Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Photographie | Dessins et plans | Chantiers de construction | Architecture | Géométrie | Chantiers de construction -- Équipement | Compas | Construction en adobe | Construction en terre | Constructions géométriques | Briques | Échafaudages | Chevreuse (Yvelines) | Outils | La Rochelle (Charente-Maritime) | Chiffres romains | Marchés | Phares -- France | Phares | Paris (France) | ...
Construction en kapla. Source : http://data.abuledu.org/URI/56dfca39-construction-en-kapla

Construction en kapla

Escalier en kapla.

Construction et manipulation d'un hexahexaflexagone. Source : http://data.abuledu.org/URI/52f2ae1c-construction-et-manipulation-d-un-hexahexaflexagone

Construction et manipulation d'un hexahexaflexagone

Construction et manipulation d'un hexahexaflexagone en huit étapes.

Construction géométrique d'une frise. Source : http://data.abuledu.org/URI/51803e6d-construction-geometrique-d-une-frise

Construction géométrique d'une frise

Exemple de frise géométrique avec son vecteur de translation.

Construction géométrique du drapeau de l'Europe. Source : http://data.abuledu.org/URI/518a9de2-construction-geometrique-du-drapeau-de-l-europe

Construction géométrique du drapeau de l'Europe

Construction géométrique du drapeau de l'Europe : Le drapeau est rectangulaire avec une proportion de 2:3. Il est composé d'un cercle de douze étoiles d'or sur un champ d'azur. Toutes les étoiles sont disposées verticalement (la pointe vers le haut), ont cinq branches et sont espacées de façon égale selon les positions des heures sur cadran d'une horloge. Chaque rayon d'étoile est égal à un dix-huitième de la hauteur du guindant. La description héraldique officielle donnée par l'Union européenne est : « Le drapeau européen est représenté par un cercle de douze étoiles d'or sur fond bleu. Les étoiles symbolisent les idéaux d'unité, de solidarité et d'harmonie entre les peuples d'Europe. »

Construction géométrique du drapeau turc. Source : http://data.abuledu.org/URI/517f8125-construction-geometrique-du-drapeau-turc

Construction géométrique du drapeau turc

Programme de construction du drapeau turc, croissant de lune et étoiles sur fond rouge.

Construction géométrique du symbole de l'Euro. Source : http://data.abuledu.org/URI/506d5a57-construction-geometrique-du-symbole-de-l-euro

Construction géométrique du symbole de l'Euro

Schéma de construction du symbole de l'Euro.

Coupe géologique du secteur de Bure (Meuse). Source : http://data.abuledu.org/URI/50957e29-coupe-geologique-du-secteur-de-bure-meuse-

Coupe géologique du secteur de Bure (Meuse)

Coupe géologique du secteur de Bure. Coupe NO-SE au niveau du Laboratoire de recherche souterrain de Meuse/Haute-Marne : réseau de galeries souterraines localisé sous le territoire de la commune de Bure (Meuse). Dans le cadre des recherches sur le stockage des déchets radioactifs en couche géologique profonde, ce laboratoire de recherche souterrain est exploité par l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) afin d'évaluer les propriétés de confinement de la formation géologique située à 500 mètres de profondeur. La construction du laboratoire débute en 2000 dans le cadre de la loi Bataille relative aux recherches sur la gestion des déchets radioactifs de haute activité. Une première phase de construction (des expériences sont menées en parallèle) s'achève en 2007 et des travaux d'extension sont en cours depuis 2008.

Date de construction du marché couvert de La Rochelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5821fd8f-date-de-construction-du-marche-couvert-de-la-rochelle

Date de construction du marché couvert de La Rochelle

Marché couvert de La Rochelle-17 : date de construction en chiffres romains.

Date de construction du marché couvert de La Rochelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5821fdc3-date-de-construction-du-marche-couvert-de-la-rochelle

Date de construction du marché couvert de La Rochelle

Marché couvert de La Rochelle-17 : date de construction en chiffres romains.

Dessin humoristique d'un tunnel en construction. Source : http://data.abuledu.org/URI/501c54df-dessin-humoristique-d-un-tunnel-en-construction

Dessin humoristique d'un tunnel en construction

Dessin humoristique d'un tunnel en construction par l'illustrateur Peter Welleman, avec légendes en anglais.

Echafaudage. Source : http://data.abuledu.org/URI/533ece29-echafaudage

Echafaudage

Chantier de l'ancienne gendarmerie de Chevreuse. Un échafaudage est une construction temporaire constituée de ponts, de passerelles ou de plates-formes soutenus par une charpente en bois, en acier ou en aluminium. Il est destiné à permettre l'accès des artisans et du matériel en tous points d'un bâtiment à édifier ou à réparer. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89chafaudage

Entrepôt Lainé. Source : http://data.abuledu.org/URI/5547b330-entrepot-laine

Entrepôt Lainé

Entrepôt Lainé à Bordeaux : Dès 1820, Pierre Balguerie-Stuttenberg incite la chambre de commerce de Bordeaux à s'équiper de lieux de stockage faciles d'accès et permettant de stocker les marchandises dans de bonnes conditions. En mars 1822, la chambre de commerce achète à la ville une zone à bâtir, et confie le mois suivant à Claude Deschamps le projet de construction d'un entrepôt sur ce site, alors qu'il venait de terminer la construction du pont de pierre. Les bâtiments sont réalisés en 1824 et sont utilisés pour les marchandises débarquées des bateaux arrivant d'Afrique. Son architecture puise ses sources en Italie, romaine et moderne. La façade est entièrement construite en pierre de taille. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Entrep%C3%B4t_Lain%C3%A9

Géologie d'une carrière parisienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/514395af-geologie-d-une-carriere-parisienne

Géologie d'une carrière parisienne

Schéma en coupe (simplifié) des carrières de calcaire parisiennes. Vue simplifiée des bancs de roche qui composent la géologie des carrières de la rive gauche de Paris. En jaune, les bancs exploitables pour la construction. De bas en haut : Juste au-dessus des sables yprésiens, on trouve le lutétien inférieur. Celui-ci se reconnaît par un grand nombre de nummulites visibles à l'œil nu dans la roche, et se divise en deux bancs : 1) La base verdâtre, dont la couleur révèle la présence de glauconie et de quartz ; 2) Les forgets, petits bancs alternant calcaires durs (également glauconieux) et lits de sable. En raison de sa profondeur et du peu de pierre utilisable pour la construction, cette couche n'a pas été exploitée par les carriers. Encore au-dessus, le lutétien moyen constitue une strate de six mètres d'épaisseur. Il se divise en trois bancs : 1) Le banc à vérin des carriers, reconnaissable par les cérithes géants qui s'y trouvent et par une couleur jaune-rougeâtre. D'un grain serré, il n'a été exploité que dans sa partie supérieure et de façon épisodique. 2) Les lambourdes ou vergelets, banc gris, peu épais et tendre. Il ne contient pas d'eau, ce qui le rend « non gélif » (il ne peut pas geler) et utilisable pour la construction, bien que les traces de coquilles et de fossiles y soient très visibles. 3) Le banc royal, non gélif et homogène, qui fournit des pierres de grande qualité pour la construction. Le lutétien supérieur contient quant à lui les bancs les plus variés et les plus exploitables. Il se constitue de deux strates : le banc vert et les bancs francs. Le premier sépare les niveaux inférieurs et supérieurs en carrière, le second constitue le calcaire le plus souvent exploité, avec plusieurs bancs exploitables souvent séparés par des couches de sables plus ou moins marneuses appelées bousins. Ces bancs sont en partie composés d'argile et contiennent de l'eau, ce qui les rend gélifs, mais leur dureté et leur solidité les rend tout à fait aptes à la construction. Le banc vert, premier étage du lutétien supérieur, se divise en trois bancs : 1) le liais du bas, 2) le banc vert proprement dit (qui donne son nom générique aux deux couches qui l'entourent), composé d'un lit marneux, d'argile verte et de fossiles qui témoignent de son origine lacustre, et 3) le liais du haut, identique à celui du bas. Ce liais est appelé liais franc lorsqu'il est exploité, et banc de marche lorsqu'il constitue le sol de la carrière (et donc que les visiteurs marchent dessus). Les bancs francs, qui représentent les bancs les plus souvent visibles dans les galeries de carrière, se subdivisent en six sortes : 1) Le banc de laine, ou cliquart, ou banc des galets. D'une faible épaisseur, il contient peu de fossiles. Sa consistance varie selon les cas et ressemble à celle des lambourdes lorsqu'elle est tendre, du liais lorsqu'elle est dure ; 2) Le grignard, ou coquiller. Très riche en fossiles, ce banc est peu exploitable, car il est trop constellé de coquillages pour donner des blocs réellement solides. 3) Le souchet. Très tendre, peu compact, il va donner son nom au souchevage, une technique d'extraction de la pierre. En effet, pour commencer à exploiter les bancs situés juste au-dessus, les carriers extraient le souchet de manière à créer un espace vide horizontal, puis creusent des fentes sur le côté du bloc à extraire (ce que l'on appelle le défermage). Contenant quelquefois des galets et des fossiles, le souchet se délite facilement. 4) Le banc blanc, ou banc royal, ou liais franc, ou remise. D'un grain fin et serré, il donne des blocs de bonne qualité, qui se vendront à prix d'or pendant les chantiers du XVIIIe et du XIXe siècle. 5) Le banc franc, ou haut banc, ou banc royal, ou rustique. Il ressemble au banc blanc, et donne lui aussi des blocs de qualité, mais on l'en distingue par le fait qu'il contienne beaucoup moins de fossiles. 6) La roche, ou ciel de carrière. Cette couche, très dure et très coquillière, est souvent laissée en place pour servir de toit à la carrière (que l'on appelle ciel de carrière).

Grande Mosquée de Djenné. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d146cf-grande-mosquee-de-djenne

Grande Mosquée de Djenné

Grande Mosquée de Djenné au Mali : la construction actuelle date des environs de 1907. Marquant le centre de l’agglomération de Djenné, c’est aussi l’un des symboles les plus remarquables de l’Afrique subsaharienne. De concert avec la ville de Djenné elle-même, elle est inscrite depuis 1988 à la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Grande_mosqu%C3%A9e_de_Djenn%C3%A9.

Grande Mosquée de Djenné au Mali. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d15b1b-grande-mosquee-de-djenne-au-mali

Grande Mosquée de Djenné au Mali

Grande Mosquée de Djenné au Mali : Les branches de palmier insérées dans les murs absorbent les contraintes dues aux variations climatiques et servent d’échafaudage permanent pour les opérations d’entretien de l’édifice.

Grue et crochet de levage. Source : http://data.abuledu.org/URI/538a2af7-grue-et-crochet-de-levage

Grue et crochet de levage

Grue et crochet de levage sur le site de la gendarmerie de Chevreuse.

Grue médiévale du chantier de Guédelon. Source : http://data.abuledu.org/URI/537f73cf-grue-medievale-du-chantier-de-guedelon

Grue médiévale du chantier de Guédelon

"Cage à écureuil" sur le chantier du château de Guédelon. La grue médiévale est une machine servant, dans la construction de bâtiments et dans les carrières, à élever de gros fardeaux, au moyen d'une roue appelée tympan. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Grue_%28histoire%29

Grues sur un chantier de construction. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e63c35-grues-sur-un-chantier-de-construction

Grues sur un chantier de construction

Exemple de grues de chantiers de construction. Chaque grue a une charte qui définit clairement sa capacité de levage en rapport avec le rayon et l'angle de la flèche. En France, c'est l'AFNOR qui définit clairement les normes spécifiques au métier de grutier afin d'accroître la sécurité des travailleurs. Le grutier est la personne responsable de la grue. Il est celui qui a le dernier mot quant aux manœuvres de celle-ci. Il a comme tâche de définir des plans de levage, de veiller à la sécurité des opérations et doit être méticuleux et observateur. Les flèches des grues de chantier n’ont généralement qu’un seul degré de liberté, mais la charge est suspendue à un chariot mobile le long de leur flèche, dont la position doit rester toujours proche de l'horizontale. Une grue peut être commandée depuis une cabine, ou par l’intermédiaire d'une radiocommande portée par un homme sur le terrain, qui peut diriger rapidement et précisément le mouvement de la charge.

Île Du Guesclin en Bretagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5358d551-ile-du-guesclin

Île Du Guesclin en Bretagne

L’île du Guesclin est un îlot accessible à marée basse, à Saint-Coulomb en Ille-et-Vilaine (Bretagne), entre Saint-Malo et Cancale. Le Fort du Guesclin est construit sur l'île. La première construction fut bâtie en 1026 : un imposant château fort flanqué de trois tours et d'un donjon, protégé par deux cercles d'enceintes et doté d'une citerne profonde de 33 mètres. En 1207, Jean sans Terre, roi d'Angleterre, fit occuper le fort jusqu'à ce que Juhel III de Mayenne en chassât les Anglais à la suite de sanglants combats. De 1757 à 1759 l'ancienne construction fut rasée et Vauban y fit construire un fort comprenant une caserne avec poudrière et des plateformes canons pour protéger la côte des Anglais. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fort_du_Guesclin

Immeuble en construction à NY en 1912. Source : http://data.abuledu.org/URI/589ecc52-immeuble-en-construction-a-ny-en-1912

Immeuble en construction à NY en 1912

L'immeuble Woolworth en construction le 2 février 1912 à New York.

Inscription commémorant la construction d'une salle de jeu de paume. Source : http://data.abuledu.org/URI/52740788-inscription-commemorant-la-construction-d-une-salle-de-jeu-de-paume

Inscription commémorant la construction d'une salle de jeu de paume

Architrave en pierre calcaire avec inscription commémorant la construction d'une salle de jeu de paume (sphaeristerium) dans un complexe thermal et sportif, en l'honneur de Claudius Maternus au début du II° s. ap. J.-C., Musée gallo-romain d'Avenches en Suisse.

Intersection de deux droites. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c50902-intersection-de-deux-droites

Intersection de deux droites

Construction au compas seul de l'intersection de deux droites (étape 1) : construction du point C' symétrique de C par rapport à (AB) et du point E sur (CD) tel que C'C=C'E.

Jeu de construction. Source : http://data.abuledu.org/URI/5026b5f8-jeu-de-construction
La cour impériale d'Amarapura en Birmanie. Source : http://data.abuledu.org/URI/52b6d0f0-la-cour-imperiale-d-amarapura-en-birmanie

La cour impériale d'Amarapura en Birmanie

La cour impériale à Ummerapoura. Illustration par Yan Dargent (1824-1899), in Jean Rambosson, Histoire des météores et des grands phénomènes de la nature, p.369, Firmin-Didot, 1883 (wikisource) : Il y a quelques années, M. Babinet, de l’Institut, a présenté à l’Académie des sciences, de la part de M. Marchal, de Lunéville, la figure d’un des appareils qui, en Chine, accompagnent toujours les flèches aiguës qui couronnent les tours nombreuses de ce pays, où chaque ville a la sienne. Suivant l’auteur, les chaînes qui accompagnent la flèche, et qui, partant de son pied, vont rejoindre les angles saillants de la tour, sont de vrais conducteurs de l’agent électrique, dont l’expérience peut avoir fait reconnaître l’efficacité à un peuple bien plus observateur que théoricien. Il a remarqué que dans la construction des tours chinoises il n’entre point de substances métalliques, pas plus que dans leurs maisons et leurs palais. L’appareil des chaînes offre donc une sorte d’enveloppe conductrice qui préserve la tour de l’introduction de l’électricité. Ces tours, d’ailleurs, n’ont jamais été frappées de la foudre. La fameuse tour de porcelaine de Nankin a quinze siècles d’existence. M. Marchal rapproche la construction chinoise de la méthode italienne, qui consiste à consolider les flèches par des haubans métalliques allant se fixer aux angles du bâtiment ; il ajoute que la flèche de l’appareil chinois se termine en flamme dorée, et, par suite, conductrice.

La Tour de Babel. Source : http://data.abuledu.org/URI/52a6c3bc-la-tour-de-babel

La Tour de Babel

Construction de la Tour de Babel, 1568, par Pieter Brueghel l'ancien (1526/1530–1569). La tour de Babel est une tour mythique évoquée dans la Genèse. Après le Déluge, les premiers hommes entreprennent sa construction pour atteindre le ciel, mais Dieu interrompt leur projet qu'il juge trop ambitieux, en brouillant leur langage et en les dispersant sur la Terre.

La Tour Eiffel en cours de construction en 1888. Source : http://data.abuledu.org/URI/53c71227-la-tour-eiffel-en-cours-de-construction-en-1888

La Tour Eiffel en cours de construction en 1888

La Tour Eiffel en cours de construction en 1888, par Louis-Emile Durandelle (1839-1917) : "Exposition Universelle de 1889/Etat d'Avancement/Au 188 /G. Eiffel, Ingenieur et Constructeur". Source : Getty Museum.

Livraison de béton en hauteur. Source : http://data.abuledu.org/URI/51de4b73-livraison-de-beton-en-hauteur

Livraison de béton en hauteur

Livraison de béton en hauteur sur un chantier de construction (maisons).

Lotissement de maisons en briques. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c2035e-lotissement-de-maisons-en-briques

Lotissement de maisons en briques

Lotissement de maisons individuelles en briques, en cours de construction.

Maçons. Source : http://data.abuledu.org/URI/51acb435-macons

Maçons

Le maçon est un professionnel du bâtiment qui pratique la maçonnerie. Cette discipline consiste à créer, choisir et utiliser des éléments de construction composés de divers matériaux (briques, pierres, paille, torchis, terre, bois, métaux, béton...) pour édifier, parfois de manière artistique, une habitation, un monument, une cheminée ou tout autre ouvrage ou œuvre de construction.

Maison médiévale de Montignac-24. Source : http://data.abuledu.org/URI/5994e95e-maison-medievale-de-montignac-24

Maison médiévale de Montignac-24

Ville médiévale à Montignac-24 : 15-08-2017.

Mur de briques. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d637b1-mur-de-briques

Mur de briques

Mur en briques de différentes tailles et teintes, en assises parallèles (Perse).

Paris, capitale du dix-neuvième siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d97bb9-paris-capitale-du-dix-neuvieme-siecle

Paris, capitale du dix-neuvième siècle

"Paris, capitale du dix-neuvième siècle" : A. Fourier ou Les passages, chapitre 1. Walter Benjamin (1892 - 1940) est un philosophe, historien de l'art, critique littéraire, critique d'art et traducteur (notamment de Balzac, Baudelaire et Proust) allemand de la première moitié du XXe siècle, rattaché à l'école de Francfort. Les "passages" sont contemporains du commerce de luxe parisien et des débuts de la construction métallique.

Pelleteuse. Source : http://data.abuledu.org/URI/5287d104-pelleteuse

Pelleteuse

Pelleteuse sur un chantier.

Phare de Contis dans les Landes. Source : http://data.abuledu.org/URI/53a98b43-phare-de-contis

Phare de Contis dans les Landes

Le phare de Contis est un phare maritime de 1er ordre du littoral aquitain et un amer situé à Contis, station balnéaire de la commune de Saint-Julien-en-Born, dans le département français des Landes. Jusqu'en 1790, le plus grand des deux clochers de l'église Sainte-Marie de Mimizan sert d'amer, facilitant la navigation diurne dans cette partie du golfe de Gascogne. Il s'effondre à cette date par vétusté et manque d'entretien. En 1856, la Commission des phares décide, sous l'égide de Napoléon III, de renforcer les dispositifs de navigation dans ce secteur par la construction d'un nouveau phare, qui se situerait à égale distance de de Biarritz et d'Arcachon. La construction du phare de Contis-les-bains, comme on dit alors, est ainsi ordonnée par décret de Napoléon III en 1860. Entièrement blanc à l'origine, le phare est embelli en 1937 et orné de deux bandes noires en forme de double vis d'Archimède par le peintre Bellocq4, afin qu'il puisse aussi servir d'amer, c'est-à-dire de repère de jour à la navigation. Il se classe ainsi dans la catégorie des phares "barber's poles" (du nom des enseignes de barbier aux États-Unis) noirs et blancs, caractérisée par deux bandes noires effectuant chacune un enroulement autour du corps du phare. La première bande noire prend naissance à la base du phare au niveau de la porte ouest, la seconde bande débute à la base du phare au niveau de sa porte est. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Contis

Phare de Granville dans les îles Chausey. Source : http://data.abuledu.org/URI/537f53a1-phare-de-granville-

Phare de Granville dans les îles Chausey

Le phare de Granville appelé aussi phare du Cap Lihou se situe sur la pointe du Roc, au cap Lihou dans le département de la Manche, sur la commune de Granville en Basse-Normandie. Le 9 octobre 1825, l'ingénieur Augustin Fresnel (1788-1827) vient valider la construction d'un bâtiment à Granville. C'est lui aussi qui dessine les plans de la tour. Il est un des phares les plus anciens du premier plan de Rossel. C'est une tour grise en granit de Chausey et son sommet est peint en rouge. Il a subi très peu de modifications depuis sa construction. À part l'optique, les équipements intérieurs sont d'origine. À l'intérieur du phare on trouve différentes salles, dont une chambre à coucher avec le lit et les placards en chêne, des cheminées, de la marqueterie(décoration avec lions et feuilles). La coupole est en cuivre à boule et la girouette date de 1882. La salle de repos est en bon état général. En service depuis le 1er novembre 1828, le phare mesure 16 mètres et domine la mer à 52 mètres. Le foyer se trouve à 49 mètres. Le phare est électrifié en 1924. Son automatisme est télécommandé depuis le phare de Chausey. Le phare est inscrit monument historique depuis 2009. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Granville

Pipeline en construction. Source : http://data.abuledu.org/URI/501ff1a5-pipeline-en-construction

Pipeline en construction

Pipeline en construction.

Plan du Louvre et des Tuileries. Source : http://data.abuledu.org/URI/50acd482-plan-du-louvre-et-des-tuileries

Plan du Louvre et des Tuileries

Plan du louvre et des Tuileries coloré par étape de construction.

Plans du Crystal Palace de Londres en 1852. Source : http://data.abuledu.org/URI/5489be18-plans-du-crystal-palace-de-londres-en-1852

Plans du Crystal Palace de Londres en 1852

Plan des façades avant et arrière du Crystal Palace en 1852 par l'architecte britannique Sir Joseph Paxton (1803-1865). Jardinier de formation, il proposa pour l'exposition universelle de Londres en 1851, un projet de palais d'exposition de verre et de fer. Le Crystal Palace (palais de cristal) fit sensation, marquant l'architecture de la révolution industrielle et fut la première production sérielle de pièces montées sur le chantier même. Par les matériaux utilisés (fer et verre) comme par la technique de construction (assemblage d'éléments préfabriqués qui permirent une construction rapide), il symbolise et démontre la supériorité industrielle et technique du Royaume-Uni d'alors. Le Crystal Palace fut détruit lors d'un incendie en 1936. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_Paxton

Pont de Pierre de Bordeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/5148badb-pont-de-pierre-de-bordeaux

Pont de Pierre de Bordeaux

Bordeaux: "Pont de Pierre" vu de la flèche Saint-Michel : pont franchissant la Garonne à Bordeaux et reliant la rive gauche (cours Victor Hugo) au quartier de la Bastide (avenue Thiers). Il est inscrit monument historique depuis le 17 décembre 2002. Premier pont sur la Garonne, il est construit sur ordre de Napoléon Ier entre 1810 et 1822. En 1816, Pierre Balguerie-Stuttenberg, prend la tête d'une association d'armateurs et de négociants bordelais afin de construire le pont de pierre, dont la construction nécessitait un financement complémentaire à celui de l'état. L'association propose au gouvernement d'apporter 2 millions de francs pour continuer les travaux. En échange une concession de l'exploitation du pont serait accordée pendant 99 ans avec un droit de péage. L'état accepte cette offre. Durant ces douze années, les ingénieurs, Claude Deschamps et son gendre Jean-Baptiste Billaudel, doivent faire face à de nombreux problèmes en raison du courant très fort à cet endroit-là. C'est grâce à une cloche à plongée empruntée aux Britanniques que les piliers du pont sont stabilisés. Il compte dix-sept arches (nombre de lettres dans le nom de Napoléon Bonaparte). Sur les côtés, chaque pile de briques est rehaussée d'un médaillon blanc en l'honneur de l'empereur. Il porte aussi les petites armoiries de la ville (les trois croissants entrelacés). L'ouvrage est achevé en 1821 pour le gros œuvre. Ce pont reste le seul pont bordelais permettant la circulation routière jusqu'à la construction du pont Saint-Jean en 1965.

Pont de pierre en construction en 1840. Source : http://data.abuledu.org/URI/589ecf53-pont-de-pierre-en-construction-en-1840

Pont de pierre en construction en 1840

Karl Würbs – Pont en construction au-dessus de la Vltava à Prague, 1840.

Pose de traverses de chemin de fer en béton. Source : http://data.abuledu.org/URI/51328fcc-pose-de-traverses-de-chemin-de-fer-en-beton

Pose de traverses de chemin de fer en béton

Chantier de construction de la voie ferrée d'Adélaide à Darwin, 1er Septembre 2003.

Rampe enveloppante d'accès à une pyramide. Source : http://data.abuledu.org/URI/50aeaa25-rampe-enveloppante-d-acces-a-une-pyramide

Rampe enveloppante d'accès à une pyramide

Rampe hélicoïdale (ou enveloppante) préconisée par Georges Goyon et N. Wheeler. Cette théorie s'appuie sur une construction de la pyramide avec des rampes de brique crue parallèles aux faces et permettant de tirer les blocs de pierre d'un étage à l'autre. Enveloppant entièrement la construction, cette rampe aurait permis l'élaboration de chaque assise, pierres de parement incluses, offrant une explication plausible à la finition des pierres de revêtement à partir du sommet de la pyramide. En effet, une fois le pyramidion posé, il ne restait plus qu'à démanteler la rampe à partir du sommet, dévoilant les blocs de parement qu'il suffisait de ravaler.

Séchage d'adobe au soleil. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d13fd7-sechage-d-adobe-au-soleil

Séchage d'adobe au soleil

Briques d'adobe séchant au soleil dans la région de Cachi en Argentine.

Serres agricoles en construction près de Nérac. Source : http://data.abuledu.org/URI/552af9f1-serres-agricoles-en-construction-pres-de-nerac

Serres agricoles en construction près de Nérac

Serres agricoles en construction près de Nérac (47).

Symétrique d'un point par rapport à une droite. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c4f554-symetrique-d-un-point-par-rapport-a-une-droite

Symétrique d'un point par rapport à une droite

Construction du symétrique d'un point C par rapport à une droite à la règle et au compas : Le symétrique du point C par rapport à la droite (AB) s'obtient en construisant le point d'intersection (différent de C) entre le cercle de centre A passant par C et le cercle de centre B et passant par C. Si le point C est sur la droite (AB), il est son propre symétrique et aucune construction n'est nécessaire.

Symétrique d'un point par rapport à une droite. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c4f82c-symetrique-d-un-point-par-rapport-a-une-droite

Symétrique d'un point par rapport à une droite

Construction au compas seul du symétrique d'un point par rapport à une droite. Le symétrique du point C par rapport à la droite (AB) est le point d'intersection des cercles de centres A et B et passant par C. Dans la construction la droite (AB) est tracée en pointillés pour permettre de suivre le raisonnement mais elle ne sert pas en tant que telle dans la construction. En géométrie classique plane, le théorème de Mohr Mascheroni, démontré par Georg Mohr en 1672 et par Lorenzo Mascheroni en 1797, affirme que si une construction géométrique est possible à la règle et au compas, alors elle est possible au compas seul (sauf le tracé effectif des droites). Est considéré comme constructible tout point d'intersection de deux cercles dont les centres sont des points déjà construits et dont les rayons sont des distances entre des points déjà construits.

Truelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/51793a91-truelle

Truelle

Outil dont les maçons et plâtriers se servent pour manipuler le plâtre ou le mortier et qui est formé d’une lame triangulaire de métal au bout arrondi ou carré et dont le manche recourbé est garni d’une poignée généralement en bois.

Tuile. Source : http://data.abuledu.org/URI/518275c6-tuile

Tuile

Une tuile est un élément de construction utilisé dans le bâtiment comme pièce de couverture de bâtiment et de chaperon de mur. Ce terme dérive du nom latin de ces objets : tegula, ce terme dérive de tegere qui signifie « couvrir ».

Viaduc du Ru de Maubée. Source : http://data.abuledu.org/URI/56d0d2b4-viaduc-du-ru-de-maubee

Viaduc du Ru de Maubée

RER A - Marne-la-Vallée - Viaduc de Torcy - Construction de voussoirs préfabriqués - Poutre de lancement.