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Dessins et plans | Photographie | Inventions | Renault Espace (automobile) | Géométrie | ABCD-inventions | ABCD | Clip art | Physique | Espace-temps | Espace | Sphère | Repères | Coordonnées (mathématiques) | Oiseaux rapaces | Ornithologie | Architecture militaire | Pluton (planète) | Morphologie (biologie) | Corse (France. - Domination génoise) (1347-1768) | ...
Participation, rédaction et discussion sur Wikipédia. Source : http://data.abuledu.org/URI/5443fff0-participation-redaction-et-discussion-sur-wikipedia

Participation, rédaction et discussion sur Wikipédia

Schéma des trois espaces virtuels sur Wikipédia : Encyclopédie ou rédaction ; Espace des discussions : Espace de la maintenance, reliant les pages de même type, discussions surtout.

Peintre de paysage. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f42652-peintre-de-paysage

Peintre de paysage

Peintre de paysage (Parc National de Yellowstone). Étymologiquement, le paysage est l'agencement des traits, des caractères, des formes d'un espace limité, d'un « pays ». C'est une portion de l'espace terrestre, représentée ou observée à l'horizontale comme à la verticale par un observateur ; il implique donc un point de vue. La notion de paysage a une dimension esthétique forte, voire picturale ou littéraire en tant que représentation.

Pictogramme de l'espace. Source : http://data.abuledu.org/URI/51bcc3be-pictogramme-de-l-espace

Pictogramme de l'espace

Pictogramme de l'espace.

Projection orthogonale. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e826a7-projection-orthogonale

Projection orthogonale

La projection orthogonale est un type de perspective très utilisée en dessin (géométrie descriptive), et en infographie : la génération des figures est simple, par contre, on ne peut pas représenter l'éloignement (la taille des objets ne varie pas avec la distance). De manière plus générale, en algèbre linéaire, une projection orthogonale est un projecteur tel que les deux sous-espaces sont orthogonaux. La projection orthogonale permet de résoudre le problème de la plus courte distance d'un point à une droite, d'un point à un plan, ou plus généralement d'un point à un sous-espace affine d'un espace euclidien d'autre part. On peut alors utiliser ce concept pour résoudre des problèmes de type «moindres carrés». L'idée générale, basée sur le théorème de Pythagore, est que le problème de plus courte distance se ramène à une propriété d'orthogonalité.

Règles de vol à vue. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b12466-regles-de-vol-a-vue

Règles de vol à vue

Schéma résumant les règles de vol à vue en France (visibilité minimum, distance aux nuages) selon l'altitude par rapport au niveau moyen de la mer (AMSL) ou par rapport au sol (ASFC). Les règles spécifiques qui s'appliquent sous la surface S (vol à proximité des nuages, visibilité réduite à 1.5 km) ne concernent que les espaces aériens non controlés. Dans un espace de classe E la règle de distances aux nuages (1500 m hor. et 300 m vert.) et de visibilité minimale de 5 km s'applique jusqu'au sol.

Renault Espace 2008. Source : http://data.abuledu.org/URI/5657350d-renault-espace-2008

Renault Espace 2008

Renault Espace 2008.

Renault Espace 2008. Source : http://data.abuledu.org/URI/56573560-renault-espace-2008

Renault Espace 2008

Renault Espace 2008, vue arrière.

Renault Espace1 1984. Source : http://data.abuledu.org/URI/565734a7-renault-espace1-1984

Renault Espace1 1984

Renault Espace1.

Roue du Temps à Budapest. Source : http://data.abuledu.org/URI/5101258b-roue-du-temps-a-budapest

Roue du Temps à Budapest

Roue du Temps à Budapest (en hongrois, Időkerék) : sablier géant situé dans le 14e arrondissement de Budapest, au sud du Városliget. La sculpture prend la forme d'une roue d'acier de 60 tonnes et de 8 m de diamètre, cylindrique et dont les côtés sont recouverts de granit. Au centre de la roue sont disposées verticalement deux chambres, l'une sur l'autre, à la manière d'un sablier classique ; leur contenu est visible grâce à des vitres. Les chambres contiennent des granulés de verre qui passent lentement depuis la chambre haute vers la chambre basse. L'écoulement complet dure une année. Chaque 31 décembre, la Roue est retournée d'un demi-tour afin de permettre un nouvel écoulement du verre pendant une année. Ce retournement s'effectue manuellement à l'aide de câbles. Il faut 45 minutes à quatre personnes pour l'effectuer. L'idée et la construction de la Roue du temps est caractérisée par János Herner ; son design est la réalisation d'István Janáky. La sculpture est inaugurée le 1er mai 2004 pour commémorer l'admission de la Hongrie dans l'Union européenne.

Satellite GPB. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c3ad14-satellite-gpb-

Satellite GPB

Image artistique du satellite "Gravity Probe B" en orbite autour de la Terre pour mesurer l'effet espace-temps. L'idée de recourir à un satellite pour vérifier certains aspects de la théorie de la Relativité générale remontent au début de l'ère spatiale. "Gravity Probe B" est une mission de la NASA développée avec le département de physique de l'université Stanford aux États-Unis, et la compagnie Lockheed Martin comme premier sous-contractant. Cette mission est la deuxième expérience de physique fondamentale portant sur la gravité dans l'espace, après "Gravity Probe A" (GP-A) en 1976. L'effet de précession géodétique ou effet de Sitter découle de la courbure de l'espace-temps créée par le champ gravitationnel d'un objet. Dans le cas d'un objet placé sur une orbite à 640 km d'altitude cet effet induit une rotation de 6,6 secondes d'arc par an. Cet effet a déjà été vérifié notamment à travers l'influence de la Terre sur la Lune avec une précision de 1%.

Scooter. Source : http://data.abuledu.org/URI/51b7295f-scooter

Scooter

Le scooter est une motocyclette caractérisée par des petites roues (d'un diamètre souvent inférieur à 36 cm), un cadre ouvert formant plancher (un large espace entre les roues permet d’y placer les pieds et éventuellement des bagages) et un carénage. Les scooters sont souvent équipés d'un variateur de vitesse mécanique.

Soir. Source : http://data.abuledu.org/URI/5027b0e1-soir

Soir

En fin de journée, au soleil couchant : ombres d'un arbre et d'un batîment. 20h en affichage digital de l'heure.

Sphère dans un espace euclidien. Source : http://data.abuledu.org/URI/51844718-sphere-dans-un-espace-euclidien

Sphère dans un espace euclidien

En géométrie dans l'espace, une sphère est une surface constituée de tous les points situés à une même distance d'un point appelé centre. La valeur de cette distance au centre est appelée le rayon de la sphère. La géométrie sphérique est la science qui étudie les propriétés des sphères.

Stabd Emmabuntus. Source : http://data.abuledu.org/URI/5886ae8e-stabd-emmabuntus

Stabd Emmabuntus

Espace Révolution Numérique à la Fête de l'Humanité 2016.

Structure d'un chloroplaste. Source : http://data.abuledu.org/URI/529061e2-structure-d-un-chloroplaste

Structure d'un chloroplaste

Ultrastructure d'un chloroplaste : 1-membrane externe, 2-espace intermembranaire, 3-membrane interne (1+2+3 : enveloppe), 4-stroma (fluide aqueux), 5-lumière du thylakoïde, 6-membrane du thylakoïde, 7-granum (thylakoïdes accolés), 8-thylakoïde inter-granaire (lamelle), 9-grain d'amidon, 10-ribosome, 11-ADN, 12-plastoglobule (gouttelette lipidique). La taille des chloroplastes est de l'ordre du micromètre (µm). Ils prennent souvent la forme de disques aplatis de 2 à 10 µm de diamètre pour une épaisseur d'environ 1 µm. Le chloroplaste est un organite composé de deux membranes (1 et 3) séparées par un espace inter-membranaire (2). Il contient un réseau membraneux constitué de sacs aplatis nommés thylakoïdes (8) qui baignent dans le stroma (4) (liquide intra-chloroplastique). Les thylakoïdes sont composés d'un lumen (5) entouré d'une membrane (6), et contiennent de la chlorophylle (pigments verts) et des caroténoïdes (pigments jaune orange). Un empilement de thylakoïdes se nomme granum (7) (au pluriel : des grana). D'autre part, le stroma contient quelques réserves sous forme d'amidon (9), et des structures lipidiques dont le rôle est encore mal compris, les plastoglobules (12). De plus, ces organites contiennent de l'ADN regroupé en nucléoides (11). Les ribosomes (10) sont constitués d'ARNr, synthétisés dans les chloroplastes, et de protéines codées par les génomes nucléaires et chloroplastiques.

Structure interne de Pluton. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ac1289-structure-interne-de-pluton

Structure interne de Pluton

Structure interne hypothétique de Pluton : 1 - Azote gelé ; 2 - Glace d'eau ; 3 - Noyau rocheux. La composition interne de Pluton est pour l'instant inconnue. S'il y a eu différenciation planétaire, il pourrait y avoir un noyau rocheux. Si l'on accorde à Pluton une densité de 2, valeur approximative, la densité voisine de 1 des glaces détectées en surface doit être compensée par une masse rocheuse, de densité de l'ordre de 4 ou 5, en proportion égale aux glaces d'eau et d'éléments volatils (azote, méthane, oxyde de carbone). Ces roches pourraient affleurer à la surface sans être visibles car dépourvues de signatures spectrales caractéristiques, ou bien être recouvertes d'un manteau de glaces. Avec une teneur en glace d'eau de l'ordre de 50 % ou plus pour la masse de Pluton, la présence en profondeur d'eau liquide sous l'effet de la haute pression est envisageable dans les couches profondes, coexistant avec de la glace sous haute pression. L'UAI, lors de son 26e congrès tenu le 24 août 2006 en République tchèque, a décidé au terme d'une semaine de débats de compléter la définition de planète, disant qu'une planète élimine de son voisinage tous les objets ayant une taille qui lui soit comparable. Ce qui n'est pas le cas de Pluton, qui partage son espace avec d'autres objets transneptuniens et qui est reclassé en planète naine. Le "Minor Planet Center" lui attribua le 7 septembre 2006 le numéro d'objet mineur 134340.

Système de coordonnées dans l'espace. Source : http://data.abuledu.org/URI/5183091e-systeme-de-coordonnees-dans-l-espace

Système de coordonnées dans l'espace

En géométrie analytique, tout point du plan ou de l'espace est « repéré », c'est-à-dire qu'on lui associe un couple (dans le plan) ou un triplet (dans l'espace) de nombres.

Tête de rapace. Source : http://data.abuledu.org/URI/529b4202-tete-de-rapace

Tête de rapace

Tête de rapace : 1 huppe, ou crête ; 2 couvertures parotiques ou couvertures auriculaires ; 3 moustaches ; 4 espace sous-mustacien ; 5 trait mentonnier ; 6 crête supra-orbitaire ; 7 maxille ; 8 mandibule ; 9 culmen ; 10 cire du bec ; 11 lore ; 12 sourcil.

Tour Santa Maria. Source : http://data.abuledu.org/URI/51caa65a-tour-santa-maria

Tour Santa Maria

Tour génoise Santa Maria, Cap Corse : 1) guardiola, 2) terrasse, 3) salle de garde, 4) salle de repos, 5) réserves. Les tours génoises sont des édifices en pierre de 12 à 17 m de haut sur 8 à 10 m de diamètre. Parfois carrées, le plus souvent circulaires, elles sont toujours construites sur quatre niveaux : 5) la réserve : au sous-sol de la tour ; une niche servait à ranger les vivres ; on y stockait également les munitions ; et l'eau y était conservée dans une citerne, alimentée depuis la terrasse par une conduite directe ; 4) la salle de repos : au premier étage ; parfois séparée de la salle de garde par un simple plancher sommaire et formant avec elle un espace de vie unique ; 3) la salle de garde : au deuxième étage ; percée de meurtrières pour permettre aux torregiani de guetter ; 2) la terrasse : au sommet de la tour ; pour la surveillance ; percée de mâchicoulis ou munie de bretèches, était flanquée d'une guardiola. On passait d'un niveau à l'autre par des trappes et des échelles. L'accès à la porte d'entrée se faisait par une longue échelle mobile, directement au premier étage. Les gardes habitaient à tour de rôle la pièce unique pourvue de niches et d'une cheminée, et située sous la salle de guet.

Trois types de distribution de la population. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b7f4b2-trois-types-de-distribution-de-la-population

Trois types de distribution de la population

Les trois grands types de dispersion de la population. De haut en bas : la dispersion égale, la dispersion inégale et la dispersion insulaire. La distribution spatiale, en écologie, désigne l’arrangement spatial des organismes vivant dans leur milieu naturel. Elle peut aussi se définir comme la fluctuation spatiale de l’abondance des organismes dans leur aire de répartition1. Trois formes de dispersion sont généralement reconnues : égale, inégale et insulaire. La dispersion égale est celle où les organismes sont uniformément répartis dans l’espace. Les dispersions inégale et insulaire représentent les cas où les organismes ne sont pas uniformément répartis dans l’espace. La dispersion inégale donne une apparence d’arbitraire. Toutefois, les organismes sont très rarement dispersés arbitrairement dans un espace. Leur localisation est presque toujours étroitement influencée par divers facteurs biologiques et environnementaux. Dans la dispersion insulaire, les organismes forment des regroupements ou des îlots dans l’espace.

Trou de ver dans l'espace-temps. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c42965-trou-de-ver-dans-l-espace-temps

Trou de ver dans l'espace-temps

Schéma d’un trou de ver de masse négative : Hawking décrit les "trous de ver" (wormholes) des fluctuations quantiques dans l’espace-temps qui, à l’image des tunnels, permettent de prendre des raccourcis dans l’espace-temps. Cette théorie est reprise et vulgarisée par les médias, bien que rien ne prouve que ces trous de ver existent et que personne ne soit capable de dire si ces entités, qui ont une échelle subatomique, peuvent se maintenir à l’échelle macroscopique sans s’effondrer en raison de leur instabilité intrinsèque.

Un triangle sur un globe. Source : http://data.abuledu.org/URI/505b6915-un-triangle-sur-un-globe

Un triangle sur un globe

Sur une sphère, la somme des angles d'un triangle n'est pas égale à 180° : une sphère n'est pas un espace euclidien. Par contre, les lois de la géométrie euclidienne sont de bonnes approximations locales. Pour un petit triangle sur la surface de la Terre, la somme des angles est proche de 180°.

Volume d'univers. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c43bcc-volume-d-univers

Volume d'univers

Illustration schématique d'une partie du volume d'univers d'une 3-brane. Cette image est une représentation dans le temps. En physique théorique, le volume d'univers d'un objet est sa trajectoire unique dans l'espace-temps. Au même titre que la ligne d'univers d'une particule ponctuelle ou la feuille d'univers engendrée par une corde, le volume d'univers d'un brane constitue le volume quadridimensionnel (3 dimensions spatiales et 1 dimension temporelle) engendré par le mouvement de cette brane dans l'espace-temps. Il s'agit donc de la généralisation des lignes d'univers aux branes. En théorie des cordes, une brane, ou p-brane, est un objet étendu, dynamique, possédant une énergie sous forme de tension sur son volume d'univers, qui est une charge source pour certaines interactions de la même façon qu'une particule chargée, telle l'électron par exemple, est une source pour l'interaction électromagnétique. Dans le langage des branes, une particule chargée est appelée une 0-brane. Les branes ont été popularisées par certains modèles cosmologiques dits branaires dans lesquels l'univers observable constituerait le volume interne d'une brane (une 3-brane pour être précis) vivant dans un espace-temps ayant des dimensions supplémentaires.

Zones pélagiques. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b7ec8d-zones-pelagiques

Zones pélagiques

Couches de la zone pélagique. La zone photique, aussi nommée zone euphotique ou zone épipélagique, est la zone aquatique comprise entre la surface et la profondeur maximale d’un lac ou d’un océan, exposée à une lumière suffisante pour que la photosynthèse se produise. La profondeur de la zone photique peut être grandement affectée par la turbidité saisonnière. La zone pélagique est divisée en sous-zones, suivant des différences dans leurs caractéristiques écologiques (qui est sensiblement fonction de la profondeur marine) : 1) Épipélagique (de la surface jusqu'à 200 mètres) - Espace où la lumière est suffisante pour permettre la photosynthèse, les plantes et animaux étant largement concentrés dans cette zone. Cet espace est aussi appelé zone photique. Attention toutefois, la zone photique ne concerne que les 100 premiers mètres de la zone épipélagique. En dessous, il ne reste plus que 1 % du rayonnement global (le bleu va plus profondément, le rouge beaucoup moins), ce qui est insuffisant pour la photosynthèse. 2) Mésopélagique (entre 200 et 1 000 mètres) - La lumière arrivant à pénétrer ces profondeurs est insuffisante pour la photosynthèse. Le nom vient du grec μέσον (meson), « milieu ». Cet espace est aussi appelé zone aphotique. 3) Bathypélagique (entre 1 000 mètres et 4 000 mètres) - À cette profondeur, l'océan est presque entièrement sombre (avec simplement les organismes bioluminescents). Il n'y a pas de plantes vivantes et la plupart des animaux survivent en consommant la neige marine des détritus tombant des zones au-dessus, ou par la chasse d'autres organismes. Les calmars géants vivent à cette profondeur, où ils sont chassés par le cachalot. Le nom vient du grec βαθύς (bathys), « profond ». 4) Abyssopélagique (de 4 000 mètres jusqu'à la croûte océanique) - Aucune lumière quelle qu'elle soit ne pénètre à cette profondeur. La plupart des êtres vivants sont aveugles et albinos. Le nom vient du grec άβυσσος (abyssos), « abysse », signifiant « sans fond » (dans les temps anciens, on croyait que l'océan était sans fond). 5) Hadopélagique (les profondeurs des failles océaniques, jusqu'à 11 000 mètres) - Le nom dérive de Hadès, dieu de la mythologie grecque régnant sur le monde souterrain. Cette zone est en très grande partie inconnue et très peu d'espèces y ont été répertoriées.