siffle sans cesse A bien le sifflement et la forme de l'S. Le poisson qui frétille et le crochet qui blesse : Petits s.

Alphabet enchanté, la lettre T. Source : http://data.abuledu.org/URI/53144d82-alphabet-enchante-la-lettre-t

Alphabet enchanté, la lettre T

Alphabet enchanté de Louis Ratisbonne (1827-1900), ABC de Trim (pseudonyme), illustré par Bertall (1820-1882), 1861 : Quand on voit ce marteau, l'on voit représenté Le grand T. L'enfant, le sabre turc avec l'ange à côté, Sont tournés tous les trois comme de petits t.

Alphabet enchanté, la lettre U. Source : http://data.abuledu.org/URI/5314535d-alphabet-enchante-la-lettre-u

Alphabet enchanté, la lettre U

Alphabet enchanté de Louis Ratisbonne (1827-1900), ABC de Trim (pseudonyme), illustré par Bertall (1820-1882), 1861 : Par les pieds au trapèze on voit là suspendu Le grand U. Le goujon, la carotte et l'hameçon pointu ; Mettez-en deux ensemble : on a le petit u.

Alphabet enchanté, la lettre Z. Source : http://data.abuledu.org/URI/531456d4-alphabet-enchante-la-lettre-z

Alphabet enchanté, la lettre Z

Alphabet enchanté de Louis Ratisbonne (1827-1900), ABC de Trim (pseudonyme), illustré par Bertall (1820-1882), 1861 : Ces hommes à genoux, priant Dieu qu'il les aide, Et l'éclair en zigzags, ressemblent à des Z.

Alphabet enchanté, les lettres V et W. Source : http://data.abuledu.org/URI/53145496-alphabet-enchante-la-lettre-v

Alphabet enchanté, les lettres V et W

Alphabet enchanté de Louis Ratisbonne (1827-1900), ABC de Trim (pseudonyme), illustré par Bertall (1820-1882), 1861 : Un cornet de bonbons, avez-vous observé Qu'il ressemble à la lettre V ? Deux cornets de bonbons, c'est souvent arrivé, On a double bonheur alors... et W.

Alphabet enchanté, les lettres X et Y. Source : http://data.abuledu.org/URI/531455ae-alphabet-enchante-les-lettres-x-et-y

Alphabet enchanté, les lettres X et Y

Alphabet enchanté de Louis Ratisbonne (1827-1900), ABC de Trim (pseudonyme), illustré par Bertall (1820-1882), 1861 : Petit garçon faisant la roue, un vrai phénix : un X. Tronc fourchu, bouc cornu, chandeliers à deux becs : grands et petits Y.

Alysse corbeille d'or de jardin. Source : http://data.abuledu.org/URI/53aca3a5-alysse-corbeille-d-or

Alysse corbeille d'or de jardin

Alyssum saxatile, d'après les aquarelles de J. Eudes dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Fleurs de Printemps, Paul Lechevalier, 1929. La floraison intervient vers le mois de mars et dure jusqu'en juin (à moduler en fonction des conditions climatiques et de culture). Les fleurs, nombreuses, petites, terminales, sont regroupées en corymbes. Le calice à quatre sépales n'est pas persistant. La corolle présente quatre pétales jaune d'or. Le fruit est une silique ovale. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Corbeille_d%27or

Amarante réfléchie. Source : http://data.abuledu.org/URI/5070106a-amarante-reflechie

Amarante réfléchie

Planche botanique N°274 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Amarante (Amarantus retroflexus), cultivée comme plante potagère, pour ses feuilles comestibles à la manière des épinards ou pour ses graines, et parfois comme plantes ornementales pour leur floraison en épis spectaculaires. Amaranthus vient du grec ancien αμάρανθος, formé du privatif a-, « sans » et de maranthos, « qui se fane » : en effet, l'amarante a la réputation de ne pas se faner. Certaines espèces sont d'ailleurs utilisées dans les bouquets secs. . Ainsi que l'explique D. Guillet (2002, p. 373) : « La culture de l'Amaranthe fut à son apogée durant l'Empire Aztèque. Pour le peuple Aztèque, elle possédait une valeur nutritionnelle, thérapeutique et rituelle. » Un poème en vers sans titre d'Arthur Rimbaud daté de juillet 1872 commence par "plates-bandes d'amarantes", et est souvent désigné par ces termes. Le béret des parachutistes français est appelé "béret amarante".

Amaryllis. Source : http://data.abuledu.org/URI/52db2eb7-amaryllis

Amaryllis

Amaryllis (Hippeastrum pardinum), par Louis van Houtte (1810–1876), Flore des serres et des jardins de l'Europe ou descriptions et figures des plantes les plus rares et les plus méritantes, nouvellement introduites sur le continent ou en Angleterre, vol. 17, 1862-65

Amibes eucaryotes. Source : http://data.abuledu.org/URI/52cdcf9c-amibes-eucaryotes

Amibes eucaryotes

Amibes eucaryotes (Phaeodaria). Planche 1 de "Formes artistiques de la Nature" (Kunstformen der Natur), 1904, livre de lithographies illustratives de sciences naturelles publié par le biologiste allemand Ernst Haeckel (1834-1919) dont les représentations eurent une influence décisive sur le courant de l'Art nouveau au début du XXe siècle, et notamment l'École de Nancy.

Amour au théâtre italien. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c14919-amour-au-theatre-italien

Amour au théâtre italien

Amour au théâtre italien, 1714, par Antoine Watteau (1684-1721).

Amour et chardon en 1836. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ecff40-amour-et-chardon-en-1836

Amour et chardon en 1836

Illustration de "Nature et romance", 1836, par Louisa Anne Meredith (1812–1895), poète australienne : LOVE AND THE THISTLE, Chardon (Carduus benedictus) & Potentille (Potentilla reptans).

Amphibiens. Source : http://data.abuledu.org/URI/5856ef7a-amphibiens

Amphibiens

Anura Planche de neuf Anoures : 1-Litoria peronii, 2-Bombina bombina, 3-Ranitomeya fantastica, 4-Leptopelis flavomaculatus, 5-Allobates femoralis, 6-Bufo japonicus, 7-Phyllomedusa hypochondrialis, 8-Bufo balearicus, 9-Pelophylax lessonae.

Ananas, maïs et poivrons. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fabc13-ananas-mais-et-poivrons

Ananas, maïs et poivrons

Lithogaphie de Anton Seder (1850-1916), Art Nouveau 1890 : Ananas, maïs, poivrons rouges et verts.

Ancolie des Alpes. Source : http://data.abuledu.org/URI/505032a6-ancolie-des-alpes

Ancolie des Alpes

Planche botanique de l'Ancolie des Alpes (Aquilegia alpina), Atlas des Plantes de France, 1891. Le pétale a un « éperon », un appendice creux et fermé à son extrémité.

Âne vu de face. Source : http://data.abuledu.org/URI/54a17448-ane-vu-de-face

Âne vu de face

Âne, par le peintre allemand Johann Georg Grimm.

Anémone coronaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b524c9-anemone-coronaire

Anémone coronaire

D'après les aquarelles de J. Eudes (Société Linéenne de Caen) dans : A. Guillaumin, ''Les Fleurs de Jardins'', tome I : ''Les Fleurs de Printemps, Paul Lechevalier, 1929. L'Anémone coronaire ou Anémone couronnée (Anemone coronaria) est une plante de la famille des Ranonculacées répandues sur les pelouses, champs, oliveraies, vignes ou cultures à l’abandon des zones basophiles méditerranéennes. Il existe deux types d'anémone couronnée : l'anémone de Caen à fleur unique et l'anémone "St. Brigid'" à fleur double. L'anémone couronnée est également appelée anémone coronaire, anémone des fleuristes ou anémone cultivée. En France, l'anémone couronnée est protégée sur l'ensemble du territoire par l'arrêté du 20 janvier 1982, modifié par l'arrêté du 31 août 1995. Dès le IVe siècle avant notre ère, Théophraste (-372, -288) signalait la floraison précoce de « l'anémone dite « des prairies » [A. coronaria L. et A. pavonina Lam] avec le glaïeul, une jacinthe et presque toutes les autres fleurs de montagnes dont il est fait usage » (Recherche sur les plantes, livre VI).

Anémone des bois. Source : http://data.abuledu.org/URI/509709e8-anemone-des-bois

Anémone des bois

Planche N°3 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef : Anémone des bois (Anemone nemorosa). Du grec anemos : « vent » et du latin nemorosus : « des bois »), c' est une plante herbacée pérenne de la famille des renonculacées, typique des sous-bois dans les zones tempérées et fraiches de l'hémisphère nord (holarctique). L'anémone des bois forme des tapis qui peuvent être denses en sous-bois, en fleurs en mars-avril. Cette plante à un cycle végétatif précoce, qui lui permet de profiter de la lumière avant que les feuillages des arbres obscurcissent les sous-bois. Les fleurs blanches à blanc-rose suivent la course du soleil, ce qui lui permet probablement de mieux réfléchir les UV solaires et d'être mieux vues par les insectes pollinisateurs. Par temps humide, elles referment leur calice pétaloïde pour protéger leur pollen. Elle est est utilisée en friction locale, contre les rhumatismes. Comme les autres anémones, elle est toxique, en effet 200 mg d'anémonine suffisent à provoquer la mort d'un animal de 10 kg.

Anémone hépatique. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad7a02-anemone-hepatique

Anémone hépatique

Anémone hépatique, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929. C'est une plante duveteuse, aux feuilles généralement persistantes pétiolées, en rosette, à trois lobes vert dessus, souvent brun rougeâtre ou violettes dessous. Les fleurs sont généralement bleues (parfois aussi blanches, roses ou pourprées) avec de cinq à dix sépales ovales. C'est une plante à la floraison précoce (mars-avril) dont il existe des variétés cultivées. Habitat type : sous-bois herbacés médioeuropéens, basophiles. Sols riches et frais souvent calcaire au Québec. On la rencontre dans les bois, broussailles, prés, et même rochers, surtout en montagne en Europe continentale. Séchée, elle peut être utilisée pour ses propriétés diurétiques en macération dans de l'eau ou du vin. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hepatica_nobilis

Anémones coronaires de jardin. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad1f49-anemone-coronaire

Anémones coronaires de jardin

Anémone coronaire, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Fleurs de Pintemps, Paul Lechevalier, 1929.

Anémones de jardin. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad1fd1-anemones-de-jardin

Anémones de jardin

Anémones, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Fleurs du Printemps, Paul Lechevalier, 1929.

Anémones de mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/52b0b481-anemones-de-mer

Anémones de mer

Anémones de mer, 1893, par Giacomo Merculiano (1859–1935).

Angélique sauvage. Source : http://data.abuledu.org/URI/504f5a92-angelique-sauvage

Angélique sauvage

Planche botanique d'angélique sauvage (Angelica silvestris), Atlas des Plantes de France, 1891. Elle était considérée comme une plante magique qui protège les enfants, combat la peste, guérit des morsures des bêtes enragées. Les feuilles peuvent être utilisées en salade et les graines en pâtisserie. Elle entre dans la composition de l'eau de mélisse.

Angers, Amphithéâtre gallo-romain. Source : http://data.abuledu.org/URI/562fe38b-angers-amphitheatre-gallo-romain

Angers, Amphithéâtre gallo-romain

Angers, Musée des Beaux-Arts, Juliomagus : tableau de l'amphithéâtre de Grohan par Marie-Louis-Claude Coulet de Beauregard au XVIII° siècle.

Angers, Le vieux pont des Treilles en 1859. Source : http://data.abuledu.org/URI/562fe190-angers-le-vieux-pont-des-treilles-en-1859

Angers, Le vieux pont des Treilles en 1859

Angers en 1959 par G. Clarkson Stanfield.

Antibes le matin. Source : http://data.abuledu.org/URI/51b8cb11-antibes-le-matin

Antibes le matin

Antibes le matin, 1914, par Paul Signac (1863-1935).

Antigone et le corps de Polynice. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d97648-antigone-et-le-corps-de-polynice

Antigone et le corps de Polynice

Antigone et le corps de Polynice, illustration de "Antigone" in « Histoires extraites des tragédies grecques », par Alfred Church (1829-1912), professeur de latin et chercheur britannique (source : Projet Gutenberg).

Aphrissa statira. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bee29c-aphrissa-statira

Aphrissa statira

Aphrissa satira (Colias Statira), in Zoological Illustrations, 1820, Vol. I, pl. 5, par William Swainson (1789-1855), ornithologue britannique. Papillon migrateur.

Apollon et le corbeau. Source : http://data.abuledu.org/URI/521a8df0-apollon-et-le-corbeau

Apollon et le corbeau

Apollon portant une couronne de laurier ou de myrte, un péplos blanc, un himation rouge et une paire de sandales est assis sur un diphros aux pieds de lion. Il tient une cithare dans la senestre et verse une libation de la dextre. Face à lui un oiseau noir identifié à un pigeon, un choucas, une corneille (allusion possible à sa liaison avec Coronis) ou un corbeau (oiseau aux pouvoirs mantiques). Médaillon d'un kylix attique à fond blanc d'attribution incertaine (Peintre de Pistoxénos, Peintre de Berlin ou Onésimos ?), v. 460 av. J.-C. D. 18 cm. Provenance : une tombe à Delphes, vraisemblablement celle d'un prêtre. Musée archéologique de Delphes, Inv. 8140, salle XII. D'après la mythologie grecque, Apollon aurait transformé le plumage blanc de l'oiseau à qui il avait confié la garde de Coronis pour le punir de sa négligence.

Apothéose guerrière. Source : http://data.abuledu.org/URI/521b08c6-apotheose-guerriere

Apothéose guerrière

Apothéose guerrière, 1871, par Vassili Verechtchaguine (1842–1904).

Apparition du fantôme-poète. Source : http://data.abuledu.org/URI/53443853-apparition-du-fantome-poete

Apparition du fantôme-poète

Le poète japonais Dainagon reçoit une visite nocturne, celle d'un fantôme hirsute qui hurle des poèmes par sa fenêtre ouverte, Utagawa Kuniyoshi (1797-1861).

Appel des vaches en 1872. Source : http://data.abuledu.org/URI/56bc81b0-appel-des-vaches-en-1872

Appel des vaches en 1872

Jean-François Millet (1814–1875 Barbizon), L'appel des vaches, 1872.

Application du Cercle Chromatique de M. Charles Henry. Source : http://data.abuledu.org/URI/51b89f89-application-du-cercle-chromatique-de-m-charles-henry

Application du Cercle Chromatique de M. Charles Henry

Application du Cercle Chromatique de M. Charles Henry, 1888, lithographie de Paul Signac (1863-1935). Charles Henry (1859–1926), érudit français spécialiste de l'esthétique des formes, publia un ouvrage sur le "Cercle Chromatique" en 1888.

Approvisionnement en eau douce au Moyen Age. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c8bd10-approvisionnement-en-eau-douce-au-moyen-age

Approvisionnement en eau douce au Moyen Age

Approvisionnement en eau douce au Moyen Age : source aménagée à gauche, transport dans des seaux en bois cerclés de fer portés à l'épaule avec un balancier. Source : Le Tacuinum sanitatis, manuel médiéval sur la santé, basé sur le Taqwin al‑sihha تقوين الصحة (Tableaux de santé), un traité médical arabe écrit par Ibn Butlan (v. 1001-1066), médecin irakien. Ses travaux traitent de l'hygiène, de la diététique et de l'exercice physique. Il a souligné les avantages d'une prise en compte attentive du bien-être physique et mental de la personne.

Aquarelle de Notre-Dame de Paris. Source : http://data.abuledu.org/URI/5472efb1-aquarelle-de-notre-dame-de-paris

Aquarelle de Notre-Dame de Paris

Aquarelle de Notre Dame de Paris au IXème siècle, par David Roberts (1796-1864).

Arabette des Alpes. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad26cb-arabette-des-alpes

Arabette des Alpes

Arabette des Alpes (Arabis caucasica), D'après les aquarelles de Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Fleurs de Printemps, Paul Lechevalier, 1929. Le nom d'« arabette » fait référence au fait que ces plantes affectionnent les sols sablonneux, qui font penser au désert d'Arabie. Leur aire de répartition couvre l'ensemble des régions tempérées et froides de l'Eurasie. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Arabette

Arabie de Walter de la Mare. Source : http://data.abuledu.org/URI/526e7487-arabie-de-walter-de-la-mare

Arabie de Walter de la Mare

Illustration de "The year's at the spring, an anthology of recent poetry", 1920, par Harry Clarke (1889-1931) : Arabie de Walter de la Mare (1873-1956).

Arbousier en fleurs et en fruits en 1836. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ed078a-arbousier-en-fleurs-et-en-fruits-en-1836

Arbousier en fleurs et en fruits en 1836

Illustration de "Nature et romance", 1836, par Louisa Anne Meredith (1812–1895), poète australienne : THE ARBUTUS, Arbousier commun (Arbutus unedo).

Arbre fruitier, grenadier. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c86fcc-arbre-fruitier-grenadier

Arbre fruitier, grenadier

Arbre fruitier, probablement un grenadier (Punica granatum).. Source : Tacuinum Sanitatis.

Arbre généalogique de la Maison d'Orange-Nassau (1849-1874). Source : http://data.abuledu.org/URI/51df0b0e-arbre-genealogique-de-la-maison-d-orange-nassau-1849-1874-

Arbre généalogique de la Maison d'Orange-Nassau (1849-1874)

Arbre généalogique de la Maison d'Orange-Nassau (1849-1874).

Arbre rouge en soirée. Source : http://data.abuledu.org/URI/54c4b2fa-arbre-rouge-en-soiree

Arbre rouge en soirée

Piet Mondrian, 1908-10, Arbre rouge en soirée (Avond; De rode boom), 70 x 99 cm, Gemeentemuseum Den Haag.

Arbres fruitiers. Source : http://data.abuledu.org/URI/520e8e37-arbres-fruitiers

Arbres fruitiers

Arbres fruitiers en Grèce, 3 avril 1863, par Edward Lear (1824-1883).

Archimède en 1620. Source : http://data.abuledu.org/URI/54c4e58e-archimede-en-1620

Archimède en 1620

Archimède en 1620, par le peintre italien Domenico Feti.

Argousier. Source : http://data.abuledu.org/URI/506f218c-argousier

Argousier

Planche botanique N°283 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Argousier (Hyppophae rhamnoides). Ligneux très épineux, au port buissonnant, de 1-5 m (noté jusqu'à 18 m dans certaines flores, aux abords de pannes dunaires par exemple, il atteint facilement une dizaine de mètres alors qu'exposé au vent, la plante conserve des proportions moindres). Sa longévité s'étend jusqu'à 80 ans. La plante dioïque est pollinisée par les insectes et dispersée par les oiseaux. C'est une pionnière, héliophile, qui colonise les sols instables des alluvions de cours d'eau et du littoral sableux. En Grèce antique, l'argousier servait de remède aux chevaux : les feuilles et les jeunes rameaux étaient ajoutés à leurs fourrages pour favoriser une prise de poids rapide et rendre le pelage lustré notamment à l'occasion de courses de chevaux. Les Anciens ont maintenu les argousiers dans leurs pâturages. Selon une légende, les feuilles d'argousier ont été l'un des aliments préférés de Pégase.

Aristocrate japonaise de l'ère Kyowa. Source : http://data.abuledu.org/URI/52780607-aristocrate-japonaise-de-l-ere-kyowa

Aristocrate japonaise de l'ère Kyowa

Aristocrate japonaise raffinée de l'ère Kyowa (1801-1804), estampe de Yoshitoshi Taiso (1839-1892), Trente-deux Aspects des Coutumes et des Manières, 1888.

Aristoloche clématite. Source : http://data.abuledu.org/URI/506f1f0a-aristoloche-clematite

Aristoloche clématite

Planche botanique N° 284 de l'Atlas des PLantes de France de Masclef, 1894 : Aristoloche clématite (Aristolochia clematitis). C'est une plante herbacée (20 à 80 cm) à tige dressée et anguleuse. Les feuilles sont larges et cordiformes (en forme de cœur). Le fruit de 5 cm de diamètre est une petite capsule en forme de poire. L'Aristoloche clématite possède également des stolons souterrains. Les fleurs de l'Aristoloche clématite sont jaunes et dégagent une odeur désagréable. Elles forment un tube d'environ 3 cm, par lequel les insectes pénètrent, attirés par le nectar. Le « piège » ainsi formé contient le pistil et les étamines, organes mâles et femelles de la plante. Les insectes pollinisateurs sont principalement des petites mouches. Une fois dans le réceptacle, les pollinisateurs ne peuvent s'échapper à cause des poils du conduit orientés vers le bas. Ces insectes vont donc se charger du pollen contenu dans les anthères. Les poils se fanent alors, ce qui libère les insectes. Ceux-ci véhiculent à leur insu les gamètes mâles de la plante vers un autre individu, et assurent ainsi la reproduction de l'espèce. L'Aristoloche clématite possède de l'acide aristolochique au niveau de ses parties souterraines. Cette molécule est toxique pour l'homme avec de multiples conséquences.

Aristote et le buste d'Homère. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c3bb50-aristote-et-le-buste-d-homere

Aristote et le buste d'Homère

Aristote contemplant le buste d'Homère, 1653, par Rembrandt (1606–1669).