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Photographie | Dessins et plans | Peinture | Biologie marine | Mammifères herbivores | Radars météorologiques | Phares | Vers | Temps (météorologie) | Navigation -- Mesures de sécurité | Polychètes | Plantes | Français (langue) | Cartes topographiques | Dix-neuvième siècle | Afrique | Ornithologie | Géographie | Chimie | Répartition géographique des animaux | ...
Ménisque de l'eau. Source : http://data.abuledu.org/URI/5287af7b-menisque-de-l-eau

Ménisque de l'eau

Lecture du ménisque de l'eau : A : le ménisque est orienté vers le bas, il est concave ; B : le ménisque est orienté vers le haut, il est convexe.

Mérou au large de la Sicile. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d20c1f-merou-au-large-de-la-sicile

Mérou au large de la Sicile

Mérou (Epinephelus marginatus) dans la Réserve naturelle de Capo Gallo à Palerme en Sicile. Son espérance de vie est d'environ 50 ans. Le mérou n'a pas de sexe déterminé avant l'âge de 4 ans. D'abord femelle, il devient mâle vers l'âge de 9 à 12 ans jusqu'à la fin de sa vie. On parle d'un mode de reproduction protérogynique. Le mérou brun a bien failli disparaître des côtes du Nord de la Méditerranée, victime de sa placidité et de la facilité qu'ont eu les hommes à le pêcher. Néanmoins, en France notamment, suite à un moratoire sur sa pêche (sous-marine et à l'hameçon), le mérou brun est de plus en plus fréquent sur les côtes. Le mérou brun, est probablement le poisson le plus recherché et le plus médiatique de Méditerranée. Il peut vivre jusqu'à 200 mètres de profondeur. Les sites où ce poisson imposant et peu farouche a élu domicile sont particulièrement appréciés des plongeurs et des photographes (voir Jojo le Mérou dans Le Monde du silence de Jacques-Yves Cousteau). Il était autrefois très commun, mais la surpêche a fait des ravages dans l'espèce.

Métronomes. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b00587-metronomes

Métronomes

Métronome électronique simple à gauche et métronome mécanique à ressort à droite : Inventé à Amsterdam en 1812 par l'horloger hollandais Dietrich Nikolaus Winkel (vers 1780-1826), le métronome traditionnel à pulsation audible fut breveté en 1816 par l'Allemand Johann Nepomuk Maelzel. Il est constitué d'un mouvement d'horlogerie à échappement muni d'un balancier gradué dont les battements (c'est-à-dire les pulsations) déterminent des durées égales (c'est-à-dire les temps), un contrepoids mobile coulissant sur le balancier permettant de modifier la vitesse (c'est-à-dire le tempo). Chaque graduation indique une subdivision de la minute. Par exemple, 60 signifie soixante pulsations par minute, soit une oscillation par seconde; 120 = cent-vingt pulsations par minute, soit deux oscillations par seconde, etc. Les instrumentistes et chefs d'orchestre lui préfèrent au XXIe siècle les métronomes électroniques apparus au cours de la deuxième moitié du XXe siècle et dont il existe un grand nombre de modèles plus ou moins perfectionnés, moins encombrants, plus précis et surtout plus fiables.

Mini-Château de Loches. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f14969-mini-chateau-de-loches

Mini-Château de Loches

Maquette du château de Loches, Val de Loire. Ce château a été bâti au début du XIe siècle. Édifié environ 500 mètres au-dessus de l'Indre, le château, connu principalement pour son imposant donjon carré, domine la ville de Loches. Le donjon fut réalisé par Foulques Nerra 4ème comte d'Anjou entre 987 et 1040, il mesure 36 mètres de haut. Il fut utilisé comme prison à partir du XVe siècle siècle et ce jusqu'en 1926. La caponnière est une casemate située juste à l'est du donjon elle fut construite vers 1539 pendant les guerres de religions, pour moderniser le château et défendre les fossés. La partie sud des remparts constituée de trois tours en amande a été construite par Henri II d'Angleterre et son fils, Richard Cœur-de-Lion. C'est dans ces tours que furent enfermés certains Templiers. Le château fut repris aux Anglais par Philippe II de France en 1205.

Minkowski, messages vers le passé. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ad8096-minkowski-messages-vers-le-passe

Minkowski, messages vers le passé

Émission d'un message vers le passé, à une vitesse supraluminique, de S à M' via O'. Description de la contradiction à laquelle on aboutit quand on transmet des signaux plus vite que la lumière (émission de signaux dans son propre passé). Adapté de David Bohm, "The Special Theory of Relativity" p. 121. Le diagramme de Minkowski permet de mettre en évidence les contradictions et paradoxes qui interviennent à partir du moment où on postule qu'une information peut se propager à une vitesse supérieure à celle de la lumière. Notamment, il serait possible dans ces conditions de transmettre une information dans son propre passé.

Mouflon à manchettes. Source : http://data.abuledu.org/URI/516c6e06-mouflon-a-manchettes

Mouflon à manchettes

Mouflon à manchette (Ammotragus lervia), Habitant les montagnes désertiques du Nord de l'Afrique, il est parfois appelé mouflon de Barbarie, Aoudad ou Arui. C'est un bovidé de la sous-famille des caprinés. Il est de taille moyenne, ne dépassant pas 1,70 m de long (sans la queue) pour un poids de 40 à 145 kg. Adulte, le mâle arbore des cornes qui atteignent 84 cm de long, la femelle ayant des cornes de 40 cm maximum. Elles s'élancent vers le haut puis s'incurvent en demi-cercles divergeant vers l'arrière.

Mr le Loup 03. Source : http://data.abuledu.org/URI/50683ec9-mr-le-loup-03

Mr le Loup 03

Un père et sa fillette rampent silencieusement à quatre pattes dans la forêt vers la source d'un bruit et découvrent un loup pleurant dans une clairière, assis sur une bûche. Ils ont posé à terre un ballon rouge et un bouquet de fleurs, et sont accroupis dans l'herbe.

Nodule de silex éclaté. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c48d13-nodule-de-silex-eclate

Nodule de silex éclaté

Fragments et éclats de silex (Feuerstein = pierre à feu, en allemand). Ils sont coupants et cassants quand ils sont fins. Les nodules de silex sont enveloppés d'une gangue plus ou moins épaisse nommée « cortex » et composée d'impuretés (dépôts organiques, etc.) repoussées vers l'extérieur lors de la croissance du silex.

Olives. Source : http://data.abuledu.org/URI/509d1de7-olives

Olives

L'olive est le fruit de l'olivier, un arbre fruitier caractéristique des régions méditerranéennes. Au plan botanique, il s'agit d'une drupe, à peau lisse, à enveloppe charnue riche en matière grasse, renfermant un noyau très dur, osseux, qui contient une graine, rarement deux. Sa forme ovoïde est typique. Sa couleur, d'abord verte, vire au noir à maturité complète, vers octobre-novembre dans l'hémisphère nord.

Outils de gemmeurs. Source : http://data.abuledu.org/URI/5131c44c-outils-de-gemmeurs

Outils de gemmeurs

Les outils du gemmeur pour la "pique" : travail de la care. De gauche à droite, le hapchot, le bridon avec huppe et le bridon simple. Vers la mi-mars, on réalise la première pique à l’aide du hapchot. Pour les cares de première année, on entaille l’arbre juste au-dessus du crampon, pour celles de deuxième, troisième, quatrième année et plus, on poursuit l’entaille de l’année précédente. La profondeur de la care ne doit pas excéder 1 cm. Afin que la résine coule régulièrement, il faut rafraîchir les cares toutes les semaines en progressant de quelques centimètres vers le haut à chaque pique. Les copeaux qui tombent sont appelés des galips et sont gardés pour allumer le feu.

Panneau explicatif sur le Décumanus Nord de Jerash. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b44a41-panneau-explicatif-sur-le-decumanus-nord-de-jerash

Panneau explicatif sur le Décumanus Nord de Jerash

Panneau explicatif en français sur le Décumanus Nord de Jerash vers 160 après J.C. Cette rue, passant sous le Tétrapyle Nord, a été dégagée entre les Thermes de l'Ouest et le Théâtre Nord. La partie séparant le Théâtre Nord et la Zone Agora/Basilique est l'une des mieux conservée de Gerasa. La structure bombée de la chaussée ainsi que son dallage sont admirablement préservés. Plusieurs des bouchons des regards de l'égout axial ont même conservé leurs anneaux de levage en fer. Les portiques ioniques bordant la chaussée, semblent identiques à ceux de la partie Nord du Cardo. Toutefois, ils ne datent pas du règne de Trajan mais sont plus tardifs. Ils correspondent probablement au réemploi des colonnes des anciens portiques de la partie centrale du Cardo, démontés dans la 2° moitié du IIème siècle lors de l'élargissement et embellissement de la partie centrale de la rue principale.

Pavot des moissons. Source : http://data.abuledu.org/URI/505cad59-pavot-des-moissons

Pavot des moissons

Planche botanique du pavot des moissons (Papaver argemone), Atlas des Plantes de France, 1891. Assez semblable au Coquelicot par sa couleur, mais les pétales ne se chevauchent pas, la capsule est velue. Les pavots ont de grandes fleurs solitaires, souvent très colorées, à quatre pétales satinés et légèrement froissés, à sépales caducs. Les plans les plus anciens attestés en archéologie proviennent de Suisse et ils auraient pénétré le continent asiatique vers le XIIIe siècle av. J.-C. grâce aux arabes.

Perdix grise en Irlande. Source : http://data.abuledu.org/URI/51348f1f-perdix-grise-en-irlande

Perdix grise en Irlande

Perdrix grise (Perdix perdix) à Turvey, Dublin, en Irlande. L'adulte est souvent réputé granivore (et les chasseurs les alimentent avec des agrainoirs), mais dans la nature, ils seraient plutôt omnivores, consommant aussi des végétaux (dont de petits fruits et baies), et de petits animaux (vers, invertébrés divers)3. Seuls les poussins sont nettement insectivores. Les 10 premiers jours de vie, le jeune ne peut chasser seul les insectes. Les parents les nourrissent d'invertébrés durant deux à trois semaines, puis les conduiront vers les champs de céréales ou vers d'autres graminées dans la montagne, sous les haies, etc., où ils sont susceptibles de fouiller le milieu pour y trouver des insectes et d'autres aliments. Si l'espèce a pu parfois être considérée comme "nuisible" en raison des grains qu'elle peut consommer, les jeunes jouent un rôle utile en débarrassant les champs des insectes.

Périple de Hannon en Afrique. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b401d5-periple-de-hannon-en-afrique

Périple de Hannon en Afrique

Carte du trajet de Hannon, le navigateur carthaginois qui a exploré une partie des côtes africaines. Vers 500 av. J.-C., le suffète (archonte) Hannon est chargé par Carthage de franchir les Colonnes d'Hercule avec une flotte de soixante navires de cinquante rameurs chacun et 30 000 personnes à bord à débarquer à chaque étape pour y fonder des colonies (ou peupler des comptoirs déjà existants) et, une fois atteint le dernier comptoir, de poursuivre sa route pour une expédition d'exploration. Son périple a été transcrit sur une stèle déposée dans le temple de Ba'al-Hammon à Carthage. L'original punique ne nous est pas parvenu, mais nous en possédons une version grecque intitulée "Récit du voyage du roi des Carthaginois Hannon autour des contrées qui sont au-delà des Colonnes d'Hercule", gravé sur des plaques suspendues dans le temple de Kronos. Selon le récit qui nous est parvenu, il se décompose comme suit en cinq étapes étudiées par Jérôme Carcopino : 1) De Gadès (Cadix) à Thymatérion (embouchure de l’oued Sebou, près de l'actuelle Kénitra), 2) De Thymatérion au Soloeis (cap Cantin, le cap Beddouza actuel, proche de Safi) et au Mur Carrien (Safi), puis retour par étapes vers Gytté et Melitta (anciennes colonies de Cotté et Melissa, vers Tanger) et enfin un long arrêt à Lixus (Larache, sur l’actuel oued Loukkos) ; 3) De Lixus à l’île de Cerné (baie de Rio de Oro) ; 4) Expédition de reconnaissance de Cerné jusqu'à l’intérieur du delta du fleuve Sénégal et retour à Cerné ; 5) De Cerné au fond du golfe de Guinée, sur les rivages du Cameroun. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hannon_%28navigateur%29

Peuplier tremble. Source : http://data.abuledu.org/URI/50982c9e-peuplier-tremble

Peuplier tremble

Planche N°304 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, Peuplier tremble (Populus tremula). Il doit son nom au fait que ses feuilles s'agitent au moindre souffle de vent, le pétiole aplati transversalement étant souple et flexible. Arbre au port étalé à croissance vigoureuse, de taille moyenne, de 20 à 30 m de haut. Le système racinaire est traçant. Feuilles petites, glabres, alternes, arrondies, crénelées, cordées et acuminées, à couleur variable (rouge bronze, puis vert foncé, enfin jaune en automne), à pétiole allongé et aplati, très souple. Fleurs groupées en chatons pendants mâles (gris argentés à rouges) et femelles (verts) sur des pieds séparés (espèce dioïque). Pollinisation par le vent. Écorce lisse, parsemée de lenticelles en losange, se crevassant avec l'âge. Bois blanc crème, très homogène, de bonne résistance mécanique, mais de faible durabilité. Floraison vers mars-avril (avant l'apparition des feuilles). Arbre de croissance rapide, à longévité limitée de 70 à 80 ans. C'est une essence de pleine lumière, qui se trouve disséminé dans les espaces libres : coupes, clairières, lisières des bois. Ne forme pas de peuplements denses, mais des bouquets, car il drageonne beaucoup. C'est une espèce pionnière, pouvant pousser sur des terres brûlées.

Phare de l'île de Groix. Source : http://data.abuledu.org/URI/54324964-phare-de-l-ile-de-groix

Phare de l'île de Groix

Le phare de la pointe des chats, île de Groix dans le Morbihan. Construit vers 1897 sur une ancienne batterie de défense, il fut mis en service le 15 octobre 1898. On jugea indispensable la construction de cet édifice de 15,22 m (17,92 m au-dessus du niveau de la mer) en raison des nombreux navires qui faisaient naufrage sur la longue base rocheuse des Chats (appellation venant du surnom donné à ces récifs par les groisillons de l'époque), s'étendant sur plus d'un kilomètre. Chaque nuit, il avertit donc les marins en direction ou en partance de Lorient de l'important danger que représente cette côte très découpée, par 1 éclat rouge toutes les 5 secondes d'une portée d'environ 19 milles (soit 35 km). Automatisé, habité mais non gardienné, il ne se visite pas. La pointe où il se situe constitue une réserve naturelle géologique protégée. On y trouve plusieurs types de minéraux (grenats, micaschistes, glaucophanes, épidotes...). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_la_pointe_des_Chats

Phare de Ver-sur-Mer en baie de Seine. Source : http://data.abuledu.org/URI/535e6a5f-phare-de-ver-sur-mer

Phare de Ver-sur-Mer en baie de Seine

Le phare de Ver-sur-Mer se trouve en baie de Seine, sur la commune de Ver-sur-Mer, dans le département du Calvados. Il a été mis en service au début des années 1900, endommagé en 1944 et remis en état après la guerre. C'est aussi un radiophare (indicatif éR-fréquence 310 kHZ - portée 20 miles). Hauteur : 13 m - Elévation : 42 m ; Portée : 26 milles (48 km) ; Feux : 3 éclats blancs 15 s - Optique : lentille à 6 panneaux focale 0.50 m -Lanterne : 650 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Ver-sur-Mer

Pistacia vera en 1702. Source : http://data.abuledu.org/URI/534a6fbf-pistacia-vera-en-1702

Pistacia vera en 1702

Plaque concernant le pistachier du Jardin des Plantes (Pistacia vera) en 1702. Le pistachier permit à Sébastien Vaillant d’étudier et de démontrer scientifiquement la sexualité des végétaux en 1716. En 1702, Joseph Pitton de Tournefort rapporta quelques pistaches de Chine et les sema au jardin des semis du Jardin royal des plantes médicinales. Un pistachier mâle poussa. Arbre historique, il se trouve au jardin alpin du Jardin des plantes de Paris. Sébastien Vaillant remarqua que ce pistachier esseulé fleurissait tous les ans sans fructifier comme un autre spécimen aux fleurs différentes situé dans un autre quartier de Paris. Vaillant apporta une branche fleurie du Jardin du roi et la secoua près de l'autre pistachier en fleurs. Des fruits apparurent pour la première fois. Cette expérience démontra la sexualité des plantes et la pollinisation. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pistacia_vera

Pluie d'or en Californie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a00ca8-pluie-d-or-en-californie

Pluie d'or en Californie

Schéma du cycle de formation de l'or en Californie. L'or est remonté dans le plancher océanique, en particulier par des volcans sous-marins. Le plancher est entrainé vers le continent nord-américain par les phénomènes de tectonique des plaques et de subduction. Il est ensuite poussé dans la chaîne de la Sierra Nevada. Puis, par le jeu de l'érosion, il se retrouve dans les rivières descendant des montagnes.

Poisson-grenouille des Sargasses. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e4041e-poisson-grenouille-des-sargasses

Poisson-grenouille des Sargasses

Poisson-grenouille des Sargasses (Histrio histrio). L'aspect inhabituel du poisson-grenouille est conçu pour le cacher contre les prédateurs et parfois pour imiter un repas potentiel de sa proie. En éthologie, l'étude du comportement animal, c'est ce qu'on appelle un mimétisme agressif. Leur forme inhabituelle, les couleurs et les textures de la peau servent de déguisement au poisson-grenouille, coloré pour se fondre dans les sargasses environnantes. Pour le poisson-grenouille, sans écailles et sans protection, le camouflage est un moyen important de défense contre les prédateurs. Les nageoires du Poisson-grenouille des sargasses peuvent saisir des touffes de sargasses, lui permettant d'y grimper. En général, le poisson-grenouille ne bouge pas beaucoup, préférant se poser sur le fond et attendre qu'une proie approche. Une fois que la proie est repérée, il s'approche lentement à l'aide de ses nageoires pectorales et pelviennes qui lui permettent de marcher. Il peut utiliser deux types d'allures. Avec la première, il déplace alternativement ses nageoires pectorales vers l'avant, cette propulsion est analogue à la démarche d'un bipède tétrapodes, car il n'utilise pas ses nageoires pelviennes. Alternativement, il peut se déplacer avec une sorte de galop lent, en déplaçant ses nageoires pectorales simultanément en avant et en arrière, le transfert de leur poids aux nageoires pelviennes tout en déplaçant les pectorales. Mais quelle que soit la démarche, il ne peut parcourir que de courtes distances.

Pont-acqueduc du Gard. Source : http://data.abuledu.org/URI/47f4e671-pont-acqueduc-du-gard

Pont-acqueduc du Gard

Photo du pont-aqueduc romain à trois niveaux, situé sur la commune de Vers-Pont-du-Gard. Il enjambe le Gardon, ou Gard. Probablement bâti dans la première moitié du Ier siècle, il assurait la continuité de l'aqueduc romain qui conduisait l’eau d’Uzès à Nîmes.

Porte des anglais à Sore. Source : http://data.abuledu.org/URI/5074afc6-porte-des-anglais-a-sore

Porte des anglais à Sore

Porte de ville dite des anglais à Sore, dans le département français des Landes : remplissages en garluche. Datée de la 2e moitié du XIIIe siècle, elle est inscrite aux monuments historiques par arrêté du 7 octobre 1992. Il existait deux autres portes de ce type à Sore qui ont aujourd'hui disparu, l'une à l'est du plateau, l'autre en face de l'hospice. Celle-ci est en face du moulin à eau. Sur sa clef de voûte est sculpté un chrisme. Notice de la base Mérimée : "Témoin de la ville médiévale qui fut une des forteresses des Seigneurs d'Albret. Vers 1270-1280, Amanieu VII d'Albret semble avoir entrepris une vaste campagne de rénovation de plusieurs forteresses, dont celle de Sore. Cette porte est le dernier vestige encore debout de ces fortifications. L'ouvrage possédait peut-être des éléments défensifs couronnant son sommet. Du côté sud vers le nord, en pénétrant dans la ville, la porte présente un grand arc en anse de panier puis un arc brisé surbaissé, plus étroit et plus bas, en avant duquel subsiste l'emplacement de la herse qui renforçait l'entrée. Sur le côté nord se remarquent les traces d'une tourelle qui renfermait un escalier à vis. Sur le côté sud, deux trous d'assommoir sont percés dans la voûte de l'arc, en avant de la herse. L'enceinte elle-même était en terre, faute de pierres à proximité."

Portrait d'Hippolyte Fizeau. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a78f29-portrait-d-hippolyte-fizeau

Portrait d'Hippolyte Fizeau

Armand Hippolyte Louis Fizeau (1819-1896), est un physicien, astronome français qui travailla notamment sur la lumière. En 1845, il réalise une première photographie nette du Soleil. En 1848, il découvre le décalage de fréquence d'une onde lorsque la source et le récepteur sont en mouvement l'un par rapport à l'autre (effet Doppler-Fizeau). C'est ainsi qu'il prédit le décalage vers le rouge des ondes lumineuses.

Python tacheté. Source : http://data.abuledu.org/URI/5061bb1a-python-tachete

Python tacheté

Le Python tacheté (Antaresia maculosa) est une espèce de serpents de la famille des Pythonidae. Adulte, il mesure de 100 cm à 170 cm pour les plus grands et peut vivre 15 ans. C'est un serpent constricteur ovipare. Les serpents constricteurs ont un corps musclé qui leur permet d'étouffer de grosses proies. Ils ont, généralement, des dents pointues et acérées, recourbées vers l'arrière. Ils attrapent leur proie puis ils s'enroulent autour, et non seulement ils l'empêchent de respirer, mais ils lui bloquent la circulation sanguine. Une fois l'étreinte mortelle finie, ils avalent leur proie la tête la première et mettront un certain temps à la digérer selon son importance. Certains boidés et pythonidés sont parmi les plus grands et les plus lourds serpents qui existent.

Quatre exemples de distance focale. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cb71d7-quatre-exemples-de-distance-focale

Quatre exemples de distance focale

Le point focal F et la distance focale f d'une lentille positive (convexe), négative (concave), un miroir concave et un miroir convexe. Il est toujours possible de calculer les distances focales à partir des données géométriques et des indices d'un système (courbure, indice de réfraction) puisqu'elles sont reliées à la vergence. Néanmoins quand ces données viennent à manquer une mesure expérimentale est possible. Les mesures expérimentales, pour les systèmes minces tels les lentilles minces, reposent généralement sur la détermination des positions des foyers objet et image. On rappelle que le foyer image est le point vers lequel convergent après le système des rayons qui sont parallèles à l'axe optique avant le système. À l'inverse, des rayons passant par le foyer objet ressortent parallèles à l'axe optique. Les rayons ne passent pas nécessairement physiquement par le foyer, il peut s'agir de leur prolongation.

Raton laveur dans un arbre creux. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d82354-raton-laveur-dans-un-arbre-creux

Raton laveur dans un arbre creux

Raton laveur dans un arbre creux (Procyon lotor). Le raton laveur s’abrite dans les arbres creux, les souches, les cavernes, les terriers de marmottes abandonnés, les granges ou les hangars. Il change souvent d’abri. Vers mi-novembre, l’animal se réfugie dans son gîte et y passe l’hiver en état de torpeur, ne se réveillant que de temps à autre. Comme l’ours noir et le blaireau, il cesse de manger et survit grâce à ses réserves de graisse accumulées pendant l’été. La température de son corps et son métabolisme demeurent élevés. Les mâles sortent de leur gîte fin janvier, les femelles vers mi-mars. En ville, on peut trouver l’animal dans les greniers, les égouts et les cheminées auxquelles il accède grâce à ses griffes qui lui permettent de grimper facilement à plusieurs mètres du sol. Chaque gîte abrite entre un et cinq individus. Il fréquente plusieurs abris en dehors de l’hiver. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Raton_laveur.

Ravanhatta indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/533454a2-ravanhatta

Ravanhatta indien

Le ravanhatta est une vièle rustique indienne considérée comme l'ancêtre le plus primitif du violon et du rabâb. Selon la légende, il aurait été inventé en 3 000 avant notre ère par Ravana, roi de Ceylan. Il est constitué de deux cordes en boyau de gazelle accordées à la quinte, un chevalet, une caisse de résonance en noix de coco, un manche en bois, des chevilles et un archet en bambou ; celui-ci est percé au talon d'un trou dans lequel passe la mèche arrêtée par un nœud et à la pointe, c'est dans une fente que vient se fixer, par un nœud également, l'autre bout de la mèche. Il est ainsi courbé comme un arc (à la différence de l'archet moderne). On note la position particulière de l'archet : celui-ci est bloqué par la mèche entre les deux cordes, et l'on frotte l'une ou l'autre de celles-ci selon que l'on met l'archet vers l'avant ou vers l'arrière. Cet instrument est très joué dans le folklore du Rajasthan et par les musiciens itinérants. Il se joue souvent debout, tenu contre la poitrine, en même temps que le musicien chante. Il est parfois accompagné des castagnettes indiennes kartal. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ravanhatta

Réflexion du faisceau radar par la grêle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5232e9b9-reflexion-du-faisceau-radar-par-la-grele

Réflexion du faisceau radar par la grêle

Le faisceau radar est défléchi par la cible dans toutes les directions. En général, le retour venant de réflections multiples dans le nuage est négligeable. Dans certaines conditions où le cœur de précipitation est intense (comme la grêle), une partie de l'énergie envoyée vers le sol retournera au nuage et sera réfléchie vers le radar. On aura alors une réflection à trois corps. Comme cet écho arrive plus tard que l'écho initial du nuage (plus long trajet), il sera placé erronément à l'arrière des vrais échos de précipitations.

Répartition du plongeon huard. Source : http://data.abuledu.org/URI/51351bd7-repartition-du-plongeon-huart

Répartition du plongeon huard

Répartition mondiale du plongeon huard (Gavia immer) : orange, hivernage ; jaune, nidification ; vert, résident toute l'année. De tous les plongeons, ce sont ceux qui gagnent le moins souvent l'intérieur des terres. Ils migrent généralement au-dessus de la mer, à une certaine distance de la côte. Ces oiseaux quittent l'aire de nidification en septembre. La migration s'effectue de jour, seul ou en formation pouvant compter jusqu'à 15 individus. Pendant la migration vers le sud, ils peuvent passer la nuit en bandes de plusieurs centaines d'individus et se concentrer sur de grands lacs. Pendant la nidification, on le trouve généralement sur les lacs et grandes mares des zones côtières septentrionales, dans un paysage de toundra. Sa zone d’hivernage est plus vaste ; il hiverne en mer et sur de grands lacs.

Ressort en double volute. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c6df41-ressort-en-double-volute

Ressort en double volute

Ressort en double volute : pour les ressorts en volute on n'utilise plus du fil mais des bandes de tôle spéciale découpées selon divers profils. Si l'on souhaite que la raideur reste constante, alors il faut faire en sorte que la section aille en augmentant de l'intérieur vers l'extérieur. Il est également possible de réaliser des ressorts en double volute. Outre leurs caractéristiques mécaniques un peu spéciales, les ressorts en volute ont la particularité de présenter une structure fermée, limitant les risques de blocage par des corps étrangers. Le ressort en double volute, par exemple, est très souvent utilisé pour écarter les deux branches des sécateurs. Les jardiniers n'aiment pas beaucoup les sécateurs munis de ressorts hélicoïdaux ordinaires, car les brindilles s'y coincent facilement. Ce type de ressort est également appelé ressort Comtois.

Rose de Noël. Source : http://data.abuledu.org/URI/504f95a5-rose-de-noel

Rose de Noël

Planche botanique de la rose de Noël (Helleborus niger). On l'appelle également herbe aux fous, pied de griffon, pied de lion, patte d’ours, rose de serpent ou pain de couleuvre. Selon la légende, lorsque le bétail paraissait empoisonné, il fallait lui percer l'oreille et y glisser un fragment de racine de Rose de Noël et l'animal était rétabli en 24 heures. Au Moyen Âge, la plante s'appelait aussi aliboron, terme de l'ancien français issu lui-même du grec elleboros, folie. Considérée comme un remède universel contre la folie dès l'Antiquité, aliboron a pu être associé au nom de maistre pour désigner le médecin, puis le savant et enfin l'âne ou le « maître Aliboron », personnage ridicule car se mêlant de tout. Pas besoin de vous dire qui prononce ces deux vers : "Ma Commère, il vous faut purger Avec quatre grains d'ellébore."

Royaume des Wisigoths. Source : http://data.abuledu.org/URI/5073d962-royaume-des-wisigoths

Royaume des Wisigoths

Extension du royaume Wisigoth de Toulouse vers 500 après JC. La partie de l'Hispanie qui n'est pas sous leur contrôle, à savoir le royaume suève, tombe en 584. Le royaume wisigoth exista de 418 à 711 à la suite des Grandes invasions pour persister durant le Haut Moyen Âge. Il eut d'abord Toulouse comme capitale (il englobait la partie de la France actuelle située entre la Loire et les Pyrénées). Lorsque Clovis Ier battit les Wisigoths à la bataille de Vouillé en 507, ces derniers ne conservent que la Septimanie (correspondant au Languedoc) et une partie de la Provence avec l'aide des Ostrogoths. Après la perte de Toulouse, les Wisigoths installent leur capitale à Tolède. En 575 ils conquièrent le royaume des Suèves (situé dans le nord du Portugal et la Galice). En 711 le royaume est conquis par les musulmans.

Sari bleu. Source : http://data.abuledu.org/URI/511ad5bf-sari-bleu

Sari bleu

Le sari (साड़ी en hindi) est un vêtement traditionnel porté par des millions de femmes srilankaise et indiennes dont l'origine remonterait vers 100 av. J.-C.. C'est une des rares habitudes vestimentaires à avoir été conservée par le temps. Le sari est une large bande de tissu d'environ 1,20 m de large sur 5 à 6 m de long. Sa technique de drapé varie selon les régions, les castes, les activités, les religions, etc. Le sari se porte sur un jupon et un corsage serré laissant le ventre nu. Il est fait d'une pièce, et il n'est habituellement porté que par les femmes mariées car c'est l'un des six signes du mariage au Sri Lanka et en Inde.

Spirographe. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c0c4e7-spirographe

Spirographe

Le Spirographe est un ver annélidé tubicole, c'est le plus grand ver tubicole de Méditerranée. Il peut mesurer jusqu'à 35 cm, son corps est situé dans un tube mou composé de mucus et de sable, souvent visible sur toute sa longueur. De nombreux filaments colorés se déploient en couronne tentaculaire d'un diamètre de 10 à 15 cm depuis la bouche de l'animal. Très sensible aux vibrations, il se rétracte tout entier dans son tube à la moindre alerte. Ses filaments jouent un rôle dans la prise de nourriture mais également dans la respiration. Il se nourrit d'organismes microscopiques en suspension dans l'eau.

Spirographe marin. Source : http://data.abuledu.org/URI/552eda22-spirographe-marin

Spirographe marin

Spirographe marin ou sabelle (Sabella spallanzani), ver annélidé tubicole. Plus grand ver tubicole de Méditerranée, pouvant mesurer jusqu'à 35 cm, son corps est situé dans un tube mou composé de mucus et de sable, souvent visible sur toute sa longueur. De nombreux filaments colorés se déploient en couronne tentaculaire d'un diamètre de 10 à 15 cm depuis la bouche de l'animal. Très sensible aux vibrations, il se rétracte tout entier dans son tube à la moindre alerte. Ses filaments jouent un rôle dans la prise de nourriture mais également dans la respiration. Il se nourrit d'organismes microscopiques en suspension dans l'eau. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Spirographe_%28ann%C3%A9lide%29

Spirographe marin en Méditerranée. Source : http://data.abuledu.org/URI/552eda85-spirographe-marin-en-mediterranee

Spirographe marin en Méditerranée

Spirographe marin ou sabelle (Sabella spallanzani), ver annélidé tubicole. Plus grand ver tubicole de Méditerranée, pouvant mesurer jusqu'à 35 cm, son corps est situé dans un tube mou composé de mucus et de sable, souvent visible sur toute sa longueur. De nombreux filaments colorés se déploient en couronne tentaculaire d'un diamètre de 10 à 15 cm depuis la bouche de l'animal. Très sensible aux vibrations, il se rétracte tout entier dans son tube à la moindre alerte. Ses filaments jouent un rôle dans la prise de nourriture mais également dans la respiration. Il se nourrit d'organismes microscopiques en suspension dans l'eau. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Spirographe_%28ann%C3%A9lide%29

Super-réfraction de radar météorologique. Source : http://data.abuledu.org/URI/5232e4e2-superrefraction-de-radar-meteorologique

Super-réfraction de radar météorologique

Effet de la super-réfraction dans une atmosphère non standard sur le faisceau radar qui peut voir au-delà de l'horizon car le faisceau se recourbe vers le sol (ex. inversion de température) et qui peut noter des précipitations sous l'horizon. Il arrive souvent que des inversions de températures se produisent à bas niveau par refroidissement nocturne sous un ciel clair, ou en altitude par subsidence. Également, l'humidité peut être capturée près du sol et diminuer rapidement avec l'altitude dans une goutte froide sous un orage, en situation du passage d'air chaud sur de l'eau froide, ou dans une inversion de température. Ces différents cas changent la stratification de l'air. L'indice de réfraction diminue alors plus rapidement que la normale dans la couche en inversion de température ou d'humidité ce qui fait recourber le faisceau radar vers le bas. Si l'inversion est près du sol, le faisceau frappe celui-ci à une certaine distance du radar puis retourne vers ce dernier. Comme le traitement radar s'attend à un retour d'une certaine hauteur, il place erronément l'écho en altitude. Ce type de faux échos est facilement repérable, s'il n'y a pas de précipitations, en regardant une séquence d'images. On y voit dans certains endroits des échos très forts qui varient d'intensité dans le temps mais sans changer de place. De plus, il y a une très grande variation d'intensité entre points voisins. Comme cela se produit le plus souvent en inversion nocturne, le tout commence après le coucher du soleil et disparait au matin. L'extrême de ce phénomène se produit quand l'inversion est si prononcée (et sur une mince couche) que le faisceau radar devient piégé dans la couche comme dans un guide d'onde. Il rebondit plusieurs fois au sol avant de revenir au radar. Ceci crée des échos de propagation anormale en bandes concentriques multiples. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Radar_m%C3%A9t%C3%A9orologique

Taupe à nez étoilé. Source : http://data.abuledu.org/URI/549defe4-taupe-a-nez-etoile

Taupe à nez étoilé

Taupe à nez étoilé du Canada (Condylura cristata, Linnaeus, 1758). Muséum de Toulouse. Le Condylure à nez étoilé est gris. Il a une longueur totale de 16,2 à 23,8 cm incluant une queue de 6 à 9,2 cm de long. Ses pieds mesurent entre 15 et 32 mm. Son museau qui mesure 1 cm de largeur a la forme d'un disque dénudé muni de 22 tentacules symétriques ; ceux-ci ne sont pas des organes d'odorat, mais plutôt des organes tactiles qui peuvent bouger dans tous les sens et qui servent à explorer l'environnement ou à chercher de la nourriture puisque la vue du Condylure à nez étoilé est très faible. De plus, le museau est doté de plus de 100 000 fibres nerveuses et 30 000 organes d'Eimer. Certains tentacules sont plus longs que d'autres, ce sont les premiers à entrer en contact avec la proie, alors que d'autres ne servent qu'à la diriger vers la bouche. D'autres encore peuvent être des électro-senseurs qui émettent des champs magnétiques. Les individus adultes ont un poids se situant entre 31,5 et 77 g tandis que les nouveau-nés pèsent 1,5 g. Les mâles et les femelles ont sensiblement la même taille. La longévité du Condylure à nez étoilé peut atteindre trois ans en milieu naturel. Il se nourrit de petits invertébrés aquatiques, de crustacés, de mollusques et de vers. Il lui arrive aussi de se nourrir de petits poissons. Il chasse dans ses galeries et perçoit ses proies grâce à son ouïe et son toucher, car il est dépourvu d'odorat. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Condylura_cristata

Télécommande de TV sans pile. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a94152-telecommande-de-tv-sans-pile

Télécommande de TV sans pile

Télécommande de TV sans pile, réalisée par Arveni sas pour Philips en 2011 : les piézoélectriques sont au cœur d'applications récentes visant à récupérer l'énergie présente dans notre environnement sous différentes formes ou effectuées par des mouvements quotidiens. Les premiers prototypes, dits microgénérateurs, sont apparus en 2006 (cf démonstrateur de sonnette de maison sans fil et sans pile de la société française Arveni s.a.s.). Ils récupèrent par exemple l'énergie mécanique fournie par la pression du doigt sur un bouton. L'électricité ainsi récupérée sert à alimenter un circuit radio, qui émet un message vers le récepteur. Il existe aussi des applications industrielles, comme les réseaux de capteurs sans fil où la source d'énergie est la vibration d'une machine par exemple. Les applications sont la maintenance préventive, la surveillance de santé des structures, ou le contrôle de processus.

Tête de phacochère africain. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d56611-tete-de-phacochere-africain

Tête de phacochère africain

Tête de phacochère africain (Phacochoerus africanus) : Il a une longue crinière sur le haut du dos et deux défenses dirigées vers le haut, atteignant 60 cm chez les vieux individus. Elles lui servent notamment à déterrer des racines ou des bulbes, et aussi à se défendre contre ses prédateurs, lions, léopards, lycaons, hyènes ; les jeunes sont la proie des guépards, aigles, pythons, chacals, caracals, mais les parents sont de redoutables défenseurs. Le phacochère peut tenir tête à un léopard ou même à une lionne, et il n'hésite pas à charger s'il se sent menacé. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phacoch%C3%A8re Mâles et femelles ont des défenses. Ce sont des canines à croissance continue qui sont transformées en défenses, en faisant saillie hors de la bouche. Les mâles ont, en plus, des excroissances calleuses sur les côtés de la tête utiles pendant les combats. Ces bosses sont en fait deux os spéciaux, reliés aux naseaux et recouverts de peau, qui donnent une grande résistance au groin de cet animal fouisseur.

Thalès de Milet. Source : http://data.abuledu.org/URI/505eba08-thales-de-milet

Thalès de Milet

Buste de Thalès (illustration de l'ouvrage d'Ernst Wallis, 1877) "Illustrerad verldshistoria utgifven av E. Wallis. band I". Thalès de Milet, appelé communément Thalès (en grec ancien : Θαλῆς ὁ Μιλήσιος / Thalễs ho Milếsios), était un philosophe et savant grec né à Milet vers 625 av. J.-C. et mort vers l'an 547 av. J.-C dans cette même ville d'Ionie. L'Ionie est une région historique du monde grec antique située à l'ouest de l'Asie mineure, entre Phocée et Milet. Elle emprunte son nom à Ion, ancêtre légendaire des peuples de cette région. C'est en Ionie que se sont développées les premières formes de science de la philosophie en Occident, chez les penseurs appelés Présocratiques. Il fut l'un des « Sept sages » de la Grèce antique et le fondateur présumé de l'école milésienne. Philosophe de la nature, il passe pour avoir effectué un séjour en Égypte, où il aurait été initié aux sciences égyptienne et babylonienne. On lui attribue de nombreux exploits arithmétiques, comme le calcul de la hauteur de la Grande Pyramide ou la prédiction d'une éclips

Tombe de Baudelaire : Enivrez-vous. Source : http://data.abuledu.org/URI/51a50d90-tombe-de-baudelaire-enivrez-vous

Tombe de Baudelaire : Enivrez-vous

Cimetière du Montparnasse, section 6, tombe de Charles Baudelaire ((1821-1867). Poème "Enivrez-vous" en espagnol. "Il faut être toujours ivre. Tout est là : c’est l’unique question. Pour ne pas sentir l’horrible fardeau du Temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve. Mais de quoi ? De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. Mais enivrez-vous. Et si quelquefois, sur les marches d’un palais, sur l’herbe verte d’un fossé, dans la solitude morne de votre chambre, vous vous réveillez, l’ivresse déjà diminuée ou disparue, demandez au vent, à la vague, à l’étoile, à l’oiseau, à l’horloge, à tout ce qui fuit, à tout ce qui gémit, à tout ce qui roule, à tout ce qui chante, à tout ce qui parle, demandez quelle heure il est ; et le vent, la vague, l’étoile, l’oiseau, l’horloge, vous répondront : « Il est l’heure de s’enivrer ! Pour n’être pas les esclaves martyrisés du Temps, enivrez-vous ; enivrez-vous sans cesse ! De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. »

Tour génoise de la Parata à Ajaccio. Source : http://data.abuledu.org/URI/51caa47f-tour-genoise-de-la-parata-a-ajaccio

Tour génoise de la Parata à Ajaccio

Tour génoise de La Parata à Ajaccio (1550). La garnison d'une tour se constituait de deux à six hommes (les torregiani) recrutés parmi les habitants et payés sur les taxes locales. Ces gardiens devaient résider en permanence dans la tour. Ils ne pouvaient s'en éloigner que deux jours maximum, pour le ravitaillement et la paye, et un par un. Ils assuraient la vigie avec les feux et signaux réglementaires: ils montaient matin et soir sur la plate-forme, renseignaient navigateurs, bergers et laboureurs sur la sécurité, communiquaient par feux avec les tours les plus proches astucieusement positionnées à portée de vue, et surveillaient l'arrivée d'éventuels pirates. En cas d'alerte, le signal donné sur la terrasse au sommet de la tour, sous forme de fumée, de feu ou d'un son de culombu (grande conque marine), prévenait les environs de l'approche d'un navire hostile. S'ensuivait le repli général des bêtes et des gens vers l'intérieur. Les deux tours les plus proches s'allumaient alors et ainsi de suite, ce qui permettait de mettre toute l'île en alerte en quelques heures. Les tours étaient toujours insuffisamment armées. Elles servaient principalement de postes douaniers et d'amers. Les torregiani négligeaient souvent leur rôle militaire, pour se concentrer sur le contrôle du commerce maritime et la perception de diverses taxes. Ils pratiquaient aussi le négoce du bois et l'agriculture sur les terres environnantes.

Une bicyclette. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d58c87-une-bicyclette

Une bicyclette

Une bicyclette, ou un vélo, est un véhicule terrestre composé de deux roues alignées (d'où le nom « bicyclette »). La force motrice est fournie par son conducteur (appelé « cycliste »), en position le plus souvent assise, par l'intermédiaire de deux pédales entraînant la roue arrière par une chaîne. La bicyclette est l'un des principaux moyens de transport dans de nombreuses parties du monde. Sa pratique, le cyclisme, constitue à la fois un usage quotidien, un loisir populaire et un sport. Par rapport à la marche, le vélo est trois fois plus efficace à effort égal et entre trois et quatre fois plus rapide. Il a été également calculé qu'en termes de conversion en mouvement de l'énergie issue de la nourriture, il s'agit d'une forme de locomotion plus efficace que celle de n'importe quel organisme biologique. La bicyclette ne dispose que de deux points d'appui au sol : elle se trouve nécessairement en équilibre instable. On parle d'équilibre métastable, car le passage de la position d'équilibre temporaire à une position de déséquilibre perceptible est relativement lent. Les principales forces en action sont : la gravité, qui tend à attirer le vélo vers le sol ; la force centrifuge, qui lorsque le vélo vire, tend à le redresser vers l'extérieur du virage. L'équilibre est maintenu dynamiquement par les actions du cycliste, qui s'emploie à toujours redresser sa machine en la faisant tourner légèrement dans la direction où elle commence à tomber. Le cycliste jongle donc en permanence entre ces deux forces pour compenser les effets de l'une avec l'autre et réciproquement. Il est aidé en cela par la chasse du vélo : il s'agit de la distance entre l'intersection de l'axe de la fourche avec le sol et du point de contact de la roue avant au sol. En effet, l'axe de la fourche est incliné de manière à ce que son intersection avec le sol se trouve en avant du point de contact de la roue avec le sol. Ainsi, si le vélo est penché d'un côté, la roue avant va être forcée à se placer de manière à faire tourner le vélo du même côté, engageant ainsi un virage tendant à équilibrer cette inclinaison. Enfin, on peut noter que lorsque le vélo roule, l'effet gyroscopique lié à la rotation des roues vient contrarier toute variation de la position de leurs axes. Ce phénomène est proportionnel à la vitesse de rotation des roues et à leur masse. Cet effet reste habituellement négligeable et est normalement imperceptible par le cycliste. En effet, la masse et donc l'inertie du vélo et de son pilote sont d'un ordre de grandeur supérieur à celle des roues, ce qui réduit considérablement l'influence de l'effet gyroscopique. Lorsque la vitesse augmente, l'effet gyroscopique augmente en proportion et devient plus perceptible.

Voiture Renault des années 1920. Source : http://data.abuledu.org/URI/54a50a9e-voiture-renault-des-annees-1920

Voiture Renault des années 1920

Voiture Renault Type KJ (vers 1920), à Champlitte, musée des Arts et Techniques : série de commerces et d'ateliers de la première moitié du XXe siècle. Il est le dernier né des trois musées départementaux de la Haute-Saône.

Yak sauvage. Source : http://data.abuledu.org/URI/516c720b-yak-sauvage

Yak sauvage

Yak sauvage (Bos grunniens) à Letdar (Circuit de l'Annapurna au Népal). Le yak vit dans et autour de la chaine de l'Himalaya ; Népal et au Bhoutan, en Chine (Tibet, Xinjiang, Gansu, Mongolie intérieure), ainsi qu'en Mongolie, Russie, Kirghizstan, Kazakhstan, Pakistan, Tadjikistan, Afghanistan, jusqu'à des altitudes de 5 400 mètres. Les yaks vivent quinze ans en haute altitude au-dessus de 3 000 mètres. Le yak sauvage, uniquement présent au Tibet, est plus grand que le yak domestique, pouvant peser jusqu'à une tonne. Il vit habituellement en groupes de 10 à 30 individus. Son habitat est composé de hauts-plateaux dégarnis, de collines et de montagnes à des altitudes comprises entre 3 200 et 5 400 mètres. Il se nourrit d'herbes, de lichens et d'autres plantes. Durant la saison chaude, il vit dans les régions proches des neiges éternelles ; puis descend vers des terres au climat plus clément lorsque la saison froide approche. Le yak peut affronter le froid jusqu'à - 40 °C aussi bien grâce à son sous-poil très dense que par son long et épais pelage de surface. Par ailleurs, il secrète une substance visqueuse dans sa transpiration qui agit comme un isolant au froid. Cette substance est utilisée en médecine traditionnelle au Népal. Le yak sauvage a la vue très faible mais compense ce handicap par un odorat particulièrement développé et surtout une ouïe incroyable qui lui permet d'entendre à plusieurs kilomètres de distance. Le yak sauvage n'existe plus que dans les chaînes de montagnes du Kunlun, de Thangla et de Nyenchen Thangla, ainsi que sur le plateau du Tibet. L'espèce est menacée : la population totale actuelle est estimée à 15 000 animaux.