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Dessins et plans | Réseaux trophiques | Chaînes alimentaires | Photographie | Écologie | Paléoenvironnement | Biologie | Cambrien | Production primaire (biologie) | Chaînes alimentaires (écologie) | Treizième siècle | Polygones | Architecture médiévale -- Espagne | Tachéomètres | Topographie -- Instruments | Restitution (topographie), Appareils de | Séville (Espagne) | Donjons | Séville (Espagne) -- Torre del Oro | Haute fidélité | ...
Pyramide des étages trophiques. Source : http://data.abuledu.org/URI/529a51a7-pyramide-des-etages-trophiques

Pyramide des étages trophiques

Schéma vierge de la pramide des étages trophiques (vectorisation Cyrille Largillier, novembre 2013). En écologie, le niveau trophique est le rang qu'occupe un être vivant dans un réseau trophique. Il se mesure en quelque sorte par la distance qui sépare cet être du niveau basique qui est celui de la production primaire autotrophe. Au-dessus de ce niveau de base, chaque maillon (ou étage) d'une chaîne alimentaire correspond à un niveau trophique.

Pyramide des étages trophiques. Source : http://data.abuledu.org/URI/529a525f-pyramide-des-etages-trophiques

Pyramide des étages trophiques

Pyramide des étages trophiques légendée en français (vectorisation Cyrille Largillier, novembre 2013).

Pyramide écologique. Source : http://data.abuledu.org/URI/588c807f-pyramide-ecologique

Pyramide écologique

Pyramique écologique légendée en anglais

Pyramide trophique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f9dc66-pyramide-trophique

Pyramide trophique

Pyramide trophique légendée en anglais. 1) Sols, décomposeurs ; 2) Photosynthèse, producteurs primaires ; 3) Herbivores, consommateurs primaires ; 4) Carnivores, consommateurs secondaires, Omnivores ; 5) Grands carnivores, consommateurs tertiaires.

Répartition des chaînes varisques. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a2b9e2-repartition-des-chaines-varisques

Répartition des chaînes varisques

Répartition des chaînes varisques et celles d'âge similaire (zone hachurée). Le terme « varisque » est introduit par le géologue Eduard Suess en 1888 pour décrire l'orogenèse hercynienne qu'il étudiait au Sud de l'Allemagne. Ce vocable est emprunté aux Varasques, habitants de l'actuel Vogtland, dont la ville principale "Hof" s'appelait en latin "Curia Variscorum" (le minéral variscite découvert dans cette même région a une étymologie identique). Parallèlement le géologue français Marcel Bertrand employa le terme « hercynien » (du latin "Hercynia silva", forêt hercynienne, qui s'étendait sur l'Allemagne centrale) pour désigner ces mêmes reliefs formant l'armature de l'Europe. Suess s'intéressait plus aux différences paléontologiques et structurales entre les chaînes de montagne alors que Bertrand cherchait plus à trouver des corrélations entre ces massifs. Aussi, parle-t-on aujourd'hui préférentiellement, pour désigner des entités géologiques cependant communes, de chaînes varisques et de massifs hercyniens qui s'appliquent plus spécifiquement au Harz et au Harzgebirge (Monts hercyniens).

Réseau trophique en eaux côtières. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f9d814-reseau-trophique-en-eaux-cotieres

Réseau trophique en eaux côtières

Réseau trophique en eaux côtières. Un réseau trophique (ou chaîne tropho-dynamique) se définit comme un ensemble de chaînes alimentaires reliées entre elles au sein d'un écosystème et par lesquelles l'énergie et la matière circulent (échanges d'éléments tel que le flux de carbone et d'azote entre les différents niveaux de la chaîne alimentaire, échange de carbone entre les végétaux autotrophes et les hétérotrophes). Le terme trophique se rapporte à tout ce qui est relatif à la nutrition d'un tissu vivant ou d'un organe. Par exemple, une relation trophique est le lien qui unit le prédateur et sa proie dans un écosystème. Dans un écosystème, la structure des réseaux trophiques (les types et réseaux de relations alimentaires entre organismes) influence fortement la quantité, la diversité, la stabilité et la qualité de la biomasse et de la matière organique résiduelle (excrétions, nécromasse) produites par les écosystèmes. La qualité d'un réseau trophique et de ses interactions a un lien direct avec la stabilité et résilience des populations qui en font partie.

Réseaux trophiques. Source : http://data.abuledu.org/URI/588c7cd2-reseaux-trophiques

Réseaux trophiques

Représentation graphique de réseaux trophiques (chaine alimentaire) et niveaux trophiques pour les paléoenvironnements de Chengjiang et de Burgess (Cambrien). S = nombre d'espèces (nœuds). L= nombre de liens trophiques. C= connectance ; L/S2. MaxTL = niveau trophique max. d'une espèce dans le réseau. Auteurs : Dunne JA, Williams RJ, Martinez ND, Wood RA, Erwin DH, PlosBiol website : http://www.plosbiology.org/static/license.action.

Réseaux trophiques en paléoenvironnements. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b7e40a-reseaux-trophiques-en-paleoenvironnements

Réseaux trophiques en paléoenvironnements

Représentation graphique de réseaux trophiques (chaine alimentaire) et niveaux trophiques pour les paléoenvironnements de Chengjiang et de Burgess (Cambrien). S = nombre d'espèces (nœuds). L= nombre de liens trophiques. C= connectance ; L/S2. MaxTL = niveau trophique max. d'une espèce dans le réseau. Source : Dunne JA, Williams RJ, Martinez ND, Wood RA, Erwin DH, 2008 Compilation and Network Analyses of Cambrian Food Webs. PLoS Biol 6(4): e102. doi:10.1371/journal.pbio.0060102

Schéma de micelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a202f5-schema-de-micelle-

Schéma de micelle

Schéma d'une micelle formée par des phospholipides en milieu aqueux. Une micelle (nom féminin dérivé du nom latin mica, signifiant « parcelle ») est un agrégat sphéroïdal de molécules possédant une tête polaire hydrophile dirigée vers le solvant et une chaîne hydrophobe dirigée vers l'intérieur. Une micelle mesure de 0,001 à 0,300 micron. L'hydrophobie des chaînes entraîne le regroupement des molécules et la mise en place de structures sphériques ou cylindriques visant à éliminer le solvant. Elles sont faiblement liées, maintenues dans le solvant grâce à des agents qui les stabilisent, tels les détergents ou les macromolécules. Les solutions colloïdales — dont l'aspect évoque une colle (par exemple, un gel) — sont riches en micelles. On parle de micelles directes dans un solvant polaire, tel l'eau.

Structure générale des acides aminés. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ce32ab-structure-genetique-des-acides-amines

Structure générale des acides aminés

Structure générale d'un acide α-aminé. Les acides aminés (ou aminoacides) sont une classe de composés chimiques possédant deux groupes fonctionnels : à la fois un groupe carboxyle –COOH et un groupe amine –NH2. Parmi ceux-ci, les acides α-aminés se définissent par le fait que leur groupe amine est lié à l'atome de carbone adjacent au groupe acide carboxylique (le carbone α), ce qui leur confère la structure générique H2N–CHR–COOH, où R représente la chaîne latérale, qui identifie l'acide α-aminé. Les acides α-aminés jouent un rôle fondamental en biochimie comme constituants élémentaires des protéines : ils polymérisent en formant des liaisons peptidiques qui aboutissent à de longues chaînes macromoléculaires appelées peptides.

Système de transmission de l'énergie à bicyclette. Source : http://data.abuledu.org/URI/5174fd1a-systeme-de-transmission-de-l-energie-a-bicyclette

Système de transmission de l'énergie à bicyclette

Dérailleur arrière (600) et dérailleur avant (105), pignons (8 vitesses), chaîne et pédalier.

Tachéomètre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e6e57a-tacheometre

Tachéomètre

Théodolite DTM-A20 (face arrière - cercle à gauche) : Depuis les années 1950 et 1960, les techniques de relevés topographiques évoluent. Avec l'invention des distancemètres électroniques, le théodolite électronique ou le tachéomètre, permettent à la fois de mesurer les distances et les angles. Jusque là, la mesure des distances se faisait à l'aide de rubans gradués (dits chaînes d'arpenteurs) : ces inventions constituent donc une évolution très significative dans le travail des topographes de terrain, presque une révolution.

Tour de l'Or à Séville. Source : http://data.abuledu.org/URI/518007e1-tour-de-l-or-a-seville

Tour de l'Or à Séville

Tour à douze côtés dite "de l'or" à Séville en Espagne. La Tour de l'or (Torre del Oro en espagnol) est une tour d'observation militaire construite au XIIIe siècle à Séville en Espagne durant la dynastie des Almohades afin de contrôler l'accès à la ville depuis le fleuve Guadalquivir. La tour a été construite comme un élément défensif de l'ensemble allant de l'Alcázar au fleuve. Le nom de la tour proviendrait des tuiles dorées qui couvraient le toit et ornaient le reste du bâtiment. Construite au début du XIIIe siècle, la tour possède douze côtés et de sa base, il était possible de tendre une chaîne en travers de la rivière pour empêcher les navires ennemis de remonter jusqu'au port de Séville. Lorsque ces chaînes se sont brisées, l'armée chrétienne de Ferdinand III de Castille, commandée par l'amiral Ramón de Bonifaz, a pu s'emparer de la ville en 1248.

Tourne-disque. Source : http://data.abuledu.org/URI/52483cdc-tourne-disque

Tourne-disque

Platine tourne-disques haute fidélité Thorens, des années 1980. Avec l’apparition des chaînes haute-fidélité, on a dissocié l’amplification de la lecture proprement dite, le tourne-disques étant alors désigné par le terme de platine ou de table de lecture. Ce dispositif est le seul à être encore couramment commercialisé pour un usage personnel. Les platines sont destinées à une reproduction de qualité sur un spectre de fréquences aussi large que possible, qui s’étend environ de 30 Hz à 18 kHz. Les exigences quant à leur fabrication sont donc considérablement plus strictes que celles imposées aux électrophones. Leur plateau a un diamètre légèrement supérieur à celui des disques microsillons de 30 cm et le niveau de bruit toléré est extrêmement faible, surtout aux basses fréquences. Elles sont équipées de moteurs à courant continu et d’une régulation électronique précise de la vitesse de rotation, ou de moteurs alternatifs synchrones qui mettent en rotation un plateau lourd par l’intermédiaire d’une courroie élastique. Leur tête de lecture est une tête magnétique, différente des têtes piézo-électriques, et délivre un signal électrique considérablement plus faible, de l’ordre de 5 mV environ. Elles nécessitent un préamplificateur spécial qui respecte rigoureusement la norme RIAA. Un tel préamplificateur, désigné sous le nom de préamplificateur correcteur, est en général inclus dans les équipements Hi-Fi de bonne qualité, mais peut aussi être installé dans un boîtier séparé.

Yak sauvage. Source : http://data.abuledu.org/URI/516c720b-yak-sauvage

Yak sauvage

Yak sauvage (Bos grunniens) à Letdar (Circuit de l'Annapurna au Népal). Le yak vit dans et autour de la chaine de l'Himalaya ; Népal et au Bhoutan, en Chine (Tibet, Xinjiang, Gansu, Mongolie intérieure), ainsi qu'en Mongolie, Russie, Kirghizstan, Kazakhstan, Pakistan, Tadjikistan, Afghanistan, jusqu'à des altitudes de 5 400 mètres. Les yaks vivent quinze ans en haute altitude au-dessus de 3 000 mètres. Le yak sauvage, uniquement présent au Tibet, est plus grand que le yak domestique, pouvant peser jusqu'à une tonne. Il vit habituellement en groupes de 10 à 30 individus. Son habitat est composé de hauts-plateaux dégarnis, de collines et de montagnes à des altitudes comprises entre 3 200 et 5 400 mètres. Il se nourrit d'herbes, de lichens et d'autres plantes. Durant la saison chaude, il vit dans les régions proches des neiges éternelles ; puis descend vers des terres au climat plus clément lorsque la saison froide approche. Le yak peut affronter le froid jusqu'à - 40 °C aussi bien grâce à son sous-poil très dense que par son long et épais pelage de surface. Par ailleurs, il secrète une substance visqueuse dans sa transpiration qui agit comme un isolant au froid. Cette substance est utilisée en médecine traditionnelle au Népal. Le yak sauvage a la vue très faible mais compense ce handicap par un odorat particulièrement développé et surtout une ouïe incroyable qui lui permet d'entendre à plusieurs kilomètres de distance. Le yak sauvage n'existe plus que dans les chaînes de montagnes du Kunlun, de Thangla et de Nyenchen Thangla, ainsi que sur le plateau du Tibet. L'espèce est menacée : la population totale actuelle est estimée à 15 000 animaux.