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Dessins et plans | Silhouettes | Cerveau | Pipes | Fumeurs | Biologie | Anatomie humaine | Gravure | Photographie | Métaphore | Main | Savants allemands | Art nouveau (décoration) | Clip art | Latin (langue) | Humour | Nature (esthétique) | Questionnement | Art et nature | Naturalistes | ...
Décorations intellectuelles. Source : http://data.abuledu.org/URI/53931982-decorations-intellectuelles

Décorations intellectuelles

Décorations intellectuelles, questionnement et étonnement, entre les branches d'une étoile.

Engrenages amoureux. Source : http://data.abuledu.org/URI/539346fe-engrenages-amoureux

Engrenages amoureux

Engrenages amoureux dans le cerveau d'un fumeur de pipe.

Fumeur de pipe connecté. Source : http://data.abuledu.org/URI/539347c1-fumeur-de-pipe-connecte

Fumeur de pipe connecté

Fumeur de pipe connecté.

Le renard et le buste. Source : http://data.abuledu.org/URI/510c41e7-le-renard-et-le-buste

Le renard et le buste

Le renard et le buste, illustration par François Chauveau (1613-1676), pour les « Fables choisies mises en vers par M. de la Fontaine », Claude Barbin et Denys Thierry, Paris, 1668 (premier recueil) 1678-79 (deuxième recueil) 1694 (troisième recueil).

Métaphore de l'apprentissage. Source : http://data.abuledu.org/URI/53934b1d-apprentissage

Métaphore de l'apprentissage

Apprentissage : métaphore du cerveau et du robinet.

Absorption de la chlorophylle. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e41760-absorption-de-la-chlorophylle

Absorption de la chlorophylle

Grahique du spectre d'absorption de la chlorophylle : en vert le spectre d'absorption de la chlorophylle a et en rouge le spectre d'absorption de la chlorophylle b. Le spectre visible se situe approximativement entre 380 nm à 780 nm bien qu'une gamme de 400 nm à 700 nm soit plus commune. La lumière perçue comme « verte » par l’œil et le cerveau humain a une longueur d'onde, selon les notions de la couleur « verte », approximativement entre 490 et 570 nanomètres. On remarque sur le graphique que l’absorbance de la chlorophylle est moindre pour cette plage du spectre électromagnétique. La chlorophylle absorbe donc la majeure partie du spectre visible sauf la lumière verte. La lumière rouge a une longueur d'onde de 620-750nm et une fréquence de 400-484THz. La région du rouge atteint un maximum de 660-670 nm pour la Chlorophylle A et aux alentours de 635-645 nm pour la Chlorophylle B. Les plantes ont un grande besoin des ondes rouges sauf celles beaucoup plus longues que 670 nm. La lumière bleue a une longueur d'onde de 450-495nm et une fréquence de 606-668THz. La photosynthèse fonctionne le mieux grâce aux ondes de la couleur rouge, et à moindre degré à celles de la couleur bleue. Mais certaines plantes ont un plus grand besoin de bleu que d'autres pour une croissance saine - notamment pour que les fleurs éclosent et pour que les fruits poussent.

Anatomie d'un insecte. Source : http://data.abuledu.org/URI/50302186-anatomie-d-un-insecte

Anatomie d'un insecte

Anatomie d'un insecte : A- Tête, B- Thorax, C- Abdomen ; 1-antenne, 2-ocelle basse, 3-ocelle haute, 4-oeil à facettes, 5-cerveau (ganglion cérébral), 6- prothorax, 7-artère dorsale, 8-trachée, 9-mésothorax, 10-métathorax, 11-première aile, 12-seconde aile, 13-estomac, 14-coeur, 15-ovaire, 16-tube, 17-digestif postérieur (intestin, rectum & anus), 18-anus, 19-vagin, 20-cordon neural (ganglions abdominaux), 21-tubes malpighien, 22-coussinet, 23- griffes, 24-tarse, 25-tibia, 26-fémur, 27-trochanter, 28-tube digestif postérieur (jabot, gésier), 29-ganglion thoracique, 30-coxa, 31-glande salivaire, 32- ganglion sous-œsophagien, 33-mandibules.

Anatomie de la main. Source : http://data.abuledu.org/URI/52cf1c88-anatomie-de-la-main

Anatomie de la main

Les mains (du latin manus, pl. manūs) sont deux organes complexes et préhensiles situés à l'extrémité des bras des primates et munis de doigts. Elles sont les principaux organes utilisés pour saisir et manipuler des objets pris dans l'environnement, de la façon la plus brutale (brandir un gourdin) à la plus fine (enfiler une aiguille). L'extrémité des doigts contient l'une des plus fortes concentrations de terminaisons nerveuses du corps humain, ce qui fait de la main l'un des organes principaux du sens du toucher. Comme pour d'autres organes allant par paires, comme les yeux ou les oreilles, chaque main est principalement contrôlée par l'hémisphère opposé du cerveau. La main utilisée préférentiellement est l'aspect le plus visible de la latéralisation de chaque individu.

Anatomie de la main. Source : http://data.abuledu.org/URI/52cf1d1b-anatomie-de-la-main

Anatomie de la main

Anatomie de la main, avec légende. Les mains (du latin manus, pl. manūs) sont deux organes complexes et préhensiles situés à l'extrémité des bras des primates et munis de doigts. Elles sont les principaux organes utilisés pour saisir et manipuler des objets pris dans l'environnement, de la façon la plus brutale (brandir un gourdin) à la plus fine (enfiler une aiguille). L'extrémité des doigts contient l'une des plus fortes concentrations de terminaisons nerveuses du corps humain, ce qui fait de la main l'un des organes principaux du sens du toucher. Comme pour d'autres organes allant par paires, comme les yeux ou les oreilles, chaque main est principalement contrôlée par l'hémisphère opposé du cerveau. La main utilisée préférentiellement est l'aspect le plus visible de la latéralisation de chaque individu.

Cervelas. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b8c959-cervelas

Cervelas

Le cervelas (de l'italien cervellata, du latin cerebellum, le diminutif de cerebrum, « cerveau ») est une saucisse consommée notamment en Suisse, en Allemagne, en Alsace et dans le Nord de la France ainsi qu'en Belgique. À l'origine, c'est une charcuterie faite de viande et de cervelle (d'où son nom) de porc. Dès le XVe siècle, sa recette « Per fare bon cervellate de carne de porco o de vitello giovine » (Pour faire un bon cervelas de viande de porc ou de jeune veau) – où les ingrédients sont arômatisés de safran – est donnée par Maestro Martino dans son ouvrage Libro de Arte Coquinaria3. Et jusqu'à la fin du XIXe siècle, le cervellata entre dans la composition du risotto à la milanaise.

Comparaison du cerveau de huit mammifères. Source : http://data.abuledu.org/URI/51eebfc7-comparaison-du-cerveau-de-huit-mammiferes

Comparaison du cerveau de huit mammifères

Les différents cerveaux : humain, gorille, chien, éléphant, dauphin, chat, macaque, souris. L'intelligence des animaux est un sujet qui a donné lieu à de nombreux travaux dont les résultats offrent non seulement une meilleure compréhension du monde animal mais aussi, par extension, des pistes pour l’étude de l’intelligence humaine. Des expériences scientifiques ont par exemple révélé que les bébés humains se trouvent sur un pied d’égalité avec les animaux lorsqu’il s’agit d’arithmétique simple : une découverte étonnante qui met en évidence l’intérêt de la recherche sur l’intelligence animale. Différents groupes d'espèces se démarquent par leurs aptitudes intellectuelles lors des recherches sur l'éthologie cognitive. Les grands singes, les dauphins, les éléphants et les corvidés (pies, corbeaux), qui peuvent se reconnaître dans un miroir, les chimpanzés et les corvidés qui fabriquent des outils, les perroquets qui peuvent tenir une conversation structurée, comprendre la notion de zéro et communiquer avec plus de 800 mots, les éléphants qui ont un comportement singulier face à leurs morts et les cétacés au langage complexe ne sont que des exemples d'intelligences manifestés.

Corail. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c19e44-corail

Corail

Le corail-cerveau de Neptune, polypes (petites poches ouvertes dont la bouche est entourée d'une couronne de tentacules dans lesquels se prolonge la cavité gastrique) vivant dans un squelette calcaire, se présente sous la forme d'une colonie hémisphérique pouvant dépasser 1m de diamètre.

Dédicace de Robespierre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afc643-dedicace-de-robespierre

Dédicace de Robespierre

"Dédicace" de Robespierre dans un Dictionnaire de 1770 : Dictionnaire qu'on pourrait employer sans scrupules comme obus de canon. Lancé vigoureusement à la tête d'un individu quelconque, il produit des effets admirables sur l'organisation du cerveau. Robespierre, le 3 brumaire de l'an 2."

Différentes parties d'une cloche. Source : http://data.abuledu.org/URI/502f8dd8-differentes-parties-d-une-cloche

Différentes parties d'une cloche

Croquis des différentes parties de la cloche : 1. joug, 2. anses, 3. cerveau, 4. épaule, 5. robe, 6. panse, 7. pince, 8. lèvre inférieure, 9. battant, 10. faussure

Dispositif d'entonnoir d'Emlen. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fe9c0e-dispositif-d-entonnoir-d-emlen

Dispositif d'entonnoir d'Emlen

On ne sait pas exactement quelles sont les capacités qui permettent aux oiseaux de s'orienter, cependant plusieurs aptitudes sont sûrement mis en œuvre : la vue, la perception du champ magnétique terrestre et l'odorat. Les espèces à migration nocturne s'orienteraient grâce aux étoiles. Des chercheurs ont découvert une zone spécifique dans le cerveau qui semble spécialisée pour cette tâche. Pour tester cette capacité, les scientifiques utilisent un appareillage spécifique connu comme l'entonnoir d'Emlen, qui consiste en une cage circulaire en forme d'entonnoir avec le sommet couvert d'un verre ou d'un écran de fil pour que le ciel étoilé ou un planétarium soit visible. Le comportement de l'oiseau, et plus spécifiquement son orientation, est alors étudié en fonction de ce que celui-ci peut observer. Technique introduite en 1966 par ST et JT Emlen. Source : Emlen S.T., Emlen J.T.Jr. 1966. "A Technique for Recording Migratory Orientation of Captive Birds". Légende en français par C. Catarina.

Dorothy et l'épouvantail. Source : http://data.abuledu.org/URI/502142df-dorothy-et-l-epouvantail

Dorothy et l'épouvantail

Dessin de Dorothy et l'épouvantail qui se plaint de ne pas avoir de cerveau, tiré du Magicien d'Oz, 1900.

Fumeur électronique. Source : http://data.abuledu.org/URI/5393181f-fumeur-electronique

Fumeur électronique

Fumeur de pipe au cerveau électronique.

Fumeur perplexe. Source : http://data.abuledu.org/URI/539343eb-fumeur-perplexe

Fumeur perplexe

Fumeur perplexe : point d'interrogation à la place du cerveau.

L'optique de Képler. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b0ac37-l-optique-de-kepler

L'optique de Képler

Planche de Johannes Kepler "Ad Vitellionem Paralipomena, quibus Astronomiae Pars Optica" (1604), illustrant la structure de l'oeil. Dès 1603, il parcourt divers ouvrages sur le sujet dont celui de l’Arabe Alhazen. Kepler rassemble les connaissances de l’époque dans son livre "Astronomia pars Optica", publié en 1604. Il y explique les principes fondamentaux de l’optique moderne comme la nature de la lumière (rayons, intensité variant avec la surface, vitesse infinie, etc.), la chambre obscure, les miroirs (plans et courbes), les lentilles et la réfraction dont il donne la loi i = n×r, qui est correcte pour de petits angles (la vraie loi — sin i = n×sin r — fut donnée plus tard par Willebrord Snell et René Descartes). Il aborde également le sujet de la vision et la perception des images par l’œil. Il est convaincu que la réception des images est assurée par la rétine et non pas le cristallin comme on le pensait à cette époque, et que le cerveau serait tout à fait capable de remettre à l’endroit l’image inversée qu’il reçoit.

Les Fenêtres simultanées sur la ville. Source : http://data.abuledu.org/URI/53447637-les-fenetres-simultanees-sur-la-ville

Les Fenêtres simultanées sur la ville

"Les Fenêtres simultanées sur la ville", 1912 par Robert Delaunay (1885-1941). Robert Delaunay passe à l'abstraction avec la série "Les Fenêtres", présentée de 1912 à 1913. Elle inaugure une longue série de recherche sur la possibilité de traduire l'harmonie représentative, par le seul agencement des couleurs. Les couleurs remplacent les objets, qui n'ont plus de substance et laissent la place à la lumière. Ce passage à l'abstraction se fait après la lecture des théories de Vassily Kandinsky dans son livre manifeste "Du spirituel dans l'art", et alors que Guillaume Apollinaire diagnostique en 1912 la naissance d'un nouvel art pictural : "Les peintres nouveaux peignent des tableaux où il n'y a plus de sujet véritable". Mais, contrairement à Vassily Kandinsky qui donne un contenu psychologique et mystique à ses œuvres, Robert Delaunay n'exploite que l'effet purement physique. Il s'explique en s'inspirant d'un texte de Léonard de Vinci : "L’œil est notre sens le plus élevé, celui qui communique le plus étroitement avec notre cerveau, la conscience. L'idée d'un mouvement vital du monde et son mouvement est simultanéité. Notre compréhension est corrélative à notre perception". À cette époque, Delaunay fait également de nombreuses recherches sur les couleurs et plus précisément sur la loi du contraste simultané des couleurs. Avec Sonia Delaunay, il crée le simultanéisme, une technique qui vise à trouver l'harmonie picturale grâce à l'agencement simultané des couleurs, et qui se concentre essentiellement sur le rôle de la lumière, qui est perçue comme principe créateur originel. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Delaunay

Neurones et synapses. Source : http://data.abuledu.org/URI/52cf3db2-neurones-et-synapses

Neurones et synapses

Anatomie des neurones. Les neurones sont des cellules traitant et transmettant l'information dans le système nerveux sous la forme d'excitations électriques. Chez les vertébrés, les neurones sont le composant clé du cerveau, de la moelle épinière et des nerfs périphériques.

Planche de céphalopodes Gamochonia en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d2fa7-planche-de-cephalopodes-gamochonia-en-1909

Planche de céphalopodes Gamochonia en 1904

Planche de céphalopodes Gamochonia, Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 54 : Chiroteuthis veranyi, Histioteuthis rüppellii, Pinnoctopus cordiformis, Octopus vulgaris, Octopus granulatu. Les céphalopodes (Cephalopoda, du grec képhalé, la tête, et pous, podos, le pied) sont des animaux de l'embranchement des mollusques, dont le pied, divisé en bras, surmonte la tête. Leur tête, distincte de la masse viscérale, comporte un véritable cerveau contenu dans un crâne cartilagineux ; des yeux perfectionnés, un bec corné, etc. Leur pied, qui s'attache à la tête, est divisé en bras munis de ventouses. Le manteau ventral, contractile, constitue avec le siphon un puissant organe de locomotion. Les céphalopodes existent depuis la fin du Cambrien, il y a 500 millions d'années. Les céphalopodes actuels sont des prédateurs marins. Ils se nourrissent de mollusques, de poissons, et de crustacés. Ils tiennent leur proie avec leurs bras, et la déchiquettent avec leur bec corné. Quand ils sont sédentaires, on peut facilement repérer leur présence par l'amas de coquilles vidées devant leur trou. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/C%C3%A9phalopode

Planche de Cubomedusae en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d2a39-planche-de-cubomedusae-en-1909

Planche de Cubomedusae en 1904

Planche de cubomedusae, Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 78 : Chirodropus palmatus,Chiropsalmus quadrigatus, Charybdea obeliscus, Charybdea murrayana, Procharybdis tetraptera, Tamoya prismatica. Le cubozoaire (Cubozoa), appelé aussi méduse-boîte est un invertébré de la classe des cnidaires qui se distingue des autres méduses par la forme de son ombrelle en forme de cube. La méduse-boîte est connue pour son venin extrêmement puissant produit aussi par certaines espèces : Chironex fleckeri, Carukia barnesi et Malo kingi qui sont parmi les créatures les plus venimeuses au monde. Les piqûres de ces espèces ainsi que quelques autres de cette classe sont extrêmement douloureuses et souvent mortelles pour les humains. À l'intérieur de l'ombrelle se trouve un volet ou « velarium » qui sert à concentrer et augmenter l'écoulement de l'eau expulsée par l'ombrelle. En conséquence, la méduse-boîte peut se déplacer plus rapidement que les autres méduses. Des vitesses jusqu'à six mètres par minute ont été enregistrées. Le système nerveux de la méduse-boîte est plus développé que celui des autres méduses. Elle possède notamment un anneau nerveux autour de la base de l'ombrelle qui coordonne ses mouvements de pulsations ; lors que d'autres méduses ont simplement un pigment oculaire, les méduses-boîtes sont uniques du fait de la possession de vrais yeux avec rétines, cornées et lentilles. Leurs yeux (en grappes) sont situés sur chacun des quatre côtés de leur ombrelle. Ceux-ci permettent de voir les points spécifiques de la lumière, plutôt que de simplement distinguer la lumière ou l'obscurité. Les méduses-boîtes ont aussi des yeux de type "inférieur", parce que les gros yeux (visuellement "forts") ne sont qu'un des quatre sous-ensembles. Au total elles ont 24 yeux. Une autre particularité intéressante est que la méduse-boîte a quelque chose dans son organisme que l'on peut considérer comme un cerveau. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cubozoa