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Schéma de formation des bouclettes : simple et double. Les tissus éponges sont appelés ainsi pour leur capacité à absorber une grande quantité d’eau ou de liquides quelconques. Il se fabrique en utilisant deux fils de chaîne et un fil de trame : le premier fil de chaîne, dit fond constitue l'ossature du textile, le second appelé effet ou de bouclette forme une superficie bouclée. La chaîne de fond est travaillée avec une plus grande tension que celle de bouclette, qui avec l’utilisation de fils (généralement de coton) à torsion douce donne au tissu le pouvoir de retenir beaucoup d’eau. Le tissu peut être de type simple ou double selon si les bouclettes sont présentes sur une ou deux faces du tissu. Le plus utilisé est le type double pour sa qualité d’absorption maximale d’eau. Dans le cas des chiffons utilisés pour le nettoyage, les fibres sont normalement synthétiques. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89ponge_%28textile%29
Schéma d'une coupe d'éponge de type asconoïde (Ascon anatomia).
Cartographie de la diversité globale des éponges marines à partir des 232 écorégions du monde (World Porifera Database : www.marinespecies.org/porifera, 20110831).
Éponges naturelles suspendues, en vente. Autrefois effectuée à mains nues et en apnée, la pêche à l'éponge se pratique de nos jours généralement à l'aide de scaphandres autonomes ou non. Cette pêche se pratique essentiellement en Méditerranée, mais aussi en mer Rouge, le long des côtes d'Amérique centrale et en Australie. Une fois remontées, les éponges sont lavées à grande eau et pressées pour débarrasser le squelette de spongine de toutes les parties vivantes. Puis elles subissent de nouveaux lavages, notamment dans des solutions chlorées afin de les blanchir. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Porifera
Dessins et plans, Éponges, Objets en tissu, Armures (tissage), Textiles et tissus synthétiques, Tissage
Schéma de formation des bouclettes du tissu éponge : simple et double. Il se fabrique en utilisant deux fils de chaîne et un fil de trame : le premier fil de chaîne, dit fond constitue l'ossature du textile, le second appelé effet ou de bouclette forme une superficie bouclée. La chaîne de fond est travaillée avec une plus grande tension que celle de bouclette, qui avec l’utilisation de fils (généralement de coton) à torsion douce donne au tissu le pouvoir de retenir beaucoup d’eau. Le tissu peut être de type simple ou double selon si les bouclettes sont présentes sur une ou deux faces du tissu. Le plus utilisé est le type double pour sa qualité d’absorption maximale d’eau. Dans le cas des chiffons utilisés pour le nettoyage, les fibres sont normalement synthétiques.
Gravure, Fables françaises, Éponges, Dix-septième siècle, Jean de La Fontaine (1621-1695), Sel, Ânes, François Chauveau (1613-1676)
L'âne chargé d'éponges et l'âne chargé de sel, illustration par François Chauveau (1613-1676), pour les « Fables choisies mises en vers par M. de la Fontaine », Claude Barbin et Denys Thierry, Paris, 1668 (premier recueil) 1678-79 (deuxième recueil) 1694 (troisième recueil). Numérotation Charpentier (1705).
L'âne chargé d'éponges et l'âne chargé de sel, fable de Jean de La Fontaine (1621-1695). 227 mots, niveau cycle 3 et collège.
L'Âne chargé d'éponges, et l'Âne chargé de sel. Source : Cent fables de Jean de La Fontaine (1621-1695) illustrées par P. J. Billinghurst (Gutenberg), 1901.
Photographie, Éponges, Magasins, Magasins -- Décoration, Maquettes (modèles réduits), Bateaux -- Maquettes, Kálymnos (Grèce. - île), Magasins -- Aménagement, Scaphandres autonomes
Magasin d'éponges naturelles en Grèce, dans l'île de Kalymnos.
Dessins et plans, Éponges, Animaux -- Nutrition, Alimentation -- Besoins, Biologie marine, Filtration, Spongiaires
Processus de nutrition par filtration de l'eau d'une éponge syconoïde ou leuconoïde (a: pore inhalant; b: particule organique; c: particule inorganique; d et f: amibocyte (phagocyte); e: choanocyte; g: vacuole digestive; h: corbeille vibratile; i: pore exhalant).
Planche d'éponges calcaires par Ernst Haeckel (1834–1919) : 1) Ascandra pinus (Haeckel) = Leucosolenia complicata (Montagu, 1818), habitus ; 2) Ascandra sertularia (Haeckel) = Leucosolenia sertularia (Haeckel, 1872), habitus ; 3) Ascilla gracilis (Haeckel) = Guancha gracilis (Haeckel, 1872), habitus ; 4) Syculmis synapta (Haeckel) = Amphoriscus synapta (Schmidt in Haeckel, 1872), rooting spicule (genus Amphoriscus) ; 5) Syculmis synapta (Haeckel) = Amphoriscus synapta (Schmidt in Haeckel, 1872), rooting spicule (genus Amphoriscus) ; 6) Sycurus primitivus (Haeckel) = Sycettaga primitiva (Haeckel, 1872), habitus (cut open) (genus Sycettaga) ; 7) Sycodendron ampulla (Haeckel) = Sycon ampulla (Haeckel, 1870), habitus (genus Sycon) ; 8) Sycarium elegans (Haeckel) = Sycon elegans (Bowerbank, 1845), habitus (genus Sycon) ; 9) Sycortis quadrangulata (Haeckel) = Sycon quadrangulatum (Schmidt, 1868) (genus Sycon) ; 10) Sycandra compressa (Haeckel) = Grantia compressa (Fabricius, 1780) ; 11) Sycarium elegans (Haeckel) = Sycon elegans (Bowerbank, 1845), (genus Sycon) ; 12) Sycaltis perforata (Haeckel) = Amphoriscus perforatus (Haeckel, 1872), (genus Amphoriscus) ; 13) Sycetta strobilus (Haeckel) = Grantia strobilus (Haeckel, 1872), habitus (genus Grantia).
Formes des éponges (embranchement des Spongiaires) : Porifera de types ascanoïde, syconoïde et leuconoïde. En rouge : nappe cellulaire interne (choanocytes) ; en jaune : nappe cellulaire externe (pinacocytes). A : SCARRUSK (ascanoid), B : syconoïde (syconoid), C : leuconoïde (leuconoid). Éléments : 1) spongocoele ou atrium, 2) oscule, 3) tube vibratile ou tube radiaire, 4) corbeille vibratile, 5) pore inhalant, 6) canal inhalant.
Comatule de Schlegel (Comaster schlegelii) ou échinoderme. C'est une grande comatule buissonnante, dont le diamètre peut dépasser 20 cm, et qui vit assez exposée. Ses bras sont longs et épais, non ramifiés (en dehors des pinnules) et de taille homogène ; elle peut en avoir plus de 200. Sa couleur est très variable : elle est souvent noire (notamment à proximité de la surface). On la trouve souvent juchée au sommet des coraux ou des éponges. Comme toutes les comatules, elle est pourvue de cirres munis de griffes, ici assez courtes, qui lui permettent de s'agripper au substrat, mais aussi de pouvoir se déplacer si nécessaire. Cette comatule vit d'abord fixée au substrat, puis devient vagile tout en conservant des mœurs sédentaires. Dérangée, elle est capable de ramper sur ses cirres, ou même de nager quelque temps. Elle vit souvent cachée et repliée la journée, pour déployer ses longs bras la nuit tombée, à l'abri des prédateurs. Comme tous les crinoïdes, cette comatule est suspensivore. Ses longs bras ramifiés munis de pinnules filtrent l'eau, et retiennent les particules en suspension (plancton, neige marine, particules organiques en suspension...) en s'enroulant, avant de transmettre le butin aux tentacules collants qui tapissent les sillons ambulacraires. La nourriture circule ensuite le long de ces sillons comme sur un tapis roulant, pour arriver finalement à la bouche, d'où elles passera dans le tube digestif. Pour augmenter leur efficacité, les comatules se tiennent généralement perpendiculaires au courant, et recherchent les zones où le plancton est abondant. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Comaster_schlegelii
Alfred Moquin-Tandon, alias Alfred Frédol, "Le monde de la mer" en 1866 : Planche VIII, Corail à 80 brasses de profondeur. Corail rouge, Bebryce tendre, Gorgone délicate, éponges, Balanophyllie d'Italie, Flabellum, Thécidie de la Méditerranée, Térébratule tête de serpent.
En géométrie, les polyèdres obliques infinis sont une définition étendue des polyèdres, créés par des faces polygonales régulières, et des figures de sommet non planaires. Beaucoup sont directement reliés aux nids d'abeille convexes uniformes, étant la surface polygonale d'un nid d'abeille avec certaines cellules enlevées. En tant que solides, ils sont appelés nids d'abeille partiels et aussi éponges. Ces polyèdres sont aussi appelés pavages hyperboliques parce qu'ils peuvent être regardés comme reliés aux pavages de l'espace hyperbolique qui ont aussi un défaut angulaire négatif.
Nudibranches (Goniobranchus coi, Risbec, 1956) se nourrissant des éponges sur lesquelles ils vivent. Le nom scientifique, chromodoris, vient du grec chromo (couleur) et de Doris, d'après la nymphe éponyme. Il s'agit donc de doris aux couleurs vives. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Chromodoris.