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Ce schéma présente (de manière très simplifiée) la cinétique environnementale du mercure émis par quelques sources communes de ce métal, et sa ''bioconversion'' en méthylmercure toxique. Il traduit aussi les grandes lignes des recommandations de l'EPA pour certains types de poissons qui bioaccumulent le plus le mercure. Le mercure émis par les centrales électriques au charbon et d'autres sources se déplace via l'atmosphère vers l'eau ; une partie se transforme (dans les sédiments surtout) en méthylmercure (plus toxique et qui entre facilement dans la chaîne alimentaire où il se concentre à chaque étape de cette chaîne ou pyramide). Ceci explique que les grands prédateurs comme les cachalots, orques, requins, espadons, thons ou les vieux brochets, ou des charognards comme le flétan contiennent les taux de mercure les plus élevés. Le mercure est particulièrement problématique pour le développement ; c'est pourquoi les limites ici présentées ont été conçues pour protéger les femmes qui pourraient devenir enceintes et les enfants de 12 ans ou moins. Les cétacés, des dauphins, bélugas et marsouins aux cachalots en passant par les orques peuvent bioconcentrer de grandes quantité de mercure méthylé, mais hors quelques exceptions (Japon, norvège...), ils ne sont habituellement pas consommés. Sources de mercure : volcans, geysers, industrie, incinérations, crématoriums, mines, décharges, munitions anciennes.
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