Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Photographie | La Réunion | Géographie | Ornithologie | Hydrologie | Botanique | Piton de la Fournaise (Réunion. - volcan) | Agriculture | Coulées de lave | Volcanisme | Cours d'eau | Saint-Leu (Réunion) | Sucreries (usines) | Animaux endémiques | Conservatoires botaniques | Tariers | Dessins et plans | Jace | Murs | Humour | ...
Gouzou et Tarzan à La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/537e3e9b-gouzou-et-tarzan-a-la-reunion

Gouzou et Tarzan à La Réunion

Gouzou et Tarzan à La Réunion : Un gouzou s'échappe d'une banane tenue par une main énorme, ruelle Tarzan, Saint-Pierre.

Gouzou perplexe à La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/537e35d6-gouzou-perplexe-a-la-reunion

Gouzou perplexe à La Réunion

Gouzou perplexe à La Réunion, la tête prise entre deux injonctions.

Gouzous héliportés à La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/537e34c7-gouzous-heliportes-a-la-reunion

Gouzous héliportés à La Réunion

Deux gouzous héliportés à La Réunion, tirés par une vache.

Goyave marron réunionnais. Source : http://data.abuledu.org/URI/5228496c-goyave-marron-reunionnais

Goyave marron réunionnais

Tronc de Goyave marron réunionnais (Aphloia theiformis) ou change écorce, La Réunion. C’est un arbre de la forêt ombrophile primaire de Maurice, de Rodrigues et de la Réunion, de 0 à 2000 m d’altitude mais aussi de la végétation secondaire et pionnière sur lave.

Graines de pois rouge réunionnais. Source : http://data.abuledu.org/URI/522ce31b-graines-de-pois-rouge-reunionnais

Graines de pois rouge réunionnais

Graines de pois rouge (abrus precatorius). À La Réunion, les graines sont aussi utilisées dans le kayamb ou "caïambe", instrument de musique rectangulaire fait de bambou creux, qu'on remue des mains pour avoir la "grainée" sonore de la danse maloya.

Groupe de joueurs de séga réunionnais. Source : http://data.abuledu.org/URI/522ce5aa-groupe-de-joueurs-de-sega-reunionnais

Groupe de joueurs de séga réunionnais

Groupe de joueurs de séga sur la place de Saint-Pierre, à La Réunion.

Hampe florale de bois de rempart réunionnais. Source : http://data.abuledu.org/URI/522846d1-hampe-florale-de-bois-de-rempart-reunionnais

Hampe florale de bois de rempart réunionnais

Hampe florale de Bois de rempart (Agauria salicifolia), novembre 2003. À la Réunion, où elle est présentée comme endémique de l'île, ou au moins des Mascareignes, elle est pionnière des coulées de lave du Piton de la Fournaise. La variété salicifolia y est appelée bois cabri.

Ile de la Réunion en 1854. Source : http://data.abuledu.org/URI/52193ad5-ile-de-la-reunion-en-1854

Ile de la Réunion en 1854

Carte et descriptif de l'Ile de la Réunion (Océan indien) (hémisphère austral), 1854 - Fonds Ancely. Titre complet du recueil : Atlas national illustré des 86 Départements et des Possessions de la France divisés par Arrondissements, Cantons et Communes avec le tracé de toutes les routes, chemins de fer et canaux. Dressé d'après les Travaux du Cadastre du Dépôt de la Guerre et des Ponts et Chaussées par V. Levasseur, Ingénieur Géographe attaché au Génie du Cadastre et de la Ville de Paris. Gravé sur acier par les meilleurs artistes. Imprimerie de Lemercier à Paris ou imprimerie Dupuich à Paris. Fonds René Ancely (1876 - 1966), B. M. Toulouse.

Jeune pétrel noir de Bourbon. Source : http://data.abuledu.org/URI/521bfad6-jeune-petrel-noir-de-bourbon

Jeune pétrel noir de Bourbon

Ce jeune Pétrel noir de Bourbon (Pseudobulweria aterrima) trouvé échoué au pied de lampadaires a été relâché en bordure de mer. C'est l'une des quatre espèces de Procellariidae nicheuses de l'île de La Réunion et la plus rare. Elle figure depuis 1994 sur la liste rouge de l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) comme espèce en danger critique d'extinction. Comme la plupart des pétrels et puffins, le Pétrel de Bourbon est un oiseau qui, sur les sites de nidification et pour aller et venir jusqu'à la mer, est effectivement actif uniquement la nuit. Il fait ainsi partie des espèces qui peuvent être leurrées par les éclairages artificiels nocturnes, prenant ceux-ci, selon les hypothèses, pour des proies (des bancs de calmars bioluminescents) ou simplement pour les reflets du ciel à la surface de l'océan. Il s'échoue alors à terre et est ensuite incapable de reprendre son envol.

Kardinal femelle de La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/521bf00a-kardinal-femelle-de-la-reunion

Kardinal femelle de La Réunion

Kardinal femelle (Foudia madagascariensis) de La Réunion.

Kardinal mâle de La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/521bef96-kardinal-male-de-la-reunion

Kardinal mâle de La Réunion

Le foudi rouge (Foudia madagascariensis) est une espèce de passereau appartenant à la famille des Ploceidae. Il est appelé cardinal, ou kardinal en créole, à l'île de la Réunion et à l'île Maurice. Ici, un mâle.

La Rivière du Mât à La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/5276b49d-la-riviere-du-mat-a-la-reunion

La Rivière du Mât à La Réunion

La Rivière du Mât, vue sur l'entrée du cirque de Salazie. Elle prend sa source sur les pentes du Piton des Neiges et coule d'abord en direction du nord-est, recevant sur sa rive gauche la rivière Fleurs Jaunes en aval de Salazie. Elle sépare l'un de l'autre les territoires communaux de Saint-André et Bras-Panon, respectivement situés au nord et au sud du cours d'eau dont le cours s'infléchit vers l'est. Pendant les crues, le débit peut atteindre 2 600 m³/s. Référence au cours d'eau, le groupe Quartier Français a appelé Rivière du Mât sa marque de rhums.

La Rivière-des-Pluies au pont Desbassyns. Source : http://data.abuledu.org/URI/5276c2e1-la-riviere-des-pluies-au-pont-desbassyns

La Rivière-des-Pluies au pont Desbassyns

Vue de la Rivière des Pluies depuis le pont Desbassyns, à La Réunion. Elle donne son nom à un quartier de Sainte-Marie qui le surplombe, habité par de nombreuses personnes travaillant dans le chef-lieu. La Rivière des Pluies est franchie par cinq ponts, d'amont en aval : Un pont portant une canalisation. Le pont Desbassyns, un pont routier portant la route départementale 45. Le pont Neuf, un pont routier portant la route nationale 102. Un pont routier portant la route nationale 6, le plus récent. Un pont routier portant la route nationale 2.

Latanier rouge réunionnais. Source : http://data.abuledu.org/URI/52234a2f-latanier-rouge-reunionnais

Latanier rouge réunionnais

Latanier rouge (Latania lontaroides), novembre 2004, au Conservatoire botanique de Mascarin, La Réunion. Le latanier rouge (Latania lontaroides) est un palmier qui était autrefois présent dans plusieurs îles des Mascareignes et qui ne l'est plus aujourd'hui de façon naturelle qu'à la Réunion. Il est d'ailleurs également connu sous le nom de latanier de la Réunion, voire de pomme latanier. À l'état sauvage, on ne le trouve guère que sur la côte sud de l'île entre Petite-Île et Saint-Philippe, sur les falaises et dans les ravines côtières. Il y est menacé par l'agriculture et le développement des infrastructures humaines. Le latanier rouge est dioïque : mâles et femelles poussent séparément. Pouvant atteindre 12 mètres de haut, il déploie au bout de son stipe (tige) gris et lisse des feuilles en éventail vertes qui sont d'abord rouges durant les premières années de sa vie, comme les pétioles. Les bords du limbe et les nervures principales sont finement dentés.

Le cratère Commerson à La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/5227ad0e-le-cratere-commerson-a-la-reunion

Le cratère Commerson à La Réunion

Le cratère Commerson est un cratère volcanique des Hauts de l'île de La Réunion. Inscription : Philibert COMMERSON est né dans l'Ain en 1727. C'est en tant que médecin et naturaliste du roi qu'il partit en 1766, pour une expédition autour du monde, qui le conduisit par hasard à l'île Bourbon (La Réunion) en 1771 ; son séjour d'un an sur cette île l'amena à découvrir et décrire le volcan, ce qui lui valut l'honneur de voir son nom attribué à ce cratère. Avec ses 200 m de diamètre et ses 235 m de profondeur, ce cratère d'explosion est le plus impressionnant de l'île. Il fait partie d'un ensemble réuptif formé de trois cratères contigus apparus il y a environ 2000 ans, lors d'un phénomène volcanique d'une intensité exceptionnelle, de type phréato-magmatique. L'hypothèse actuelle (1991) expliquant cette éruption est illustrée par le scénario suivant (d'après Ph. Mairine et P. Bachèlery) : 1) une éruption classique débute ; 2) des explosions apparaissent ; 3) une coulée fluide s'épanche dans la vallée. Source : Bachèlery, P., et Ph. Mairine, Evolution volcano-structurale du Piton de la Fournaise... in "Le Volcanisme de la Réunion, Monographie", J.F Lénat Ed., publié par le Centre de Recherches Volcanologiques, Clermont-Ferrand, France, 213 - 242,1990.

Le papangue mâle, ailes déployées. Source : http://data.abuledu.org/URI/521a0cea-le-papangue-male-ailes-deployees

Le papangue mâle, ailes déployées

Papangue, ou Pieds-Jaune ou Busard de Maillard (Circus maillardi) mâle, lithographie de Louis Antoine Roussin (1819-1894). Son nom vernaculaire est d'origine malgache. Il dériverait de papangoet. Il tire son nom spécifique de Maillard, l'auteur qui distingua cet oiseau des busards européens. Cet oiseau mesure 50 à 53 cm de longueur (femelle plus grande que le mâle) pour une envergure de 110 à 150 cm (le plus grand oiseau de La Réunion) et une masse de 650 à 1500 g. Le mâle est noir avec de grandes taches blanches et la femelle est brune. Le papangue aime vivre dans les champs de canne, entre 500 m et 1 500 m d'altitude. On le retrouve aussi sur les hautes plaines à l'est et au sud de l'île. Il est rare dans les cirques de Cilaos et Mafate, sans doute en raison des persécutions dont il est encore l'objet. Il se nourrit de rats, souris, jeunes tenrecs qu'il va talonner au sol et de tec-tecs, cardinaux et moineaux qu'il attrape au vol. Les busards pratiquent les échanges de nourriture en vol, appelés passes par les admirateurs des oiseaux chasseurs. Le mâle lâche sa prise comme par mégarde avant même que sa compagne n'arrive jusqu'à lui. Cette dernière arrive à se saisir de la minuscule proie au prix d'une extraordinaire accélération puis d'une virevolte quelque cinq ou six mètres au-dessous du point de lâché. Il fouille très souvent dans les poubelles. Seul oiseau prédateur de l'île, le papangue n'est pas aimé des Réunionnais qui pensent qu'il pourrait voler des poules dans les poulaillers : fait impossible vu son poids. Mais bien qu'il doive encore essuyer quelques coups de fusil, l'animal est protégé depuis 1989. Actuellement la population de cette espèce est d'environ 200 couples.

Le Pas des Sables à La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/5227c6f1-le-pas-des-sables-a-la-reunion

Le Pas des Sables à La Réunion

Coulée de lave du Pas des Sables, sur l'île de La Réunion : La route forestière du Volcan

Le trou noir de la Rivière Langevin. Source : http://data.abuledu.org/URI/5276b0b8-le-trou-noir-de-la-riviere-langevin

Le trou noir de la Rivière Langevin

Le "Trou noir" sur la Rivière Langevin, île de la Réunion. La Rivière Langevin constitue la limite orientale de la zone extrêmement réduite dans laquelle on peut rencontrer le lézard vert de Manapany. On y trouve aussi des pailles-en-queues, des bichiques, et des endormis.

Lilas de Perse à La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/52234faa-lilas-de-perse-a-la-reunion

Lilas de Perse à La Réunion

Lilas de Perse (Melia azedarach) du Conservatoire botanique de Mascarin, novembre 2004, La Réunion. Le Mélia azedarach est une espèce d'arbres à feuillage caduc de la famille des Meliaceae (même famille que l'acajou et le cedrela). Le nom spécifique, « azedarach », provient de la contraction du nom persan de cette espèce, « azad-dhirakt » signifiant « arbre noble ». Les inflorescences apparaissent en mai-juin sur les rameaux de l'année en panicules axillaires lâches de 10 à 20 cm de longueur. Les fleurs petites et agréablement parfumées sont rose-violet clair une fois éclose et plus foncée en boutons, de 1 à 2,5 cm de diamètre à 5 pétales étroits. Elles comportent 10-12 filets fusionnés formant un tube central.

Localisation de la Rivière Des Remparts à La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/5276c779-localisation-de-la-riviere-des-remparts-a-la-reunion

Localisation de la Rivière Des Remparts à La Réunion

Localisation de la Rivière Des Remparts sur une vue satellite de l'île de La Réunion. Elle traverse le territoire communal de Saint-Joseph en s'écoulant du nord vers le sud dans une très profonde vallée qu'elle a creusée en suivant le bord d'une ancienne caldeira du massif du Piton de la Fournaise.

Machines-outils de l'industrie sucrière. Source : http://data.abuledu.org/URI/521a4db1-machines-outils-de-l-industrie-sucriere

Machines-outils de l'industrie sucrière

Une vue du jardin avec ses machines à outils du musée Stella Matutina sur l'île de la Réunion, le 9 novembre 2006.

Mimosa pudique réunionnais. Source : http://data.abuledu.org/URI/52234d1b-mimosa-pudique-reunionnais

Mimosa pudique réunionnais

Mimosa pudica du Conservatoire botanique de Mascarin, novembre 2004, La Réunion. Le Mimosa pudique ou Sensitive (Mimosa pudica) est une plante rampante de 10 à 40 cm de haut (pouvant atteindre dans la nature un peu plus d'un mètre), appartenant à la famille des Fabaceae (et anciennement aux Mimosaceae), originaire d'Amérique tropicale et largement naturalisée à travers le monde. Elle est connue aux Antilles françaises sous les noms de Marie-honte ou Herbe mamzelle ou Honteuse femelle, à La Réunion sous le nom de Sensitive ou Trompe la mort, en Nouvelle-Calédonie sous le nom de Sensitive. Les fleurs sont roses en pompons et globuleuses, suivies de gousses comprimées entre les graines et armées de longs poils raides. Elle est très commune aux Antilles françaises sur les sols frais à humides. Les Mayas connaissaient les vertus relaxantes et antidépressives des feuilles. C'était une plante médico-magique pour les anciennes populations amérindiennes des Caraïbes. Aux Antilles françaises, la racine est traditionnellement utilisée en décoction contre le mal de gorge et la coqueluche. Elle est utilisée dans les systèmes médicaux traditionnels en Afrique, en Inde et en Chine.

Mousse espagnole à La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/52234be1-mousse-espagnole-a-la-reunion

Mousse espagnole à La Réunion

Mousse espagnole au Conservatoire botanique de Mascarin, à la Réunion. Tillandsia L. est un genre de plante de la famille des Bromeliaceae (famille de l'ananas). Ce genre comprend plus de 400 espèces, soit épiphytes ou lithophytes, soit terrestres, présentes essentiellement sur le continent américain (de la Floride à l'Argentine). Les tillandsias épiphytes et lithophytes, les plus nombreuses, sont parfois appelées « filles de l'air », du fait de leur propension naturelle à s'accrocher partout où les conditions leur permettent : fils téléphoniques, branches d'arbres, écorces, rochers nus, etc. Leurs graines légères et munies d'un parachute soyeux facilitent cette dissémination. Leurs feuilles, de couleur plus ou moins argentée, sont recouvertes de cellules spécialisées capables d'absorber rapidement l'humidité ambiante (rosée, eau de ruissellement). Leurs racines, quand elles existent, sont transformées en crampons chez les espèces dites « aériennes » et ne servent plus que d'ancrage à leur support.

Musée industriel Stella Matutina à La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/521a4d14-musee-industriel-stella-matutina-a-la-reunion

Musée industriel Stella Matutina à La Réunion

Le Musée Stella Matutina est un musée industriel de l'île de La Réunion situé sur le territoire communal de Saint-Leu. Installé dans une ancienne usine sucrière, il retrace l'histoire de la culture et de l'industrie de la canne à sucre dans ce département d'outre-mer français de l'océan Indien.

Myosotis de Bourbon. Source : http://data.abuledu.org/URI/5227b68e-myosotis-de-bourbon

Myosotis de Bourbon

Myosotis de Bourbon (Cynoglossum borbonicum). On le trouve notamment sur champs de lapillis de la Plaine des Sables, dans le massif du Piton de la Fournaise. Sa floraison se situe entre novembre et janvier.

Naso elegans à La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/5543fd34-naso-elegans-a-la-reunion

Naso elegans à La Réunion

Une licorne indienne à épines orange ou nasique à éperons oranges (Naso elegans) à La Réunion. Le Naso elegans, appelé licorne à épine orange indien, nasique à éperons orange ou nason bariolé, est un poisson téléostéen de la famille des Acanthuridae ou "poissons chirurgiens". Ces poissons tropicaux sont notamment caractérisés par les éperons tranchants qu'ils portent de chaque côté de la queue. Le nom de la famille dérive des appendices en épines acérées de la queue (du grec: άκανθα, acantha = épine et οὐρά, oura = queue). Ces épines, mobiles chez les chirurgiens et fixes chez les nasons, sont très coupantes et enduites d'un mucus toxique. Lorsqu'un danger menace, ils n'hésitent pas à donner de violents coups de queue en direction de celui-ci.

Oiseau blanc de La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/521bf339-oiseau-blanc-de-la-reunion

Oiseau blanc de La Réunion

Oiseau blanc (Zosterops borbonicus) près du Col des Boeufs, à La Réunion. Parfois appelé oiseau-lunettes gris ou Zoizo blanc, est une espèce de petits passereaux de la famille des Zosteropidae. Il est endémique de l'île de la Réunion. Il possède également un croupion blanc caractéristique. Il est très mobile, bruyant et se déplace toujours en groupe (de 6 à 20 individus). C'est un oiseau très social, chez qui les agressions sont rares, même à proximité des nids. Il est fréquent de voir ces oiseaux s’épouiller mutuellement et il peut arriver que le nourrissage des poussins se fasse de manière coopérative. Il se reproduit pendant l’été austral, et la femelle pond 2 à 4 œufs dans un nid en forme de coupe. Son régime alimentaire est constitué essentiellement d’insectes et de fruits, mais également de certaines fleurs. L'oiseau blanc est d'ailleurs le seul pollinisateur connu d'une orchidée endémique: Angraecum striatum (Orchidaceae).

Oiseau vert de La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/521bf8c3-oiseau-vert-de-la-reunion

Oiseau vert de La Réunion

Oiseau vert (Zosterops olivaceus), oiseau forestier endémique de l'île de La Réunion. Son plumage est de couleur vert olive sur le dos et jaune sur le croupion, gris sur le ventre et noir sur la tête. Son œil est entouré d'un cercle de plume blanches. Le mâle et la femelle sont indifférenciés. C'est un oiseau forestier qui vit dans les forêts de bois de couleurs des hauts, entre 500 et 2 500 mètres. On le rencontre fréquemment dans le Parc national de La Réunion ou encore dans la Forêt de Bélouve. Il aime les endroits où poussent les fleurs jaunes. Son bec fin et légèrement recourbé lui permet d'atteindre le nectar des fleurs. L'oiseau vert est toujours en mouvement. Il supporte difficilement la présence de congénères et peut se montrer agressif. L'oiseau vert est essentiellement nectarivore. Mais il se nourrit également de pulpe de fruits et d'insectes. La reproduction a lieu pendant l'été austral c'est-à-dire de juillet à janvier. La femelle pond 2 à 3 œufs dans un nid en forme de coupe composé de brindilles, de duvet et de mousses.

Palmiste noir de La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/52db2de0-palmiste-noir-de-la-reunion

Palmiste noir de La Réunion

Palmiste noir de La Réunion, Louis van Houtte (1810–1876), in Flore des serres et des jardins de l'Europe ou descriptions et figures des plantes les plus rares et les plus méritantes, nouvellement introduites sur le continent ou en Angleterre, vol. 16, 1862-65. Le Palmiste noir ou Palmiste noir des hauts (Acanthophoenix crinita) est une espèce de plantes de la famille des arécacées. Elle est endémique de l'île de La Réunion, département d'outre-mer français dans le sud-ouest de l’océan Indien. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Acanthophoenix_crinita

Panorama sur la Rivière des remparts. Source : http://data.abuledu.org/URI/5276c7fc-panorama-sur-la-riviere-des-remparts

Panorama sur la Rivière des remparts

Panorama de la Rivière des remparts - vue du RF5, à La Réunion.

Papangue mâle en vol au-dessus de La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/521a10e1-papangue-male-en-vol-au-dessus-de-la-reunion

Papangue mâle en vol au-dessus de La Réunion

Papangue mâle en vol au-dessus de La Réunion (Circus maillardi).

Papilio demodocus réunionnais. Source : http://data.abuledu.org/URI/521a20b7-papilio-demodocus-reunionnais

Papilio demodocus réunionnais

Papilio demodocus réunionnais, Jardin des papillons, Hunawihr.

Pêche aux bichiques sur la Rivière-des-Roches. Source : http://data.abuledu.org/URI/5276cc28-peche-aux-bichiques-sur-la-riviere-des-roches

Pêche aux bichiques sur la Rivière-des-Roches

Pêche aux bichiques sur la Rivière-des-Roches, novembre 2004. La rivière est surtout connue pour la pêche du bichique qu'un documentaire télévisé intitulé Media:Le Grand petit monde de la rivière des Roches a récemment magnifié. Après avoir pondu en amont des rivières, le poisson voit ses œufs emportés par le courant jusqu'à l'océan. Les alevins (bichiques) ne se mettent à remonter les cours d'eau qu'en été. À la Réunion, cette nouvelle se répand rapidement de bouche à oreille sous la forme « bichique la monté ! » Dès lors, les petits sont avidement pêchés grâce à une série de nasses coniques appelées « vouves » placées à l'embouchure des rivières de l'est. Constituant un mets apprécié dans l'île, l'alevin est un produit de luxe dont le kilogramme peut atteindre 50 euros.

Pennisetum caffrum réunionnais. Source : http://data.abuledu.org/URI/5227be98-pennisetum-caffrum-reunionnais

Pennisetum caffrum réunionnais

Touffe de Pennisetum caffrum près du Pas des Sables, à La Réunion. Pennisetum caffrum est une espèce de plante herbacée de la famille des poacées. Elle est endémique de l'île de La Réunion. Elle y croît en altitude et peut être facilement identifiée par ses épis généralement de couleur violette.

Petite hirondelle des Mascareignes. Source : http://data.abuledu.org/URI/521bf108-petite-hirondelle-des-mascareignes

Petite hirondelle des Mascareignes

Aerodramus francicus, à La Possession, Saint-Denis, La Réunion. La salangane des Mascareignes est une espèce d'oiseau de la famille des Apodidae, endémique des Mascareignes. Elle est parfois appelée petite hirondelle.

Pétrel de Bourbon. Source : http://data.abuledu.org/URI/521bf9ba-petrel-de-bourbon

Pétrel de Bourbon

Le Pétrel de Bourbon (Pseudobulweria aterrima), aussi appelé Pétrel noir de Bourbon, Pétrel de La Réunion ou Fouquet noir, est une espèce d'oiseau marin de la famille des Procellariidae, dont les populations actuelles sont endémiques de l'île de La Réunion, dans le sud-ouest de l'océan Indien.

Peugeot 403 immatriculée 974. Source : http://data.abuledu.org/URI/521a4f45-peugeot-403-immatriculee-974

Peugeot 403 immatriculée 974

Peugeot 403 immatriculée 974 au musée Stella Matutina sur l'île de la Réunion.

Phaéton à bec jaune de La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/521bf22d-phaeton-a-bec-jaune-de-la-reunion

Phaéton à bec jaune de La Réunion

Phaéton à bec jaune, Paille-en-queue bec jaune (Phaethon lepturus), La Réunion.

Photo satellite de l'île de La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/52192f9c-photo-satellite-de-l-ile-de-la-reunion

Photo satellite de l'île de La Réunion

Photo satellite de l'île de La Réunion. La Réunion est une île volcanique située dans l’océan Indien. Elle est née, il y a quelque trois millions d’années, avec l’émergence d’un massif montagneux culminant au piton des Neiges qui est, avec une altitude de 3 070,50 m, le sommet le plus élevé des Mascareignes et de l’océan Indien (mesure GPS effectuée en mai 2003 par l’Ordre des géomètres experts de La Réunion). Ce massif forme la partie ouest de l’île, alors que l’est est constitué d’un volcan bien plus récent, à peine vieux de 500 000 ans, l’un des plus actifs de la planète : le piton de la Fournaise.

Pièce de 10 centimes de 1816 de l'Isle de Bourbon. Source : http://data.abuledu.org/URI/521b73e5-piece-de-10-centimes-de-1816-de-l-isle-de-bourbon

Pièce de 10 centimes de 1816 de l'Isle de Bourbon

Pièce de 10 centimes de 1816 de l'Isle de Bourbon : Inscription "10 cent. 1816 Isle de Bourbon". L'isle de Bourbon fut escale de la Compagnie française des Indes orientales sur la route des Indes puis, à partir des années 1710, véritable colonie pratiquant la culture du café ; devenue une société de plantation, elle passe ensuite sous le contrôle direct du roi de France dans les années 1760 avant d'être réaffectée à l'industrie de la canne à sucre au terme des Guerres napoléoniennes.

Plaine des Sables à La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/5227b58c-plaine-des-sables-a-la-reunion

Plaine des Sables à La Réunion

Vues de la plaine des Sables depuis le Morne Langevin. Complètement nue, couverte de scories, elle s'offre soudainement à la vue des conducteurs en contrebas d'un autre plateau qui était encore recouvert d'une végétation rase. On doit la traverser pour atteindre l'Enclos Fouqué puis le Piton de la Fournaise depuis la Plaine des Cafres. S'y aventurer à pied alors que le brouillard est susceptible de tomber est particulièrement dangereux, l'espace alentour manquant de repères physiques évidents. La Plaine des Sables est pourtant dominée par le Piton Chisny, dont la dernière éruption est à l'origine de son aspect lunaire. Elle est traversée par la route forestière du Volcan.

Plaine Des Sables à La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/5227bfa5-plaine-des-sables-a-la-reunion

Plaine Des Sables à La Réunion

La route forestière du Volcan, la Plaine des Sables et le Pas des Sables, vus du sommet du Piton Chisny. Le Pas des Sables est un lieu de passage permettant le franchissement du rempart des Sables, il est situé à environ 2 350 mètres d'altitude sur la frontière communale entre Saint-Joseph à l'ouest et Sainte-Rose à l'est. De fait, on le trouve sur le bord oriental du plateau du massif du Piton de la Fournaise appelé plaine des Remparts en surplomb d'un autre plateau appelé plaine des Sables. Il est traversé par la route forestière du Volcan, une route qui monte depuis Bourg-Murat jusqu'au pas de Bellecombe, autre point de vue situé plus à l'ouest.

Planches de tamarins des hauts. Source : http://data.abuledu.org/URI/521fafc7-planches-de-tamarins-des-hauts

Planches de tamarins des hauts

Planches brutes de tamarin (Acacia heterophylla) destinées aux ébénistes. Le bois de tamarin est particulièrement recherché en ébénisterie, il permet des finitions soignées.

Plat créolais à La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/52193bb4-plat-creolais-a-la-reunion

Plat créolais à La Réunion

Plat de spécialités créoles à La Réunion : bonbons piment, samoussas, bouchons.

Pont suspendu de la Rivière de l'Est de La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/5276ab89-pont-suspendu-de-la-riviere-de-l-est-de-la-reunion

Pont suspendu de la Rivière de l'Est de La Réunion

Pont suspendu de la Rivière de l'Est de La Réunion. L'un des ponts qui traversent la rivière près de son embouchure a été construit à partir de 1888 par Ferdinand Arnodin (1845-1924). Pont suspendu ancré au sol, il était le plus long du monde lorsqu'il a été livré en 1894. Aujourd'hui, ce pont suspendu de la Rivière de l'Est n'est plus ouvert à la circulation routière et sert de promenade ; il a en effet été doublé et remplacé par un pont en béton construit en 1979, situé légèrement plus en amont.

Portrait d'Edmond Albius. Source : http://data.abuledu.org/URI/5276b7d1-portrait-d-edmond-albius

Portrait d'Edmond Albius

Lithographie de l'Album de l'Ile de la Réunion (volume III - 1863) par Antoine Roussin (1819-1894) : Edmond Albius (1829-1880).

Psiadie à belle tête réunionnaise. Source : http://data.abuledu.org/URI/5227b968-psiadie-a-belle-tete-reunionnaise

Psiadie à belle tête réunionnaise

Psiadie à belle tête (Psiadia callocephala), espèce endémique de La Réunion libérant ses graines (Asteraceae).

Racines de manioc. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d99b1f-racines-de-manioc

Racines de manioc

Racines de lanioc (Manihot esculenta) en vente au marché, île de La Réunion.

Randonneurs à la Chapelle de Rosemont à La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/521a3e62-randonneurs-a-la-chapelle-de-rosemont-a-la-reunion

Randonneurs à la Chapelle de Rosemont à La Réunion

Randonneurs à la chapelle (ou grotte) de Rosemont, formation volcanique située dans l'Enclos Fouqué, sur les pentes du Piton de la Fournaise de l'île de La Réunion.

Récif coralien à La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/585020e0-recif-coralien-a-la-reunion

Récif coralien à La Réunion

Île de la Réunion, le lagon de L’Ermitage les Bains et sa passe (commune de Saint-Paul).

Les éruptions au Piton de la Fournaise. Source : http://data.abuledu.org/URI/506cba45-les-eruptions-au-piton-de-la-fournaise

Les éruptions au Piton de la Fournaise

Cartographie des éruptions volcaniques de 1972 à 2000 du Piton de la Fournaise sur l'île de La Réunion.

Musée de Villèle, Saint-Paul, La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/521a4bb7-musee-de-villele-saint-paul-la-reunion

Musée de Villèle, Saint-Paul, La Réunion

Maison des esclaves au Musée de Villèle de Saint-Paul à La Réunion.

Panneau routier de la Ravine-des-Avirons à La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/52776dd9-panneau-routier-de-la-ravine-des-avirons-a-la-reunion

Panneau routier de la Ravine-des-Avirons à La Réunion

Panneau routier indiquant la Ravine des Avirons le long de la Route des Tamarins, à Saint-Leu, La Réunion. Dans les îles tropicales, notamment à la Réunion, le mot créole ravine désigne un torrent, quels que soient sa taille, sa largeur, sa longueur, son débit. Les ravines prennent naissance dans la montagne et creusent leur lit profondément dans des reliefs escarpés, d'autant que les pluies sont diluviennes en temps de cyclone. Mais les ravines peuvent avoir, en arrivant sur les plaines côtières, un lit qui s'élargit considérablement.

Parapentiste à Saint-Leu. Source : http://data.abuledu.org/URI/52710de9-parapentiste-a-saint-leu

Parapentiste à Saint-Leu

Parapentiste à Saint-Leu dans l'île de La Réunion. Saint Leu est un lieu pour découvrir les sensations du parapente à la Réunion, lieu où on peut s'envoler 300 jours par an. C'est ainsi qu'en 2006, la La Réunion eut le privilège d'accueillir du 4 au 11 novembre, la finale de la Coupe du monde de parapente 2006 (victoire du suisse Christian Maurer) après avoir déjà organisé la finale de la Coupe du monde de parapente 2003.

Plantation de chayottes à La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/5433c855-plantation-de-chayottes-a-la-reunion

Plantation de chayottes à La Réunion

Plantation de chouchous (Sechium edule) ou chayote à Îlet-à-Vidot, Cirque de Salazie, Île de la Réunion.

Rempart de l'Enclos Fouqué sur le Piton de la Fournaise. Source : http://data.abuledu.org/URI/521a362b-rempart-de-l-enclos-fouque-sur-le-piton-de-la-fournaise

Rempart de l'Enclos Fouqué sur le Piton de la Fournaise

Le rempart de la caldeira dite de l'Enclos Fouqué à La Réunion.

Rivière d'Abord de La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/5276a9df-riviere-d-abord-de-la-reunion

Rivière d'Abord de La Réunion

La Rivière d'Abord est un fleuve de l'île de La Réunion, département d'outre-mer français dans le sud-ouest de l'océan Indien. Généralement à sec, elle ne s'écoule dans sa ravine qu'en période cyclonique.

Rivière de L'Est de La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/5276aa64-riviere-de-l-est-de-la-reunion

Rivière de L'Est de La Réunion

Situation de la Rivière de l'Est dans l'île de La Réunion sur carte satellite.

Rivière de l'Est de La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/5276abfb-riviere-de-l-est-de-la-reunion

Rivière de l'Est de La Réunion

Le lit de la Rivière de l'Est de La Réunion vu depuis le pont suspendu.

Rivière des Marsouins à La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/5276b38e-riviere-des-marsouins-a-la-reunion

Rivière des Marsouins à La Réunion

Rivière des Marsouins en forêt de Bébour à La Réunion. De 30 km de longueur, la rivière des Marsouins est bordée de forêts. Ainsi, son versant nord accueille la forêt de Villeneuve et la forêt du Piton Papangue tandis que sur son versant sud se trouve la forêt du Cratère. L'endiguement de la rivière des Marsouins est prévue pour 2013 afin de lutter contre les crues au centre-ville de Saint-Benoît. Le fleuve est évoqué dès les premières lignes du texte littéraire de Théodore Pavie paru dans La Revue des Deux Mondes le 1er avril 1845 ; la rivière est décrite par le narrateur comme « l'une des plus larges et des plus limpides de toutes celles dont les eaux capricieuses arrosent l'île Bourbon », Bourbon étant le nom de La Réunion à l'époque.

Saucisses de La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/501e996e-saucisses-de-la-reunion

Saucisses de La Réunion

Photo de saucisses de l'île de La Réunion.

Songe à La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/529bb973-songe-a-la-reunion

Songe à La Réunion

Songe, Colocasia esculenta, novembre 2004, La Réunion : À la Réunion et à l'Ile Maurice, cette plante est connue sous le nom de songe ou arouille violette. En Guyane, Martinique et Guadeloupe on l'appelle dachine ou madère ou encore chou de Chine. Les feuilles grandes et belles, vertes plus ou moins foncées, parfois violacées, sont peltées, à limbe cordiforme à la base, parfois un peu sagittées. Le limbe peut atteindre 70 cm de longueur sur 60 cm de largeur et présente un bon effet déperlant - effet lotus. Il est porté par un long pétiole vert ou violet, engainant à la base.

Source de la Rivière des galets dans le cirque de Mafate. Source : http://data.abuledu.org/URI/5276af27-source-de-la-riviere-des-galets-dans-le-cirque-de-mafate

Source de la Rivière des galets dans le cirque de Mafate

Source de la Rivière des galets dans le cirque de Mafate depuis le Maïdo, montrant le lit de la rivière des galets, ainsi que le col du Taïbit, novembre 2004.

Statistiques de l'île de La Réunion en 1854. Source : http://data.abuledu.org/URI/5219e91f-statistiques-de-l-ile-de-la-reunion-en-1854

Statistiques de l'île de La Réunion en 1854

Tapuscrit des "Statistiques" de la carte de Victor Levasseur (1800-1846). Carte et descriptif de l'Ile de la Réunion (Océan indien) (hémisphère austral), 1854 - Fonds Ancely. Titre complet du recueil : Atlas national illustré des 86 Départements et des Possessions de la France divisés par Arrondissements, Cantons et Communes avec le tracé de toutes les routes, chemins de fer et canaux. Dressé d'après les Travaux du Cadastre du Dépôt de la Guerre et des Ponts et Chaussées par V. Levasseur, Ingénieur Géographe attaché au Génie du Cadastre et de la Ville de Paris. Gravé sur acier par les meilleurs artistes. Imprimerie de Lemercier à Paris ou imprimerie Dupuich à Paris. Fonds René Ancely (1876 - 1966), B. M. Toulouse. 443 mots.

Statue de l'Âme de la France à La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/543ec949-statue-de-l-ame-de-la-france-a-la-reunion

Statue de l'Âme de la France à La Réunion

Statue de la Victoire "Âme de la France" de Carlo Sarrebezolles à Hell-Bourg, dans les Hauts de La Réunion. Comme les deux autres modèles, en plâtre et en pierre, L'Âme de la France en bronze est une statue de 3,20 mètres de haut. Elle représente une guerrière casquée étendant ses deux bras vers le ciel, sa main droite terminée par une délicate petite gerbe de fleurs et son poing gauche serrant au contraire avec force un bouclier enfilé sur son avant-bras. Cette posture singulière formant un V n'est pas gratuite. D'après Le Quotidien de La Réunion, "cette femme symbolise la victoire de la France à ses morts reconnaissants", en l'occurrence elle est un hommage aux soldats qui sont tombés pendant la Première Guerre mondiale, une guerre à laquelle La Réunion et les Réunionnais ont participé pour la défense de la Patrie, notamment emmenés par l'aviateur Roland Garros. Ainsi, le personnage figure visuellement la gratitude du pays envers les Poilus grâce à ce que la base Mérimée des Monuments historiques appelle une allégorie profane, et la statue peut donc faire fonction de monument aux morts. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/L%27%C3%82me_de_la_France

Sucrerie de Bois-Rouge à La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/521a48e3-sucrerie-de-bois-rouge-a-la-reunion

Sucrerie de Bois-Rouge à La Réunion

Sucrerie et production d'électricité à l'usine de Bois-Rouge, La Réunion. Située sur le littoral de la commune de Saint-André au nord-ouest de l'étang de Bois Rouge et à l'est de l'embouchure de la rivière Saint-Jean, elle constitue l'une des deux dernières installations de ce type encore en fonctionnement sur l'île. Ce faisant, elle reçoit et extrait le sucre de l'ensemble des cannes récoltées sur la côte-au-vent de Saint-Denis à Sainte-Rose. Fonctionnant selon le principe de la cogénération, elle produit de la vapeur pour le traitement de la canne mais également de l'électricité à partir des déchets qu'elle génère, pendant la campagne sucrière, la bagasse. Cette production d'énergie à partir de biomasse représente 15 à 18 % de la production annuelle, en dehors de la période sucrière, c'est le charbon qui est utilisé pour produire de l'électricité. Sa puissance installée est de 108 MW et elle a produit 721 GWh en 2007.

Tamarin des hauts. Source : http://data.abuledu.org/URI/521f9792-tamarin-des-hauts

Tamarin des hauts

Tamarin des hauts (Acacia heterophylla) à La Réunion, vieil arbre dans les pâturages de la Plaine des Cafres au mois de septembre. C'est une espèce d'arbre de la famille des Fabaceae, endémique de l'île de La Réunion. Il s'y développe entre 1 200 et 2 200 m d'altitude et peut constituer l'essence dominante de forêts appelés “tamarinaies”. Son bois est utilisé en ameublement et en ébénisterie. Le Tamarin des Hauts est un arbre qui dans de bonnes conditions de fertilité peut atteindre 20 à 25 m de hauteur, mais en raison de son enracinement superficiel, il est facilement renversé par les cyclones tout en ayant souvent la capacité de reprendre son développement, ce qui réduit la hauteur dominante de nombreuses tamarinaies à dix ou quinze mètres avec des arbres en partie couchés. Dans la végétation d'altitude, où l'espèce est présente de manière plus ou moins éparse, le port est celui d'un arbrisseau de quelques mètres de hauteur seulement.

Tarier de La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/521a1255-tarier-de-la-reunion

Tarier de La Réunion

Oiseau Tec-Tec, au Cirque de Mafate, La Réunion. Le Tarier de la Réunion ou localement tec-tec (Saxicola tectes) est une espèce d'oiseau forestier endémique de l'île de la Réunion. Le tec-tec est protégé par un arrêté ministériel du 17 février 1989.

Tarier femelle de La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/521a1b86-tarier-femelle-de-la-reunion

Tarier femelle de La Réunion

Tarier tec-tec femelle (Saxicola tectes), sur le sentier de la Roche Écrite, île de La Réunion. Les femelles ont un plumage beige à brun sur le dessus tandis que le dessous est clair avec une poitrine teintée de roux. Les ailes présentent une tache alaire blanche plus ou moins marquée.

Tarier juvénile de La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/521a1ae8-tarier-juvenile-de-la-reunion

Tarier juvénile de La Réunion

Tarier tec-tec juvénile (Saxicola tectes) de La Réunion. C'est un oiseau court et rond, à petit bec fin et pointu, d'une longueur de 12,5 cm. Il est reconnaissable à son sourcil blanc, qui le différencie de Saxicola torquata, le tarier pâtre, dont le sourcil est noir. Il fréquente les clairières forestières et les milieux ouverts, depuis 300 mètres d'altitude jusqu'à la limite haute de végétation, à plus de 2500 m. Il vit en solitaire. On peut le voir souvent se percher au sommet d'un buisson ou d'un rocher pour guetter les insectes qu'il capture au vol ou au sol. Son nid est fait dans le creux d'un tronc ou souvent à même le sol, une habitude sans doute héritée de l'époque (avant l'arrivée de l'homme sur l'île) où il n'avait à craindre aucun prédateur.

Tarier tectec de La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/521a19dd-tarier-tectec-de-la-reunion

Tarier tectec de La Réunion

Tarier tec-tec (Saxicola tectes) en forêt de Mare-Longue (La Réunion).

Tortue verte à La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d05d99-tortue-verte-a-la-reunion

Tortue verte à La Réunion

Gros-plan sur une tortue verte (Chelonia mydas) albinos à La Réunion, une des pensionnaires de Kelonia, l'aquarium de Saint-Leu.

Tourisme et volcanisme à La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/521a2891-tourisme-et-volcanisme-a-la-reunion

Tourisme et volcanisme à La Réunion

Touristes photographiant une coulée de lave, La Réunion, 2004.

Usine désaffectée de Pierrefonds. Source : http://data.abuledu.org/URI/521a5032-usine-desaffectee-de-pierrefonds

Usine désaffectée de Pierrefonds

Vue de l'Usine sucrière désaffectée de Pierrefonds à Saint-Pierre de La Réunion.

Usine sucrière du Gol à La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/521a49de-usine-sucriere-du-gol-a-la-reunion

Usine sucrière du Gol à La Réunion

Usine sucrière et productrice de biomasse du Gol à La Réunion. Située sur le territoire de la commune de Saint-Louis au cœur de la plaine du Gol, elle constitue l’une des deux dernières installations de ce type encore en fonctionnement sur l’île. Ce faisant, elle reçoit et extrait le sucre de l’ensemble des cannes récoltées sur la côte-sous-le-vent de La Possession à Saint-Philippe. Fonctionnant selon le principe de la cogénération, elle produit de la vapeur pour le traitement de la canne mais également de l’électricité à partir des déchets qu’elle génère, pendant la campagne sucrière, la bagasse. Cette production d’énergie à partir de biomasse représente 15 à 18 % de la production annuelle ; en dehors de la période sucrière, l’usine brûle du charbon pour produire de l’électricité. Sa puissance installée est de 122 MW et elle a produit 769 GW·h en 2007, ce qui représente un facteur de charge moyen de 72 %.

Vue de la grotte de Rosemond à La Réunion en 1804. Source : http://data.abuledu.org/URI/521a3d43-vue-de-la-grotte-de-rosemond-a-la-reunion-en-1804

Vue de la grotte de Rosemond à La Réunion en 1804

Vue de la grotte de Rosemond, par Jean Baptiste Bory Saint-Vincent (1778-1846). Source : Voyage dans les quatre principales îles des mers d'Afrique, 1804, planche XLVIII.