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Photographie, Histoire, Dix-neuvième siècle, Musées historiques, Véhicules, Gottlieb Daimler (1834-1900), Stuttgart (Allemagne), Automobiles -- Musées, Musées -- Accueil des visiteurs
Atelier historique de Daimler à Stuttgart, devenu Musée.
Bibliothèque du musée Casa de Colón à Las Palmas de Gran Canaria, dans les îles Canaries.
Photographie, Îles, Musées historiques, Maquettes (modèles réduits), Gran Canaria (Canaries), Grande Canarie (Canaries)
Maquette de l'île de Gran Canaria, Casa de Colón, à Las Palmas de Gran Canaria, dans les îles Canaries.
Photographie, Musées -- Aspect éducatif, Musées historiques, Pointe-à-Pitre (Guadeloupe), Victor Schoelcher (1804-1893), Henry Sidambarom (1863-1952), Histoire locale -- Musées, Immigration professionnelle, Indiens (de l'Inde), Musée Schoelcher. Pointe-à-Pitre, Guadeloupe, Musées ethnologiques, Politique de l'immigration
Entrée du musée Schœlcher de Pointe-à-Pitre. Au lendemain de l’abolition de l'esclavage en 1848, les planteurs guadeloupéens, à la recherche de main-d’œuvre étrangère explorent plusieurs possibilités. Napoléon III signe la Convention sur l’immigration indienne le 1er juillet 1861. Le «Bombay Gazette» du 15 juin 1858 décrit les individus confinés dans les dépôts comme des pauvres, ignorants et illettrés pour l’essentiel, «nés dans la liberté, prêts à être déportés dans des colonies où l’esclavage a été aboli mais où ils deviendront esclaves». Ce commerce humain est une affaire lucrative pour la Compagnie générale maritime signataire d'un contrat rémunérateur avec le Ministère de la Marine. Leurs conditions de vie misérables deviennent vite dramatiques, et sont qualifiées de « New system of slavery » par le gouvernement britannique, qui, conscient des sévices commis sur ses sujets aux Antilles françaises signe le 1er novembre 1888 l’arrêt de ce mouvement migratoire. Il existe une énorme surmortalité, soit 61,4 pour mille entre 1855 et 1885. Victor Schoelcher déclare que « l’immigration consomme presque autant de créatures humaines que l’esclavage ». Le rapatriement au terme du contrat est rare au début. En 1923, suite à un long procès 1904-1923, Henry Sidambarom (1863-1952), défenseur de la cause des travailleurs indiens, obtient la nationalisation pour les indiens de la Guadeloupe. En 1925, Raymond Poincaré, Président du Conseil, décide d'octroyer définitivement la nationalité française aux ressortissants indiens ainsi que le droit de vote.
Photographie, Musées historiques, Architecture, Canaries (îles), Las Palmas (Canaries), Las Palmas de Gran Canaria
Porte de la façade sud du musée Casa de Colón, à Las Palmas de Gran Canaria, dans les îles Canaries.
Présentation d'objets archéologiques au musée d'Édimbourg.
Présentation d'objets archéologiques au musée d'Édimbourg.
Présentation des objets archéologiques au Musée d'Édimbourg.
Présentation des objets archéologiques au Musée d'Édimbourg.
Présentation des objets archéologiques au Musée d'Édimbourg.
Photographie, Automobiles, Histoire, Dix-neuvième siècle, Musées historiques, Ford (automobiles), Henry Ford (1863-1947), Michigan (États-Unis), Thomas Edison (1847-1931)
Quadricyle de Ford, 1896 (Musée Henry Ford de Dearborn, Michigan). En 1891, Henry Ford (1863-1947) retourne à Détroit, accompagné de sa famille, en tant qu’ingénieur mécanicien chez Edison (Illuminating Company). Devenu ingénieur en chef en 1893, il a suffisamment de temps et d’argent pour se consacrer à quelques expériences personnelles sur les moteurs à essence. Elles aboutissent en 1896 avec l’achèvement de son propre véhicule automobile nommé « Ford Quadricycle », un véhicule de 4 chevaux à 4 roues refroidi par eau. La même année, lors d’une convention tenue à Manhattan Beach, à New York, destinée à trouver des investisseurs, Ford est présenté à Thomas Edison (1847-1931), expliquant que « ce jeune homme venait de mettre au point une petite automobile à essence ». Après lui avoir posé quelques questions, Edison finit par déclarer : "Jeune homme, c'est ça ! vous l’avez ! Votre voiture est son propre contenant et transporte son propre combustible." (Young man, that’s the thing ! You have it ! Your car is self contained and carries its own power plant. )
Dessins et plans, Bicyclettes, Dix-neuvième siècle, Journalisme, Journalistes, Draisienne, Vélocipèdes, Canards (journalisme), Journalisme sportif, Supercheries, Supercheries historiques, Supercheries scientifiques
Le Comte Mede de Sivrac est un personnage créé, en 1891, par le journaliste français, spécialiste de la locomotion terrestre, Louis Baudry de Saunier (1865-1938) et supposé inventeur du célérifère. Aucun Comte Mede de Sivrac n'a jamais existé. Après la défaite de 1870, ce journaliste et chroniqueur Louis Baudry de Saunier trouve plus valorisant pour la nation de faire remonter l'invention à 1790 et de l'attribuer à un Français, dans son "Histoire générale de la vélocipédie" qui parut en 1891. Il crée donc de toutes pièces un inventeur fictif, le Comte de Sivrac, et dessine les plans de l'engin qu'il prétend être l'ancêtre de la draisienne : le célérifère. Sur ces plans, le célérifère ressemble en fait beaucoup à la draisienne. C'est également une « machine à courir » en bois, sans pédales et sans freins, dotée de deux roues, mais qui en revanche ne permet pas de faire pivoter la roue avant, ce qui la rend quasiment inutilisable. Les musées nationaux ne possédant pas cette machine — et pour cause ! —, ils en fabriquèrent, d'après les plans conçus par Baudry de Saunier, des « copies », que l'on peut encore admirer. La supercherie fut finalement découverte dans la deuxième moitié du XXe siècle, notamment lorsque l'on s'aperçut qu'un brevet avait bien été déposé le 4 juin 1817 par un certain Jean-Henri Siévrac pour un célérifère, mais la machine en question s'est avérée être... une voiture à cheval.
Photographie, Dijon (Côte-d'Or), Âge du bronze, Reconstitutions historiques, Musées archéologiques, Blanot (Côte-d'Or)
Le « trésor de Blanot » : en 1982, un orage ayant déraciné un arbre, on découvrit un riche dépôt d'objets de l'âge du bronze dont un chaudron renfermant l'habillement et les parures en or d'une femme. Musée archéologique de Dijon, reportage Marie Sartori 20160224.
Le balcon de Juliette à Vérone : Au XIIe siècle la maison est construite sur la Via Cappello, toute proche de la piazza delle Erbe dans le centre historique de Vérone, par la famille noble Dal Cappello, dont le blason est sculpté sur la clé de voûte de l'arc interne de la cour. Au XIXe siècle la consonance entre Dal Cappello et Capuleti laisse croire que cette demeure était celle de Juliette Capulet, où cette dernière écoutait son amant Roméo Montaigu lui déclarer son amour au pied de son balcon. C’est dans cette demeure que les amants se promettent un amour éternel. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Maison_de_Juliette.
Photographie, Dijon (Côte-d'Or), Silex, Travail du silex, Reconstitutions historiques, Musées archéologiques, Archéologie -- Musées, Archéologie -- Techniques, Paléolithique
Reconstitution d'un atelier de taille de silex (Alain Roussot), Musée archéologique de Dijon, reportage Marie Sartori 20160224.
Photographie, Antiquités romaines, Salles à manger, Reconstitutions historiques, Limes (fortifications romaines), Musées archéologiques, Saalburg (Allemagne)
Reconstitution de salle à manger romaine (triclinium), Fort de Saalburg sur le Limes germanique (Echzell).
Photographie, Saragosse (Espagne), Salles à manger, Mosaïques, Reconstitutions historiques, Musées archéologiques
Reconstitution d'une salle à manger romaine, Musée provincial des beaux-arts de Saragosse : mosaïque entourée de triclinium, peintures murales et éclairage avec lampes à huile suspendues.
Photographie, Dijon (Côte-d'Or), Reconstitutions historiques, Art gallo-romain, Musées archéologiques, Monuments funéraires antiques, Boutiques
Musée archéologique de Dijon : reconstitution de boutique avec marchand de vin.
Photographie, Dijon (Côte-d'Or), Reconstitutions historiques, Industrie de l'os, Musées archéologiques, Travail de l'os
Travail de l'os au musée archéologique de Dijon, reportage Marie Sartori 20160224.